09/01/2024
Je ne sais à quel point le noir célèbre le mal du pair
Son œil sorcier qui fixe l'étoile
Et qui l'assombrit jusqu'à l'abandon de la nuit
Un cœur qui saigne, et qui fait fondre des larmes de sang
Ainsi des hommes bestiaux au château
Qui font la fête aux marmites vides
Jusque parce que leur vautour au sommet de la montagne
Qui ne se nourrit que des pairs
Mais qui entasse ces pairs
Et qui les brûle en normes
Et parce qu'ils en possède
Et parce qu'ils semblent capable
De fait naître le quinquennat de miel
Et des progénitures innocentes sont
transformées en poulet
Quand le soleil brillera
Et que le cœur qui saignait s'explose
L'on mettra des calebasses en dessous
Jusque parce que clameurs là,
N'ont rêvé qu'à l'éternel trône
Et non au trône de cœur
Qui souffle un bon vent au peuple.
Leur mentor sema le sang
Ce qui les rendu des vautours
L'autre arrosa cette plante
Le gosse qui veut en profiter
Cassa la bouteille au cœur du château
Qui ralentit tout
Même les vautours en paient
Lorsque la pirogue se perce, même le prince ne s'en sort.