05/12/2023
On a pensé que cela pouvait vous intéresser.
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On ne chatouille pas un grizzli qui sommeille.
LETTRE D'UN PRÉSIDENT qui ne voulait plus écrire
Éloigné de toute activité politique, j’ai choisi il y a quelques années la voie associative pour apporter ponctuellement ma modeste contribution à la vie du village.
Raison pour laquelle j’ai créé L’Association Des Idées Simples – LADIS, que je préside.
Le 27 novembre 2023, Monsieur Benjamin Durand a signé de sa plume sur le site internet de l’opposition municipale un article dirigé contre la mairie.
Si cet objectif répond à une saine activité démocratique, la place qu’il réserve à LADIS et à son Président est tout simplement inadmissible.
Lundi 4 novembre, je suis donc rentré en contact téléphonique avec monsieur Benjamin Durant en lui demandant de ré-écrire sa copie entachée d’informations erronées, tronquées et incomplètes me salissant directement, moi et mon association, et cela sans aucune raison.
Monsieur Benjamin Durand s’est dit surpris de ma demande. Il l’a rejetée, prétextant ne pas comprendre ma position.
Monsieur Benjamin Durand a donc choisi de franchir le rubis-con de l’information en oubliant la pierre précieuse au profit de ce qu’il en reste.
Quel orgasme existentiel cherche-t-il donc à atteindre en voulant confirmer quoi qu’il en coûte le célèbre adage rappelant que « le ridicule ne tue pas », déjà testé par nombre d’illuminés.
L’orgasme que l’on ressent en montant sur la plus haute marche d’un podium ? Une ambition assurément largement à sa portée.
Car si la liberté d’opinion est un droit, la désinformation reste un art. Et n’est pas artiste qui veut, même pour les pires causes.
Son égo d’homme politique providentiel n’a d’égal que le nombre de ses déculottées électorales. Et l’honnêteté intellectuel fièrement assumée lors de notre entretien m’a confirmé la lucidité de ses non- électeurs.
Mais place aux faits.
CONTRES VERITÉS
Tout d’abord, faire croire que le jeu « J’aime mon village » destiné à promouvoir le commerce local et à améliorer le pouvoir d’achat des Couzonnais aurait pu se faire sciemment au détriment de l’action sociale est une contre vérité. Un message honteux qui le déshonore.
Le financement des bons d’achat n’a rien à voir avec le budget ou les dépenses sociales. Paradoxalement, cela serait même plutôt dans l’esprit une action ‘sociale’.
Mettre en opposition l’action de LADIS et l’actions sociale communale relève d’une imposture intellectuelle politicienne d’un autre temps que l’on pensait révolue et d’une mauvaise foi incroyable qui m’a surpris venant de sa part.
JE CAUSE MAIS J’SAIS RIEN
Faire croire que LADIS serait subventionné par la mairie est une contre vérité*.
Pour mettre les choses au clair et remédier à toute communication mal intentionnelle, LADIS ne touche aucun argent ni de la commune, ni des commerçants, ni des participants au jeu « J’aime mon Village ». Son financement est assuré uniquement par son président. Cette information n’était pas destinée à être publiée, mais il est nécessaire de la faire savoir pour couper court à toute insinuation.
Et tant pis pour l’humilité quand il est question de vérité.
LE CLOU DU PESTACLE : LE MATHEUX IMPAYABLE
Pour Benjamin Durand :
« le Maire aurait décidé de subventionner LADIS à hauteur de 600 euros pour attribuer 14 bons de 15 euros d’achats à la tombola."
Je lui ai demandé au téléphone par 3 fois combien faisait 14 x 15, il m’a répondu « 600 » par 3 fois.
Je lui ai demandé à chaque fois s’il était sûr de sa réponse : OUI par 3 fois.
Monsieur Benjamin Durand en est d’ailleurs tellement persuadé que la question écrite qu’il a posé au prochain conseil municipal reprend le même calcul et le même résultat.
Et dire que leurs questions sont murement débattues entre élus de l’opposition avant d’être transmises au Maire.
Après les précieuses ridicules, le malade imaginaire, et le traiteur intraitable, Couleur Couzon présente « le matheux impayable », une bouffonnerie en boucle en une seul acte.
Le seul capable de tricher dans une partie de monopoly sans le vouloir. Comme quoi la souffrance de la claque électorale, ça peut mener à tout.
Bref, chacun peut juger sur pièce. Sans jeu de mots.
JALOUX
Enfin, pourquoi insinuer un lien entre le jeu organisé par LADIS et des procès en diffamation publique vieux de 5 ans que je n’ai de plus jamais perdus ?
Oui, quel est le lien ?
La Cours de Cassation m’a rendu mon honneur, mais notre matheux impayable fait semblant d'ignorer l’épisode final d’un feuilleton judiciaire dont il applaudissait pourtant secrètement à l’époque chaque nouvel épisode en espérant un jour en tirer les marrons du feu.
ALLEZ ATOIRE ! ALLEZ ATORE ! ALLEZ ATOIRE !
Notre Matheux Impayable définit l’attribution des bons d’achat à chaque commerce de dépenses d'aléatoires. Mais non, seul le tirage au sort des heureux gagnants est aléatoire. Là, il est vraiment lourdingue.
Je vous passe sur le ridicule de son article qui se moque de l’annulation de la diffusion de la finale de la coupe du monde de rugby à la salle des fêtes, alors qu’il n’était même pas présent au tirage au sort, ni aucun autre de ses colistiers.
Et pour terminer, cerise sur le gâteau, en intégrale et en français dans le texte
• La subvention de 600 euros de la mairie n’a pas été votée ; elle pourrait l’être en décembre mais une majorité d’élus existera t elle pour assumer une telle posture si le projet était présenté ?
Une fois que l’on aura compris la phrase, je vous jure que l’on aura la réponse.
CONCLUSION - À MEDITER
Aux pseudo-rédacteurs qui ont choisi l’exil pour atteindre les sommets, laissez notre beau village à ceux le chérissent.
À ceux-là que se rêvent en journaliste brillant étalant ça et là leur insipide fadeur, comment ne pas leur dire avant toute tragédie de ne pas déglutir pour éviter le pire, l’auto empoisonnement est bien la pire des fins. Ou bien de se relire.
À Benjamin Durand notre matheux impayable : un pauvre candidat privé de lumière à (presque) tous les étages sans voix pour les uns. Un castra sans voix pour les autres. Qui s’en voit.
Qu’il oublie LADIS et Pierre Chatain, qu’il quitte définitivement le village, il nous manquera si peu.
*La mairie avait actée le principe de participer à l’opération « J’aime mon Village » en soutien au monde commerçant en agissant à la fois sur le pouvoir d’achat et au bénéfice des commerces de proximité du village .
La proposition de la municipalité de se substituer à LADIS pour le financement de 40 euros de bons d’achat dans chaque commerce de proximité a été évoqué très peu de temps avant le lancement du jeu.
Il est également prévu que LADIS qui finançait initialement seule ces lots en assurera le financement le cas échéant.