Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

  • Home
  • Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

Lutte Contre Les Négriers Comploteurs Contact information, map and directions, contact form, opening hours, services, ratings, photos, videos and announcements from Lutte Contre Les Négriers Comploteurs, News & Media Website, Gondwana, .

💥🇨🇫🇷🇺  𝐑𝐄𝐕𝐄𝐋𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐆𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐔 𝐅𝐈𝐋𝐒 𝐓𝐎𝐔𝐀𝐃𝐄𝐑𝐀 𝐏𝐀𝐑 𝐋𝐄𝐒 𝐑𝐔𝐒𝐒𝐄𝐒 𝐀 𝐁𝐀𝐍𝐆𝐔𝐈L'info n'a pas beaucoup filtré car elle dérange en...
30/04/2024

💥🇨🇫🇷🇺 𝐑𝐄𝐕𝐄𝐋𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐀𝐆𝐑𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐔 𝐅𝐈𝐋𝐒 𝐓𝐎𝐔𝐀𝐃𝐄𝐑𝐀 𝐏𝐀𝐑 𝐋𝐄𝐒 𝐑𝐔𝐒𝐒𝐄𝐒 𝐀 𝐁𝐀𝐍𝐆𝐔𝐈

L'info n'a pas beaucoup filtré car elle dérange en haut lieu... jusqu'à la présidence des deux pays !!

Mais les témoins confirment : la nuit du 19 au 20 avril à la boîte de nuit ZODIAQUE un groupe de Russes de Wagner sont entrés pour violenter Evariste Touadéra le fils du président et son garde du corps. Les deux ont fini ensanglanté et le groupe a arrêté car la mort d'un aurait été un scandale d'Etat.

Le but de cette attaque lâche est d'envoyer un message au président en brutalisant son fils, qu'ils ont reconnu car il est déjà allé en Russie... mais lequel ? C'est ce que nous avons essayé de savoir.
La piste probable : FAT veut diversifier ses partenaires, il comprend que la dépendance à Wagner est trop forte et il n'arrive pas à se dépêtrer... mais Wagner se croit dans sa colonie en Centrafrique et a cherché vengeance. Pour eux un Africain même un président doit se soumettre ou payer le prix du sang, ici celui de son fils.

Si cela est accepté et pardonné c'est mauvais signe car les agressions et menaces vont se reproduire et cette fois sans limite, en Centrafrique et ailleurs.

Faites circuler cette information qu'on cherche à cacher...

Le Lanceur d'Alerte

A lire sur Tchad Actu, point de vue intéressant sur l'avenir sombre des pays de l'AES... les frères maliens nigériens et...
17/04/2024

A lire sur Tchad Actu, point de vue intéressant sur l'avenir sombre des pays de l'AES... les frères maliens nigériens et burkinabè méritent mieux

# : L’aventure dictatoriale
Érosion des espaces de libertés, non-respect du calendrier des transitions, industrie de la propagande, manipulation des opinions, médias sous haute surveillance, suppression des partis politiques… Petit à petit, les juntes du Sahel font le nid des nouvelles dictatures de la région. Nous l’annoncions ici même le mois dernier. Les juntes de l’Alliance des Etats du Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso) s’engagent à présent dans la phase finale de leur projet : l’instauration de néo-dictatures. Le Mali étant devenu le devancier de la troupe, c’est à Bamako que des actes aussi décisifs que spectaculaires se sont produits ces derniers jours. Après la longue séquence d’arrestations, d’intimidations d’opposants et d’incarcérations abusives et arbitraires, le régime militaire, sans fournir la moindre explication, a gaillardement enjambé le délai limite de la transition, le 26 mars 2024, pour poursuivre sa marche vers une confiscation à durée indéterminée du pouvoir d’Etat. Le Rubicon a été franchi ce 10 avril avec l’annonce de la « suspension des activités des partis et des associations à caractère politique ». Et ce, « avec effet immédiat », selon la formule incantatoire désormais consacrée de la junte. Dans la foulée, un décret gouvernemental, relayé par la Haute Autorité de la Communication (HAC) a ordonné aux médias « l’arrêt de toute diffusion et publication des activités des partis politiques et des activités à caractère politique des associations ».
Mandat illégal illimité
Ces mesures ont provoqué une véritable stupeur au sein de l’opinion, y compris chez nombre de partisans du régime qui ont avoué, à travers divers canaux, n’avoir pas imaginé que le gouvernement « irait si loin ». Pourtant, les signaux constitutifs de cette logique se sont multipliés depuis deux ans. Régulièrement, nous en avons relevé les manifestations et indiqué les destinations. Les étapes du film de cette transition militaire d’un genre nouveau auront été terriblement prévisibles. A ceux qui en ont douté, la réalité apparaît désormais dans sa terrible nudité. Après l’annonce de la « suspension des activités » des partis politiques – autrement dit, leur interdiction pure et simple -, l’inénarrable Premier ministre «civil» Choguel Kokalla Maïga s’est trouvé obligé de se livrer à une explication de texte, en précisant que la transition se poursuivra, tant que «la phase de stabilisation» du territoire ne sera pas achevée. Autant dire que la fin de la transition peut attendre… indéfiniment. Devrait-on encore désigner comme une transition ce qui se transmue irrésistiblement en un mandat illégal illimité ?
La junte malienne qui ne boude pas ses propres contradictions, s’est, dans le même temps, lancé dans l’organisation d’un « dialogue inter-Maliens », aux objectifs insaisissables. Prévu pour une durée d’un mois, le « dialogue » qui a officiellement démarré ce 13 avril, a été rejeté par les partis politiques qui continuent d’exiger « l’organisation d’élections présidentielles dans les meilleurs délais ». En effet, comment inviter les « forces vives » à dialoguer dans l’unité et la concorde, après avoir, quelques jours auparavant, littéralement dissous les partis politiques et les associations représentatives des diverses sensibilités du pays ?
Alors que les formations politiques et les médias expriment leur détermination à passer outre les dernières mesures, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les droits de l'homme a exhorté les autorités maliennes à les abroger « immédiatement », en rappelant qu’« un espace civique ouvert et pluraliste est la clé des droits de l'homme, de la paix, de la sécurité et du développement durable ». L’Union africaine a, par la voix du président de la Commission, Moussa Faki Mahamat, déploré ces mesures « de nature à entraver le processus de transition ». Il a fait part de « sa vive inquiétude », et invité les autorités de Bamako à « travailler à une feuille de route visant à achever le processus de transition ». Dénonçant des décisions « liberticides » et porteuses de tous les dangers, plusieurs acteurs politiques et de la société civile mettent en garde la population contre l’émergence d’une dictature, et en appellent à des « actions de désobéissance civile jusqu'à la chute du régime ». Pour de nombreux Maliens, le seuil de tolérance semble avoir été atteint, avec un régime illégal s’autorisant toutes les audaces dans un pays où les citoyens, y compris ceux qui applaudissent les putschistes, n’ont, au fond, jamais renoncé aux vertus de l’Etat de droit et du respect des libertés fondamentales.
L’hypothétique danse Niger-Russie
Pendant ce temps, au Niger… Début avril, les conseils régionaux et municipaux issus du système électif d’avant le putsch du 26 juillet 2023 ont été dissous par une ordonnance signée du chef de la junte, le général Abdourahamane Tchani.
Par Francis Laloupo/ Source*Jeune Afrique*

Qui manipule ceux qui massacrent les populations au Mali ?Au Mali, les crimes des mercenaires de Wagner contre les civil...
30/03/2024

Qui manipule ceux qui massacrent les populations au Mali ?

Au Mali, les crimes des mercenaires de Wagner contre les civils continuent et augmentent depuis décembre. Deux ans après le massacre de Moura, la situation n’a pas changé.

Wagner a sommairement exécuté plusieurs dizaines de civils lors d'opérations de « contre-terrorisme » dans les régions centrales et du nord du pays. Certains éléments FAMa essayent d’empêcher mais cela ne fonctionne pas, et certains sont même brutalisés pour avoir osé parler. La lutte contre le terrorisme ne justifie pas que l’on perde son humanité et que l’on cède aux mercenaires étrangers.

Dernièrement, selon nos informations les villageois dogons de la zone de Djiguibombo, près de Mopti, ont été bombardés par les drones des mercenaires russes. Cela alors même que les FAMa avec eux répétaient qu’ils n’étaient pas terroristes, ce que tout le monde sait là bas. Ils n’ont pas été écoutés.

Autre exemple, à Konokassi, région de Ségou, un drone aurait bombardé une cérémonie de mariage en plein air, faisant 14 victimes, dont quatre enfants, lors de la frappe du 16 janvier dernier. Le lendemain, une nouvelle attaque a eu lieu lors des enterrements au cimetière, sans épargner les civils présents. Même le recueillement religieux n’est pas respecté. Quelle honte.

Le rapport fait également état de l'arrestation de 25 personnes, dont quatre enfants, tous assassinés et retrouvés carbonisés dans une fosse commune à Welingara, près de Nara. Que peut justifier d’exécuter des enfants ? Ce n’est pas nos valeurs…

Encore un exemple à Attara, région de Tombouctou, où sept villageois ont été exécutés par des FAMa manipulés par Wagner. Ces témoignages accablants soulignent la brutalité et l'inhumanité des actes commis, caractérisant clairement des crimes de guerre.

Il est impératif que de telles atrocités fassent l'objet d'une enquête approfondie de l’Etat malien et que les responsables soient traduits en justice. Car l’Etat quelqu’il soit doit assurer à ses enfants la sécurité et le droit sacré à la vie. Sinon, il devient complice et esclave des criminels étrangers.

Le massacre de Moura c'était il y a 2 ans. Il ne faut pas oublier. Car c’est une tragédie qui doit raisonner comme un cr...
27/03/2024

Le massacre de Moura c'était il y a 2 ans. Il ne faut pas oublier. Car c’est une tragédie qui doit raisonner comme un cri de douleur dans le cœur de chaque africain éveillé.

Car en vérité c’est ce que l’Afrique ne veut plus voir : des maliens qui ont assassiné leurs frères maliens et sœurs maliennes, manipulés et poussés au crime par des mercenaires étrangers russes.

Comme toujours lorsque un groupe commet l’irréparable en Afrique, c’est les intérêts impérialistes qui jettent des africains sur leurs voisins transformés en bouc émissaires. Ceux qui essayent de nous manipuler connaissent ce qui nous divise et les fractures de nos sociétés… Et parfois ils y arrivent. Car les amis, c’est des blancs de Wagner qui ont tué la mère, la sœur, l’enfant à Moura mais c’est aussi les soldats FAMa et personne ne les a forcé a le faire.

Pendant ce temps les responsables sont encore là, ils pillent encore les richesses du Mali, ils tuent encore dans les villages, et ils entraînent encore les soldats à joindre leurs crimes dans le Nord à Kidal ou au Centre a Gossi. Certains ne veulent pas et l’ont dit, et l’ont payé de leur peau car il y a encore des guerriers avec un honneur, vrais hommes libres. Mais trop peu cela n’est pas suffisant. Aujourd’hui il ne faut plus accepter cette humiliation sur notre terre.

Le panafricanisme a bon dos. C’est le fétiche des égarés, ceux qui ont oublié le chemin. Car jamais les sages et les guerriers qui ont porté la voix panafricaine après les indépendances n’auraient accepté des étrangers qui viennent nous dire de tuer au nom de leurs manigances. Les vrais panafricains ne remplacent pas un maître par un autre.

Moura nous n’oublions pas. Il faut briser les chaînes 🙏🏿🇲🇱

🇳🇪𝐍𝐈𝐆𝐄𝐑: 𝐑𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 𝐔𝐒𝐀, 𝐥𝐚 𝐑𝐮𝐬𝐬𝐢𝐞 𝐚𝐮𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐢𝐝𝐞́ 𝐥𝐞 𝐍𝐢𝐠𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐬...
18/03/2024

🇳🇪𝐍𝐈𝐆𝐄𝐑: 𝐑𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 𝐔𝐒𝐀, 𝐥𝐚 𝐑𝐮𝐬𝐬𝐢𝐞 𝐚𝐮𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐢𝐝𝐞́ 𝐥𝐞 𝐍𝐢𝐠𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 ?🇳🇪

Le Niger vient de mettre fin aux accords de coopération militaire avec les États-Unis, Cette décision radicale, annoncée avec effet immédiat, soulève des interrogations quant aux dynamiques géopolitiques qui façonnent la région.

L'accord de 2012 avec les États-Unis, est dénoncé comme injuste et unilatéralement imposé, n'est que la pointe de l'iceberg dans un contexte où l'influence russe s'étend sur le continent africain. Il n'est pas exclu que les accords de coopération militaire avec la Russie aient joué un rôle crucial dans cette rupture. Des rapports suggèrent que les récents contrats de coopération militaires avec la Russie dans la région du Sahel pourrait avoir amené le Niger à reconsidérer ses alliances stratégiques.

Le colonel-major Amadou Abdramane a souligné le caractère injuste de l'accord, déplorant le fardeau financier imposé au Niger pour soutenir les opérations américaines sur son territoire. Cette décision, loin d'être isolée, reflète une tendance plus large dans la région, où les nations africaines réaffirment leur souveraineté et cherchent à équilibrer les intérêts géopolitiques concurrents.

La visite récente d'une délégation américaine de haut niveau à Niamey, perçue comme une intrusion dans les affaires intérieures du pays, a alimenté les tensions et précipité la rupture de l'accord. le Niger parrait déterminé à défendre ses intérêts nationaux, mais a t'il réellement pris cette décision seule?



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇳🇪𝐍𝐈𝐆𝐄𝐑: 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐞𝐯𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬🇳🇪Le Niger franchit un pas controversé...
11/03/2024

🇳🇪𝐍𝐈𝐆𝐄𝐑: 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐞𝐯𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬🇳🇪

Le Niger franchit un pas controversé en abrogeant les contrôles sur les dépenses liées à la défense, comme stipulé dans un décret présidentiel daté du 23 février dernier. Cette décision, bien que justifiée par l'urgence de la lutte antiterroriste, suscite des inquiétudes quant à son potentiel d'opacité et de détournement de fonds.

Traditionnellement, les régulations sur les marchés publics et la comptabilité publique visaient à garantir la transparence des dépenses gouvernementales, notamment dans le domaine de la défense. Cependant, cette nouvelle directive exonère les achats d'équipement militaire et les services liés à l'armée de toute supervision, allant même jusqu'à les dispenser de taxes.

Arthur Banga, chercheur spécialisé dans les questions de défense, souligne le risque de corruption et d'enrichissement personnel au détriment du peuple nigérien. Cette mesure pourrait faciliter les transactions opaques, notamment dans le contexte où le Niger explore une coopération militaire avec la Russie, voire un éventuel recours au groupe Wagner, réputé pour son manque de transparence et ses multiples exactions sur les populations.

Bien que l'argument de l'efficacité opérationnelle puisse être avancé, il est crucial de ne pas sacrifier la responsabilité financière et la reddition de comptes sur l'autel de l'urgence sécuritaire. Le gouvernement doit assurer une surveillance rigoureuse des dépenses militaires pour éviter tout abus et garantir que les ressources publiques sont utilisées à bon escient dans la protection du pays et de ses citoyens.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫 𝐁𝐔𝐑𝐊𝐈𝐍𝐀 𝐅𝐀𝐒𝐎: 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐭𝐭𝐚𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐨𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐁𝐚𝐧𝐞́ 𝐞𝐭 𝐓𝐢𝐬𝐬𝐚𝐨𝐠𝐡𝐢𝐧🇧🇫Le capitaine Ibrahim Traoré, à la tête du Burkin...
11/03/2024

🇧🇫 𝐁𝐔𝐑𝐊𝐈𝐍𝐀 𝐅𝐀𝐒𝐎: 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐭𝐭𝐚𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐨𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐁𝐚𝐧𝐞́ 𝐞𝐭 𝐓𝐢𝐬𝐬𝐚𝐨𝐠𝐡𝐢𝐧🇧🇫

Le capitaine Ibrahim Traoré, à la tête du Burkina Faso, avait fait une promesse audacieuse "éradiquer les groupes terroristes en l'espace de deux ou trois mois". Pourtant, malgré l'arrivée de l'Africa Corps et les investissements massifs dans le matériel militaire, la réalité sur le terrain est alarmante. Les attaques terroristes se multiplient, devenant de plus en plus meurtrières et incessantes, semant la terreur parmi les civils.

Ce week-end, deux attaques d'une violence inouïe ont secoué la région du Centre-Est, jetant le pays dans l'effroi. À Bané, des hommes armés ont lancé un assaut brutal, décimant impitoyablement une vingtaine de civils et de volontaires pour la défense de la patrie(VDP). Les témoins parlent d'une scène d'horreur, où la terreur s'est abattue sans merci sur des populations sans défense.

Le village de Tissaoghin, dans la province du Koulpelogo, n'a pas été épargné. Les habitants, réunis sur la place du marché, ont été pris pour cible par un groupe armé. Le bilan est effroyable, une vingtaine de personnes dont de nombreuses femmes et des enfants innocents, ont perdu la vie dans cette attaque barbare.

Ces événements tragiques surviennent alors même que le capitaine Traoré se trouvait dans la région pour la célébration de la journée internationale des droits des femmes. Ironie cruelle du destin, pendant que le chef de l'État félicitait les forces de sécurité et les volontaires pour leur prétendue lutte contre le terrorisme, ces derniers se battaient pour leur survie face à une menace grandissante et incontrôlable.

La réalité sur le terrain est une cruelle désillusion pour les Burkinabè qui, malgré les promesses de sécurité, se retrouvent plongés dans un cauchemar incessant de violence et de terreur. Le capitaine Traoré et son gouvernement doivent rendre des comptes pour leurs échecs flagrants dans la protection de leurs concitoyens. Les vies perdues ne peuvent être simplement balayées sous le tapis des promesses vides et des discours creux. Il est temps que les autorités prennent des mesures concrètes pour mettre fin à cette spirale de violence et restaurer la sécurité tant attendue par le peuple burkinabè.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page:
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐃𝐚𝐨𝐮𝐝𝐚 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨 𝐥𝐢𝐛𝐞́𝐫𝐞́...🇧🇫Le retour à la vie civile du Dr. Daouda Diallo, défenseur infatigable des dro...
09/03/2024

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐃𝐚𝐨𝐮𝐝𝐚 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨 𝐥𝐢𝐛𝐞́𝐫𝐞́...🇧🇫

Le retour à la vie civile du Dr. Daouda Diallo, défenseur infatigable des droits de l'homme, résonne comme un appel à la résilience et à la lutte pour la justice. Son retour, après des semaines dans la zone des combats, marque une victoire pour la société civile et un signal fort contre toute forme de répression au pays des hommes intégres .
Le Dr. Daouda Diallo, figure respectée de la lutte pour les droits fondamentaux, a été arrêté le 1er décembre 2023 alors qu'il quittait le bureau des passeports. Sa détention, aux côtés de nombreux autres militants, a suscité une vague d'indignation et de solidarité à travers le pays. En dénonçant ouvertement les abus du régime militaire au pouvoir, il a incarné une des voix que le Capitaine Traoré a essayé de mettre sous silence.

Son engagement sans faille au sein du Collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés a fait de lui une cible pour les autorités en place. Pourtant, malgré les pressions, le Dr. Diallo n'a jamais renoncé à ses convictions. Sa libération est donc bien plus qu'un simple retour à la vie civile, c'est une affirmation de la force du peuple burkinabè face à l'oppression.

Le cas du Dr. Diallo n'est malheureusement pas isolé. D'autres militants, tels que les membres du Balai citoyen Rasmane Zinaba et Bassirou Badjo, ont également été arrêtés récemment, plongeant leurs proches et leurs camarades dans l'incertitude et l'angoisse. Leur sort rappelle la fragilité des libertés individuelles dans un climat politique tendu, où la répression s'abat sur ceux qui osent défier le statu quo.

Le retour du Dr. Diallo peut être perçu comme un symbole d'espoir pour tous ceux qui luttent pour un Burkina Faso libre et démocratique. Sa détermination et son courage inspirent les générations futures à se lever et à se battre pour leurs droits et leurs opinions.


Pour s'abonner, rendez-vous sur la page

Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐀𝐛𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞́ 𝐎𝐮𝐞𝐝𝐫𝐚𝐨𝐠𝐨, 𝐞𝐧𝐟𝐢𝐧 𝐥𝐢𝐛𝐞́𝐫𝐞́🇧🇫Ablassé Ouedraogo enfin libéré. Contraint par la force à rejoindre l...
08/03/2024

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐀𝐛𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞́ 𝐎𝐮𝐞𝐝𝐫𝐚𝐨𝐠𝐨, 𝐞𝐧𝐟𝐢𝐧 𝐥𝐢𝐛𝐞́𝐫𝐞́🇧🇫

Ablassé Ouedraogo enfin libéré. Contraint par la force à rejoindre les rangs de l'armée en décembre dernier, Ouedraogo a finalement retrouvé sa liberté civile après une détention de 80 jours dans des conditions éprouvantes.

Réduit physiquement mais non brisé dans son esprit, Ouedraogo a partagé les détails de son calvaire. Son retour à la vie civile a été marqué desoulagement, mais aussi par la douloureuse réalité de la répression subie.

Cette libération est bien plus qu'un simple retour à la maison pour Ouedraogo ; c'est un rappel poignant des injustices endurées par de nombreux défenseurs des droits de l'homme et militants politiques dans au pays des hommes intégres. Les images troublantes de figures respectées, comme Daouda Diallo, contraintes à manier les armes dans des exercices militaires forcés, soulignent l'absurdité et la cruauté de ces pratiques répressives que le capitaine Traoré a mis en place au Burkina Faso.

Malgré les multiples décisions de justice invalidant ces réquisitions militaires forcées, le régime en place persiste dans sa politique oppressive. Cette libération est donc une victoire temporaire dans une lutte plus vaste pour la justice et la liberté au Burkina Faso.
La résilience et le courage de ces hommes enrolés de force par le Capitaine Traoré dans les armées nous démontre qu'il ne faut pas perdre espoir et qu'il faut se battre pour faire respecter ses droits fondamentaux. Le Burkina Faso ne doit pas devenir une dictature.





Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇲🇱𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐜𝐭𝐢𝐦𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐥𝐢𝐭𝐬 𝐚𝐫𝐦𝐞́𝐬🇲🇱les femmes sont souvent les victimes les plus vulnérables des conf...
07/03/2024

🇲🇱𝐋𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐜𝐭𝐢𝐦𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐥𝐢𝐭𝐬 𝐚𝐫𝐦𝐞́𝐬🇲🇱

les femmes sont souvent les victimes les plus vulnérables des conflits armés. Entre 2021 et 2022, dans le cercle de Douentza, région de Mopti, au Mali, des actes d'une barbarie inouïe ont été perpétrés contre des femmes innocentes. Des témoignages poignants décrivent des enlèvements brutaux, suivis de viols collectifs et d'esclavage sexuel dans des camps sordides, orchestrés par des djihadistes du GSIM et des miliciens des groupes d'autodéfense Dan Na Ambassagou.

Pire encore, des soldats des Forces Armées Maliennes (FAMa), accompagnés de soldats étrangers de peau blanche et ne parlant pas français, ont été impliqués dans des actes de viol individuels et collectifs, après l'exécution sommaire des hommes de la ville lors de ratissages. Ces atrocités se déroulent dans un silence assourdissant, car aucune plainte formelle n'a été déposée par crainte de représailles et de stigmatisation.

La communauté peule est particulièrement ciblée, victime de persécutions exacerbées en raison de son appartenance ethnique. Les attaques contre les Peuls, perpétrées par des milices d'autodéfense et les FAMa, se multiplient de façon alarmante, exacerbant les tensions ethniques et alimentant un cycle de violence sans fin.

L'impunité règne alors que les autorités maliennes restent sourdes aux appels à la justice. Les crimes de guerre, les viols, les esclavages sexuels et les autres atrocités continuent de se perpétrer, laissant des cicatrices indélébiles sur les corps et les esprits des victimes. Il est impératif que la communauté internationale prenne des mesures fermes pour mettre fin à ces violations flagrantes des droits de l'homme et pour que les responsables de ces crimes odieux soient traduits en justice.




Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 :𝐌𝐚𝐬𝐬𝐚𝐜𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐯𝐢𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐊𝐨𝐦𝐨𝐧𝐝𝐣𝐚𝐫𝐢, 𝐮𝐧 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐜𝐫𝐢 𝐝'𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐢𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞🇧🇫Une nou...
05/03/2024

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 :𝐌𝐚𝐬𝐬𝐚𝐜𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐯𝐢𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐊𝐨𝐦𝐨𝐧𝐝𝐣𝐚𝐫𝐢, 𝐮𝐧 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐜𝐫𝐢 𝐝'𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐢𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞🇧🇫

Une nouvelle tragédie ensanglante le sol du Burkina Faso, cette fois dans la province de la Komondjari, à l'est du pays, rappelant cruellement la flambée de violence qui sévit dans tout le pays. Alors que les cicatrices à peine refermées du massacre épouvantable qui a coûté la vie à au moins 170 civils dans la province de Yatenga, au nord, continuent de saigner, un nouveau cri d'alarme retentit, cette fois-ci de l'est, où la mort frappe impitoyablement.

Des témoignages terrifiants des habitants de la région font état de dizaines de vies fauchées, sans qu'un bilan officiel ne soit encore établi. Le village de Gayéri, frontalière avec le Niger, est devenu le théâtre d'horreurs insoutenables, notamment dans les hameaux de Bibgou et Soualimou.

Des vidéos glaçantes, dévoilent des scènes de carnage, des corps sans vie jonchant le sol, hommes, femmes, enfants, fauchés dans leur vie quotidienne. Des images qui dépeignent l'horreur d'une réalité trop souvent ignorée.

Les responsables de ces atrocités restent dans l'ombre, dans un paysage où la ligne entre les forces de sécurité et les groupes armés est devenue floue. Les soupçons se portent sur le tout nouveau Bataillon d'Intervention Rapide (BIR), créé pour apporter la sécurité à Gayéri. Des rescapés accusent ces unités d'avoir orchestré ces actes de barbarie, leur reprochant le recrutement forcé des villageois dans les rangs des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), les transformant ainsi en cibles désignées.

La situation au Burkina Faso demeure critique, marquée par une escalade de violence dans les régions nordiques et de l'est. L'heure est à la dénonciation, à la solidarité envers les victimes innocentes, ces victimes sont toujours dans l'attente d'un geste de leur gouvernement, ce même gouvernement qui semble une nouvelle fois dépassé par les événements, cette spirale de violence semble pour le moment sans fin au pays des hommes intégres.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page:
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇲🇱𝐌𝐚𝐥𝐢:  𝐋𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐞𝐥 𝐀𝐥𝐩𝐡𝐚 𝐘𝐚𝐲𝐚 𝐒𝐚𝐧𝐠𝐚𝐫𝐞́ 𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭𝐞́, 𝐮𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐜𝐫𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐢𝐬 𝐚𝐮 𝐬𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞🇲🇱Une fois de plus, le gouver...
04/03/2024

🇲🇱𝐌𝐚𝐥𝐢: 𝐋𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐞𝐥 𝐀𝐥𝐩𝐡𝐚 𝐘𝐚𝐲𝐚 𝐒𝐚𝐧𝐠𝐚𝐫𝐞́ 𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭𝐞́, 𝐮𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐜𝐫𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐢𝐬 𝐚𝐮 𝐬𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞🇲🇱

Une fois de plus, le gouvernement de transition au Mali s'est illustré en réprimant une voix dissidente. Le colonel Alpha Yaya Sangaré, auteur courageux d'un livre critique sur l'armée malienne, a été arrêté à son domicile à Bamako, sans même un mandat d'amener.

Les autorités militaires, dans leur arrogance, prétendent que l'arrestation du colonel Sangaré est conforme aux règlements militaires, justifiant ainsi cette atteinte flagrante aux droits fondamentaux. Pourtant, cette arrestation est bien plus qu'une simple affaire de procédure : c'est une tentative de museler la vérité et de réduire au silence ceux qui osent défier le statu quo.

Le livre incriminé, "Mali : défi du terrorisme en Afrique", a déclenché la colère du ministère malien de la Défense, qui a immédiatement menacé de sanctions l'auteur pour avoir osé mettre en lumière les exactions commises par l'armée. Des passages dérangeants pour la hiérarchie ont mis en lumière les violations des droits de l'homme perpétrées par les forces de sécurité sous le prétexte de la lutte contre le terrorisme.

Pourtant, le colonel Sangaré n'a fait que son devoir en rapportant les faits, s'appuyant sur des rapports d'organisations internationales de défense des droits de l'homme. Il est scandaleux que le simple acte de dénoncer l'injustice puisse conduire à une arrestation.

L'arrestation du colonel Sangaré nous montre une nouvelle fois que le gouvernement Malien en place musèle les voix contestataires à son régime.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐒𝐩𝐢𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐭 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́🇧🇫La terreur continue de s'abattre impitoyablement sur le Bu...
03/03/2024

🇧🇫𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨: 𝐒𝐩𝐢𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐭 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́🇧🇫

La terreur continue de s'abattre impitoyablement sur le Burkina Faso, laissant derrière elle un sillage de désolation et de deuil. Le massacre barbare du 25 février dernier dans le nord-ouest du pays a coûté la vie à au moins 170 innocents, plongeant le pays dans une spirale de violence insensée.

Les chiffres sont choquants, mais derrière chaque nombre se cachent des vies brisées, des familles déchirées et des communautés meurtries. Hommes, femmes et enfants ont été fauchés sans pitié, victimes d'une guerre qui ne fait que semer la mort et la destruction.

Le gouvernement semble impuissant, dépassé par une insécurité persistante qui gangrène le pays. Les massacres se succèdent, laissant planer l'ombre de l'impunité sur les auteurs de ces crimes odieux. L'enquête promise après chaque massacre reste lettre morte, laissant les familles des victimes dans l'attente angoissante de justice.

Qui sont les véritables responsables de ces atrocités ? Les terroristes fanatiques qui sèment la terreur ou les forces censées protéger la population, mais qui se retrouvent parfois mêlées à ces bains de sang ? La réponse demeure floue, mais une chose est sûre : la population civile en paie le prix le plus lourd.

Il est temps pour le gouvernement de prendre ses responsabilités et d'agir avec détermination pour mettre un terme à cette violence aveugle. La sécurité des citoyens doit être sa priorité absolue, et cela nécessite des mesures concrètes et efficaces pour combattre le terrorisme et restaurer la paix dans le pays.

En attendant, le grand perdant est une nouvelle fois le peuple burkinabé.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page:
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇲🇱𝐌𝐀𝐋𝐈: 𝐃𝐢𝐬𝐬𝐨𝐮𝐝𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐫𝐞́𝐠𝐧𝐞𝐫🇲🇱Une nouvelle dissidence s'inscrit dans la tragique symphonie de rép...
02/03/2024

🇲🇱𝐌𝐀𝐋𝐈: 𝐃𝐢𝐬𝐬𝐨𝐮𝐝𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐫𝐞́𝐠𝐧𝐞𝐫🇲🇱

Une nouvelle dissidence s'inscrit dans la tragique symphonie de répression orchestrée par le pouvoir malien. Cette fois-ci, c'est l'association Kaoural Renouveau qui en fait les frais, subissant le joug implacable d'un régime de transition de plus en plus tyrannique. Mercredi dernier, le conseil des ministres a annoncé la dissolution de cette organisation, accusée de propager des « propos diffamatoires et subversifs » à l'égard des autorités en place.

Depuis ses modestes débuts en 2006, Kaoural Renouveau a œuvré sans relâche pour le bien-être de la société malienne, s'engageant dans des actions de nettoyage des rues et de lutte contre le fléau du chômage. Mais son véritable crime aux yeux du pouvoir en place réside dans son audace politique. Ayant osé se rallier à l'opposition et réclamer haut et fort des élections libres et transparentes, l'association est désormais dans le collimateur du régime.

Son président, Aladji Oumar Abdou Touré, est devenu une voix dissidente sur les réseaux sociaux, dénonçant sans relâche les agissements répressifs du gouvernement de transition. Pour ce faire, il paie le prix fort : des accusations infondées de « discrédit » et de « troubles à l'ordre public ».

Mais Kaoural Renouveau n'est pas seul dans sa lutte contre l'oppression. De nombreuses autres voix critiques ont été étouffées par un régime avide de silence. L'Observatoire pour les élections et la bonne gouvernance, le PSDA, le parti Sadi, entre autres, ont tous été la cible de la machine répressive du pouvoir en place.

Dans un pays où la démocratie est foulée aux pieds et où l'opposition est muselée, chaque dissident devient une cible, chaque voix dissidente un danger à étouffer. Le Mali, berceau de la démocratie en Afrique de l'Ouest, sombre peu à peu dans les ténèbres de l'autoritarisme, tandis que ceux qui osent résister se retrouvent derrière les barreaux, accusés de menacer la stabilité de l'État. La dissolution de Kaoural Renouveau n'est qu'une nouvelle preuve de la dérive autocratique qui gangrène le pays.



Pour s'abonner, rendez-vous sur la page
Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

🇧🇫𝐁𝐔𝐑𝐊𝐈𝐍𝐀 𝐅𝐀𝐒𝐎: 𝐈𝐧𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞🇧🇫Le gouvernement burkinabé, dirigé par le capitaine Traoré, semble faillir à se...
27/02/2024

🇧🇫𝐁𝐔𝐑𝐊𝐈𝐍𝐀 𝐅𝐀𝐒𝐎: 𝐈𝐧𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞🇧🇫

Le gouvernement burkinabé, dirigé par le capitaine Traoré, semble faillir à ses engagements en matière de sécurité. Les récents événements tragiques témoignent de la non-tenue des promesses. Malgré la promesse d'améliorer la situation sécuritaire dans les "deux à trois mois", les attaques continuent de se multiplier, avec des pertes humaines importantes signalées à Natiaboani, Pensa, ou Kongoussi ou Ouahigouya


Pour s'abonner, rendez-vous sur la page

Lutte Contre Les Négriers Comploteurs

Address

Gondwana

Website

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Lutte Contre Les Négriers Comploteurs posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Videos

Shortcuts

  • Address
  • Alerts
  • Videos
  • Claim ownership or report listing
  • Want your business to be the top-listed Media Company?

Share