16/03/2024
(Court récit)
Auteur : Messieu Zulu
(Âmes sensibles, s'abstenir !)
Le réveil de mon téléphone m'arracha brutalement au sommeil bien mérité que je m'étais attribué, après avoir énormément travaillé.
Il était déjà 21 heures... c'était notre heure de travail.
J'étais une escorte, appartenant à un groupe très bien organisé qui existait depuis plusieurs dizaines d'années.
Ils m'avaient recruté alors que je n'étais qu'une étudiante à la Faculté de Droit. À cause des énormes problèmes financiers que je rencontrais au quotidien, j'avais fini par accepter.
Vous vous demandez certainement si de temps à autres j'ai des regrets ? Oui j'en ai ! Sachez que vendre son corps n'a jamais été chose facile.
Mais, les circonstances de la vie, les turpitudes que celle-ci nous impose nous imposent finalement un choix.
Nous avions une application mobile avec laquelle nous travaillions. Tout était bien organisé.
J'ouvris mon application et je pus voir que j'avais rien que cette nuit, trois rendez-vous et parmi lesquels il y avait un client régulier.
C'était un homme âgé, très pervers et qui pour des raisons que j'ignorais, avait jeté son dévolu sur moi.
Il se disait qu'il travaillait pour le Gouvernement ! Je n'en savais pas plus à son propos.
Justement, mon téléphone se mit à sonner... c'était sûrement son chauffeur.
- allô ! Tu sais que tu as rendez-vous avec le boss aujourd'hui ? Questionna-t-il.
- Oui, je suis au courant !
- Okay... parce que je suis en route pour te chercher ! Sois à ton entrée dans quinze minutes !
Il raccrocha avant que je n'ai eu le temps de répondre !
Je me sortis obligatoirement de mon lit et je me rendis sous la do**he pour prendre un bon bain.
À travers le miroir, je pouvais apercevoir toutes les cicatrices que mon corps portait fièrement.
La majorité des traces de fouet étaient l'œuvre du gros pervers que je m'apprêtais à aller voir.
Je vous promets que je ne suis pas une masochiste ! J'ai horreur de la douleur !
J'ai à maintes reprises essayé d'interrompre les contrats avec cet homme, mais j'ai reçu des menaces de la confrérie, menaçant de me faire disparaître !
Je ne vous l'ai pas dit au début... cette organisation se fait appeler "La Confrérie" et ils ont l'appui des personnes tellement puissantes, vous n'en avez aucune idée.
Il était sauvage certes, mais il payait très bien. Les pourboires étaient toujours surdimensionnés !
Une fois mon bain pris, j'enfilai une belle lingerie provocatrice, rouge vif qui épousait parfaitement la couleur de ma peau.
Au-dessus de la lingerie, je vêtis un pardessus qui s'arrêtait à mi-cuisses.
J'accompagnai le tout avec une paire d'escarpins rouge vif et d'un petit sac de la même couleur.
Tel était mon mentra.
Je vivais dans une petite chambre meublée que la confrérie payait en totalité, avec toutes les charges adjacentes.
J'éteignis toutes les lumières et je fermai la porte à clé, avant de rejoindre l'entrée où une grosse berline de marque Chrysler m'attendait.
J'avais reconnu le véhicule ! C'était l'un de ceux qui venaient toujours me chercher...
Je me rapprochai et je pris place délicatement sur la banquette arrière.
- tu es en re**rd de cinq minutes ! Lança le chauffeur avant de démarrer.
- les choses de femmes...
Il ne daigna même pas répondre ! Il continua de rouler comme le chauffeur consciencieux qu'il était.
D'après le chemin qu'il empruntait, je savais exactement dans quelle résidence il était entrain de me conduire.
C'était l'une de ses résidences reculées qu'il utilisait pour faire des choses loin de sa femme et de ses enfants.
Une fois devant le premier portail, les gardiens l'ouvrirent immédiatement car reconnaissant la voiture.
On roula jusqu'à ce qui était un véritable château, très beau dans la nuit.
C'était la troisième fois que je venais là et j'étais toujours impressionnée comme si ça avait été la toute première.
Il se gara devant l'entrée principale et mon bourreau était là, il m'attendait ! Il était vêtu d'un peignoir et d'une paire de babouches.
Son ventre ministériel menaçait énergiquement les boutons dorés de son vêtement.
Comme d'habitude, il était en compagnie de son chien... un animal effrayant... on aurait dit une bête tout droit venue de l'enfer.
- approche bébé... il ne va rien te faire ! Cria-t-il à mon endroit.
J'approchai avec prudence jusqu'à lui. Il remis la scelle du chien à l'un de ses employés qui disparut avec lui.
Il attrapa mon postérieur avec sa main énorme et se mit à le presser vulgairement.
- tu as pris du poids on dirait ! Disait-il, avec un regard qui trahissait sa gourmandise.
- pas vraiment monsieur !
- montons, on va vérifier ça !
Je le suivi jusqu'à l'intérieur où on emprunta un grand escalier qui nous dirigea vers un autre grand salon.
On emprunta ensuite un couloir de part et d'autres duquel il y avait des portes qui se ressemblaient toutes.
Il poussa la porte de ce qui était sa chambre et une fois que je fus entrée, il referma à double tours.
- prends le fouet là bas dans l'armoire tu viens avec ! Cria-t-il pendant qu'il se débarrassait de son peignoir.
Je m'exécutai... j'ouvris son armoire et il y avait toutes sortes d'instruments dont je préfère taire la description.
Toute tremblotante car sachant ce qui allait m'arriver, je m'emparai du fouet et le lui remis.
- tu es particulièrement belle aujourd'hui bébé ! Enlève ton manteau et viens te mettre à quatre pattes ! Vilaine petite fille !
-
Je me débarrassai de mon manteau que j'accrochai là quelque part, dévoilant ainsi ma lingerie provocatrice. Son regard montra qu'il en était satisfait.
Comme une petite chienne, je me mis à quatre pattes et j'approchai de lui dans cette position.
Il posa son énorme pied sur mon dis et se mit sans frein à m'administrer des coups de fouet violents sur les fesses et sur le dos.
À mesure que je criais, son membre gagnait en volume.
Il aimait quand je le suppliais, alors je le suppliais de la plus belle des manières.
À mesure que je suppliais, ses coups se faisaient de plus en plus violents.
Lorsqu'il jugea que j'en avais eu assez, il m'attrapa par les cheveux et me traîna de force jusqu'au lit.
Il aimait lorsqu'il y avait de la résistance, alors je résistais.
Je trainais les pieds au sol, je sentais que ma perruque allait lâcher.
Il me jeta de toutes ses forces sur le lit et il tira mon string avec une telle violence qu'il se déchira.
Il me prit à maintes reprises avec toute la violence que son corps lui permettait, jusqu'à ce qu'il m'éjacule plusieurs fois dessus.
Une fois qu'il eut terminé de me maltraiter, il se leva et ouvrit un tiroir duquel il sortit une grosse laisse de billets violets.