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Thomas Grey Note Divertir, Emouvoir et faire Réflechir, par tous les médias.
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thomasgreynote 1 j[Podcast] L’épisode 03 est disponible sur toutes les plateformes de streaming ! 😍🔥Pour ce troisième ép...
18/11/2023

thomasgreynote

1 j
[Podcast] L’épisode 03 est disponible sur toutes les plateformes de streaming ! 😍🔥

Pour ce troisième épisode, nous avons regardé la saison 1 de la série The Boys.
Et c'est Orantis qui mène la danse, puisque c'est une œuvre de sa liste !

C'est dans un cordial désaccord que chacun va vous faire découvrir ce qu'il a aimé ou détesté dans cette série.
Que ce soit les personnages, le scénario ou la réalisation, tout y passe !

Venez donc découvrir et parler avec nous de cette série irrévérencieuse et puissante !

Cela se passe ici : https://www.podcastics.com/podcast/les-artmateurs/. 😘

Et pensez à liker, commenter, et vous abonner pour ne manquer aucun épisode. Et bien sûr, partagez et parlez du podcast autour de vous ! merci beaucoup 🥰.

⚠️On spoil généreusement⚠️
⚠️La série et donc le podcast sont pour un public averti ⚠️

[Podcast] L’épisode 02 est disponible sur toutes les plateformes de streaming ! Apple et Google Podcasts inclus !!! 😍 Le...
01/11/2023

[Podcast] L’épisode 02 est disponible sur toutes les plateformes de streaming ! Apple et Google Podcasts inclus !!! 😍 Le lien est dans ma bio. 😉

Dans cet épisode, nous parlons de l’album Enfantillage 3 de . Découvrez nos préférences, nos désaccords, nos coups de gueules, et tout ce que cet album est capable d’inspirer ! 🤟
Vous découvrirez aussi ce que, , , , , et les Comptines pour chanter l’Afrique ont en commun avec lui. 😁

Et s'il vous plait, likez, commentez, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode et, bien sûr, partagez et parlez du podcast autour de vous ! merci beaucoup. 💜

Bonjour à tous ! Je vous ai parlé de notre podcast en général. Voici quelques précisions sur le tout premier épisode ! D...
24/10/2023

Bonjour à tous !
Je vous ai parlé de notre podcast en général. Voici quelques précisions sur le tout premier épisode !
Dans celui-ci, un peu particulier, nous nous présentons, nous vous expliquons le concept du podcast et surtout les règles qu'on a mis en place pour rendre la chose plus intéressante !
Donc si vous souhaitez découvrir tous les épisodes potentiels à venir (c'est le multivers des Art'mateurs! 😱) c'est celui-ci qu'il faut écouter !
Le lien est dans ma bio !
Et bien sûr, parlez-en autour de vous et ajoutez le dans vos favoris ou abonnez vous sur vos plateformes de podcast préférés pour ne manquer aucun épisode ! 🥰
A très bientôt !

J’ai un rêve. Littéralement, je veux dire : j’ai un rêve dans une bulle. On me l’a livrée il y a quelques jours, dans un...
20/04/2022

J’ai un rêve. Littéralement, je veux dire : j’ai un rêve dans une bulle. On me l’a livrée il y a quelques jours, dans un coffret. C’est une sphère transparente de la taille d’un melon. Au toucher, c’est comme attraper une bulle de savon : humide, moelleux, fragile, irisée. Elle garde sa forme ronde au lieu de s’étaler sur ma main. Elle n’éclate pas quand je la presse. À l’intérieur, j’ai reconnu un vieux rêve ; ou plutôt l’émotion, le feu qu’il déclenchait en moi à l’époque. Ce feu est réapparu et, avec lui, les images sont devenues de plus en plus nettes. J’ai cherché partout des informations sur cette étrange livraison. En vain.

Ce midi, nous sommes au repas dominical avec ma famille. Je me confie, je leur parle de cette bulle, de son contenu. De mon rêve. Ma mère a peur que je gâche tout ce que j’ai construit. Mon père me prévient que les rêves, à quarante ans, c’est aussi utile qu’une cirrhose. Ma femme m’observe, mais ne dit rien. Ma sœur me rappelle que je n’ai jamais été bon pour ce genre de chose. Dans le jardin, nos enfants se rêvent astronautes et chanteur. Je les regarde. Je souris. « C’est qu’un vieux projet de toute façon ». Fin de la discussion. On parle politique.

Nous rentrons. La bulle est terne à présent. Presque effacée. J’ai peur de la prendre, de l’éclater.

- C’est important ?

Il est t**d. La question de ma femme me surprend, me sort de ma contemplation craintive. « Je crois, oui. J’en ai besoin ». Maintenant qu’il est visible, j’ai la sensation qu’il a toujours été là. On discute longtemps : elle a peur. Pour nous, pour elle, pour moi. Impossible de tout plaquer comme ça. Mais si c’est si important, nous trouverons des solutions. Pas à pas, on doit pouvoir grandir, et évoluer avec ce projet.

Je pleure. Je l’aime.

Cette nuit, je dors peu. J’ai peur de les décevoir. De les perdre elle et les enfants.

Cette nuit, ma bulle brille. Elle n’éclatera pas cette fois.

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Bonjour à tous !L’idée du roman semble vous plaire. J’en suis ravi ! 😁En même temps, j’aurais eu l’air fin si tout le mo...
05/04/2022

Bonjour à tous !
L’idée du roman semble vous plaire. J’en suis ravi ! 😁

En même temps, j’aurais eu l’air fin si tout le monde m’avait dit de le mettre à la poubelle. 😅

La bonne nouvelle c’est que j’avance. Lentement. J’en suis à 5 k mots, selon Scrivener. Mais j’avance. D’environ 2 k mots par semaine. Si je tiens ce rythme, j'ai besoin 6 mois pour terminer un premier jet de 50 k mots. Oui… Je ne suis pas un foudre de guerre. Je dois composer avec le travail, la famille, les amis, les jeux vidéo, les spectacles, la flemme et le sommeil — comme tout le monde quoi. C’est juste que je suis lent. Je vais donc éviter de vous donner des nouvelles du genre « coucou, 2 k mots cette semaine, youhou ! ». D’abord je me sentirais ridicule de ne vous dire que ça, ensuite je trouve cela futile pour vous.
Je vais essayer de partager avec vous des info’ sur ma façon d’écrire et, peut-être, surtout, sur l’histoire elle-même. Mais comment faire sans spoiler ? Je l’ignore. Donc nous verrons bien. 🤪

Je vous mets déjà en photo le support de mon plan à venir. Si je compte m’appuyer sur la méthode de Truby-sensei, je vais aussi tester l’outil qui me semble intéressant. Comme je pars sur une chronique, je ne pense pas me servir des cartes entrelacement. De plus, même si je n’ai qu’un personnage principal, j’ai utilisé toutes les cartes héros, car je veux identifier le point de vue de certains alliés ou antagonistes clés. J’espère ainsi leur apporter plus de profondeur. Je suis curieux de voir la différence en fin de premier jet.

Bon, et puis j’aimerais bien continuer les histoires courtes aussi. Je trouve que c’est un exercice très instructif, bien que frustrant parfois.

Donc comme d’habitude, je tâtonne, je teste, mais je continue d’évoluer et de vous donner des nouvelles, si ce n’est fréquemment, au moins régulièrement.

Et, bien sûr, sentez-vous libre de commenter, ❤️ ou partager !

Sur ce, je vous dis à très bientôt pour de nouvelles réalités !

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Bonjour à tous !Me revoilà, après deux semaines d’absence. Et c’est avec un poste un peu particulier que je tente d’atti...
31/03/2022

Bonjour à tous !

Me revoilà, après deux semaines d’absence. Et c’est avec un poste un peu particulier que je tente d’attirer votre attention. En effet, une vieille idée (entendre par là : un essai de roman avorté) a refait surface avec une approche différente, plus simple pour un premier essai.

J’ai donc écrit environ de 2200 mots de son introduction — contre 340 en moyenne dans les histoires courtes, pour vous donner un ordre de grandeur. Fort de mes dernières tentatives, je comprends mieux mon mode de fonctionnement et je vais passer au plan sous peu. Cela s’annonce comme un roman d’aventure avec une part de fantastique, avec un ton plutôt léger malgré les thèmes abordés. En tout cas, pour ce que j’en sais aujourd’hui. 😅

Mais avant de définir la trame globale, j’aimerais connaitre votre avis sur ces premiers éléments. De ces premiers mots. Qu’est-ce qui vous accroche ? Qu’est-ce qui vous manque ? Qu’est-ce qui vous intrigue ? Qu’est-ce qui vous ennuie ?

Je souhaite vraiment avoir vos retours, donc sentez vous libre de les partager en commentaire ou en MP. Tant que c’est constructif, je prends 🥰.

Merci à tous par avance ! 😊

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Contrainte de .buyck.auteur : ne jamais nommer le personnage principal.Il n’a pas de visage, ni même de cœur. Il descend...
16/03/2022

Contrainte de .buyck.auteur : ne jamais nommer le personnage principal.

Il n’a pas de visage, ni même de cœur. Il descend du ciel, silencieux comme la mort, sur la vie et le monde. D’abord, il est une ombre, un voile qui donne à la lande le charme mystérieux des légendes, à l’océan la beauté inquiétante des rêves. Puis il grandit pour devenir un mur qui vous isole. Il est le parrain des traitres, le patron des stratèges. Quand vous vous apercevez qu’il a enroulé ses bras humides autour de vous, vous êtes déjà aveugles et sourds. Il a coulé tant de navires, couvert tant de meurtres ; personne ne peut l’arrêter.

Après avoir fui l’attaque, je me suis écroulé contre un arbre, hors d’haleine et blessé. Je cherchais à reprendre mon souffle tandis que je surveillais l'arrivée des secours. Ou de l’ennemi.

C’est là qu’il est apparu. Je l’ai senti avant de le voir. Un frisson de givre m’a parcouru l’échine pour se propager sur tout mon épiderme. Son voile a frôlé mes membres engourdis par la peur et la perte de sang. Impuissant, je le regardais s’approcher, m’encercler en faisant disparaitre la forêt. Avant que j’en aie conscience, il ne restait plus que l’arbre qui me soutenait.

Ses mains indolentes se sont posées sur ma gorge, ma poitrine. L’air humide et épais me glaçait les poumons à chaque inspiration. J’étais incapable à présent de discerner autre chose que des ombres ; incapable de distinguer mes amis de mes poursuivants ou des arbres tremblotants. Si ce n’est la brûlure de ma plaie, plus aucune chaleur ne m’habitait. La privation de mes sens ajoutait à l’horreur de son souffle funeste. Acculée entre ses bras, la terreur me privait du peu de mouvement que mon état aurait pu me permettre.

Je l’ai senti, à ce moment : un doux ba**er sur mes lèvres sèches. Malgré son contact gelé, il était chaleureux, apaisant comme une invitation au repos. Je me suis détendu dans un long soupir. Le dernier arbre a disparu et l’assassin s’est retiré.

Maintenant, je sais.

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Thème : Femme infidèle au 17e siècle, de .Élisabeth lisait devant la cheminée quand le duc entre dans la pièce. Laura, l...
02/03/2022

Thème : Femme infidèle au 17e siècle, de .

Élisabeth lisait devant la cheminée quand le duc entre dans la pièce. Laura, la nouvelle domestique, installa le vin sur la table pour son maître. Sans un regard, la duchesse lui demanda :
- Où étiez-vous ?

Il alla se servir du vin et but une rasade :
- Eh bien, ma mie, au cabaret, pour le tarot du samedi.

Elle leva sur lui des yeux incrédules :
- Dame Hélène jouait elle à cœur ?

Même sous sa poudre, on le vit devenir livide.
- Je… comment ?
- Allons, cher ami, je ne suis point plus sotte qu’une génisse. Je sais la cause du défilé de nos domestiques. C’est une question de jours avant que la pauvre Laura ne soit victime de vos appétits.

Contenance reprise, il se moqua :
- Et quel cas en ferez-vous ? Me dénoncer peut-être ? Combien de femmes révèlent leur disgrâce ? Certaines filles publiques sont pourtant plus riches que moi.
- Mais, cher ami, l’affaire est déjà réglée.

Il manqua de s’étouffer dans son vin. Pris d’une rage soudaine, il jeta son gobelet, se précipita vers elle, saisit son visage et cracha :
- Vous avez osé ! Qui est-ce ? J’irai le tuer et vous ramènerai sa tête avant de vous trainer au pied des juges. Je vous ferai tondre, enfermer au couvent. (Il rit) Puis, à la grâce de notre bon roi, je trouverai un parti plus docile que la carne que vous êtes. Allons ! qui est-ce ?
- Un gentilhomme du nom de Juste Lepalais. Voulez-vous son adresse ?

Elle leva la main pour lui tendre un billet. D’abord stupéfait, le duc rejeta la tête d’Élisabeth, s’empara du papier et se dirigea vers la porte. Il tituba un instant, comme pris de vertige, se ressaisit et disparut dans la nuit.

La semaine suivante, on enterrait le duc, tombé de cheval, piétiné par celui-ci, puis victime d’hypothermie, alors qu’il se rendait au palais de justice — dont il avait l’adresse dans son manteau. En geste d'adieu, la v***e mit dans sa tombe la dernière bouteille de vin qu’il eut gouté. C’était son préféré.

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Thème : la liberté d’expression, de  .Contrainte : le début est la fin, la fin est le début, de .Rétrospection des faits...
23/02/2022

Thème : la liberté d’expression, de .
Contrainte : le début est la fin, la fin est le début, de .

Rétrospection des faits concernant M. Tyler Triel :

Ce dimanche 3 avril 2067, M. Tyler Triel s’est donné la mort, conformément au jugement du vote absolu. La popularité de M. Chris Martis, futur candidat à la présidence, a atteint des records de popularité après qu’il a déploré la perte d’un des piliers de notre nation. Il a collecté une somme conséquente pour commémorer son souvenir sur le réseau Synaptique.

Le vendredi 1er avril 2067, le résultat du vote a reconnu M. Triel coupable de haute trahison à 59,6 % — pour 59 nécessaires — le condamnant au Su***de Stream, sponsorisé par YouTurb.

Le mardi 29 mars 2067, une vague de colère a submergé le réseau et a abouti à une demande de vote collectif létal déposé par M. Martis.

Le lundi 21 mars 2067, M. Martis a partagé une série de vidéogrammes visant à discréditer le père de l’expression totale. Il le dépeignait comme : « un traitre à notre nation et à ses principes fondamentaux, un traitre aux libertés qu’il avait lui-même érigées à leur paroxysme et dont nous sommes fiers».

Le vendredi 18 mars 2067, M. Triel a publié une série de vidéogrammes sur le réseau Synaptique agréé YouTurb. Il y démontrait l’échec de son projet, l’effrontément de notre espèce et de son évolution, ainsi que la perte de sa propre foi en l’humanité.

Le jeudi 10 octobre 2052, M. Tyler Triel, philosophe et politicien, a transformé notre système politique en faisant voter la loi dite Triel Absolum. Celle-ci donnait aux citoyens le pouvoir législatif et judiciaire national, ainsi que la répartition des budgets par le biais des réseaux sociaux agréés. Il croyait en une liberté d’expression totale qui éveillerait les consciences à la responsabilité collective. M. Chris Martis, propriétaire du réseau YouTurb, en était le plus fervent détracteur.

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Thème : l’amour, de .Contrainte : 1ère et dernière phrase identique, de Florent Beauvois - page auteur.C’est quoi l’amou...
08/02/2022

Thème : l’amour, de .
Contrainte : 1ère et dernière phrase identique, de Florent Beauvois - page auteur.

C’est quoi l’amour ? C’est vrai, je vois cette fille depuis quelque temps. Elle me plait et je lui plais ; enfin, je crois. Mais ce soir, j’ai des doutes.
Une fois qu’on se connaitra, que le corps de l’autre ne sera plus une découverte, qu’est-ce qui nous restera ? L’amour, ce n’est pas que de l’attirance, il y a plus, non ? Si ça se trouve, c’est une garce.

- Mmm… Tu fais quoi ? Viens te recoucher…

Je me glisse sans un mot sous les draps et l'enlace. C’est peut-être ça l’amour : avoir envie, avoir besoin de l’autre près de soi. Se sentir en sécurité dans ses bras. J'en sais rien. On verra bien.

* * *

- Cahuète, t’as pas vu mes clés ?
- Sur ton bureau !
- Merci ! à tout à l’heure ! Je t’aime !

Je démarre la voiture.
« Je t’aime ». Je l'ai dit comme si tout allait bien, qu’on était heureux. On n’est pas heureux. On souffre. Deux ans qu’on essaie d’avoir un enfant. On s’engueule presque tous les soirs maintenant. Mais quand même, on se dit qu’on s’aime. Ça veut dire quoi ? Oui, on se supporte. Et c’est tout ? C’est ça l’amour ? Se supporter ? Et la complicité dans tout ça ? Je pleure.

* * *

- Cajou ? Tu peux venir coucher Noisette ?
- Mouais, j’arrive.

Je traine des pieds jusqu’à sa chambre. Il va falloir qu’elle apprenne à rester au lit une fois pour toutes. Ma femme, me caresse le bras et me sourit. Je m’adoucis. Je pousse la porte et vois ce petit bout de moi imiter le sommeil de la pire des manières. J’ai envie de rire ! De pleurer aussi. C’était dur, mais elle est là maintenant… Elle est si parfaite, innocente, fragile. Heureusement qu’on a tenu bon, avec sa mère. Aujourd’hui, on s’aime d’épreuves plus que de plaisir. Et c’est peut-être ça l’amour en fin de compte. Une victoire sur le quotidien ; sur le temps.

Je la borde, l’embrasse tendrement et lui chuchote :

- Je t’aime ma Noisette. Je t’aime fort.

Alors, elle ouvre grand les yeux et me regarde avec intensité :
- Papa ?
- Oui ?
- C’est quoi l’amour ?

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Bonjour à tous!Petit bilan de ce premier mois de motivation. Et déjà plusieurs leçons. La première concerne le temps :- ...
01/02/2022

Bonjour à tous!
Petit bilan de ce premier mois de motivation. Et déjà plusieurs leçons.

La première concerne le temps :
- Il est difficile pour moi de faire plus de deux posts par semaines. J’ai essayé, mais chaque fois, j’étais trop court, et je veux éviter de publier quelque chose de pas fini ; surtout si c’est juste pour dire « wouhou ! J’ai posté ! ». Cela n’a d’intérêt, ni pour vous ni pour moi.
- De manière plus globale, mon travail prend beaucoup de place et j’ai peu de temps pour écrire. Durant le mois de janvier, ce temps a très majoritairement été dédié à Instagram. J’aime ce compte, mais pas au détriment du reste.

La seconde concerne le contenu :
- Je n’ai pas encore partagé avec vous les œuvres qui m’inspirent. Mais cela viendra, j’ai même préparé certains brouillons. J’espère donc que cela vous plaira, le moment venu.
- Par contre, j’ai déjà publié un certain nombre Billets d’Humeur. Ils semblent avoir été plutôt bien reçus. Je me demande toutefois ce que vous préférez entre les Histoires courtes et ces billets. Je ferai une story pour avoir votre avis.
- Le premier tour des défis a apporté beaucoup de propositions ! Un grand merci à vous pour toutes ces idées. Je les exploiterai prochainement avec l’espoir que le résultat sera à la hauteur de vos attentes.

Ma conclusion est que je vais probablement me limiter à un post par semaine. C’est un exercice que j’aime et que je souhaite maintenir, mais le faire plus est une source de frustration et un budget temps que mon mode de vie actuel ne me permet pas de gérer avec sérénité.

Par contre, je veux continuer d’échanger avec vous, prendre en compte vos avis, et étoffer cette communication. Je vais donc expérimenter différentes stories dans cette optique. Pourquoi pas à propos de mes autres écrits ! À voir.

Vous l’aurez compris : je teste, je tâtonne. Mon objectif est de faire de ce compte un vecteur d’imagination, mais aussi de contact. J’espère que son évolution vous plaira.😊

D’ici là, je vous souhaite une agréable journée et de belles lectures ! 💜

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Je ne sais pas. Et si… oui, mais non. À moins que… je dois vérifier. T’en penses quoi, toi ? Tu crois que c’est ça ? Je ...
27/01/2022

Je ne sais pas. Et si… oui, mais non. À moins que… je dois vérifier. T’en penses quoi, toi ? Tu crois que c’est ça ? Je ne suis pas sûr, mais… je crois que j’ai un doute.

Au fond de moi, la réponse est évidente, je le sais bien. Je la connais. J’ai déjà pris ma décision. Tout autre verdict serait inutile ; stupide même.

C’est juste que je ne l’accepte pas. Comment le pourrais-je ? Si je décide, je perds une vie. Si je choisis, je n’ai plus le choix. L’indécision, c’est la peur du regret. Je ne veux pas commettre l’erreur d’avoir raison. Mais je ne voudrais pas non plus confirmer que j’ai tort. Je veux préserver mon temps des tentatives dérisoires. Alors je prends le temps d’une liberté illusoire. Tant que le choix existe, tout est possible, tout est vrai. Je prends du recul pour mieux hésiter à sauter. Je refais les calculs, au cas où je me serais trompé… les trente-six autres fois que j’ai vérifié.

Et je la connais bien cette peur. Elle peut naitre n’importe quand, pour n’importe quoi. Maison ou appartement ? Travail ou famille ? Rouge ou bleu ? Vanille ou chocolat ? Oui, je la connais bien. J’en suis venu à l’aimer. Hésiter est devenu un réflexe, un mode de vie. En fin de compte, ma seule certitude est de n’être sûr de rien.

Ma seule certitude… Je suis donc sûr de quelque chose. Jusqu’à quel point est-ce que je me mens ? Après tout, refuser de choisir est un choix. Et celui-là, je le fais sans vaciller, sans douter. Si choisir, c’est ne plus avoir le choix, choisir de ne pas choisir me prive de tous mes choix. L’indécision n’existe pas. Il n’y a que la non-décision. Et la non-décision, c’est la peur d’essayer. La peur de ne plus pouvoir revenir en arrière. Pourtant, le temps ne s’économise pas. Je ne pourrais jamais rembourser celui que j’ai perdu sous prétexte de ne pas vouloir le gâcher.

La décision est déjà prise de toute façon. Pourquoi refuser de l’accepter, si je n’ai rien à y gagner ? Plusieurs réponses sont possibles, mais… j’hésite.

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Connaissez-vous la blague de l’ascenseur ?C’est un homme qui appelle un ascenseur au dernier étage d’un immeuble. Il mon...
25/01/2022

Connaissez-vous la blague de l’ascenseur ?

C’est un homme qui appelle un ascenseur au dernier étage d’un immeuble. Il monte dedans et cherche le bouton du sous-sol -3, où est garée sa voiture. Sauf que les boutons passent de 0 à -4. Les portes se ferment. L’homme décide donc d’aller au -4.

L’ascenseur monte.

L’homme est perplexe puisqu’il pensait être au plus haut et qu’il demandait à descendre. Mais bon, quelqu’un a dû l’appeler. L’ascenseur monte toujours.

Alors, un choc violent secoue la cabine et son occupant. Sous l’impact, elle amorce sa descente. Rapide, la descente. L’homme se cramponne, dents serrées, les sens en alertes. Les boutons s’éclairent tour à tour ; pas assez vite pour suivre le rythme.

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Petite sonnerie. Les portes s’ouvrent. Un vent glacial vient le gifler. Dehors, c’est le noir absolu. Un grognement sourd fait vibrer la cabine. L’homme martèle le -3. Rien ne se passe. Il tente la cloche.

Une musique douce, nasillarde résonne dans le haut-parleur. « Allo ? Allo ! ALLO ! ». L’homme se déchaine sur les parois métalliques, puis se calme, abattu. À ce moment — c’est la partie que je préfère — il pense avoir un éclair de génie et observe le plafond. Mais lorsqu’il constate que tout ne se passe pas comme dans les films, son corps tout entier s’affaisse. L’homme lève la tête vers les ténèbres qui l’attendent. Il s’approche des portes, résigné. Il ferme les yeux pour se donner du courage.

Lorsqu’il les rouvre, le mur blanc devant lui indique -3. La musique nasillarde résonne dans le parking. J’adore leur tête à ce moment : entre joie irrépressible et terreur de la folie. Une femme passant devant lui le dévisage. Il fait peur à voir. Une fois en sécurité dans le cocon de son véhicule, il essaie de comprendre. Sans succès.

Mais une pensée insensée ne le quitte pas : il a vu l’Enfer.

Tordant ! n’est-ce pas ?

Surveillez les boutons de votre ascenseur la prochaine fois. Maintenant que vous la connaissez, peut-être oserez-vous me rendre visite ?

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Si vous me croisez, vous croirez sans hésiter que je suis un homme bien tempéré ; un peu coincé aux ourlets, peut-être, ...
20/01/2022

Si vous me croisez, vous croirez sans hésiter que je suis un homme bien tempéré ; un peu coincé aux ourlets, peut-être, en effet. Mais vous serez assurés d’un tempérament mesuré et d’une pensée bien formée.

Et bien, je vais vous confier un secret.

C’est n’importe quoi !

Moi je crois aux fantômes et aux dragons, aux leprechauns et aux griffons. Je fais des vœux et je suis capricieux. J’ai des tas de manies dans les mains, je m’émerveille d’un rien et je pose des questions étranges sans vraiment comprendre que cela dérange.

La patience ? C’est un concept inventé par les adultes pour reporter à plus t**d ce qu’ils ne feront jamais. La tempérance ? C’est un mensonge fabriqué par de vieux barbus qui ont depuis longtemps perdu le goût de s’amuser.

Moi, j’adore vivre des aventures extraordinaires et construire des repaires pour les mettre à l’abri des gens ultras ordinaires. J’ai découvert mon pays imaginaire entre Gohan et Prévert. Plus t**d, ils sont devenus Batman et Baudelaire, mais je n’ai jamais quitté leurs terres.

Je suis un superhéros dont le premier pouvoir est l’imagination. Je ris fort, je fais des grimaces et je pleure du matin au soir sans explication. Je ne comprends pas vraiment pourquoi les gens font ce qu’ils font, mais je peux presque toucher leurs émotions.

Je suis persuadé que tout le monde est beau à sa façon. Mais vous êtes si tristes, aigris, ternis. Surtout pas d’effusion ! Votre cœur pourrait s’emballer. Aucune vérité ne doit transpirer à moins qu’elle n’ait été conventionnée. Conventionné ? Pfff. C’est bien un truc d’adulte d’enfermer les idées dans des boites cadenassées. Moi, j’ai la curiosité de Jack Skellington et la logique de Tarrant Hightopp. Pour comprendre comment l’univers raisonne, je me sers d’un kaléidoscope.

Mais ne confondez pas gamineries et stupidité, car tout cela vous ne le verrez jamais. J’ai appris vos règles et vos coutumes, puis j’ai trouvé le costume parfait pour rester caché : celui de l’homme sage et bien tempéré.

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Jean-Louis, boulanger, marié, heureux, bon vivant, n’est pas prêt pour ce qui va lui arriver dans quelques instants.Il e...
18/01/2022

Jean-Louis, boulanger, marié, heureux, bon vivant, n’est pas prêt pour ce qui va lui arriver dans quelques instants.

Il entre dans sa cabine de do**he, comme tous les matins, commence à se laver et chante avec entrain.

Alors, les lumières s’éteignent. L’eau se coupe. La cabine tremble. Des éclairs la parcourent. Jean-Louis se crispe et jure au milieu du vacarme : le savon lui pique les yeux, c’est horrible !

Les secousses s’arrêtent. L’eau ne coule toujours pas mais la lumière revient ; plus forte et plus blanche. Notre héros tend l’oreille. Il entend discuter :

- Josiane ? C’était quoi ? T’as encore lancé le sèche-linge et le lave-vaisselle en même temps, c’est ça ?

Les voix se taisent.

- Josiane ? s’inquiète-t-il du bout des lèvres.

Il ouvre les portes. C’est le choc. Jean-Louis découvre, à la place de sa salle de bain, une sorte de laboratoire immense, ultra moderne, épurée. Un groupe d’individus, derrière des pupitres étranges, le fixent, ébahis. Jean-Louis les salue poliment et leur demande :

- Vous êtes des extraterrestres ?

Un petit homme dégarni étouffe un rire et le questionne à son tour :

- Vous venez de quand ?
- Pardon ?
- Quelle année ? s’impatiente-t-il.
- Heu… 2017. Pourquoi ?

L’homme regarde les autres, et leur crie dessus :

- Alors c’est ça notre élite ? Moins de 431 siècles et vous arrivez à vous planter de cible !
- Et… Pour ma salle de bain ? Vous sauriez où elle est ? Non, parce que…

L’homme se retourne vers lui et lui fait signe de refermer la cabine dans une gestuelle caricaturale. Penaud, Jean-Louis s’excuse et tire les battants avec précaution. Puis il attend.

Alors, tout recommence : obscurité, secousses, éclairs, silence, puis lumière et eau reviennent. Il est à nouveau chez lui.

Jean-Louis finit de se laver, pensif. Il se sèche, s’habille et descend trouver sa femme. Elle lui demande :

- Qu’est-ce que tu fabriquais là-haut, mon Lou ? Tu faisais un de ces boucans !
- Ben écoutes… Tu me croiras jamais… mais je crois bien que j’ai fait un voyage dans le temps.

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Il y a de ces matins où le vague à l’âme me prend, comme une vague alarme, qui me tire la larme. Aucune tristesse ne m’a...
13/01/2022

Il y a de ces matins où le vague à l’âme me prend, comme une vague alarme, qui me tire la larme.

Aucune tristesse ne m’anime, aucune liesse ne me berce. Juste la caresse d’une paresse au parfum de spleen.

Et l’hiver gèle les aubes sans prévenir, glace les os sans compatir. Le vague à l’âme, ne veut plus partir et il m’inspire le pire, embrume les rires, si bien que seule l’idée de me rendormir me tire un sourire.

J’attends que demain vienne pour attendre que demain vienne. J’attends, oui. J’attends. Rien d’autre à faire à présent. J’attends et je pense à ce que je n’ai pas fait hier, que je devrai faire demain, car, maintenant, c’est impossible. J’attends. Je regarde mes regrets s’échouer sur les côtes de mon cœur tremblant. Il fait froid, aussi, en ce moment. Combien de temps vais-je devoir attendre qu’il me lâche ce vague à l’âme ? Surement jusqu’au printemps. Alors j’attends.

Et pendant ce temps, je pense au temps perdu, aux rêves déçus, aux ambitions retenues, aux secrets disparus. Ces secrets qui faisaient de moi un enfant.

Je suis adulte à présent. Du temps, je n’en ai plus. J’ai une femme et des enfants, une maison et un crédit sur vingt ans. Mon temps, je l’utilise pour gagner l’argent qui gardera mes amours à l’abri des vents ; ma routine réconfortante à l’écart des turbulences.

Je soupire. J’ai le cœur vivant, mais l’âme mourante. Le vague à l’âme me tente. Si je prenais la tangente pour tout plaquer sans me retourner et faire de mes rêves une réalité. Tout quitter pour me retrouver. Quelle exaltation, quelle passion ! J’en ai des frissons ! Pas femme et enfant, non, évidemment. Mais le travail et la frustration… ce sentiment de perdre mon temps.

Puis, comme pour se moquer, le vague à l’âme se retire juste assez pour me rappeler qu’au lieu d’attendre et ruminer, j’aurais pu employer mon temps à faire de mes ambitions quelque chose de concret. Alors, malgré moi, je le ramène sur mes épaules et je me prélasse encore un peu dans l’irrationnelle beauté du spleen de celui qui n’a toujours rien fait.

Le printemps n’est pas encore arrivé.

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Bonjour à tous !J’espère que cette nouvelle année a bien commencé pour vous. Je vous souhaite qu’elle soit pleine de sur...
11/01/2022

Bonjour à tous !

J’espère que cette nouvelle année a bien commencé pour vous. Je vous souhaite qu’elle soit pleine de surprises exaltantes, de rires tonitruants et de rencontres inspirantes.😊

De mon côté, cela fait un an que j’ai commencé à vous raconter mes petites histoires sur ce compte. Et juste en faisant cela, vous êtes plus de 200 à avoir décidé de me suivre. Alors merci à vous !💜

C’est pour cela que j’ai envie de proposer plus de contenu, plus d’interaction pour cette nouvelle année. J’ai réfléchi à ce que je pourrais faire. Avec le capital temps que j’accorde à Instagram, il m’est difficile de vous offrir du 100 % original. Mais je peux au moins faire à ma manière ce qui existe déjà.

Bien sûr, je veux continuer à vous écrire des histoires courtes. Et je vous inviterai de nouveau à me lancer des défis. Cela vous plaira peut-être de découvrir des aventures que vous aurez vous-même provoquées !

Ensuite, j'aimerais vous proposer des billets d’humeurs. Il s’agira de textes non fictionnels dans lesquels je tenterais de décrire une émotion, une pensée, une peur, un désir sous une forme artistique. Ce type d’exercice est encore à l’état de brouillon, mais, s’il vous plait, je l’affinerai avec le temps et l’expérience.

Il y aura aussi les réflexions d’auteurs, comme ici, où j’échangerai avec vous sur ce que je fais ou sur un aspect de la narration, des histoires ou du travail d’écriture. Pas de conseil, pas de recommandation. Juste un échange d’idées avec vous ou le partage de fiertés et déboires autour de mes écrits et projets.

Enfin, il y aura les inspirations. Je vous parlerais d’une œuvre ou d’un artiste, littéraire ou non. Pas de critique ici, mais la recherche des raisons pour lesquels elle ou il m’inspire, ce qu’elle ou il provoque chez moi.

Et pour réussir à faire tout cela, je me suis fait un petit calendrier média ! Et il est prêt pour les deux prochains mois. 😎 Le défi est maintenant de le respecter ! 🤪

Alors ? Qu’en pensez-vous ? 😶

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