VIVRE, Lucie Douville Éditrice

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VIVRE, Lucie Douville Éditrice PSYCHO - BIO - SANTÉ - MIEUX-ÊTRE - SPIRITUALITÉ | Le magazine international pour améliorer sa qualité de vie. Comment ? Pourquoi ?
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VIVRE est un magazine qui veut aider les gens à améliorer leur qualité de vie dans la simplicité des gestes qu’ils posent et des pensées qu’ils nourrissent dans leur quotidien. Alors que plusieurs trouvent que la vie n’a plus de sens, VIVRE veut au contraire démontrer que la vie est pleine de sens et qu’il revient à chacun de le découvrir. En proposant à ses lecteurs des pistes de réflexions riche

s de sens qui les invitent à passer à l’action dans la simplicité de leur quotidien. Pour les aider à retrouver le goût de VIVRE


Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du Canada pour les périodiques (FCP) du ministère du Patrimoine canadien pour ce projet.

25/08/2024

Comment se porte votre taux vibratoire? « Mon quoi? » Je sais, je sais… Si des millions de personnes vérifient religieusement leur taux de cholestérol ou de sucre sanguin, parler de taux vibratoire, c’est comme parler de téquila à un ermite. « Quoi? » Et pourtant…

Si j’ai passé la plus grande partie de ma vie sous l’enseigne du M, dirigée par mon Mental dans un monde Matériel, au fil des années j’ai migré sous l’enseigne du I, guidée par mon Intuition dans un monde vibratoire, celui de l’Invisible.

Je sais bien que visible et invisible ne vont pas l’un sans l’autre, mais j’ai compris que l’invisible prévaut sur le visible, que ce sont les vibrations qui influencent la matière, pas l’inverse. La Médecine traditionnelle chinoise l’a bien compris : la tristesse affaiblit le pancréas, la colère affaiblit le foie, la peur affaiblit les reins… On parle pourtant d’émotions, invisibles, qui impactent des organes physiques.

Bien que je ne puisse pas saisir toutes les subtilités de la physique quantique pour expliquer le comment du pourquoi, j’ai compris l’essentiel : investir dans le côté vibratoire de ma Vie! En gardant mon taux vibratoire élevé, je mets toutes les chances de mon côté. Comment je le fais?

Je vais choisir des aliments vivants, non transformés, biologiques si possible. Je vais me créer des petits rituels, juste pour me gâter : une bonne tisane, un bon livre, un bon châle…
Je vais cultiver dans le jardin de ma vie la gratitude, la joie, la confiance; je vais apprendre à voir le beau et à l’apprécier, même dans les plus petits détails…
Je vais écouter des musiques qui m’élèvent, porter des vêtements que j’aime, lire des textes inspirants, marcher dans la forêt en m’imprégnant de son énergie…
Je vais aussi, et surtout, passer du temps de qualité avec les personnes que j’aime, créer des liens sincères, vrais, qui nous nourrissent mutuellement.

Et je vais m’éloigner de tout ce qui ne s’approche pas de tout ça… Ce n’est pas une question de jugement, c’est une simple question de choix. Et c’est ce que je trouve GÉNIAL dans la Vie…

Si, dans le monde matériel, certains aspects sont réservés à une « élite » qui est en moyens d’y accéder, dans le monde invisible nous sommes tous égaux, tout est gratuit et libre de droit.

Si le monde matériel est régi par les contraintes du temps et de l’espace, le monde invisible, lui, est accessible en tout temps, en tout lieu, à la seconde près!

Dans le monde invisible, fait partie de « l’élite » toute personne qui a ses yeux pour voir, ses oreilles pour entendre et son cœur ouvert à la Magie de la Vie, ou si vous préférez, toute personne qui a gardé son cœur d’enfant toujours vivant, cet enfant qui a compris que…

« L’essentiel est invisible pour les yeux… On ne voit bien qu’avec le cœur. » Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince, 1943.

À vous maintenant de faire des choix qui vous élèvent…

Lucie 🤗

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18/08/2024

Pour faire suite à mon précédent post, voici un autre extrait de l’entrevue de Joe Dispenza, un extrait sur un sujet qui m’intéresse de plus en plus : l’inconnu…

Avant j’étais comme tout le monde… Penser à l’inconnu me faisait peur… Sûrement à cause de mon besoin de contrôler les situations à venir pour m’éviter le pire. Jusqu’au jour où j’ai réalisé qu’on ne peut pas tout contrôler et que la Vie sait vraiment mieux que nous ce qui est vraiment bon pour nous…, même le pire.

J’ai compris que ce fameux « pire » peut aussi devenir une opportunité exceptionnelle d’évolution si je sais l’accueillir pour ce qu’il est, un pont entre l’ancien moi et le moi en devenir.

C’est aussi en lisant le livre de Anita Moorjani, Et si c’était ici le paradis… que m’a vision de l’inconnu a pu s’émanciper. Dans son premier livre Mourir pour vivre elle nous racontait qu’alors qu’elle était en phase terminale d’un cancer fulgurant, elle a connu une guérison encore aujourd’hui inexpliquée.

Dans son 2e livre, elle disait qu’elle avait appris à vivre avec l’inconnu à un point tel, qu’elle avait appris à l’apprécier. Comme elle vivait dorénavant avec la certitude absolue que la Vie ne veut que son bien, elle savait que l’inconnu ne pouvait lui réserver que ses bénédictions.

Joe Dispenza nous présente l’inconnu d’une façon similaire : « Si on choisit de créer la vie que l'on veut, si on choisit de se laisser définir par une vision de notre futur plutôt que par un souvenir de notre passé, ce qui est le plus difficile, c'est de ne pas refaire le même choix qu'on a fait la veille. Dès qu'on fait ça, on entre dans l'inconnu. Mais nous avons tous été conditionnés à croire que l'inconnu, c'est un endroit qui fait peur…

Quand on commence à réaliser que l'inconnu est l'endroit parfait à partir duquel créer, que ce vide quantique d'incertitude est l’endroit d’où provient toutes les manifestations, et qu’on commence à être à l'aise avec cet inconnu, c'est là que nous pouvons commencer à manifester ce que nous voulons dans notre vie. »

J’ai compris que l’inconnu, c’est la caverne d’Alibaba de l’univers, c’est l’antre de tous les possibles, et que si j’accepte de le côtoyer avec un esprit d’ouverture et un cœur léger, j’ouvre, devant moi, un espace d’infinies possibilités.

Et dans ce vaste supermarché de possibilités, si je garde mon taux vibratoire élevé, si je suis dans la confiance, la joie, la gratitude…, ce ne sont que de belles et bonnes choses que l’inconnu va me réserver.

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15/08/2024

J’aime vraiment beaucoup Joe Dispenza… J’ai eu mon coup de cœur en 2007, lors de la sortie du film « What the BLEEP do we know? » ou « Que sait-on vraiment de la réalité? » Et depuis maintenant 17 ans, Joe Dispenza nous invite à élargir toujours plus notre vision de la Vie, et surtout notre capacité à vivre notre futur au présent!

J’entends déjà les sceptiques dire : « Ben voyons donc… Le futur c’est le futur et le présent c’est le présent. On peut rien y changer. » Je sais, je sais… On croit que le temps s’écoule sur une ligne droite qui va dans une seule direction et que notre seule option, c’est de la suivre… Quelle vision ennuyeuse de la Vie! La Vie est TELLEMENT plus créative que ça!

On a juste à ouvrir les yeux pour voir tout ce qui nous entoure… Je suis sûre que la Vie veut plus pour nous qu’une petite vie monotone et grise.

C’est sûr que si je garde tous les volets de ma maison fermés et que je n’en sors jamais, je ne croirai jamais en l’existence du soleil. Mais si je les ouvre…

C’est exactement de ça dont parle Joe Dispenza dans l’entrevue qui parait présentement dans le magazine : « Pouvons-nous commencer à accueillir émotionnellement une réalité future, un potentiel quantique, à un degré tel qu’on tombe amoureux de cette réalité future et que notre corps, en tant qu'esprit, commence à croire qu'il vit dans ce futur dans le moment présent? »

« La plupart des gens vivent leur vie ancrée dans des habitudes. Ils pensent les mêmes pensées, exécutent les mêmes actions, vivent en fonction des mêmes émotions, tout en s'attendant secrètement à ce que leur vie change. Mais nos pensées, nos actions et nos sentiments créent notre réalité. Point. Personnellement, je cherche à agir en me laissant définir par une vision de mon futur, plutôt que par les souvenirs de mon passé… »

Et moi aussiiiiiii !!! Depuis quelques mois, le matin, je pratique une des visualisations que propose Joe Dispenza : « 15 minutes - Powerful short meditation ». Et donc, tous les matins, je m’amuse à créer mon futur. Et le meilleur dans tout ça, c’est que je vois réellement ma vie se diriger dans la même direction que ce que je visualise. C’est vraiment impressionnant!

Si on savait à quel point on peut, ici-maintenant, agir concrètement sur notre futur. Et ce n’est pas réservé à une élite… C’est accessible à toute personne qui, d’un côté, choisit de s’ouvrir à ce champ de tous les possibles dans lequel nous baignons toutes et tous, et qui, de l’autre, choisit de créer son futur sur mesure. Quand on s’ouvre aux potentialités de la Vie, la Vie nous comble de ses potentialités. À nous d’en profiter!

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04/08/2024

Maitre de Ma vie - Disciple de La Vie
On a le choix… Rester esclave de toutes les croyances, habitudes et conditionnements qu’on a acquis, mais, en contrepartie, on devra abdiquer sur notre droit d’exprimer pleinement qui on est. Est-ce confortable? Pas toujours. Peut-on être heureux? Le bonheur? Mais ça n’existe pas!

Semblerait que oui! En tout cas, c’est ce qu’affirment toutes les personnes qui ont choisi de passer de l’esclavage à la maitrise de leur vie; un pari en apparence risqué, mais acclamé à l’unanimité! Alors, vous choisissez...

Choisir l’esclavage…
Ça, c’est la solution facile. Aucun effort à faire. J’ai juste à remettre mes vieilles pantoufles et, jour après jour, me lever à la même heure, manger les mêmes aliments, emprunter les mêmes chemins pour aller aux mêmes endroits, regarder les mêmes émissions sur la même chaine, rencontrer les mêmes problèmes, me coucher à la même heure en me posant la même question : « Pourquoi ça va si mal dans ma vie? »

Choisir la maitrise…
Alors là, ça demande un p’tit effort! Plutôt que de vivre en « sécurité » dans la servitude de mes habitudes, je choisis de me laisser porter par la Vie. En contrepartie, je prends le risque de rencontrer l’inconnu à tous les coins de rue...

Je vous entends déjà trembler de l’intérieur : « L’inconnu? Mais ça fait peur!! » Ça, c’est l’histoire qu’on nous a racontée pour mieux nous contrôler. Voici une autre histoire, celle racontée par Richard Bach dans son livre Illusions, Le messie récalcitrant.

Il était une fois…
C’est l’histoire d’une communauté qui vivait sous l’eau, au fond d’un immense fleuve de cristal, où chaque habitant se cramponnait à sa roche en résistant au Courant. L’un d’eux ne voyant plus l’utilité de se cramponner, se mit à questionner sa communauté : « On résiste tous au Courant, mais est-ce que quelqu’un sait où il va? » Personne ne savait…

« Alors pourquoi s’accrocher à une roche? Qu’est-ce qui se passerait si on la lâchait? » Alors, terrifiés, ils se mirent tous à crier : « Ne fais jamais ça! On nous a toujours dit que c’était très dangereux. C’est la mort qui t’attendrait. »

Mourir d’ennui? Non merci!
Déçu des réponses obtenues, et préférant risquer de mettre fin à sa vie plutôt que de mourir d’ennui, il a lâché prise et le Courant l’a aussitôt emporté. Après s’être heurté sur quelques rochers, et voyant que par peur il ne s’était pas raccroché, le Courant l’a soulevé à la surface des eaux où, enfin, il a pu voir où Il le conduisait!

Il s’est aussitôt retourné pour dire à ses amis : « Lâchez votre roche ! Vous n’allez pas mourir… Au contraire, vous allez commencer à vivre! » Mais tout le monde criait : « Ô! Un messie! Sauve-nous messie! Sauve-nous! » Il a eu beau leur dire qu’il était comme eux et que tout ce qu’ils avaient à faire, c’était de lâcher prise, mais ils criaient tellement fort qu’ils n’ont rien entendu. Le Courant l’a alors porté vers la vie qui l’attendait. Fin.

La Vie sait…
La Vie, dans laquelle baigne notre vie, est un vaste courant d’énergie bienveillant dont l’Intelligence dépasse largement notre entendement. Bien qu’on ne puisse pas saisir la « mécanique quantique » qui sous-tend son fonctionnement, Elle sait mieux que nous ce qui est vraiment bon pour nous, et c’est ce vers quoi Elle veut nous diriger si on se laisse porter.

Alors quand notre vie se met à trembler, inutile de s’accrocher, lutter ou tenter de contrôler… La Vie va tout faire pour nous extraire de nos comportements mortifères. Pour Elle, il n’est pas question que nous ne vivions qu’à moitié. C’est l’entièreté de notre vie qu’elle veut nous voir embrasser.

Se laisser porter
Est maitre de sa vie la personne qui reconnait son Maitre dans la Vie, cet océan d’Amour infini où, la seule chose à laquelle on doive s’accrocher, c’est la certitude absolue que nous sommes divinement guidés et que, chaque défi rencontré est l’opportunité de nous rapprocher toujours plus de qui on est.

Allez! Lâchez votre roche! Vous n’allez pas mourir. Au contraire, vous allez commencer à vivre!

Lucie Douville, Éditrice

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01/08/2024

Voici donc enfin en Kiosque notre toute nouvelle parution!

Nous avons eu l’IMMENSE plaisir de rencontrer France Gauthier qui nous a gentiment et généreusement accordé une entrevue sur le thème : Je deviens Maitre de ma Vie! 🤗

Devenir maitre de notre vie… C’est exactement le chemin que nous avons à parcourir du début de notre vie jusqu’à la fin de celle-ci.

Vous imaginez…, nous qui arrivons ici en étant rien de moins qu’en étant totalement dépendant! On est aux antipodes de la maitrise.

Durant notre vie nous allons être en contact avec des millions d’informations, croiser des dizaines de milliers de personnes, vivre des milliers d’expériences…

Notre défi sera donc – au travers de cette multitude de données – de n’extraire que ce qui pourra NOUS permettre d’accéder à notre maitrise avant d’atteindre notre fil d’arrivée.

Oui, on va s’égarer plus d’une fois. Oui, on va prendre pour vérité ce qui ne l’est pas. Oui on va remettre notre confiance entre de mauvaises mains. Oui, on va croire être arrivé pour ensuite réaliser qu’on s’est totalement égaré.

Puis, un jour, on va réaliser que « quelque chose », en nous, ne s’est jamais trompé… Que le seul et unique guide auquel on puisse réellement se fier, c’est notre ressenti.

C’est là que notre véritable aventure va commencer !!

Et c’est grâce à notre ressenti que nous pourrons enfin accéder à la maitrise de notre vie pour réaliser, aux finales, que notre maitre était déjà là, en nous, et qu’il n’attendait que nous pour nous accompagner, en conscience, sur le chemin de notre vie et pour le reste de notre vie.

Ce sujet vous interpelle?...

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Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, une situation que j’appréhende est toujours plus difficile à vivre entre mes de...
09/06/2024

Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, une situation que j’appréhende est toujours plus difficile à vivre entre mes deux oreilles que dans la réalité…

Je peux me casser la tête durant des jours et des jours, y penser jusqu’à m’épuiser, je peux faire et défaire des scénarios avec l’illusoire intention de trouver LE bon, celui qui va se dérouler exactement comme je l’ai imaginé, celui qui va me permettre de vivre la dite-situation en ayant absolument tout prévu… Mais la Vie est imprévisible et pourtant je le sais!

Que d’énergie investie en pures fabulations! «S’il me dit que… je réponds ça…», «Si elle refuse… je dis…» C’est à l’infini!

On dirait parfois qu’on se pratique à vivre des situations à l’avance comme si, à force de se pratiquer, on pourrait devenir meilleur quand cette situation allait se présenter. Mais non !!! Tout peut toujours changer…

Résultat? On s’épuise avant le temps! On joue au devin comme si on pouvait planifier jusque dans les moindres détails tout ce qui allait se passer : il ou elle va dire, je vais répondre… et je vais faire… C'est pure illusion!

Il nous manque tellement d’éléments (le déroulement du Grand Plan, l’alignement des Astres, la réaction de l’autre, un clin d’œil de la Vie, et j’en passe…) que même avec la MEILLEURE volonté du monde, il est absolument impossible de prévoir une situation avant qu’elle ne soit là, juste sous notre nez.

Tout ce qu'on peut faire, c’est…
- d’attendre d’être rendu sur le terrain pour jouer notre coup;
- de rester bien centré dans notre corps, et non dans notre tête;
- de nourrir la certitude absolue que tout est toujours parfait;
- et que, si jamais la finale n’était pas celle espérée, c’est que quelque chose de plus Grand nous attend de l’autre côté de cette expérience. Et ça, on le comprendra plus t**d...

Ne perdons plus notre énergie en vaines spéculations… Notre Vie est vraiment trop précieuse pour la gaspiller en affabulations.

Attendons que la partie commence avec la certitude absolue qu’en demeurant bien centré, à la seconde près, nous saurons jouer le coup parfait pour le plus grand bien de tous!

En attendant… La seule chose sur laquelle nous ayons vraiment du pouvoir, ici et maintenant, c'est de choisir de profiter pleinement de notre Vie! Alors... 🥂

Bon dimanche!

Lucie 🌺

Si vous lisez le Magazine VIVRE, c’est donc dire que vous avez eu la chance et le plaisir de lire les articles de la chr...
22/05/2024

Si vous lisez le Magazine VIVRE, c’est donc dire que vous avez eu la chance et le plaisir de lire les articles de la chronique MON DOC ET MOI rédigés par Dre Catherine Bouchard 🤗

Dans chaque parution elle vient nous parler de la santé dans le vrai sens du terme et surtout nous donner des trucs pour nous permettre d’agir en conscience au niveau de ce que nous avons de plus précieux au monde… Notre santé.

Alors si vous aimez la lire, vous aurez la chance de la voir et de l’entendre!

Voici enfin la 2e édition du Sommet virtuel de la Santé Métabolique.

C’est entièrement en ligne… C’est du 10 au 13 juin 2024

Accès GRATUIT à toutes les conférences en direct !

La présentation de Catherine Bouchard sera : Mercredi 12 Juin à 8 :00

LA GÉNÉTIQUE - FATALITÉ OU OPPORTUNITÉ?
Parfait pour accompagner votre café du matin! 🤗

Le Sommet de la Santé Métabolique a pour mission de permettre aux médecins, spécialistes, professionnels et experts de la santé de venir présenter leur expertise, leurs succès et les dernières données probantes sur tout ce qui touche la santé métabolique !!!

Vous aurez donc la chance d’entendre plus de 30 professionnels de la santé qui vont partager leur savoir sur des thèmes qui nous concernent tous! Il sera aussi possible de vous procurer un accès si vous vouliez voir et revoir tout ce beau monde...

Vous voulez devenir un acteur actif au niveau de votre santé ?
La Connaissance c’est la Clé !!

Voici le lien pour vous inscrire GRATUITEMENT :

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Bon Sommet,

Lucie 🌺

12/05/2024

J’ai trouvé ça hyper intéressant de travailler sur le thème de la culpabilité…

Veux veux pas, quand on passe 2 mois penché sur un même sujet, on voit non seulement défiler sa vie en rapport avec lui, mais on réalise aussi la place que le-dit sujet prend dans notre vie.

Pour ce qui est de la culpabilité, un seul mot pour décrire cette place… TROP! 😳

Ça m’a permis de réaliser à quel point, trop souvent à mon goût, j’agissais comme si je n’existais pas… Comme si je n’étais pas là… Comme si, quand j’étais en relation, je ne faisais pas parti de l’équation… C’est fou!

Dès que j’entendais «Lucie voudrais-tu…», «Lucie pourrais-tu…», «Lucie, aurais-tu…», sans même consulter la principale intéressée, c’est-à-dire moi, c’était «Oui!»…

Je ne voulais surtout pas qu’un «Non!» vienne me plonger dans les affres de la culpabilité et qu’entre mes deux oreilles se mettent à tourner en boucle des pensées toutes aussi culpabilisantes les unes que les autres du genre «J’aurais dû…», «J’aurais pu…».

Inconsciemment, j’accordais plus d’importance à ma relation avec l’autre qu’à celle avec moi-même. Et pour ne pas me sentir mal par en dedans, je me soustrayais de l’équation. «Lucie? Quelle Lucie?...»

Mon fiston de Londres était à la maison quand je lui ai fait part de mes réflexions. Ça n’a pas pris une minute pour qu’il me dise : «Mom, tu as juste une question à te poser : quand tu dis oui à quelque chose, tu dis non à quoi?»

Je n’y avais jamais pensé! Le simple fait de me poser cette toute petite question me redonne automatiquement ma place dans l’équation! Il n’y a plus seulement l’autre qui est important, je le suis moi aussi!

Et donc, depuis, plutôt que de rester piégée dans mes automatismes, quand on me demande quelque-chose je me donne le droit de me poser, de réfléchir, et de peser le pour et le contre avant de prendre ma décision.

«Si je dis oui à l’autre, à quoi suis-je prête à renoncer?»

Apprendre à dire non, pour moi c’est un art. Et comme pour n’importe quel art, ça demande de la pratique. Je sais qu’un jour je deviendrai une véritable virtuose. Mais pour l’instant, j’apprends un «Non!» à la fois.

Si aujourd'hui je suis au «N’oui…», un jour je serai au «Non!» bien senti.

Alors... La prochaine fois que vous direz «Oui!» à quelque chose, prenez une minute pour voir à quoi vous avez dit «Non!»... De fois en fois vos «Oui!» deviendront des vrais oui et vos «Non!» aussi.

Et surtout, si au début vous échouez, envoyez tout de suite valser la culpabilité et faites de la Bienveillance votre plus fidèle alliée... 😉

Bon dimanche et Bonne Fête des Mères à toutes les mamans! 🥂

Lucie 🌺

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10/05/2024

Désolée... Cette publication sera reprise demain matin, 8:00. J'ai eu un petit bug avec FB. Elle sera aussi accompagnée d'une belle photo qui vaut le coup d'oeil... Merci de votre compréhension. 😉

Je pense que je pense trop. Ça parle toujours dans ma tête. Ça n’arrête jamais. C’est parfois sympathique, souvent pas… ...
05/05/2024

Je pense que je pense trop. Ça parle toujours dans ma tête. Ça n’arrête jamais. C’est parfois sympathique, souvent pas…

C’est comme si, parmi toutes ces voix, il y en avait une qui se pensait plus fine que les autres : «La Commère». Et Dieu sait qu’elle prend souvent le micro.

Ses « charmantes » observations commencent toujours de la même façon : « T’aurais dû… » ou « T’aurais pas dû… », suivies des fameux trois petits points qui laissent clairement entendre que peu importe ce que j’ai fait ou que je n’ai pas fait, j’ai mal fait. Coupable! Voilà ce que je suis. C’est ainsi que, toute en subtilité, la culpabilité vient me saluer.

Si on prend juste cinq minutes pour s’observer, on réalise vite à quel point la culpabilité occupe nos journées, aussi bien celle que les autres utilisent pour nous manipuler, que celle que nous utilisons pour les régenter.

Et là, c’est sans parler de «La Commère» dont le sport préféré est l’autoculpabilité : « T’aurais dû prendre le temps de méditer… T’aurais pas dû manger autant… T’aurais dû aller marcher… T’aurais pas dû lire si longtemps… » Cultiver l’estime de soi dans ces conditions-là, on n’y pense même pas!

Mais quelqu’un pourrait-il bien me dire pourquoi la culpabilité accapare une si grande partie dans nos vies? Quoi?... À cause d’une pomme! Quelle pomme? Ah! LA pomme… Les racines de l’humanité auraient-elles germé dans le terreau fertile de la culpabilité?

Admettons, qu’au départ, la raison d’être de la culpabilité était de nous signifier que nous avons mal agit et que, selon le « mal » occasionné, nous devions réparation, à tort égal, réparation égale. Ça, ça aurait été parfait!

Mais entre vous et moi, vous ne trouvez pas que la réaction de Dieu a été « légèrement » disproportionnée? Ève désobéit, enfin c’est ce qu’on nous a dit…, et Dieu prononce un verdict de culpabilité sans option de rédemption : «J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras dans la douleur, tes désirs se porteront vers ton mari, et il dominera sur toi. »

Non, mais… Il y a de quoi marquer la psyché de l’humanité pour l’éternité, celle des femmes en premier.

Quatre mille ans sont maintenant passés. Comment faire pour ramener la culpabilité à son rôle premier? Tiens, ça me donne une idée! Je vais ajouter trois nouveaux commandements aux dix premiers...

De ta vie seulement tu répondras : On a parfois la fâcheuse manie de se sentir responsable des problèmes des autres et donc, de vouloir les régler. En agissant ainsi, on les prive non seulement de leurs expériences, mais on délaisse aussi notre vie. Je dois répondre de Ma vie. Sans plus. Cette mission accomplie, je pourrai toujours donner un coup de main au voisin…

Bienveillance envers toi tu auras : Je ne sais pas pourquoi, mais trop souvent, dans notre liste de priorités, on apparait en dernier. On prend soin de tout le monde, et même du voisin, et à la fin de la journée, pour nous, il ne reste plus rien. C’est pourtant le contraire qu’on devrait faire. Charité bien ordonnée commence par… Soi-même! À ne pas oublier.

Des pommes tu mangeras : Tant qu’à faire le ménage, j’ai pensé qu’on pourrait aussi libérer LA pomme du rôle qu’elle a joué dans l’histoire qu’on nous a racontée... Quatre mille ans, c’est bien suffisant.

Comment se libérer de la culpabilité? Un ressenti à la fois! Ça passe par là… Si notre mental ne peut pas toujours détecter l’emprise subtile de la culpabilité, notre ressenti, lui, oui! Et une fois démasquée, elle ne peut plus nous contrôler.

Alors dès que je me sens mal, sans trop savoir pourquoi, je m’arrête, je me centre, je respire un bon coup et je remonte le fil de mon ressenti jusqu’à découvrir ce qui l’a produit. Il y a de fortes chances que ce soit le fil du micro de La Commère...

Débranchez-le! 😉

Ça y est… Nous venons de mettre la touche finale à notre prochaine parution qui sera en kiosque le 2 MAI prochain. Le th...
14/04/2024

Ça y est… Nous venons de mettre la touche finale à notre prochaine parution qui sera en kiosque le 2 MAI prochain. Le thème??

« Au diable la culpabillité! » Rien de moins… 🤗

En travaillant sur cette parution, je pensais au concept des « contrats d’élévation mutuelle » dont avait parlé Gregory Mutombo dans un de ses livres.

Quand j’ai entendu cette expression pour la première fois, une lumière s’est allumée en moi, lumière qui est venue illuminer ma salle des tortures intérieure, vous savez, cet espace en nous où on a enfoui tous les souvenirs traumatisants de notre vie : abandons, trahisons, manipulations, infidélités à répétition, rejets…

Ouch… Juste d’y penser ça fait mal.

On voit tout ce qu’on a vécu, tout ce qui nous a laissé croire qu’on n’y survivrait pas et, simultanément, on ressent un océan de culpabilité : j’aurais dû le voir venir, je l’avais pourtant senti, je n’aurais pas dû agir ainsi…

Tous ces souvenirs dont la lourdeur nous accable, Gregory les appelle des «contrats d’élévation mutuelle»…

Sur le coup, j’ai eu de la misère à associer le mot «élévation» à quelque chose qui avait été aussi lourd dans ma vie, mais j’ai compris.

Le temps n’existant pas, au niveau de notre Évolution avec un grand É, nous avons établi des contrats avec d’autres êtres humains - au-delà du temps et de l’espace - pour nous aider à nous «élever mutuellement» au-dessus du marasme des illusions, des conditionnements et des croyances limitatives qui briment nos vies.

C’est donc dire que moi et le père de mon plus jeune fils nous nous sommes rencontrés dans un p'tit café intersidéral et nous avons établi un contrat nous liant, lui et moi, pour nous faire «Évoluer mutuellement».

Lui jouerait le rôle «ingrat » de l’infidèle à répétition et moi celui de la naïve «victime» retombant sans cesse dans ses filets. Pourquoi?

Pour nous permettre, à lui comme à moi, de voir qu’au-delà des notions de bien et de mal, de victime et de persécuteur, notre Évolution en tant qu’âme est plus importante que Tout.

Quand on regarde nos vies sous cet angle-là, la notion de culpabilité tire sa révérence... On reprend les clés de notre pouvoir personnel et on reprend notre vie en mains!

On n’a plus de temps à perdre en lamentations ou en accusations. On comprend que NOUS avons parfaitement orchestré tout ce que nous avons vécu, et ça pour le plus grand bien de notre Évolution…

Et là, on peut enfin dire... Au Diable la Culpabilité! 🤗

Lucie 🌺

27/03/2024

Il y a tellement du beau monde qui font de belles choses sur notre Planète... C'est sur ça que nous devons porter notre attention! 🥰

10/03/2024

J’adore l’approche orientale de la santé… Pourquoi? Parce qu’elle ne s’arrête pas seulement à la partie physique de la maladie, c’est-à-dire à la partie du corps ou à l’organe qui est touché… Non!

Elle voit plus loin, elle regarde de plus haut, elle s’intéresse au «paysage» dans sa globalité. Elle ne reste pas le nez collé sur l’arbre. Elle regarde la forêt en entier.

Plutôt que de tourner les coins ronds en disant par exemple – sucre dans le sang, donc diabète, donc médication – dans une approche orientale on va s’intéresser au pancréas, se questionner pour savoir qu’est-ce qui l’épuise, quand tout cela a-t-il commencé, qu’est-ce que la personne vivait à cette époque?…

On va aussi s’intéresser à toutes les causes possibles pouvant engendrer la présence du sucre dans le sang : alimentation, exercice, sommeil…

Bruce Lipton explique que notre médecine, basée seulement sur le visible, le physique, s’est limitée aux supports physiques – soit les médicaments – pour soigner le corps. On se doute bien à qui a « profité » cette onéreuse idée...

Mais la physique quantique nous montre aujourd’hui que chaque cellule qui compose notre corps est loin d’être principalement faite de matière. Elle est, en réalité, faite en majeure partie d’énergie!

Et donc «l’énergie» pourrait soigner, ou encore rétablir l’équilibre dans nos cellules si un déséquilibre – lire ici maladie – venait à s’installer.

Mais de quelle énergie parle-t-on au juste? Bruce Lipton répond à cette question : La conscience! Elle est partout, en nous et autour de nous! On baigne littéralement dans la conscience. Mais en sommes-nous conscient?

Quand j’ai entendu Bruce Lipton parler de la conscience, j’ai tout de suite pensé à ce que Michel Odoul a dit lors de l’entrevue qu’il nous a accordée :

« En MTC, on dit que la maladie apparait lorsque la conscience qui habite l'organe le quitte. La douleur liée à la maladie nous oblige à reprendre conscience de l'organe ou de la partie douloureuse, elle nous amène à y réintroduire notre conscience à l'intérieur. »

Alors… Quand on rencontre un problème de santé, plutôt que de tirer des conclusions hâtives qui n’ont pour seule issue que la médication, et si on remplaçait le c par un t…

La médication deviendrait ainsi la Méditation ! 🤗

Ça tombe bien, car la méditation est la Voie Royale pour entrer en communication avec la conscience.

Je l’ai toujours dit et je le dirai toujours : nous sommes vraiment beaucoup plus puissants qu’on le pense… Suffit juste d’en devenir conscient! 😉

Bonne Dimanche,

Lucie 🌺

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