Game AG-2

Game AG-2 best game
(2)

02/12/2022

Chapitre 18 : le cadeau

~~~ Estelle Fokam~~~

« Mes alleux ! » Est-ce qu’on pouvait faire ça à l’enfant de quelqu’un ? J’étais allongée dans ce grand lit moelleux et l’entendit rire sous l’oreiller. Il se moquait peut-être mais je l’avais senti passé. Il m’avait littéralement fracassé et je ressentais encore les pulsations dans mon entrejambe à l’évocation de la seule pensée de nos ébats. J’avais crié ma mère, appelé mes ancêtres, pleuré, supplié et enfin jouis comme jamais au paravent. Je laissai échapper un soupir de bien être avant de me reculer au bord du lit. Un deuxième rire vint remplacer les sons saccadés de ma respiration haletante. Je levais les yeux vers lui et fut illuminer par le sourire fier et pompeux qu’il affichait. J’avais envie de lui rabattre le clapet mais comment ? Avec quelle force ? J’étais lessivé.

- Tu me fuis ? demanda t-il de cette voix rauque, entrainante et voluptueuse qui, je ne sais par qu’elle alchimie, parvenait à me faire perdre le contrôle de moi-même.

Il y avait cet ensemble de lui, d’un tout qui faisait que, près de lui, mon corps devenait réactionnel et refusait complètement les ordres venant de mon cerveau. Ma moiteur interne commençait à s’humidifier juste parce que j’avais entendu sa voix, son rire et ce regard perçant qui me traversait l’âme. Fallait que j’aille consulter. J’étais malade ! Je baissai les yeux et fis un effort sur humain pour prendre position assise au bord du lit. Je pris un grand souffle et me levais d’un coup. Erreur fatale. Je me sentis tanguer et m’affalai de manière transversale sur le lit. La tête au niveau de son p***s. Sa verge en plein nez.

- Est-ce une invite ?

- Seigneur NON ! m’écriais-je en me bousculant sur le côté tandis qu’il éclatait franchement de rire.

- Tu sais que tu ne me la jamais faite ?

- Une prochaine fois Bou, là mes jambes n’arrivent même plus à me porter.

Il eu un petit sourire et m’attira dans ses bras.

- C’est ce que je voulais entendre. Repose-toi. Dit-il tandis que je sombrais dans un sommeil réparateur.

Je sentis le vide dans le lit avant d’ouvrir un œil maussade. Je n’avais aucune envie de me levé. Mais, dans mon subconscient, je savais que je n’étais pas chez moi. Je pris le temps de me prélasser et de m’étirer. Un coup d’œil à la fenêtre me fit comprendre qu’il faisait nuit noire. Je tâtonnai un peu avant de me levé histoire de vérifier si je pouvais tenir la distance. Mais où était mon téléphone ? Je me rappelai l’avoir laissé sur le canapé dans le séjour. J’entendis de l’eau ruisseler à la do**he et je choisis de chercher une autre chambre pour me rafraichir. Oui je fuyais. Il n’y avait pas de honte à avoir. J’avais encore beaucoup à faire en plus de la charge de mes frères.

Imaginez qu’à mon enterrement il soit dit que j’étais morte d’overdose de sexe. Je pris mon téléphone de mon sac. 22h 22 min et seulement 2 appels manqués de mon frère. Il avait les nerfs solides. A sa place, j’aurais déjà alerté l’univers si la terre n’avait pas suffit. Je relançais l’appel et à la 3eme sonnerie, il décrocha.

- Allô ? l’entendis-je de sa voix ensommeillée

- Bonsoir Dany. Je suis désolée de n’avoir pas appelé. Je suis sortie avec Biboum et je pense que je ne t**derais pas à rentrer à la maison.

- Ah ! ne t’inquiète pas. Ton patron m’as appelé pour me prévenir. Je me demandais juste à quelle heure tu devais arriver ici.

- Ha bon ? il a appelé ? quand ?

- Juste après mon deuxième appel. Il a dit que vous étiez de sortis et ne savais pas à quelle heure il te ramènerait. Tu n’es pas prête de rentrée ? Au lieu de prendre les risques inutiles, reste avec lui et tu reviens très tôt le matin.

- Tu connais les Règles Daniel. Ils s’appliquent à toi comme à moi. Même si c’est moi qui décide de presque tout. Comment puis-je exiger de toi ce que je suis moi-même incapable de faire. En plus je travaille demain. Et quelle image je renvoie à petit pa’ ? il sait qu’il est allé dormir sans me voir. A 2h il ira uriner sans me voir dans le lit. Ce n’est pas bon. Je ne dois pas l’habituer à ça !

- Est …. tu sais au moins que tu es jeune, belle et que tu dois profiter de vie ?

- Je sais, j’en profiterais quand tu prendras la relève.

- Hum ! Ok je t’attends.

- Ne sors pas… dès que je serais dans les environs, j’appellerais.

- Ok. A plus.

** histoire publié sur facebook univers de GUIGUI
Par Ngako K.

L’eau était bonne et sortais de la colonne. Il changeait du sceau d’eau et des toilettes communes. Lorsque je revins dans la chambre, il était assis là près de la table de chevet. Téléphone en main et lap top sur les cuisses, avec pour tout vêtement son boxer. Il était beau mon Bou. Je laissais tomber le peignoir sur le sol après avoir enfiler mes dessous.

- Enlève ça

- Pardon ?

- Enlève ça. Reprit-il en désignant mon slip. et regarde des trucks de recharge dans le coin de rangement.

Je fis ce qu’il dit. Il avait bon goût et les ensembles étaient affriolants. Je les enfilai sous son regard brulant.

- Ils te vont comme un gant. Me complimenta t-il.

- Merci. Répondis-je venant lui faire un baisé. C’est très beau….

Je remis mes vêtements et commençai à enfiler mes ballerines.

- Où est ce que tu crois aller comme ça ? fit-il fronçant les sourcils…

- Humm… je rentre chez moi…. ??

- A cette heure ? si tu as encore l’idée de rentrer c’est que j’ai pas bien fait mon travail. Dit-il goguenard.

- Ce n’est pas là la question. Articulais-je en prenant soin de me tenir au loin. Je savais ne pouvoir lui résister. Je dois rentrer car je me dois de montrer l’exemple. Si ce n’était que Daniel…, mais avec petit pa’a, c’est compliqué. Déjà que je ne peux plus me rendre aux toilettes sans explications… je ne veux pas en rajouter une couche.

Il me fixa pendant quelques secondes tandis que je baladais mes yeux partout et nulle part en prenant soin d’éviter que nos regards ne se croisent. Je le vis tendre la main dans une invite muette après avoir déposé ses effets. Mes jambes me portèrent à lui et il me renversa dos sur le lit, me bloquant de son corps.

- Tu as peur de moi Elle ?

- Non du tout ! mais qu’est ce que tu parts chercher ?

- Alors pourquoi tu me donne l’impression de me fuir ?

- Ce n’est pas le cas. En fait…. Soupirais-je lasse. j’ai peur de mes réactions, de… je perds le contrôle. Il suffit que tu me touches et mon cerveau part en vrille. La preuve, je sais que je n’en peux plus mais le fait que tu sois là (dans un geste pour lui faire visualiser notre posture) m’émoustille déjà…

- Une raison peu logique de m’abandonner dans une si grande maison.

- Je t’ai donné la raison logique. Et d’ailleurs ici c’est chez qui ? tout y est neuf ou presque.

- Chez toi. Dit-il en se remettant sur son séant.

- Pardon ? humm… déglutinant difficilement devant son érection à travers son boxer. Je levais les yeux vers lui, puis redescendis à ses hanches en une sorte de ballet. Il partit sans un mot vers l’armoire de rangement, sortie une tenue et s’en alla s’enfermer dans les toilettes.

Mon cœur menait sa course. J’y avais mis les organes bien malgré moi. Même pas deux mois de relations et deux séances de sexe intenses. Je n’y étais pas préparé. Je soupirais intensément tout en sachant que cela ne changerais rien à mon état émotionnel. Etait-ce normal d’avoir envie d’une personne à ce point ? Il avait ce truck be***al dangereux et vivifiant à la fois qui vibrait en moi et touchait à cette corde de fréquence la plus basse de votre âme. Il n’y avait pas de mouillé-sec. Au propre comme au figuré, j’étais détrempé et la chute n’en sera que plus douloureuse.
Il revint habillé en jeans et polo avec samaras aux pieds. Il rangea ses affaires en silence et moi, je me tins là le regardant faire. Nous sortîmes pour le séjour et je pris mon sac et ses affaires pour les ranger dans la voiture tandis qu’il allait éteindre à l’intérieur. Nous prîmes place dans l’habitacle de la voiture direction le chez moi. Il gara a la station de la dernière fois et avant de sortir, pris quelques documents sur la banquette arrière. Je remis au pompiste en fonction un billet de 1000 frs et nous prîmes le chemin de la maison en silence.
Après les éternelles salutations des « boys » du quartier, entre les « réssé tu rentres t**d hein tu fallayais quoi dehors » et les « la Big il n’y a rien pour moi ? » nous avons pris la dernière ruelle obscure qui me séparait de mon lit. Et c’est là qu’il décida enfin de l’ouvrir.

- Estelle, fit- il grave. Es-tu consciente du fait que je ne te ferrais jamais de mal ? du moins pas consciemment ?

- Je le sais…

- En es-tu seulement convaincu ?

- …. Je ne savais que répondre dans cette nuit noire à marcher à son rythme.

- Je ne pensais jamais pouvoir le dire à quelqu’un un jour mais…. Les jours avenirs seront décisifs pour notre devenir. Je ne sais pas de quoi demain sera fait… ou peu être je le sais…. mais pas ta réaction face à ce que tu découvriras. Pour être, j’ai besoin d’être entier et je sentir ma compagne entière. Je sens ta gène, les interrogations dans tes yeux et combien tu luttes pour ne pas … je ne te forcerais à rien. Je n’aurais peu être pas dû me laisser aller de la sorte je t’ai fait peur. J’en suis dé….

- Mais qu’est ce que tu racontes ? le coupais-je perdue. Je t’ai bien dit que je n’avais pas peur. C’est vrai que c’était inouïe vue ma petite expérience. Mais j’ai aimé. Je n’ai pas peur. Je cherche juste à retenir tant bien que mal mes élans pour toi. Je ne cesse de me répéter que tu es mon patron sans que tu ne puisses t’encrer dans mon cerveau comme tel. J’ai juste peur d’aller plus vite que la musique.

Il garda encore le silence jusque devant la porte et là sans crier gare, il me plaqua contre le mur et envahit ma bouche de sa langue. Le baisé était à la fois tendre et urgent, fougueux et profond. Il voulait me communiquer son désir de moi en plaquant ses hanches contre les miennes pour me faire sentir son phallus conquérant. Il n’en fallait pas plus pour faire éclore ma fleur et laisser dégouliner son nectar. Nos langues s’entremêlait, nos dents s’entrechoquaient, nos lèvres se câlinaient tandis que nos corps s’embrassaient. Comme si nous n’avions pas passés les heures précédentes à faire l’amour. Je laissais échapper des gémissements sans aucune retenue et priait pour que ceci ne prenne jamais fin.

- Est ? c’est toi ?

Entendis-je dans une brume suivit du son de serrure que l’on ouvre. La seconde d’après, Daniel se tenait devant nous, gêné.

- J’Suis désolé, je vérifiais juste d’où venait le brut. Balbutia t-il avant de rentrer avec embarras.

Bou fit descendre ma jambe qu’il portait à ses hanches et nous maintint front contre front.

- Tu vois, moi aussi je perds le contrôle….. rentre avant que je ne change d’avis.

A ces mots, il me poussa à l’intérieur et partit. Mon frère avait repris sa place de lit. Sans aucun commentaire, je retirais mes vêtements et me glissais dans le lit avec mon téléphone en main. Je lui écris un « Merci ». Il répondit 20 min plus t**d.

- « J’en veux plus Elle, je veux tout », « samedi matin, les déménageurs viendront pour vous aider. »

- « déménageurs ? »

- « regarde les documents que je t’ai remis et tu comprendras »

- « Ok. bonne nuit »

- « bonne nuit ma douce »

Je me levai et pris les dits documents. L’acte d’achats, titre foncier, permis de bâtir tous muté à mon nom par acte notarié.
Seigneur il l’avait fait. Il nous avait donné un toit à mes frères et moi.
** histoire publié sur facebook univers de GUIGUI
Par Ngako K.

~~~ All Minka~~~

Les choses allaient bon train mais stagnaient. Depuis que nous savions la prêtresse dans ma ville, les maîtres avaient porté sur moi plus d’attention et Ndoumbe semblait ne pas démordre de son idée fixe. A chaque réunion, il n’oubliait pas de me le rappeler. Assis sous un parasol à la véranda, je regardais mon fils jouer. A chaque fois qu’il sentait l’acuité de mon regard, il se retournait, me souriait avant de reporter son attention à ses jeux et sa mère. Que pouvais-je bien faire. Et dire que j’étais le seul à blâmer.

- Je suis dans ma chambre. Dis-je me levant

- Tu ne dine pas avec nous ? me demanda Anna

- Non. J’ai mangé avec des amis en rentrant du travail. Je veux juste m’allongé.

- Ok. je vais rentrer un peu t**d samedi. Il y a cassation à la réunion et peu être après on ira manger

- Du moment où tu y vas avec David junior. Je n’ai pas de problème.

- La nuit NZA’? tu n’es pas sérieux.

- C’est toi qui vois…. Fis-je. Prenant la porte des chambres.

Comme dit, je m’allongeai. Je ne voulais réfléchir à rien. De toute façon, depuis des jours, cela ne me menait nulle part. Je ne pouvais rien faire. J’étais désarmé même si je choisissais de livrer mon fils, j’étais assez clairvoyant à son propos, il était bien trop puissant pour que qui conque puisse lui faire quoi que ce soit sans son approbation. Soudain, l’air sembla se raréfier dans la pièce. Signe avant coureur de la matérialisation physique de l’esprit. Je levai juste la tête pour saluer…

- Maitre. Fis-je serein.

- Alors, j’attends toujours les arcanes de ton fils.

- Je sais bien Ndoumbe mais …. Je n’y arrive pas. Et comme tu sembles le savoir, je ne tiens pas à risquer ma vie pour un résultat connu d’avance.

- Donne-moi dans ce cas accès à lui. Par ton sang et par l’énergie de ton clan. Je me l’attribuerais de moi-même.

- Hum…. Son sang n’est pas mien. Fis-je dans un rire de dérision. il ne partage pas l’énergie de mon clan.

- Tu te moques de moi ? attention ! on ne mort impunément la main de celui qui vous nourrit. Rugit-il menaçant et souffla près de mon visage.

- Je ne pouvais te répondre devant témoin. Je voulais préserver le peux d’égo qui me restait. Cet enfant n’est pas de moi.

- Tu me prends vraiment pour un imbécile…. T’es tu déjà vue dans un miroir ? cet enfant est ta copie conforme. S’exclama t-il outré.

- Je ne parle pas sur le plan physique, cet enfant ne porte pas mon sang et encore moins l’énergie de mon clan. Si tu ne me crois pas, tu peux toujours aller vérifier et si tu veux… non mieux ! fais le toi-même. Répliquais-je calme me retournant dos à lui.

- Tu ne perds rien pour attendre. Je t’en ferrais bavé. Que cette guerre s’achève !

Il s’en alla par le même phénomène. Je n’avais pas besoin de me retourné pour le savoir. Je n’avais jamais autant remercié mes ancêtres que lorsque j’avais découvert que Junior ne portait pas mon sang ni l’énergie de mon clan. Oui il me ressemblait. Mais c’était juste physique. Juste un gage de la nature qui permettait aux hommes de reconnaitre leurs descendants. Je suppose qu’il avait été conçu avant la dot. Cette fable à la quelle je n’avais jamais cru. Beaucoup ne comprenait pas le rôle du rituel sacré de la dot. Le manquement à ce rituel venait de sauver la vie de mon fils. Le temps pour Ndoumbe de comprenne qu’il pouvait encore l’avoir par le lien ombilical de ma femme. Oui, là résidait le sang et l’énergie clanique de mon fils. Pour la simple et unique raison que je n’avais doté ma femme à temps. Je partis dans un éclat de rire d’auto dérision. Ce rituel permettait avant tout aux ancêtres et énergies claniques de l’homme de pouvoir se réincarner dans la ligné de la femme en passant par son utérus. De ce fait, l’enfant pouvait porter en même temps les attributs du sang de son père et de sa mère. Ou uniquement de son père selon les missions pour lesquelles il venait au monde.

C’est dans cet état que je dormis. Le lendemain matin, je partis pour le travail et pour la première fois depuis que je travaillais dans cette banque, je croisai mon patron. Il me traversa et à cet instant précis, je perçus cette énergie. Celle que nous cherchions depuis des mois. Après quelques pas, il s’arrêta et posa sur moi un regard qui me plongea involontairement dans un abime sans fond. Il revint sur ses pas et je sentis son aura écrasant presque suffoquant m’envahir.

- Qui être vous ? siffla t-il d’une voix mortuaire.

J’étais quand même quelqu’un dans le monde invisible. Pourquoi alors face à lui je semblais ne valoir pas plus qu’un grain de sable ?

Désolé pour le ret**d des publications. D’autres engagements qui m’empêchent d’écrire à la même fréquence. I beg🙏🏾…. supportez soloment ! 😔

09/10/2022
Comment fidéliser un client à l'heure où la concurrence est devenue très rude ?Suivez ma formation e-commerce intitulé "...
09/08/2022

Comment fidéliser un client à l'heure où la concurrence est devenue très rude ?

Suivez ma formation e-commerce intitulé "Vivre de l'internet en Afrique"

Beaucoup de surprises vous attendent.

*PROGRAMME DE LA FORMATION**_Vivre de l'internet en Afrique_**1ÈRE PARTIE*- Le commerce traditionnel : pourquoi mes clie...
08/08/2022

*PROGRAMME DE LA FORMATION*

*_Vivre de l'internet en Afrique_*

*1ÈRE PARTIE*

- Le commerce traditionnel : pourquoi mes clients m'abandonnent après un achat ?

- Dans la peau d'un client pour mieux le servir.

*2ÈME PARTIE*

- Faire les affaires à l'aire de de l'internet.

- Le client connecté et son comportement

- Comment créer un produit/service numérique.

- Faire du dropshipping

- Le commerce sur facebook, Instagram, whatsapp, tik tok, telegram...

- Faire le mailing

- Devenir manager de réseaux sociaux: créer une page facebook qui attire et influencer partout.

- Savoir gérer un site internet.

- Comment vais-je recevoir mes paiements internationaux ?

- savoir fideliser ses clients : l'outil CRM

03/08/2022

Aux nouveaux bacheliers, vous proposez quelles filières pour la rentrée prochaine ?
👂👂👂

C'est de ceci il s'agit👇👇👇
03/08/2022

C'est de ceci il s'agit
👇👇👇

Aujourd’hui, la digitalisation des entreprises est devenue incontournable. Elle n’est pas un phénomène de mode, mais une...
01/08/2022

Aujourd’hui, la digitalisation des entreprises
est devenue incontournable. Elle n’est pas un
phénomène de mode, mais une évidence aux
enjeux considérables. Explosion des réseaux
sociaux, nouveaux usages du mobile, exploitation
massive de la donnée, elle a profondément
impacté les habitudes de consommation.
Surinformé et exigeant, l’acheteur a pris le pouvoir
grâce au digital. Autonome et ultra connecté, il
choisit lui-même la direction vers laquelle il veut
aller dans son environnement digital.
Pour capter son attention et l’atteindre, il est
primordial de mettre en place de nouvelles
stratégies de conquête. La communication
frontale a de moins en moins d’adeptes. Les
consommateurs tournent le dos aux modèles
publicitaires traditionnels jugés trop intrusifs.
Aujourd’hui, il ne s’agit plus de vendre un “produit”,
mais de promouvoir votre expertise au service du client.




Berceau des Libellules
31/07/2022

Berceau des Libellules

31/07/2022

À l'occasion de la 62ème fête de l'indépendance du Benin 🇧🇯, j'offre 3k de visibilité à 5 pages.
Positionnez-vous

16/07/2022

Le commerce électronique ou e-commerce.
C'est quoi exactement ?

28/06/2022

Les merveilles du darkweb continuent
Trouver ce qu'on veut sur internet

25/06/2022
19/06/2022

Comment trouver facilement ce que tu veux sur internet ?
Formation sur l'accès au darkweb ce monde caché disponible

16/05/2022

Si tu as une attestation de langue, nous allons t'offrir une bourse d'étude au Canada

16/05/2022

Si vous voulez avoir du succès dans votre entreprise, apprenez à vendre vos produits

15/05/2022

Spécial bonjour et bon dimanche aux amis togolais

29/04/2022

Qui a votre argent dans ses poches ?
Qu'allez-vous faire pour le mettre dans votre poche ?

African's spirituality and God worship is the most high on the universe.They can't stop us. Never everMy best regards to...
18/03/2022

African's spirituality and God worship is the most high on the universe.
They can't stop us. Never ever
My best regards to the guardians of the temple Les frères Guèdèhounguè officiel

06/03/2022

Bon début de semaine à notre communauté

06/03/2022
06/03/2022
22/02/2022

Cc moi c'est Kadidja j’ai 17 ans et je suis en première .
Je suis l'unique fille d'un riche commerçant .
Je vous présente ma famille

Mon père Mr Mahmat, un homme qui voyage beaucoup. Il aime la religion et sa famille mais ne peut jamais raté une occasion d'affaires pour rien au monde.

Ma mère Alima une femme très belle avec un teint chocolat très douce, posée et très gentille.

La coépouse de maman ,tata Safiatou. Une très belle femme mais d'une hypocrisie vraiment je ne sais quoi dire. J’ai l'impression qu'elle est née le jour de la fête de l'hypocrisie.

Tata Safiatou a deux fils Kabir et Hamed, âgés respectivement de 5 et 8 ans. Ce sont mes bébés et je les aime énormément.

Nous vivons dans une très grande propriété avec des femmes de ménage ,un gardien et un jardinier.

J'ai une amie Salma nous sommes dans la même classe et partageons les mêmes rêves.

En classe nous donnons toujours le meilleur de nous.

Depuis un certain temps mon père à un problème au travail. Il a investi dans une affaire qui n’a pas donné de bon résultats. Il vise une autre affaire très fructueuse. Ce soir il doit aller dîner chez le premier ministre du roi. Pour en discuter.
C’est un dîner familiale.

Chacun se met sur son 31 pour l'occasion. Le dîner est à 20 h et papa est complètement stressé.
Pourtant, nous ne sommes pas en ret**d.
Papa : Alima vous n'êtes pas prête ???

Ma mère : si ! On arrive

Ma tante : Les garçons allez rejoindre votre père .

Papa : Oh ! Mes trésors, que vous êtes beaux !

Le chauffeur nous attend. Allons-y.
Enfin dans la voiture , personne ne parle .
Kadidja et sa famille, sont des habitués des dîners d’affaires organisées soit par son père ,soit par ses collaborateurs.
Elles s’ennuient beaucoup à ces dîners .C’est le visage collé à la vitre, qu’elle contemple le paysage qui défile .

Une heure plus t**d, ils arrivent devant le portail majestueux du ministre.

À 100 likes on publiera la suite. Partagez

19/02/2022

Gstore offre 10 bourses d'études en ligne sur Udemy.
Si vous êtes intéressé, écrivez-nous

https://www.facebook.com/110220341541942/posts/125960709967905/?app=fbl
18/02/2022

https://www.facebook.com/110220341541942/posts/125960709967905/?app=fbl

Dans la société africaine, être femme est parfois source de souffrance. Dans certaines contrées la femme n'a pas le droit de décisions de sa vie. Elle doit obéir à l'ordre de ses parents en particulier son père contre son gré.
De mariage forcé au placement, la femme est l'objet de toute cruauté sans secours.
Plongeons-nous au cœur d'une famille africaine et découvrons ensemble la vie paisible d'une jeune fille qui a basculé du jour au lendemain dans le néant.

Nous sommes de cœur avec ces filles de part le monde qui sont réduites au silence malgré elles.

Puisse un jour vous trouvez la porte de sortie vers votre pleine épanouissement.

_ L'auteur

15/02/2022

Toi jeune diplômé 🎓 qui crie chômage; tu es prêt à faire quoi pour changer la tendance ?

Première formation Gstore de l'année en cours de préparation.Le thème sera dévoilé bientôt.
12/02/2022

Première formation Gstore de l'année en cours de préparation.
Le thème sera dévoilé bientôt.

A lion 🦁 doesn't laugh in a battlefieldT-shirt 👕 disponible
09/01/2022

A lion 🦁 doesn't laugh in a battlefield
T-shirt 👕 disponible

06/01/2022

Les t-shirts 👕 Gstore sont disponibles.

01/01/2022

La marque est désormais disponible.
La vente commencera la semaine prochaine.

03/11/2021

Bonsoir a tout nos abonnés de la page G-Store.

Pour les étudiants et ceux qui aiment lire des livres de toute catégorie notre page annexe" Les Livres Qui Changent De vie G-Store " est disponible pour vous.

Vous pouvez les avoir en PDF et a des prix exceptionnel.

Faites y un tour et si intéressé veuillez nous envoyer un message.

Merci et resté G-Store pour plus de nouveauté🥰🥰

Address


Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Game AG-2 posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Shortcuts

  • Address
  • Alerts
  • Claim ownership or report listing
  • Want your business to be the top-listed Media Company?

Share