Peace Radio

Peace Radio "Peace Radio la radio 60/70" (online depuis le 13/07/08) du Rock 24h/24 ! Vous pouvez écouter la ra

11/04/2023

The Bee Gees performed August 10, 1973 on The Midnight Special.Instagram: : : ...

18/02/2023

Music video by The Dirty Mac performing “Yer Blues”Director: Michael Lindsay-HoggExecutive Producer: Sandy LiebersonProducer: Robin KleinThe Dirty Mac perfor...

RIP Jeff... 🎸
12/01/2023

RIP Jeff... 🎸

Jeff Beck - She's A Woman (Live) from the BBC's 'Sing The Beatles'

08/01/2023

John, Yoko , Julian and Mick Jagger in The Rolling Stones' Rock and Roll Circus. December 11th 1968. ...

08/04/2022

Peace Radio "La Radio 60/70" 2008 - 2022 RIP
Un grand merci aux auditeurs depuis toutes ces années. 😔

23/02/2022

Bonne nouvelle ! Peace Radio est enfin réparé ! ✌️
https://peaceradio.jimdofree.com/

Le site de "Peace Radio" la Radio 60/70...(plus exactement de 1960 à 1979) La radio , des biographies , la playlist , des videos , un forum...

22/02/2022

⚒ La radio est actuellement indisponible (problème avec le serveur). Merci pour votre compréhension.

https://www.youtube.com/watch?v=zqgslos32mk
18/02/2022

https://www.youtube.com/watch?v=zqgslos32mk

Humble Pie was an English rock band formed by Steve Marriott in Essex during 1969. They are known as one of the late 1960s' first supergroups and found succe...

16/02/2022

Rockpalast WRD Studio-L, 1976.Pat Travers: Guitar & Vocals.Mars Cowling: Bass.Nicko McBrain: Drums.

14/02/2022

https://peaceradio.jimdofree.com/peace-radio-hall-of-fame/aphrodite-s-child/
Nouveau groupe dans le "Peace Radio Hall Of Fame" :

Aphrodite's Child est un groupe pop grec. Il est formé en 1966 par le claviériste Vangelis, le bassiste et chanteur Demis Roussos, le batteur Lucas Sideras et le guitariste Silver Koulouris, issu de la première formation d'Aphrodite's Child, participant à leur dernier album 666, album considér....

https://discord.gg/Cka5uSyX Peace Radio est maintenant sur Discord ! Rejoignez la communauté ! ✌️
11/02/2022

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Check out the Peace Radio (la radio 60/70) community on Discord - hang out with 1 other members and enjoy free voice and text chat.

11/02/2022
21/01/2022
21/04/2021

As promised, here's Grand Funk Railroad's 'Into The Sun' video with all info available, re-edited and re-synchronized. Taping was done at the 'Pirates World ...

Frampton Comes Alive! est le premier album live de Peter Frampton sorti en janvier 1976 sur le label A&M Records. Consid...
19/03/2021

Frampton Comes Alive! est le premier album live de Peter Frampton sorti en janvier 1976 sur le label A&M Records. Considéré comme l'un des plus grands albums live de tous les temps, il est resté trois semaines numéro 1 du Billboard 200 américain. L'album vaudra à Peter Frampton d'être invité à la Maison-Blanche par le président Gerald Ford. En 1995 sortira le disque Frampton Comes Alive II, qui aura un succès moindre que celui-ci.

Cet album fut enregistré lors de quatre concerts donnés pendant la tournée américaine de promotion de l'album Frampton. Le concert donné au Winterland Ballroom de San Francisco donnera la majorité de titres à cet album. Les concerts enregistrés au Marin County Civic Center de San Rafael (3 titres), à la Long Island Arena de Commack (2 titres) et au State University of New York College at Plattsburgh (1 titre) compléteront l'album. Le guitariste et claviériste, Bob Mayo a rejoint de groupe de Frampton pour cette tournée et le bassiste Stanley Sheldon remplace Andy Bown parti rejoindre Status Quo.

L'album se classa aussi à la première place des charts canadiens et entrera dans le top 10 allemand, nouveau-zélandais, hollandais et britannique. En France il se classa à la 7e place. Il se vendra à plus de huit millions d'exemplaires aux États-Unis ce qui sera la plus grosse vente d'albums de Peter Frampton.

La version Deluxe Edition/ 25th anniversary sortie en 2001, propose trois titres bonus enregistrés en public et un titre bonus enregistré en studio.

Dans le film Wayne's World 2, le personnage Wayne Campbell mentionne cet album en disant « Oh, excuse moi, tu m'demandes si j'connais l'album Frampton Comes Alive ? Mais tout le monde a le disque Frampton Comes Alive. En banlieue on te le distribuait gratuitement. Tu trouves ça dans ta boite aux lettres avec un échantillon de lessive. »

Dans la série Les Griffin, saison 5 épisode 1, Peter y fait référence : « Vous savez ce que c'est un monstre ? Frampton Comes Alive, 1976. L'un de vous n'a pas ce disque ? Je n'y crois pas. »

Dans la série Malcolm, Hal retrouve un bout de disque à moitié enterré par ses fils dans son jardin et se lamente : « Oh non ! Pas mon Peter Frampton en public ! »
(sources Wikipedia)

Richard P. Havens naît à Brooklyn en 1941 ; il est l'aîné d'une famille de neuf enfants. Dès son plus jeune âge, il orga...
19/03/2021

Richard P. Havens naît à Brooklyn en 1941 ; il est l'aîné d'une famille de neuf enfants. Dès son plus jeune âge, il organise avec ses copains de quartier des représentations de coin de rue, et il chante dans les McCrea Gospel Singers à l'âge de seize ans.

À vingt ans, Richie quitte Brooklyn pour s'imprégner de l'émulation artistique de Greenwich Village. « I saw the Village as a place to escape to in order to express yourself » (« Je voyais le village comme un endroit pour s'évader afin de s'exprimer »), se rappelle-t-il. Il arrive sur place durant l'époque des beatniks dans les années 1950 et y chante de la poésie, avant de dessiner des portraits pendant deux ans. Il passe toutes ses nuits à écouter de la musique folk dans les clubs de la ville. Nina Simone, Fred Neil et Dino Valenti le marquent alors profondément, mais il t**de à prendre une guitare.

La réputation de Richie en tant qu'interprète se répand bientôt dans les cercles folk de Greenwich Village. Il enregistre deux démos pour Douglas International en 1965 et 1966, mais aucune des chansons n'est commercialisée jusqu'à ce que ses deux albums fassent sensation. Il rejoint alors le légendaire manager Albert Grossman et décroche son premier contrat avec le label Verve Records, qui commercialise Mixed Bag en 1967. Ce premier album laisse envisager le meilleur, avec des titres comme Handsome Johnny (coécrit avec l'acteur futur oscarisé Louis Gossett Jr.), et la reprise marquante de Bob Dylan, Just Like a Woman, qui lui vaut la réputation d'être l'un de ses premiers interprètes.

Something Else Again, qui sort en 1968, est le premier album de Richie à se placer dans le hit-parade, avec son album précédent dans le même temps. La même année, Douglas International ajoute des instrumentaux de ses vieilles démos et réalise deux albums, A Richie Havens Record et Electric Havens, contre l'avis du chanteur. Moins d'un an plus t**d, la première coproduction de Richie, le double-disque Richard P. Havens, donne un aperçu au public de ses performances en public.

C'est en effet en tant qu'interprète en concerts que Richie se bâtit une réputation. À la fin de la décennie, il est très demandé pour des festivals de folk et de pop musique à travers tout le pays. Il joue au Newport Folk Festival en 1966, au Monterey Jazz Festival en 1967, au Miami Pop Festival en 1968, il fait l'ouverture du Festival de Woodstock en 1969, participe au Festival de l'île de Wight la même année et au premier festival de Glastonbury en 1970.

L'apparition de Richie à Woodstock s'avère être un tournant crucial dans sa carrière. En tant qu'ouvreur du festival, il captive la foule durant trois heures d'affilée, rappelé sur scène par le public encore et encore… À court de chansons, il improvise, sur un vieil air de gospel, Motherless Child, qui deviendra l'hymne de toute une génération : Freedom. Le succès de l'album et du film relatant le festival permettent à Richie de toucher un public à travers le monde entier.
Havens à Hambourg en mai 1972.

Entre-temps Richie créé son propre label, Stormy Forest, et livre Stonehenge en 1970. La même année sort Alarm Clock avec le hit Here comes the Sun, qui permet à l'album d'atteindre le top 30 du Hit parade. Stormy Forest lance encore quatre de ses albums, The Great Blind Degree (1971), Live On Stage (1972), Portfolio (1973), et Mixed Bag II (1974).

Il fait des apparitions mémorables à la télévision dans deux programmes désormais légendaires, The Ed Sullivan Show et The Tonight Show de Johnny Carson. Dans celui-ci, le public est tellement enthousiasmé qu'il continue d'applaudir même quand l'émission s'arrête, à tel point que Johnny Carson demande à Richie de revenir le soir suivant. De toute l'histoire de ce programme, le seul autre invité à être revenu d'un soir à l'autre, avec des parts d'audience remarquables, est Barbra Streisand.

Richie étend aussi ses activités au cinéma durant les années 1970. Il joue dans la représentation originale de 1972 de Tommy, l'opéra rock des Who, et décroche le rôle principal dans le film Catch my soul, en 1974, d'après Othello de Shakespeare. En 1977, il joue aux côtés de Richard Pryor dans Greased Lightning.

De plus en plus, Richie emploie son énergie à éduquer les jeunes sur les questions écologiques. Au milieu des années 1970, il cofonde la Northwind Undersea Institute, un musée océanographique pour les enfants, à City Island dans le Bronx. Ce qui, ultérieurement, l'amène à la création de The Natural Guard, une organisation visant à faire prendre conscience aux enfants que leur gestes peuvent avoir des conséquences sur leur environnement. Les enfants étudient le paysage, l'eau et l'air dans leur propre communauté et voient comment ils peuvent avoir une action positive sur leur environnement; avec quelque chose d'aussi simple que d'implanter un jardin dans un terrain vague.
Havens en 1974.

Durant les années 1970 et 1980, Richie entreprend une tournée mondiale ininterrompue et sort régulièrement des albums tels que End Of The Beginning, Mirage, Connections, Common Ground, Simple Things, et Now. En 1978, le guitariste Steve Hackett, anciennement du groupe Genesis, invite Richie à chanter sur deux chansons de son deuxième album solo, Please Don't Touch, titrées Icarus Ascending et How can I?, avec sa voix chaude, suave et unique.

Il garde cette allure dans les années 1990 et fait une apparition remarquée au concert des 30 ans de Bob Dylan, au Madison Square Garden, en 1992. L'interprétation par Richie de Just Like a Woman est acclamée par la presse comme l'une des meilleures performances de cette chanson, toutes stars confondues.

L'année 1993 voit la parution de Resume, The Best of Richie Havens, une longue anthologie de ses meilleurs titres depuis la fin des années 1960 jusqu'au début des années 1970, et en 1994 sort un nouvel album studio, Cuts to the Chase.

D'autres faits marquants ponctuent cette décennie, dont son apparition triomphale au Troubadours of Folk Festival à l'UCLA's Drake Stadium, et encore une fois, ce furent les acclamations du public qui refusait de le laisser quitter la scène. Lors d'une intervention à Los Angeles, qui poussèrent le dalaï-lama à demander à Richie, fortement engagé en faveur de la cause tibétaine, de jouer Lives In The Balance et Freedom, pour amplifier la portée de son message.

À l'été 1999, le premier livre de Richie est publié. Le titre, They Can’t Hide Us Anymore, se réfère aux considérations de l'auteur alors qu'il survolait la foule de Woodstock trente ans plus tôt.

Richie entame l'an 2000 avec une myriade d'activités. Il refonde son label Stormy Forest, il remastérise et réédite ses premiers enregistrements. Sa collaboration avec Peter Gabriel et le duo de danse anglais Groove Armada le présente à un tout nouveau public. Une tournée en Irlande et en Angleterre suit, avec un retour au légendaire festival de Glastonbury, où il joue avec son propre groupe puis rejoint Groove Armada sur scène, pour une performance soulignée par la BBC comme l'une des plus marquantes des trois jours du festival.

En 2002, Stormy Forest sort un nouvel album studio, Wishing Well, qui remporte des critiques élogieuses de la presse. « This acoustic soul giant truly seems to be getting more inspiring and graceful with age », selon Billboard, et Mojo d'ajouter : « he's lost none of his power to enthrall and enchant ».

Le National Music Council remet en 2003 l'American Eagle Award à Richie en récompense de sa place dans l'héritage musical américain, et pour la transmission « d'une voix rare et stimulante, d'intégrité et de responsabilité sociale ».

En 2004 sort de nouveau un album auto-produit, Grace of the Sun, sur lequel on retrouve Richie en tant que compositeur de la plupart des morceaux. Il est accompagné à la guitare par Walter Parks et Christopher Cunningham, et par des musiciens du monde entier comme Badal Roy (Inde), Jorge Alfano (Argentine) et Hasan Isakkut (Turquie). Le résultat en est une tapisserie exotique et envoûtante au service de la signature vocale unique de Richie.

Richie participe à la bande-originale du film sur Bob Dylan I'm not there sorti en 2007.

Son dernier album, Nobody left to crown (2008), traite de sujets variés tel que l'état de la démocratie américaine, des problèmes que rencontre l'industrie du disque ou encore des enjeux environnementaux mondiaux. À 67 ans, il entame une tournée européenne à l'occasion de sa sortie. Le 14 mai 2008, Richie Havens est invité pour la Cérémonie d'ouverture du 61e Festival de Cannes. Il y fait une brève, mais émouvante, apparition en interprétant Freedom, son morceau final joué à Woodstock en 1969. Sa prestation était un hommage à Sean Penn (président du jury), l'un de ses fans les plus célèbres.

En mars 2012, il avait annoncé qu’il arrêtait de se produire en public en raison de problèmes de santé. Il décède d'une crise cardiaque à son domicile de Jersey City le 22 avril 2013.
Discographie

A Richie Havens Record (1965)
Electric Havens (1966)
Mixed Bag (Février 1967)
Something Else Again (1968)
Richard P. Havens, 1983 (1969)
Stonehenge (1970)
Alarm Clock (1971)
The Great Blind Degree (1971)
Richie Havens On Stage (1972)
Portfolio (1973)
Mixed Bag II (Janvier 1975)
The End of the Beginning (1976)
Mirage (1977)
Connections (1980)
Common Ground (1983)
Simple Things (1987)
Sings Beatles and Dylan (1987)
Live at the Cellar Door (1990)
Now (1991)
Cuts to the Chase (1994)
Time (1999)
Wishing Well (Avril 2002)
Grace of the Sun (2004)
I'm Not There Bande originale (2007) (collectif - un titre de R.Havens)
Nobody left to crown" (2008)
(sources Wikipédia)

Timothy Charles Buckley III est un chanteur et auteur de chansons américain, né le 14 février 1947, mort le 29 juin 1975...
18/03/2021

Timothy Charles Buckley III est un chanteur et auteur de chansons américain, né le 14 février 1947, mort le 29 juin 1975 d'une overdose. Au cours de sa brève carrière, il a accompagné avec une voix dont la tessiture couvrait cinq octaves une musique mêlant folk, psychédélique, musique expérimentale, jazz, funk, musique soul et free jazz.

Il considérait sa voix comme un instrument, ce qu’il montre sur ses albums Goodbye and Hello, Happy Sad, Blue Afternoon, Lorca, Starsailor, Greetings From L.A. et si l'on est inconditionnel Sefronia. Il épouse Mary Guibert, avec qui il donne naissance à un fils qui deviendra le chanteur guitariste Jeff Buckley, également connu pour sa voix de trois octaves et demi, mort en 1997.

Fils d'un irlandais à la voix de ténor, il suit ses parents dans leurs déménagements successifs aux États-Unis (Washington, Amsterdam (NY) et Los Angeles). Très jeune, il découvre l’étendue du registre de sa voix (cinq octaves). Il commence une carrière de chanteur au lycée, à Orange county, puis dans les bars, s'accompagnant à la guitare dans les hootenanny. Il y fait la connaissance de Larry Beckett, qui compose les textes des chansons de ses premiers albums. À cette époque, il joue de la musique folk, très en vogue avec la percée de Bob Dylan. Il découvre aussi sous l'influence de Larry Beckett le joueur de sitar Ravi Shankar et la musique concrète de Karlheinz Stockhausen

Il forme un groupe avec Larry Beckett à la batterie, Jim Fielder à la contrebasse et Brian Hartzler à la guitare, qui joue lors des concerts des fêtes de lycée, sous les noms des Bohemians et des Harlequins Three. Peu à peu, ils sont invités à se produire dans les cabarets du Strip, à Los Angeles. Il y fait la connaissance de Frank Zappa qui joue avec les Mothers, qui deviendront plus t**d les Mothers of Invention. C'est à cette époque qu'il épouse Mary Guibert. Celle-ci fait un pseudocyesis (grossesse nerveuse) en 1966 ce qui provoque chez Tim une défiance à son égard.

Il continue de se produire dans les cabarets, où il rencontre Herbie Cohen, qui lui fait signer un contrat avec la Third story music. Celui-ci le fait inviter dans des cabarets plus prestigieux, dont le Troubadour. Il signe ensuite, poussé par Herb Cohen, pour le label Elektra Records (qui produit les Doors), chez qui il réalise son premier album Tim Buckley. Cet album folk révèle sa voix extraordinaire, qu'il manie avec une grande maîtrise, chantant de façon très veloutée et profonde, passant d'une voix de tête à des passages beaucoup plus graves. Bien qu'assez conventionnel, surtout dans le label (nouvellement) avant-gardiste Elektra, cet album sensible touche par ses côtés graves et doux-amers, et la recherche sur les sonorités de la musique folk.

Il se sépare de sa femme Mary Guibert à ce moment de sa vie, se désintéressant de son fils Jeff Buckley juste né (mais lui dédie son chef d'œuvre I Never Asked To Be Your Mountain). Il vit entre New York et Los Angeles et découvre Miles Davis et Thelonious Monk dans les boîtes de jazz. Il continue de se produire dans les lycées, où il croise Donald Fagen (futur leader des Steely Dan, et qui fut marqué par cette rencontre) et recrute Carter Collins dans son groupe, joueur de congas, instrument alors inconnu dans les groupes californiens.

Petit à petit, sa musique évolue vers un rock qui se mêle au folk de ses débuts. L'album Goodbye & Hello mêle expérimentations instrumentales, fréquentes à l'époque (orgues, sonorités étrangères à la musique : bruits de circulation, de machines) à des mélodies mélancoliques. La voix de Tim Buckley fait toujours merveille, rythmée, fiévreuse, passant par de nombreux registres.L'album Goodbye and Hello contient plusieurs chef-d'oeuvres de Tim Buckley, tels Carnival Song, Pleasant Street, Hallucinations, I Never Asked To Be Your Mountain, Morning Glory et enfin le morceau éponyme. C'est aussi de cette époque que date la chanson Song to the siren, ode mélancolique à l'amour inaccessible (qui n’est éditée que dans l'album Starsailor).

Au cours de l'année 1968, son style évolue en incluant des influences de blues. Ceci se manifeste dans le renouvellement permanent de la manière de jouer chaque morceau. Il inclut un joueur de vibraphone dans son groupe, puis recrute Danny Thompson en Europe, le bassiste de Pentangle.

De plus, dans ses tournées promotionnelles comme dans ses passages télévisés, il exécute de plus en plus d'improvisations. Cela est rarement apprécié, et le dessert commercialement. Cependant, dans une émission comme celle de John Peel (qui donne lieu aux célèbres Peel sessions), cela donne de fabuleuses versions d'anciennes chansons.

L'album sorti en 1969, Happy sad, confirme cette nouvelle orientation. Les morceaux sont enregistrés très rapidement, souvent en une seule prise, ou même improvisés et jamais rejoués. Les bases restent folk, même si la manière de jouer et d'enregistrer est très marquée par le jazz : improvisations, longs solos (notamment de vibraphone), durée des morceaux. L'ambiance générale est mélancolique, et il s'agit d'un des meilleurs albums de l'artiste. Il lui apporta de plus un nouveau public de connaisseurs exigeants.

Bien que les ventes de ses albums ne décollent pas, il connaît certains succès : un concert salle comble dans le prestigieux New York Philharmonic Hall, un bon classement dans le Billboard.

Son instabilité se manifeste dans tout les domaines : il quitte Jane Goldstein, sa compagne depuis près de trois ans, et se marie avec Judy Sutcliffe ; déménage sur Venice avenue, puis achète une maison à Laguna Beach (à 80 km de Los Angeles) ; et abandonne son style précédent. Il évolue vers le free jazz. Le morceau Lorca (sur lequel il s'essaie à l'orgue) de l'album du même nom s'inspire ainsi de In a silent way (Miles Davis). Sur d'autres morceaux du même album, il joue d'une guitare Fender à douze cordes. Ces chansons sont de longs morceaux presque sans rythme, seul Nobody walkin possède un refrain. Même si on peut considérer Lorca comme un coup d'essai, Tim Buckley fait preuve d'une rare virtuosité vocale, s'amusant à étirer chaque sonorité en longueur.

Bien qu'enregistré après Lorca, l'album Blue afternoon le précède pourtant dans les bacs. Tim Buckley le réalise pour son nouveau label, Straight. Cet album délicat réunit des chansons écrites pour d'autres albums, mais enregistrées en plusieurs sessions à New York et Los Angeles, avec son ensemble jazz. La tonalité reste folk-jazz, mélodieuse, et porte à merveille la voix veloutée de Tim Buckley (le morceau Blue Melody est peut-être le plus typique de ce style). La huitième et dernière chanson annonce la suite : The train est un morceau haletant, ponctué de gémissements, emporté par une guitare acoustique, et sur lequel le chanteur étire à plaisir certaines syllabes, jouant de plusieurs registres de sa voix. Et puis arrive Starsailor. Si Lorca comportait des traces de free jazz, Starsailor y plonge à pieds joints. À l'exception de 2 morceaux (Moulin Rouge et Song to the Siren), l'album n'est que vocalises atonales dont Monterey est l'exemple le plus réussi, Starsailor (le morceau), quant à lui flirte avec la musique contemporaine la plus exigeante.

Après une période de presque 2 ans où il exerce diverses métiers (dont chauffeur pour Sly Stone), il revient avec Greetings From L.A., un album gorgé de soul et de sexe (Sweet Surrender, Move On Top, Nighthawkin et surtout le délirant et sado-maso Make It Right avec le Beat me, whip me, s***k me and make it right). Jamais Tim Buckley n'avait sonné aussi confiant en lui. Il peut tout de sa voix : passe de l'extrême grave à l'extrême aigu, du chuchotement au cri.

En 1973 paraît "Sefronia" : y figurent notamment une reprise exceptionnelle du "Dolphins" de Fred Neil ainsi que le morceau-titre de l'album (en 2 parties). L'album final Look at the Fool est plus incolore (quoique plus musclé)...(source wikipedia)



Discographie :

"Tim Buckley" (1966)

• "Goodbye and hello" (1967)

• "The Peel sessions" (1968)
dream letter

• "Works in progress" (1968)

• "Dream letter - Live in London 1968" (1968)

• "The Copenhaguen tapes" (1968)

• "Blue afternoon" (1969)

• "Happy sad" (1969)


• "Live at the Troubadour 1969" (1969)

• "Starsailor" (1970)
happy sad

• "Lorca" (1970)

• "Greetings from L.A." (1972)

• "Sefronia" (1973)

• "Honeyman - recorded live 1973" (1973)
starsailor

• "The dream belongs to me - Rare and unreleased recordings 1968/1973" (1968, 1973)

• "Look at the fool" (1974)

• "Morning glory" (1968, 1974)

• "Once I was" (1968, 1974)

• "Blue Obsession" (1975)

• "Return of the Starsailor - Previously unissued live recordings 1967-75" (1967, 1974, 1975)

S.F. Sorrow est un album du groupe de rock anglais The Pretty Things, paru en 1968.Il s'agit de l'un des premiers opéras...
16/03/2021

S.F. Sorrow est un album du groupe de rock anglais The Pretty Things, paru en 1968.

Il s'agit de l'un des premiers opéras rock : basé sur une nouvelle écrite par le chanteur Phil May, l'album est structuré comme un cycle de chansons racontant l'histoire de la vie d'un certain Sebastian F. Sorrow qui connaît l'amour, la guerre, la folie et le désenchantement de la vieillesse...(Sources Wikipedia)

Beck, Bogert & Appice est un trio de Hard rock composé par le fameux guitariste anglais Jeff Beck (ex-Yardbirds, ex-Jeff...
16/03/2021

Beck, Bogert & Appice est un trio de Hard rock composé par le fameux guitariste anglais Jeff Beck (ex-Yardbirds, ex-Jeff Beck Group), et la section rythmique des groupes américains Vanilla Fudge et Cactus (Tim Bogert à la basse et Carmine Appice à la batterie).

Dès 1970 Jeff Beck envisage une association avec Tim Bogert et Carmine Appice, mais il est victime d’un accident de voiture qui empêche le projet de se concrétiser.

Bogert et Appice, qui furent préalablement membres de Vanilla Fudge forment alors le groupe Cactus accompagnés par le guitariste Jim McCarty et le chanteur Rusty Day. Après plusieurs albums, Cactus se sépare et Bogert et Appice redeviennent disponibles. Jeff Beck, après s'être remis de ses blessures, fonde un nouveau Jeff Beck Group et sort plusieurs albums avant de dissoudre son groupe en 1972.

Les trois musiciens, sans engagement, décident alors de concrétiser l’ancien projet de collaboration. Ils commencent à travailler sur leur premier album éponyme Beck, Bogert & Appice. L'album se vend bien en 1973 et inclut le succès Superstition, variante de la composition de Stevie Wonder. Plus t**d en mai 1973, le groupe enregistre un album en public au Japon à Ōsaka : Live in Japan (qui est longtemps resté une rareté). Le trio commence à travailler sur son deuxième album studio, quand Beck quitte subrepticement le groupe début 1974, entraînant sa dissolution définitive.

(Sources Wikipedia)



Jeff Beck : guitare, chant
Tim Bogert : basse, chant
Carmine Appice : batterie, chant

Discographie :

1973 - Beck, Bogert & Appice
1974 - Live In Japan (en public)

The Lovin' Spoonful — Summer In The City (1966)
16/03/2021

The Lovin' Spoonful — Summer In The City (1966)

1966... #1 US Billboard Hot 100 #1 Canada Top Singles Charts #2 Dutch Singles Charts #3 New Zealand.. This song contrasts what it's like to live in a large c...

Pet Sounds est le onzième album du groupe de rock américain The Beach Boys, sorti le 16 mai 1966 sur le label Capitol Re...
15/03/2021

Pet Sounds est le onzième album du groupe de rock américain The Beach Boys, sorti le 16 mai 1966 sur le label Capitol Records. L'album est souvent considéré comme l'un des plus influents de l'histoire de la musique pop, et comme l'un des meilleurs, avec des chansons comme Wouldn't It Be Nice ou God Only Knows. Pet Sounds est essentiellement un projet solo de Brian Wilson, créé après que Wilson a arrêté les tournées avec le groupe pour se concentrer sur l'écriture et l'enregistrement. L'album est marqué par des harmonies vocales mêlées d'effets sonores et d'instruments moins conventionnels en plus des claviers et guitares : sonnettes de bicyclettes, orgues, clavecins, flûtes, accordéon, harmonica basse, hautbois, Theremin, sifflet pour chien, instruments à cordes de type hawaïens et aussi des canettes de Coca-Cola et des aboiements de chien.

Bien que Pet Sounds soit considéré comme l'un des albums les plus importants de tous les temps, il ne fut pas certifié disque d'or à sa sortie, n'ayant atteint « que » la 10e position dans le Billboard 200. Album précurseur du rock psychédélique alors émergent, Pet Sounds est acclamé et imité pour son instrumentation baroque, spectaculaire et innovante. Il a été classé à la 1re place de plusieurs listes de magazines musicaux des meilleurs albums de tous les temps, tels que New Musical Express, The Times, Mojo et Uncut. Dans la liste des 500 plus grands albums de tous les temps selon Rolling Stone, il est classé à la 2e place derrière Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band des Beatles.

Syd Barrett (6 janvier 1946, Cambridge – 7 juillet 2006, Cambridge), né Roger Keith Barrett, était un musicien britanniq...
15/03/2021

Syd Barrett (6 janvier 1946, Cambridge – 7 juillet 2006, Cambridge), né Roger Keith Barrett, était un musicien britannique. Il s'adonnait également à la peinture. Il est un des membres fondateurs du groupe Pink Floyd, dont il est exclu en 1968 à cause de son comportement instable, principalement dû à la drogue. Il se lance alors dans une brève carrière solo avant de se retirer du monde pour vivre en reclus dans la banlieue de Cambridge.

Au début des années 1960, il joue dans divers groupes avant de rejoindre le groupe T-Set, formé par Roger Waters, Rick Wright, Nick Mason et Bob Klose, en 1965. Le groupe change de nom lorsqu'il se révèle qu'un autre groupe porte le même nom, et c'est Barrett qui trouve le nouveau nom en juxtaposant les noms de deux joueurs de blues : Pink Anderson et Floyd Council. Ils deviennent donc The Pink Floyd Sound, puis simplement Pink Floyd.

Il incarne un temps le mouvement psychédélique britannique : sa fraîcheur d'inspiration, sa musique hantée par l'enfance (See Emily Play), son utilisation des boîtes d'écho, et plus t**d son personnage proche de la schizophrénie font sensation.

Principal auteur et compositeur du premier album de Pink Floyd, The Piper at the Gates of Dawn (1967), ses contributions au second, A Saucerful of Secrets, se réduisent à un seul morceau, Jugband Blues et à une guitare sur Remember a Day. Incompris face à ses problèmes d'addiction et incapable de prendre la mesure des premiers succès du groupe, Syd glisse petit à petit dans un état second qui va pousser les autres membres du Pink Floyd, en décalage, à l'écarter du groupe. Lors des concerts, Barrett est absent, ravagé par les hallucinations dues sans doute à des prises quasi-quotidiennes de L*D qui accentuent sa schizophrénie. Cliniquement, il n'a pas été reconnu comme tel, mais comme le pense son ami David Gilmour, qui le remplaça comme guitariste de Pink Floyd, les drogues ont joué le rôle de catalyseur pour son incapacité à être idolâtré (incapacité réelle puisqu'elle le rend « fou »). En décembre 1967, les autres membres du groupe font appel à Gilmour pour pallier ses déficiences sur scène, mais le groupe ne joue que brièvement à cinq : l'exclusion de Barrett est rendue publique au début du mois d'avril 1968.

Syd enregistre deux albums solo dans les années qui suivent : The Madcap Laughs (1970) et Barrett (1971) puis jusqu'en 1974 d'autres très brèves sessions d'enregistrement publiées en grande partie dans Opel ou disponibles sur Internet, dans les compilations non officielles Have You Got It Yet. David Gilmour et Rick Wright l'aident en produisant ses albums. Souvent, Syd arrive en studio sous l'emprise d'acides. Les prises sont aléatoires et Gilmour doit intervenir de temps en temps pour reprendre quelques prises inaudibles. Barrett ne retrouve pas pour autant le succès rencontré avec Pink Floyd. Le second album est enregistré avec les membres de Soft Machine, groupe anglais de la même génération très réputé pour son psychédélisme novateur. Dans un entretien, il déclare que le plus important pour lui est de faire en sorte que chaque album soit mieux que le précédent, et il semble avoir été très satisfait des deux albums sortis sous son nom. Le groupe lui rendra hommage en 1975 dans un album intitulé Wish You Were Here.

1972 sera l'année de sa dernière réelle tentative de retour discographique avec le très éphémère groupe Stars qui le réunit au batteur T***k (Pretty Things, Pink Fairies) pour quelques répétitions et deux concerts. Il semble qu'il ait été approché de façon infructueuse par David Bowie pour d'éventuelles séances de studio au cours de l'année 1974 .

Alors que Pink Floyd enregistrait l'album Wish You Were Here, Syd Barrett rend visite à son ancien groupe. Toutefois, il est décrit par ceux qui ont assisté à la scène comme ayant grossi, rasé (sourcils y compris) et ayant un comportement plus qu'étrange (sautant partout et se brossant les dents). Les membres de Pink Floyd, dans un premier temps, ne le reconnaissent même pas. Roger Waters confiera s'être effondré en larmes alors qu'on lui disait qu'il s'agissait de Syd.

Les chansons de Barrett doivent beaucoup à la comptine ; mais c'est sa façon de modeler la structure de la chanson par rapport à la longueur des paroles (Bike), son traitement inédit de la cassure harmonique, sa maîtrise du chaos (Apples and Oranges, qui semble toujours au bord de la décomposition mais tient bon), et son chant grave voire rocailleux, très juste mais aux airs de faux amateur, qui oscille entre le parlé et le chanté, se perdant parfois dans les aigus (Effervescing Elephant) qui rendent son ton intriguant. Il est aussi très doué pour les jeux sur les mots et la provocation dans le ton au service d'atmosphères mélodiques riches et complexes, mais paradoxalement des mélodies simples, dans le sens qu'elles vont droit au but, devenant entêtantes, parfaitement reconnaissables et ciselées telles qu'on les connaît par cœur : c'est semble-t-il une des raisons de l'adulation dont il fait preuve dans les milieux rock.

Syd Barrett passe les dernières décennies de sa vie dans la banlieue de Cambridge, aux côtés de sa famille qui s'occupe de lui. Les royalties qu'il touche suffisent à satisfaire ses besoins. On ne sait pas s'il sympathise avec qui que soit, ses voisins le trouvent gentil lorsqu'ils se saluent quand il passe en vélo.Il s'adonne à ses passions, le jardinage et la peinture : Barrett disait d'ailleurs au début des années 1970 qu'il pensait finir sa vie en tant que peintre et non en tant que musicien, cependant ses peintures sont restées inconnues du public à partir du moment où il s'est mis à vivre en ermite. Il a également écrit un livre d'histoire de l'art, qui n'a pas été publié à ce jour mais que sa sœur, dans un entretien accordé peu après sa mort, a révélé détenir. Dans le même entretien, elle dit que Syd avait perdu tout intérêt pour la musique pop et n'écoutait plus que du jazz, et qu'il se sentait très loin de l'homme qu'il avait été.

Le mystère reste entier sur les causes de la réclusion volontaire de Syd Barrett. Celle-ci n'était pas totale, rien ne l'empêchait par exemple de prendre le train pour aller visiter les musées de Londres. Les états végétatifs ou dépressifs qu'on lui attribuait, la déchéance supposée aller de pair, relèvent peut-être de la légende. Ainsi, dans une interview accordée le 16/07/2007 au Sunday Times, sa sœur Rosemary le décrit comme « un homme ordinaire et aimable » qui « ne souffrait pas de maladie mentale (…) pendant les 25 dernières années de sa vie ». Force est de reconnaître qu'on sait très peu de choses de ces années-là, sur les éventuelles séquelles laissées par l'usage de drogues, et sur l'évolution de son existence au cours des années 70, 80, 90 et 2000.

Quelques années avant sa mort, Barrett a regardé en présence de sa famille un reportage télévisé sur les Pink Floyd. Il s'est déclaré heureux de réentendre See Emily Play.

Il est décédé le 7 juillet 2006 à son domicile de Cambridge, à l'âge de 60 ans, des suites de complications liées au diabète.

Discographie :

3 janvier 1970 : The Madcap Laughs
14 novembre 1970 : Barrett

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