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Au Québec, la culture du 420 est une tradition bien ancrée, célébrée par de nombreux amateurs de cannabis chaque année l...
05/04/2024

Au Québec, la culture du 420 est une tradition bien ancrée, célébrée par de nombreux amateurs de cannabis chaque année le 20 avril.

Cette date, devenue une journée spéciale pour les adeptes de la ma*****na, est souvent marquée par des rassemblements festifs, des concerts, et des événements où l'herbe est au centre de toutes les attentions.

Dans la province francophone, le 420 est l'occasion de partager un moment de convivialité autour de cette plante, symbole de détente et de partage. Les Québécois profitent de cette journée pour se retrouver entre amis, échanger des conseils sur les meilleures variétés de cannabis, et simplement profiter de l'instant présent.

Les artistes locaux ne manquent pas de s'impliquer, offrant des performances musicales ou artistiques qui ajoutent à l'ambiance festive de la journée. Quant à moi, pour le 420, je prévois de passer du temps avec des amis proches, peut-être organiser une petite soirée à la maison avec des jeux de société et de la musique relaxante et vous que prévoyez vous ?

CannActualités L’âge légal de consommation du cannabis: à revoir!Il y a plus de quatre ans maintenant, le gouvernement d...
25/02/2024

CannActualités L’âge légal de consommation du cannabis: à revoir!

Il y a plus de quatre ans maintenant, le gouvernement du Québec annonçait fièrement «faire preuve de prudence» en fixant à 21 ans l’âge légal pour consommer du cannabis. Quelques années plus t**d, quel bilan pouvons-nous tirer de cette réglementation?

Si je me fie à la consommation des jeunes adultes de mon entourage, le bilan n’est pas reluisant. Si le gouvernement croyait empêcher les 18-21 ans de consommer, c’est raté et pas qu’un peu.

Fallait vraiment être loin, très loin du réel pour croire qu’une telle mesure allait éloigner les personnes récemment majeures de chercher quelques sensations fortes qui partent en fumée.

Revendeurs

Par contre, on les a rapprochées du crime organisé et de revendeurs passablement louches, qui peddlent des produits aux taux de THC très, voire trop élevés. Sans parler des emballages attirants, sur lesquels figurent dragons en flammes et autres personnages de type anime.

Disons qu’on est loin des années 1990-2000 (mon époque) lors desquelles nous achetions du pot vaguement emballé dans du papier pellicule de type Saran Wrap. En 2024, on est ailleurs, mettons.

Grâce, si l’on peut dire, à cette réglementation teintée de moraline (sorte de morale bien-pensante aux effets douteux), on a poussé les 18-21 ans à développer de mauvaises habitudes de consommation, notamment avec la prolifération des vapoteuses à taux élevés de THC (wax pens), au lieu de les diriger vers les produits de la SQDC, nettement plus doux.

C’est un peu comme si le vin ne leur était pas accessible et qu’ils devaient se procurer, sur le marché noir, de la boisson à 40 degrés d’alcool et plus. Si c’était le cas, on crierait au scandale. Mais comme c’est un produit mal connu et passablement démonisé, on laisse faire.

Mauvais plis

Par surcroît, les jeunes adultes prennent de mauvais plis, en développant une relation avec des revendeurs qui comptent sur leur fidélité.

Dans ce cadre, pensons-nous vraiment qu’à l’obtention de leurs 21 ans, ils accourront à la SQDC comme par magie? Je n’y crois pas et vous ne devriez pas non plus. Mauvais pour les finances publiques, dites-vous? Oh oui.

En 2024, revoyons cette réglementation à la lumière du bon sens commun, des finances publiques et, surtout, de la santé publique.

Il faut voir les emballages de cannabis vendus sur le marché noir. Dragons en flammes, personnages de type anime.

CannActualités Le cannabis est légal au Canada depuis plus de cinq ans. Malgré cela, des employeurs continuent de demand...
23/02/2024

CannActualités Le cannabis est légal au Canada depuis plus de cinq ans. Malgré cela, des employeurs continuent de demander à des employés potentiels de se soumettre à un test de dépistage pour savoir s’ils en ont consommé

Ces employeurs ont le droit de le faire, mais à certaines conditions.

Il faut vraiment que l'employeur soit capable de démontrer qu'il y a une raison pour le test, a expliqué en entr***e André Goguen, un avocat spécialisé en droit du travail.

Il faut vraiment faire l'équilibre entre la sécurité à l'ouvrage et la vie privée des employés, dit-il.

CannActualités SQDC : le nouveau programme de récupération fait douter ! depuis bientôt 1 ans rien de concret  Lancé san...
12/02/2024

CannActualités SQDC : le nouveau programme de récupération fait douter ! depuis bientôt 1 ans rien de concret

Lancé sans tambour ni trompette la semaine dernière, le programme de récupération des contenants de cannabis dans les succursales de la SQDC suscite des questionnements dans le milieu de la récupération et du recyclage, en raison du flou qui l’entoure et parce qu’il vise des matières déjà couvertes par la collecte sélective.

La Société québécoise du cannabis (SQDC) offre à sa clientèle, depuis le 10 août, de déposer les emballages vides de ses produits dans des boîtes disposées dans chacune de ses succursales. Les détails de ce programme de récupération, qui n’a pas été annoncé par une campagne publicitaire ou un communiqué, tiennent en quatre phrases sur le site internet de la société d’État.

Il est notamment indiqué que les pots de plastique « seront transformés en matériau composite qui permet de construire du mobilier urbain, comme des bancs de parc ou des boîtes à fleurs ».

C’est l’entreprise Canopy Growth, productrice de cannabis, qui finance le programme, qu’elle offre également dans le reste du Canada.

« Pour la SQDC, c’est à coût nul, c’est un service qui est gratuit auquel on adhère », a expliqué à La Presse le porte-parole de la société d’État, Fabrice Giguère, précisant que seuls les bacs de récupération avaient été payés par la SQDC.

Canopy Growth s’est associée à l’entreprise de récupération étatsunienne TerraCycle pour mettre sur pied ce programme de récupération.

Les matières récupérées dans les succursales de la SQDC, généralement du plastique et du carton, sont envoyées à Fergus, en Ontario, mais il est difficile de savoir ce qu’il en advient ensuite.

Information confidentielle
« TerraCycle utilise les installations de sous-traitants pour traiter les matières récupérées et travaille avec un vaste réseau d’utilisateurs finaux qui intègrent les matières recyclées dans leurs produits », a d’abord expliqué dans un courriel à La Presse Sue Kauffman, responsable des relations publiques pour l’Amérique du Nord de l’entreprise.

L’identité de ces sous-traitants est « une information confidentielle », a ensuite déclaré dans une entr***e téléphonique le vice-président mondial pour les partenariats de marques, Michael Waas.

« Je ne suis pas en mesure de partager cela », a-t-il indiqué.

TerraCycle ne dévoile pas non plus où aboutissent les matières recyclées.

« Je ne peux pas partager spécifiquement ce niveau de détail », a répondu M. Waas.

L’entreprise affirme toutefois que « lorsque c’est possible », les sous-traitants et les utilisateurs finaux sont choisis sur le marché local.

Questions sans réponses
TerraCycle manque de transparence, selon le directeur général du Front commun québécois pour une gestion écologique des déchets (FCQGED), Karel Ménard, qui a cherché par le passé à en savoir plus sur ce qui advenait des matières récupérées par l’entreprise.

« On n’a jamais été capables d’avoir l’information finale où ça allait, dit-il. Leur site [internet] est très général, plus général que ça, tu meurs. »

« Je ne dis pas que c’est mauvais, mais ce qui m’achale, c’est qu’on n’a jamais les réponses qu’on serait en droit d’avoir », explique-t-il, estimant que les consommateurs qui rapportent leurs contenants doivent avoir l’assurance qu’ils font « le bon geste ».

Pourtant, TerraCycle aurait tout intérêt à publiciser ses façons de faire, dit-il.

Recyc-Québec ignore également ce qu’il advient des matières récupérées par TerraCycle.

« On ne connaît pas les détails », a indiqué à La Presse la porte-parole de l’organisme gouvernemental, Brigitte Goeffroy, précisant qu’il n’y a pas d’obligation légale de traçabilité de la matière recyclée pour les entreprises qui font du recyclage.

La réforme de la collecte sélective sur laquelle planche Québec promet d’ailleurs de corriger cette lacune en rendant obligatoire la reddition de comptes quant à la quantité de matières récupérées, leur traitement et leur destination.

Double système
La plupart des emballages de produits du cannabis récupérés à la SQDC peuvent aussi être récupérés par la collecte sélective, ce qui fait dire à Karel Ménard qu’« il y a quelqu’un qui paie en double pour deux systèmes ».

La SQDC paie effectivement une contribution à Éco Entreprises Québec (ÉEQ), l’organisme qui représente les entreprises fabriquant et vendant sur le marché québécois contenants, emballages et imprimés et qui finance la collecte sélective – Canopy Growth affirme le faire aussi, ce que réfute ÉEQ.

C’est une première que TerraCycle s’occupe de récupérer des matières qui peuvent être récupérées par la collecte sélective.

Brigitte Geoffroy, de Recyc-Québec

Paradoxalement, même TerraCycle recommande le recours à la collecte sélective.

« Nous préférerions que quelqu’un recycle localement, si c’est possible pour le produit concerné, que l’envoyer via nos programmes, affirme Michael Waas. C’est meilleur pour l’environnement que quelque chose soit recyclé localement lorsque possible. »

Zéro déchet
TerraCycle, qui a fait sa renommée en proposant de recycler ce qui n’est autrement pas recyclable, affirme que rien de ce qu’elle récupère n’est perdu.

« Nous recyclons approximativement 98 % des matières résiduelles que nous recevons, nous compostons les 2 % restants et nous n’envoyons jamais rien à l’enfouissement », se targue-t-elle.

Mais il n’y a pas de processus de vérification indépendant pour le garantir.

« Nous avons des engagements contractuels », répond Michael Waas.

Canopy Growth n’a pas précisé quelles garanties de traçabilité des matières récupérées lui fournissait TerraCycle, invitant La Presse à poser la question à la SQDC, qui a elle-même invité La Presse à poser la question à Canopy Growth.

« Aucun des contenants que TerraCycle récupère n’est expédié outre-mer et tous les produits sont recyclés au Canada », a cependant affirmé Hilary Black, cheffe de la responsabilité sociale de l’entreprise.

Canopy Growth n’a pas non plus dévoilé ce que lui coûte ce programme de récupération, indiquant simplement que les coûts sont liés au poids des matières.

Un représentant de la SQDC s’est rendu à Fergus, en décembre, pour visiter l’installation utilisée par TerraCycle, a indiqué à La Presse son porte-parole, Fabrice Giguère.

« Ça nous a amplement satisfaits », a-t-il déclaré.

Tri difficile
« La technologie actuelle du tri optique ne permet pas de détecter les contenants et emballages en PET [polyéthylène téréphtalate, un plastique] noir et peut difficilement reconnaître ceux en PET opaque », explique Brigitte Geoffroy, de Recyc-Québec.

Si les contenants de plastique et les emballages de carton vendus à la SQDC sont récupérés par la collecte sélective, certains se butent cependant à un obstacle lors du tri. « La technologie actuelle du tri optique ne permet pas de détecter les contenants et emballages en PET [polyéthylène téréphtalate, un plastique] noir et peut difficilement reconnaître ceux en PET opaque », explique Brigitte Geoffroy, de Recyc-Québec, précisant que certains centres de tri disposent de l’équipement permettant de contourner ce problème, comme le Groupe Gaudreau, à Victoriaville. Rien n’oblige pourtant les fabricants à utiliser des contenants noirs. « L’emballage du cannabis doit être à l’épreuve des enfants et muni d’un sceau d’inviolabilité [et] le contenant immédiat doit être opaque ou translucide », a expliqué à La Presse Tammy Jarbeau, porte-parole de Santé Canada. « À l’intérieur de ces paramètres, les transformateurs de cannabis autorisés peuvent concevoir leur emballage et leur étiquetage comme bon leur semble », ajoute-t-elle. D’ailleurs, rien dans la loi n’oblige que les contenants soient en plastique. Éco Entreprises Québec n’a pas souhaité commenter le nouveau programme de récupération de la SQDC, mais sa porte-parole, Yourianne Plante, a indiqué à La Presse que « les emballages de cannabis illustrent une occasion de faire mieux ». « Nous tendons la main pour accompagner les producteurs et la SQDC qui souhaitent entreprendre une démarche d’écoconception de leurs emballages afin que ceux-ci se recyclent efficacement dans les bacs des Québécois », a-t-elle indiqué.

Projet-pilote concluant
La mise sur pied du programme de récupération des contenants de cannabis à la SQDC fait suite à un projet-pilote réalisé en juin et en juillet dans cinq succursales de Montréal, Québec et Saint-Jean-sur-Richelieu. Environ 45 kg de contenants ont été récupérés, soit environ 4600 contenants, affirme la SQDC, qui refuse toutefois d’indiquer quelle proportion des contenants vendus représente ce volume. « Pour nous, ces résultats-là ont été assez probants pour se dire qu’on peut déployer [le programme dans l’ensemble des succursales] », affirme Fabrice Giguère.

Sous le feu des critiques
La SQDC indique qu'elle cherche à pousser ses efforts environnementaux plus loin. Nous travaillons aussi en ce moment avec des experts en développement durable à déployer un plan d'action pour des contenants et des emballages plus écoresponsables, écrivait-elle récemment sur sa page Facebook à un internaute préoccupé.

Invitée à en dire plus, la SQDC soutient consulter le Groupe AGÉCO et Éco Entreprises Québec (ÉEQ) pour améliorer la performance environnementale des emballages.

La SQDC avait été critiquée dès la mise en vente de ses produits, certaines personnes les jugeant suremballés et donc peu écologiques. La société d'État dit en être consciente et souligne que cet emballage (pot de plastique dans une boîte de carton, notamment) est requis par la réglementation stricte en vigueur au Canada qui a notamment pour but d'éviter la consommation accidentelle et de dissuader les enfants et les jeunes de consommer les produits du cannabis.

CannActualités La SQDC va fermer définitivement une succursale à Montréal!MONTRÉAL — La Société québécoise du cannabis (...
07/02/2024

CannActualités La SQDC va fermer définitivement une succursale à Montréal!

MONTRÉAL — La Société québécoise du cannabis (SQDC) va fermer définitivement une de ses succursales, licenciant ainsi 11 travailleurs. Il s'agit d'une première pour la société d'État, qui n'en avait jamais fermé auparavant.

La succursale touchée est celle de la Plaza Saint-Hubert, sur la rue du même nom à Montréal.

La direction de la société d'État et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), affilié à la FTQ, qui représente la majorité des syndiqués dans les succursales de la SQDC, ont tous deux confirmé l'information à La Presse Canadienne mardi.

La succursale fermera ses portes à la clientèle dès le 2 mars. Mais les avis de cessation d'emploi évoquent la fin des emplois le 23 mars, le temps de mener à bien les tâches de fermeture de la succursale.
Fabrice Giguère, porte-parole de la SQDC, affirme qu'il s'agit simplement d'une «décision d'affaires», même si globalement «les choses vont bien» à la SQDC.

Après avoir analysé l'ensemble des options possibles, la décision a été prise de fermer définitivement la succursale «dans une perspective de saine gestion», en évaluant de façon continue l'ensemble des locaux des succursales, lorsque les baux arrivent à échéance, a-t-il fait valoir.

Mais le président du syndicat, David Clément, voit là une mesure de représailles à cause de la grève d'un an et demi qui a eu lieu dans plusieurs succursales syndiquées au SCFP.

«On y va par déduction: si ce n'est pas à cause de la rentabilité, si ce n'est pas à cause de l'achalandage, si ce n'est pas à cause de la pénurie de main-d'oeuvre, bien ce qu'il nous reste, c'est un employeur qui est un peu choqué d'avoir été contraint d'accepter nos revendications salariales, alors que ça faisait plus d'un an qu'il s'y opposait avec véhémence», a lancé M. Clément.

Transfert dans d'autres succursales?

Il demande à ce que ses membres licenciés dans cette succursale du quartier Rosemont puissent pourvoir l'un des postes vacants dans les autres succursales de la SQDC.

Une clause de la convention collective prévoit déjà qu'un employé aurait la priorité s'il soumettait sa candidature si un autre poste se libérait dans les prochains six mois, réplique M. Giguère, de la direction.

Mais «la SQDC a informé le syndicat que selon l’interprétation patronale, cette priorité ne serait accordée qu’à compter du 3 mars 2024», soit au lendemain de la fermeture de la succursale à la clientèle, dénonce M. Clément.

Il réclame que cette priorité soit accordée dès maintenant, pour éviter de laisser les 11 travailleurs visés par la fermeture «dans le néant quant à leur avenir».

M. Giguère affirme toutefois que «des discussions sont encore en cours» entre les parties concernant la date d'entrée en vigueur de la priorité de transfert.

Lia Lévesque, La Presse Canadienne

Une fermeture injustifiable, mesquine et violente

Mardi matin, de manière organisée afin que notre syndicat ne puisse pas accompagner les membres touchés, la SQDC a annoncé la fermeture définitive de notre succursale de Rosemont à Montréal, à compter du 2 mars prochain. Après seulement 2 mois de retour au travail, la SQDC a donc annoncé le licenciement collectif des 11 salarié-e-s de cette succursale, prétextant la fin du bail de l’établissement visé.

Considérant la pertinence géographique de cette succursale, son achalandage ainsi que son appréciation par la clientèle, cette fermeture est injustifiable et choquante. Pour le 5454, il est évident qu’il s’agit d’une mesure de représailles envers les salarié-e-s et leur syndicat, suite à une grève de 18 mois. En ce sens, le 5454 évalue actuellement l’ensemble des options afin de préserver les droits des membres et de dénoncer cette décision insensée.

Malgré cette nouvelle fâchante, le 5454 tient à rassurer les membres de la succursale de Rosemont qu’ils et elles auront tout le support nécessaire, notamment pour s’assurer que les salarié-e-s qui le veulent puissent être transféré-e-s vers d’autres succursales, comme le prévoit notre convention collective. D’ailleurs, le président du 5454 sera à la succursale de Rosemont ce matin afin d’accompagner les membres et répondre à leurs questions.

Amour, rage et solidarité pour nos camarades de Rosemont!

CannActualités De mystérieux vomissements liés au cannabis?Environ six consommateurs de cannabis sur mille au Canada pré...
05/02/2024

CannActualités De mystérieux vomissements liés au cannabis?

Environ six consommateurs de cannabis sur mille au Canada présentent un syndrome de vomissements en série. Le risque est plus élevé chez les utilisateurs fréquents, surtout s’il consomme du cannabis avec un fort taux de THC.

On associe la ma*****na à l’appétit. Mais pour certains utilisateurs fréquents, la drogue est liée à des vomissements en série. Le « syndrome d’hyperémèse cannabinoïde » est de plus en plus présent dans les urgences.

« La prévalence du syndrome d’hyperémèse cannabinoïde a augmenté du tiers avec la légalisation du cannabis au Canada en 2018 », explique Christopher Andrews, un gastroentérologue de l’Université de Calgary qui a fait le point sur la question il y a un an dans la r***e Alimentary Pharmacology & Therapeutics. « Au début de la pandémie, il y a eu une forte augmentation, avec une prévalence deux fois plus importante qu’avant la légalisation. »

CannActualités Production illégale de cannabis Un réseau « à grande échelle » démantelé par le SPVM!La police de Montréa...
04/02/2024

CannActualités Production illégale de cannabis Un réseau « à grande échelle » démantelé par le SPVM!

La police de Montréal a annoncé jeudi avoir démantelé un réseau illégal « à grande échelle » de production et de distribution de cannabis. Une dizaine de perquisitions a été effectuée dans six municipalités, incluant la métropole et Laval.

Dans un communiqué de presse, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a indiqué avoir saisi durant l’opération « plus d’une tonne de cannabis en vrac et 4930 plants de cannabis, d’une valeur globale de plus de six millions ».

Au total, onze perquisitions ont été réalisées à Montréal, Laval, Blainville, Saint-Lin–Laurentides, Mirabel et Sainte-Anne-de-la-Pérade, dans des résidences privées, mais aussi des bâtiments industriels et commerciaux.
Jusqu’ici, trois suspects âgés de 30, 36 et 41 ans ont déjà été interpellés par les policiers. Un dossier d’enquête devrait bientôt être remis au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), ce qui pourrait mener à une autre « phase d’arrestations » et d’accusations, selon le SPVM.
C’est la section ACCES et produits de la criminalité, dont la mission est la lutte contre la contrebande, qui a mené l’enquête qui est d’ailleurs toujours en cours.

Selon les premières informations, le réseau en question « aurait fait de l’exportation à grande échelle vers les États-Unis », a expliqué le corps policier.

« Des membres du réseau démantelé auraient utilisé des certificats d’inscription délivrés par Santé Canada à des fins médicales afin de donner une apparence de légitimité à leurs activités de production et de trafic. L’enquête a aussi permis d’identifier un détenteur d’une licence de microculture pour la production de cannabis », ont ajouté les forces de l’ordre.
Plusieurs autres corps de police ont participé à cette investigation, dont la Sûreté du Québec, le Service de police de Laval et la Police provinciale de l’Ontario. L’agence fédérale Santé Canada a également été impliquée de près dans le dossier.

Toute personne détenant une information pertinente en lien avec cette affaire est invitée à contacter le 911 ou encore son poste de quartier. Pour transmettre des renseignements de façon confidentielle, le centre Info-Crime Montréal peut être joint au 514-393-1133. Un formulaire de signalement peut aussi être rempli en ligne, sur le site web de l’organisme.

CannActualités! Wax Pen : Des dérivés du cannabis inquiètent la santé publique!Qu’on le veuille ou non, les produits iss...
03/02/2024

CannActualités! Wax Pen : Des dérivés du cannabis inquiètent la santé publique!

Qu’on le veuille ou non, les produits issus du cannabis sont là pour rester.

Et à cet enjeu, les travailleurs de rue sont clairs

Malgré tout, la situation préoccupe les experts de la santé.

Avec l’arrivée des vapoteuses, un dérivé du cannabis, la wax, est de plus en plus consommée au Québec et fait son chemin dans la région.

La Wax est un concentré de la résine de cannabis à haute concentration en THC, explique Anne-Marie Landry, spécialiste en activité clinique du volet dépendance du CISSS-AT.

En comparaison, un joint de cannabis classique contient de 15 à 20 % de THC.

À l’inverse, la concentration de THC dans un Wax Pen peut se chiffrer entre 75 à 99 %.

Le CISSS-AT nous confirme toutefois que la situation est suivie rigoureusement, aux vues de l’impact sur les jeunes.

Bien qu’illégale à la vente et à la consommation, la facilité pour s’en procurer joue pour beaucoup dans la hausse observée, mentionne Benoît Lallemand, travailleur de rue pour Arrimage Jeunesse à Rouyn-Noranda.

Des produits accessibles sur Internet, où plusieurs sites faciles d’accès proposent un large éventail de produits…

Donc frappés par ces constats, les deux intervenants s’accordent pour dire que la prévention et l’ouverture d’esprit sont les clés pour éviter que des situations dramatiques se produisent.

CannActualités! La légalisation du cannabis récréatif en Allemagne attendue début avril.La légalisation du cannabis récr...
03/02/2024

CannActualités! La légalisation du cannabis récréatif en Allemagne attendue début avril.

La légalisation du cannabis récréatif en Allemagne, qui faisait toujours l’objet de dissensions au sein du gouvernement tripartite d’Olaf Scholz, entrera en vigueur le 1er avril, ont annoncé vendredi des députés de la coalition au pouvoir.

Adopté en août en Conseil des ministres, le texte a continué à être discuté au niveau du Bundestag entre les groupes parlementaires des sociaux-démocrates (SPD) du chancelier, où des résistances sont apparues, des Verts et des libéraux du FDP, alliés au gouvernement.

Les députés se sont ainsi mis d’accord sur une évaluation « rapide » des effets de la légalisation en matière de protection des enfants et des adolescents, ainsi que sur la criminalité organisée, qui prendra aussi en compte l’expertise de la police judiciaire, ont indiqué les vice-présidents des trois groupes parlementaires.

La réforme constitue « une avancée majeure pour une politique moderne en matière de drogue », ont-ils souligné dans une déclaration commune.

CannActualités Comment ouvrir le dialogue sur le vapotage de cannabis avec votre ado!Bien que la consommation de cannabi...
27/01/2024

CannActualités Comment ouvrir le dialogue sur le vapotage de cannabis avec votre ado!

Bien que la consommation de cannabis soit maintenant légale au Québec pour les personnes âgées de 21 ans et plus, elle n’est pas inoffensive et présente des risques à la santé et à la sécurité.

La vente de produits de vapotage (Wax Pen ou V**e Pen) est, pour sa part, interdite au Québec, donc non encadrée par le gouvernement. Bien qu’illégale, la facilité d’accès et d’utilisation des produits de vapotage fait en sorte qu’ils ont gagné en popularité chez les plus jeunes consommateurs.

Certaines caractéristiques peuvent rendre ce mode de consommation attrayant pour les jeunes, mais les risques liés au vapotage sont plus élevés étant donné la forte teneur en THC de ces produits.

LES CONSÉQUENCES POUR LA SANTÉ SONT IMPORTANTES
Plusieurs jeunes croient à tort que le vapotage de cannabis est moins dommageable pour la santé que d’autres modes de consommation.
Pourtant, les conséquences du vapotage de cannabis sont nombreuses: risques de complications cardiaques et pulmonaires, changements dans l’équilibre du cerveau, ce qui nuit à son développement, augmentation des risques de dépression, de psychose, d’hallucinations, de stress et d’anxiété.

LES VAPOTEUSES DE CANNABIS PEUVENT CONTENIR JUSQU’À 90% DE THC
À titre comparatif, le cannabis des années 70 et 80 pouvait avoir un taux d’environ 3% de THC.
Les vapoteuses de cannabis n’étant pas des produits légaux, il est impossible de déterminer la quantité exacte de THC qui s’y retrouve, mais aussi de connaître les autres produits chimiques qui les composent.

Une quantité importante de THC, comme celle contenue dans les vapoteuses, rend le risque d’intoxication et de dépendance plus élevé.
Le vapotage de cannabis peut aussi avoir des effets néfastes sur les poumons, et ce, peu importe le taux de THC.

LES PRODUITS SONT ATTRAYANTS ET FACILEMENT ACCESSIBLES
En quelques clics seulement, les adolescents peuvent se procurer des vapoteuses de cannabis colorées, munies de saveurs attrayantes, spécialement conçues pour leur plaire.

Puisque les achats se font en ligne avec livraison incluse, cela facilite l’accessibilité auprès des jeunes.

De plus, la discrétion des produits, qui dégagent peu d’odeur, combinée à leur facilité d’utilisation, peut encourager les jeunes à augmenter la quantité et la fréquence de consommation à la maison, mais également dans des endroits publics, comme le transport en commun ou l’école.

OUVRIR LE DIALOGUE AVEC VOTRE ADO
Si vous êtes inquiet de la consommation de votre jeune, une discussion honnête et ouverte peut faire une réelle différence.

Voici quelques conseils pratiques pour ouvrir le dialogue sur le vapotage de cannabis et ses risques avec votre jeune ou pour aborder la consommation de toutes autres substances psychoactives.

Choisissez un moment approprié et sans pression pour discuter à votre rythme. Gardez en tête qu’il est possible que l’échange se fasse de façon progressive et à différents moments.
D’entrée de jeu, assurez-vous de mettre en place un dialogue bienveillant, sans jugement, respectueux et qui accueille les opinions de votre ado.

Soyez à l’écoute de ses connaissances et de ses expériences sur le sujet et n’hésitez pas à poser des questions. Au besoin, complétez ou rectifiez l’information partagée en vous concentrant sur les faits.

Soyez reconnaissant de l’ouverture de votre jeune et valorisez son jugement critique. Demeurez disponible pour poursuivre cet échange à un autre moment.

Utilisez votre influence de manière positive! Informez-vous sur les risques du vapotage de cannabis chez les jeunes en consultant le

26/01/2024
CannActualités! Un jeu à gratter pour gagner du cannabis.À Toulouse, en France, les trafiquants de drogue qui ne manquen...
25/01/2024

CannActualités! Un jeu à gratter pour gagner du cannabis.

À Toulouse, en France, les trafiquants de drogue qui ne manquent pas d’inventivité ont lancé un nouveau système de fidélisation de la clientèle avec des tickets à gratter pour gagner du cannabis.

Baptisé «Hash d’or», ce jeu permet aux clients de «gagner jusqu’à dix grammes [de cannabis]» s’ils découvrent trois abeilles sur une même ligne», selon ce qu’a rapporté le média 24 Minutes mercredi.

«J’ai commandé de l’herbe de cannabis par les réseaux sociaux. Quand on m’a livré la commande, le ticket était agrafé sur le sachet», a confié un ingénieur toulousain à la «Dépêche du Midi».

Le «Hash d’or» constitue un moyen aux dealers de converser leur marché fructueux, c’est pourquoi ils redoublent d’imagination pour appâter des clients de plus en plus nombreux, selon le média local.

CannActualités! L’animatrice Nathalie Normandeau explore le sujet du CBD en compagnie d’Andrée-Anne Bock, directrice des...
24/01/2024

CannActualités! L’animatrice Nathalie Normandeau explore le sujet du CBD en compagnie d’Andrée-Anne Bock, directrice des opérations chez QcGoldTech, une entreprise québécoise qui a une licence approuvée par Santé Canada.

En fait, QcGoldTech a deux sites en Outaouais, à Saint-André-Avellin et Notre-Dame-de-la-Paix.

L’entreprise développe la bouture de cocottes de cannabis jusqu’à l’emballage final du produit. Elle crée notamment des produits fumés ou dérivés, comme la crème topique et l’huile de CBD.

Quant au CBD (cannabidiol), cette molécule du cannabis n’a pas d’effet «planant» comme le THC, explique l'invitée de Nathalie Normandeau.
«Les effets du CBD sont aux niveaux musculaires. Il favorise la relaxation, tout comme le sommeil. Il n’a pas d’effet psychoactif sur le cerveau.»
Andrée-Anne Bock

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CannActualités! Un homme condamné à payer plus de 100 000 $ pour avoir fumé du cannabis chez lui.Le cannabis récréatif e...
24/01/2024

CannActualités! Un homme condamné à payer plus de 100 000 $ pour avoir fumé du cannabis chez lui.

Le cannabis récréatif est désormais légal au Canada, ce qui ne veut pas dire qu’on a le droit d’en fumer partout, y compris dans le confort de son propre salon. Un propriétaire de condominium vient d’être condamné à payer plus de 100 000 $ au syndicat des copropriétaires qui l’a traîné devant la Cour pour qu’il cesse cette pratique.

La consommation personnelle de cannabis à des fins récréatives a été légalisée en 2018. Mais en fumer peut encore entraîner des conséquences, même si elles ne sont pas criminelles. En effet, un syndicat de copropriété peut tout à fait interdire une activité qui est autrement légale, explique Me Marjolaine Condrain-Morel, avocate et vulgarisatrice chez Éducaloi.

Bref, la pensée : « Je suis chez moi, je fais ce que je veux » a ses limites dans une tour de condos.

Un an avant la légalisation, un chic immeuble de condominiums de L’Île-des-Soeurs, à Montréal, a adopté trois règlements pour y interdire toute consommation et toute culture de cannabis. L’interdiction vise les espaces communs, mais aussi les « parties privatives », c’est-à-dire l’intérieur des appartements.

En 2019, Mohammed Mehdi Mokaddem devient propriétaire d’un appartement. Il a été avisé de l’existence des règlements avant son achat.

Mais dès qu’il emménage, des voisins commencent à se plaindre des odeurs de cannabis qui émanent de son logement. Un premier avis d’infraction lui est transmis en octobre 2019. Mais rien ne change et les plaintes se succèdent — une voisine en a transmis 80 ! — et un second avis d’infraction lui est remis en janvier.

L’homme reconnaît être un consommateur de cannabis, mais nie avoir fumé dans son appartement. Il affirme que l’odeur provient soit de ses vêtements lorsqu’il fume dehors, soit d’un autre appartement.

Las, le syndicat de copropriété dépose une demande d’injonction. Une juge ordonne alors à M. Mokaddem de cesser de fumer du cannabis dans son appartement et sur son balcon. L’homme persiste et est condamné pour outrage au tribunal. Il continue, selon le syndicat, qui modifie sa demande pour exiger la vente de son condo et réclamer des dommages.

Des règlements limpides


Pour le juge Martin Sheehan de la Cour supérieure, les règlements sur le cannabis du condominium « ne souffrent d’aucune ambiguïté ». C’est interdit, point final.

« Des règlements interdisant aux copropriétaires de fumer dans leur partie privative ont déjà été considérés comme étant valides par les tribunaux. En effet, ceux-ci se justifient par les risques pour la santé que représente la fumée secondaire et les désagréments qui peuvent être causés par les odeurs », écrit-il dans sa décision rendue à la fin de l’automne.

La preuve au dossier démontre « sans équivoque » que M. Mokaddem a contrevenu à plusieurs reprises aux règlements, tranche-t-il. Plusieurs voisins ont témoigné. Une dame a décrit de la fumée et des odeurs fortes qu’elle sentait même chez elle, lui causant maux de tête et troubles de sommeil. Des représentants du syndicat sont allés cogner chez lui à plus d’une reprise après des plaintes : lorsqu’il a ouvert sa porte, l’odeur était encore plus prenante, ne laissant aucun doute sur son origine, ont-ils témoigné. Et lorsque M. Mokaddem va quelques mois au Maroc, les émanations cessent — tout comme les plaintes —, mais tout reprend dès son retour.

Dans ce complexe, les règlements prévoient la possibilité pour le syndicat de copropriété de réclamer les frais d’avocats engagés pour les démarches devant les tribunaux — jusqu’à concurrence de 15 % de la valeur de l’appartement visé. Pour les multiples procédures et demandes à divers juges — dont en appel —, le juge Sheehan condamne l’homme à rembourser 103 000 $ au syndicat.

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