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Quand les soldats canadiens tirent sur les québécois pour PâquesC’est lors de la première guerre mondiale, le Canada doi...
19/05/2020

Quand les soldats canadiens tirent sur les québécois pour Pâques

C’est lors de la première guerre mondiale, le Canada doit joindre la Grande-Bretagne au combat. La majorité des canadiens anglais sont nés en Angleterre, ou leurs parents, donc ils ont un sentiment d’appartenance et une loyauté envers les Britanniques. Or, les canadiens français s’est tout le contraire surtout qu’ils ne parlaient même pas la langue. La tension entre la police fédérale et les québécois est très élevée avec de nombreux cas de maltraitances et d’abus de policiers recensés.

La situation dégénère lors de l’arrestation d’un québécois ayant oublié ces papiers d’exemption de guerre. Les émeutes commencent et l’armée débarque. La situation devient chaotique. Le lundi de Pâque 18 avril 1918 à Québec, les soldats anglophones décident d’ouvrir le feu avec leurs mitraillettes. Les balles pleuvent et font officiellement 4 morts, dont un adolescent de 14 ans, et de nombreux blessés. Ces blessés ne peuvent se rendre dans les hôpitaux, car les militaires les placent en était d’arrestation.

La crise de la conscription de 1918 est un bel exemple du combat que le peuple québécois était confronté et surtout montre à quel point le fédéral est prêt pour faire taire le peuple et l’assimilé.

Une minorité de plus en plus discrète, ou même, finalement assimilée?Cette semaine marque un élément important dans l’hi...
18/05/2020

Une minorité de plus en plus discrète, ou même, finalement assimilée?

Cette semaine marque un élément important dans l’histoire du Québec et du Canada. 40 ans où le non a remporté le premier référendum.

Que l’on soit séparatisme ou non, cet événement fait partie de l’histoire et mérite d’être souligné.

C’est pourquoi cette semaine il sera question des « grands oubliés » des cours d’histoire scolaires et de différentes analyses. On néglige souvent l’histoire d’un pays, mais c’est en connaissant son histoire et que l’on comprend ses valeurs, sa culture, son économie et sa politique. Il ne sera pas question de dire si aujourd’hui le Québec doit se séparer du Canada, mais bien de comprendre son histoire.

De nos jours, on parle souvent qu’il est important de plaire aux minorités et qu’il est important de les prendre en considération dans différentes actions ou lois. C’est vrai, il n’est jamais facile lorsque tu es en minorité dans une ville, province, pays ou même continent. Or, on oublie souvent que depuis 1760 le Québec représente une minorité dans un pays et surtout dans un continent. Une minorité avec une culture, une langue, des valeurs, etc. complètement différentes que le reste de l’Amérique. Imaginez mettre la France dans l’Angleterre et faites un pays. Évidemment, il y aura beaucoup de divergences.

Or, s’il est normal que les dirigeants politiques adoptent des accommodements pour les minorités religieuses ou autres, il va de même pour le Québec.

Malheureusement, être un fier québécois qui défend son histoire, ses valeurs, sa langue et sa culture c’est de plus en plus mal vu….

Aujourd’hui, nous franchissons une grosse étape dans cette crise.Hier, nous avons eu le droit à un magnifique spectacl...
11/05/2020

Aujourd’hui, nous franchissons une grosse étape dans cette crise.

Hier, nous avons eu le droit à un magnifique spectacle 100% québécois

Quel bonheur de voir cette solidarité entre les gens, mais aussi de voir les gens garder le moral. On a pu assister à beaucoup de positivisme dans cette période où nous en avons de besoin. Ce fut encourageant de voir des témoignages comme cette résidence de personnes aînés à Stanstead où ces employés dévoués habitent dans la résidence et où tous gardent moral avec leurs proches qui les encouragent. Un des nombreux moments touchant de ce spectacle.

Ce spectacle arrive au bon moment pour nous donner le courage d’avancer. Nous devons vaincre la peur et être positif. Nous devons le faire en restant uni et solidaire.

Nous avons été exposés à beaucoup de négativité ces derniers jours dans les médias avec des articles voulant créer des réactions, mais tout n’est pas noir comme nous l’avons si bien vu hier soir.
On voit des études à droite et gauche qui nous découragent tout comme ils nous encouragent. On ne sait plus quoi penser. En revanche, les statistiques parlent d’elles-mêmes. Les personnes les plus vulnérables sont les 60 ans et plus. C’est pourquoi nous pouvons nous permettre d’aller de l’avant graduellement tout en prenant les précautions.

Voici une petite analogie différente, mais qui fait réfléchir :

En date du 11 mai, il y a eu 484 344 décès dans des accidents de voiture et 283 868 décès du coronavirus dans le monde. Quotidiennement, nous nous exposons à un risque qui peut être malheureusement mortel. Par contre, nous continuons à prendre le risque, mais en prenant toutes les précautions afin de le diminuer : limite de vitesse, ceinture, respect du code de la route, ne pas conduire avec les facultés affaiblies, etc.

Pour le bien de la population, nous devons avancer graduellement, avec notre protection quand il est nécessaire, en respectant les consignes du gouvernement et sans prendre des actions qui peuvent mettre la vie d’autrui en danger.

"Soyons tous en mode solutions"Encore une enseignante qui en a long à dire sur les syndicats. Pourtant le gouvernement e...
07/05/2020

"Soyons tous en mode solutions"

Encore une enseignante qui en a long à dire sur les syndicats. Pourtant le gouvernement et la santé publique l'ont dit quelques fois cette semaine "Soyons en mode solutions". Malheureusement, les syndicats sont davantage concentrés en mode critique.

Certaines écoles le font déjà et elles tentent de trouver des moyens afin de rendre l'ouverture la plus sécuritaire et la plus adéquate. Par contre, d'autres s'acharnent à critiquer.

Le gouvernement est loin d'être parfait, mais le gouvernement n'est pas sur le terrain non plus. Donc, les enfants ont besoin de la créativité, l'expérience, l'originalité et les compétences des enseignants et des gestionnaires afin de rendre l'ouverture des écoles un succès.

La capacité d'adaptation est la clef du succès pour beaucoup d'entreprises et c'est autant le cas pour l'enseignement.

https://www.tvanouvelles.ca/2020/05/05/le-syndicat-nest-pas-solidaire-des-enfants-ou-de-leurs-parents?fbclid=IwAR2eKMVwXT8_X_FlOjsGruQRfEJHKoahPvBGzRXtB_QalVHdXT9uTqB6jps

Enseignante au primaire dans la commission scolaire de Montréal, Martine Bouliane dénonce les prises de position de son syndicat.

En date du 3 mai 2020Décès Coronavirus dans le monde : 245 474Décès de la grippe saisonnière : 164 499(estimation chaque...
03/05/2020

En date du 3 mai 2020

Décès Coronavirus dans le monde : 245 474
Décès de la grippe saisonnière : 164 499(estimation chaque année 290 000 à 650 000)

Voici la répartition des décès selon la tranche d’âge de différents pays et du Québec (dernière photo). À noter pour New-York ce n’est pas un pourcentage, mais sur 100 000. Donc, pour la tranche d’âge de 18-44 ans on parle de 0,01475%.

Ce que la santé publique et le gouvernement tentent d’expliquer depuis deux semaines c’est qu’il a deux mondes opposés concernant le coronavirus : les 60 ans et moins ainsi que les 60 ans et plus. C’est la raison pour laquelle le Québec, comme plusieurs autres pays, commence le déconfinement qui touche en majorité les 60 ans et moins.

Les plus pessimistes diront que le confinement aura servi à rien. Or, c’est un nouveau virus qui se propageait à une vitesse virulente, donc on devait se mettre sur pause pour se donner du temps à l’analyser et surtout ne pas créer un fiasco dans les hôpitaux. Maintenant qu’on sait plus d’informations comme les gens qui sont vraiment à risque sont les 60 ans et plus, il est logique de commencer un déconfinement graduel.

Les experts disent que le taux de mortalité de la grippe saisonnière tourne autour de 0,1% à 0,4%. Les symptômes du coronavirus sont différents, mais le taux de mortalité pour le groupe d’âge moins à risque est similaire.

La question se pose, quand on s’est empêché de vivre par peur de contracter un virus qui tue de 290 000 à 650 000 personnes par année?

01/05/2020

Ne pas faire sa « job » et blâmer son coéquipier

Voici la comparaison d’une orthopédagogue qui en avait gros sur le cœur concernant la réaction du président de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) cette semaine : « J’aimerais mieux que mon syndicat soit un chien de guide et non un chien de garde»

Elle a raison.

On assiste présentement à la remise d’un projet d’équipe, comme à l’école, qui a mal tourné. La population est le professeur. Monsieur Mallette se plaint à la population du travail de son coéquipier le ministre Roberge . Le problème c’est que Monsieur Mallette devrait savoir qu’avant la remise du projet, il faut toujours vérifier la partie de son collègue. Après tout, il est président d’une fédération, il devrait connaitre la « game ». C’est un travail d’équipe et non individuel.

Durant cette crise, on voit que des critiques virulentes des syndicats contre le gouvernement. Chacun à leur tour, ils font part de leur indignation. Bref, ils ne sont jamais contents, mais en revanche proposent rarement des solutions. Certes on peut cerner des maladresses du ministre Roberge dans l’ouverture des écoles, mais faut pas oublier qu’il a une personne qui s’en tire plutôt bien. Cette personne est le président de la FAE Monsieur Mallette. Cette semaine c’était son tour de sortir publiquement contre le gouvernement. D’entrée de jeu, il est allé dire que la fédération aurait aimé être consulté concernant la réouverture des écoles. Or, il y avait des communications chaque jour entre le ministre Roberge et ce dernier. Assistons-nous à une routine syndicale? Une certaine routine où il semble plus important de ternir l’image du gouvernement en faisant des grosses sorties médiatiques au lieu de travailler en équipe avec. L’ironie c’est qu’on est persuadé que le syndicat est efficace dans des situations comme ça.

Comme l’a si bien dit cette orthopédagogue, le retour à l’école était pour se faire, en septembre ou avant. Par contre, Monsieur Mallette n’était pas en mesure d’être proactif et de présenter un plan publiquement pour ses membres. Question d’être proactif afin de bien défendre les conditions exigées par ses membres. N’oublions pas, il était aux premières loges du dossier au provincial. Alors, pourquoi avoir attendu que le gouvernement fasse l’annonce du plan publiquement pour réagir? En regardant cette situation, on peut même se demander s’il a juste laissé le ministre Roberge élaborer le plan en se disant je réagirais publiquement pour montrer que les cotisations des membres servent à quelque chose. Il est important de grogner un peu et d’être sur ses gardes.

Malheureusement, c’est les membres en payent le prix, dans tous les sens du mot.

28/04/2020

Le scandale des écoles sous un autre angle

D’emblée, il va de soi que l’ouverture des écoles primaires n’est pas une solution parfaite, mais dans un tel contexte d’incertitude où il est impossible d’attendre un vaccin et où, malheureusement, la situation risque d’être aussi critique en septembre la solution d’ouvrir les écoles en mai est la meilleure situation. D’ailleurs le Québec emboîte le pas de plusieurs autres pays.

Dans une telle crise, il est impossible d’adopter la parfaite solution, mais bien de trouver la solution qui a le meilleur ratio : points positifs vs points négatifs.

Les phrases du jour « On ouvre les écoles, mais je ne peux pas voir ma famille/amis » et « Ridicule de prendre des enfants comme cobayes pour l’économie »

Le but de l’ouverture de l’école a été clair depuis le début : le bien-être général des enfants. Quel serait le but d’ouvrir les écoles pour quelques semaines si après les classes on retrouve le même problème des parents qui travaillent et qui seront pris avec les enfants à la maison? Les pédiatres appuient cette décision. Violence, solitude, aucun encadrement, absence des déjeuners fournis à l’école et ça serait possible d’énumérer plusieurs autres. Donc, arrêtons d’être égocentrique en évoquant que nous ne pouvons pas voir notre meilleur ami, mais que les écoles ouvrent. Des enfants malheureux à la maison n’attend que de se sauver de leur situation familiale en allant à l’école et d’avoir leur petit déjeuner. Oui, une première en quelques semaines parce que c’est 240 000 enfants qui déjeunent chaque jour à l’école. Comparer le retour en classe et le fait de ne pas pouvoir voir ses amis est absurdité.

D’ailleurs, le retour à l’école est sur une base VOLONTAIRE, donc pour tous ceux qui, soit ne sont pas d’accords ou soit que l’enfant, que les parents ou que le personnel ont des problèmes de santé ne sont pas dans l’obligation de s’y présenter. Ou est le problème alors? Pour vous l’annonce du gouvernement ne change en rien votre situation, donc pourquoi continuer à dire que le gouvernement est incompétent dans sa gestion?

Certes le déroulement en classe sera plus complexe, le 2 mètres dur à respecter et il y aura beaucoup de modifications pour le fonctionnement en classe. Par contre, les policiers, les ambulanciers, les pompiers, les gens en santé et autres travailleurs essentiels doivent, eux aussi, réorganiser leur façon de travailler et/ou ne pas respecter le deux mètres à l’occasion. Certains n’ont pas nécessairement un masque, pensons aux pompiers dans les casernes ou même allant sur un appel assis côte à côte dans le camion. Le nombre dans une classe est plus élevé, cependant les services de garde d’urgence n’ont pas eu une explosion de cas depuis les dernières semaines. Ils avaient un peu moins d’enfants, mais aussi plus jeunes.

Une classe est un lieu propice à la contagion, mais n’oublions toujours pas qu’on parle du groupe de la population la moins vulnérable. Par contre, il serait nécessaire que les professeurs aient un masque à leur disposition pour certaine intervention et que dans la classe il ait au moins du purel.

L’importance de voir la réalité avec les chiffres.0 à 29 ans : 13,9% des cas, donc 3 472 cas et 0 décès 30 à 49 ans : 28...
27/04/2020

L’importance de voir la réalité avec les chiffres.

0 à 29 ans : 13,9% des cas, donc 3 472 cas et 0 décès
30 à 49 ans : 28,6% des cas, donc 7 145 cas et 14 décès
50 à 69 ans : 25,1% des cas, donc 6 270 cas et 130 décès

Ce groupe de personnes représentent les seuls qui seront dans les écoles.

Ce groupe représente 67,6% des cas ( 16 889 cas), mais 9% des décès (144 décès) ce qui représente 0,85% des cas. Je remets l’emphase sur le fait que sur les 3 472 des cas de 0 à 29 ans il n’y a toujours AUCUN décès.

Voici les 5 raisons évoquées par le premier ministre aujourd’hui :

1-Pour le bien des enfants surtout ceux en difficultés qui ont des troubles d’apprentissage. Une attente de 6 mois serait très néfaste et en septembre nous n’aurons toujours pas d’avancement sur la situation. (pas de vaccin)
2-Le risque est limité pour les 60 ans et moins (chiffres à l’appuie).
3-La situation est sous contrôle dans les hôpitaux contrairement à beaucoup d’endroits dans le monde c’est pourquoi on peut se permettre un déconfinement graduel.
4-La santé publique dit que c’est possible.
5-Les enfants à bas âge ont besoin de recommencer une vie et de voir leurs enseignants et leurs amis.

source: https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees

27/04/2020

4 aspects intéressant à retenir de cette pandémie. Effectivement, il en a beaucoup plus que 4.

1- L’importance de s’adapter rapidement et facilement autant les entreprises que les humains. Certaines entreprises auront traversé cette crise plus facilement que d’autres, car dès le départ ils ont adapté leur fonctionnement. Pensons aux entreprises qui ont changé leur chaine de production afin de produire des désinfectants, des masques ou des blouses, une compagnie d’escape room qui offre le concept en ligne chez soi ou des bars qui offrent des « parties » virtuels. Pour nous, malgré que ça ne soit pas facile pour plusieurs, on voit beaucoup de gens qui s’adaptent afin de trouver différents moyens originaux de profiter de la vie.
2- Le Québec, le monde est sur pause, donc notre vie est sur pause. En Amérique du nord, nous sommes reconnus comme une culture stressée qui vit « dans le tapis ». Nous essayons de mettre un horaire d’une semaine de 8 jours dans une semaine de 7 jours. Or, présentement tout s’est arrêté et nous pouvons prendre du temps pour soi et aussi du temps en famille. Prendre ce temps pour penser à des projets futurs sur le long et moyen terme par exemple.
3- Profiter des petits plaisirs de la vie. Oui ceci peut sembler « quetaine », mais on se rend compte qu’il est possible de trouver plaisir dans des choses simples et gratuites. Jamais nous n’avons vu autant de famille prendre d’assaut les rues pour marcher. Nous voyons défiler sur les réseaux des vidéos de gens qui trouvent différentes façons originales de s’occuper. Que ce soit de lire des livres, apprendre un nouvel instrument de musique, faire des drôles vidéos, faire des soirées jeux de société, etc. Nous réalisons que le plaisir n’est pas toujours dans la surconsommation ou dans ce qui coûte de l’argent.
4- Un peu différent des deux points précédents, le confinement nous apprend l’importance d’avoir, dans la mesure du possible, de l’argent de côté. Nous avons un bel exemple à quel point la surconsommation sur le crédit est dangereux. Vivre au-dessus de ses moyens parce qu’on veut la voiture de l’année, partir en voyage dans des hôtels 5 étoiles, avoir la grosse maison, une motoneige, etc. c’est vivre dangereusement et c’est vivre en prenant la chance que tout peut s’écrouler. Bref, nous pouvons faire allusion au point numéro que les gens qui traversent mieux cette crise sont ceux qui apprennent à aimer les petits choses.

Finalement, si on peut apprendre de cette crise à revoir ce qui nous rend réellement heureux peut-être que nous allons réaliser beaucoup de choses, dont notre consommation inutile. En réduisant la consommation inutile, la sensibilisation à l’achat local ainsi que la monté de la popularité du télétravail, sommes-nous dans la bonne direction pour une planète plus en santé?

24/04/2020

Cette page se veut un lieu d’information qui remet en contexte et en perspective certains sujets d'actualité. Le but de cette page est non seulement de voir le « iceberg » en surface, mais aussi sous l’eau. Trop souvent des sujets de l’heure sont partagés dans des articles avec un seul but étant de faire réagir les gens. Ils informent qu’en expliquant la pointe de l’iceberg ce qui est loin d’être l’idéal. Donc, sur cette page vous allez retrouver de l’information pertinente partagé de différentes sources d’information, des analyses qui mettent en perspective certains sujet et des opinions. Toute opinion divergente est la bienvenue entre la communauté, mais devra se faire dans un respect de chacun. Ceci est primordial.

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L’importance de mettre en perspective

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