Réfléchir & Agir

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Réfléchir & Agir R***e autonome de désintoxication culturelle. Elle est enfin un antipoison radical à la bien-pensance et au meilleur des mondes de notre Système orwellien.

Fondée en octobre 1993 par Eric Rossi, Réfléchir & Agir est une r***e ouvertement européenne, païenne, identitaire, socialiste (et anti-capitaliste). Elle livre trois fois par an un regard et une réflexion sur l’actualité (politique, géopolitique, sociétale, économique) ainsi que de nombreuses pistes culturelles…

Dans chaque numéro figure également un grand entretien avec une personnalité
(Jacqu

es Martin/Alix, Edvard Limonov, Michel Mohrt, Jean Raspail, Brigitte Bardot, Brigitte Lahaie, Francis Lacassin, Jean Tulard, Eric Zemmour, Roland Dumas, Christian Vander, Vladimir Volkoff, ADG, Joël Houssin, Guy Sajer, Konk, Dieudonné, Dominique Zardi, Jean-Marie Le Pen, Renaud Camus, Alain Soral...) Notre r***e est diffusée en kiosque dans la France entière mais en vous abonnant, vous bénéficiez d'avantages exclusifs (accès à nos anciens numéros - même épuisés - en PDF, numéros spéciaux hors-commerce, CDs et autres bonus). C'est aussi le meilleur moyen de nous soutenir financièrement et de faire un bras d'honneur au Système.

Il sort bientôt, (ré)abonnez-vous !
06/12/2021

Il sort bientôt, (ré)abonnez-vous !

Notre vieux camarade Georges B. sort un nouveau catalogue passionnant. Vous pouvez le recevoir en écrivant à clubdulivre...
22/11/2021

Notre vieux camarade Georges B. sort un nouveau catalogue passionnant. Vous pouvez le recevoir en écrivant à [email protected]

Vive la France...
21/11/2021

Vive la France...

20/11/2021
Jeu : Abonnez-vous à notre lettre de diffusion Réfléchir&Agir !En envoyant votre mail à audaisarn@free.fr2 abonnements à...
12/11/2021

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Alerte fuite de botox en direct sur LCI. Déclenchement du plan ORSEC chez LR.
08/11/2021

Alerte fuite de botox en direct sur LCI. Déclenchement du plan ORSEC chez LR.

Agissez immédiatement pour Réfléchir&Agir !Une meilleure interactivité avec nos abonnés, des jeux-concours avec des lots...
05/11/2021

Agissez immédiatement pour Réfléchir&Agir !
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Il est des lieux où souffle l'esprit disait Barrès... Montségur, symbole de résistance (même si on épouse en rien la foi...
30/10/2021

Il est des lieux où souffle l'esprit disait Barrès... Montségur, symbole de résistance (même si on épouse en rien la foi rigoriste des Cathares !)

29/10/2021

Chers Amis,

Suite à une campagne d’une agressivité sans précédent exercée contre nous par l’essentiel des organisations de gauche locales (LFI, EELV, PCF, CGT, FSU, SUD, le planning familial, l’opposition au sein du conseil municipal…) concentrée sur notre librairie et notre présence dans les manifestations anti-pass où des extrémistes cagoulés nous ont menacés de mort - ils ont heureusement été proprement virés de la manif’ par les organisateurs - et qui atteint son paroxysme depuis la semaine dernière, suite à l’annonce de la tenue samedi dernier 23 octobre d’une conférence sur le nationalisme, nous avons subi deux agressions, la première dans la nuit du 22 au 23 octobre durant laquelle notre vitrine a été détruite par le jet d’un pavé et la seconde la nuit dernière où notre vitrine a été encore davantage détériorée.

Non contents de ces actes qui démontrent magistralement leur niveau d’argumentation, lesdites organisations ont lancé une “manifestation” violente le lendemain à 16h, devant la mairie, non seulement pour faire annuler la conférence mais pour faire fermer notre librairie - objectif assumé par une responsable du “collectif antifasciste” interrogée par la presse. Sachant que nous participons tous les samedis à la manifestation anti-pass, que celle-ci se conclut habituellement à 16h devant la mairie et que notre librairie est située à trois minutes à pied de leur lieu de rassemblement, il s’agissait clairement d’un traquenard qui nous était tendu pour nous agresser à l’issue de la manif. Prévenus à temps, nous avons quitté le cortège et réussi à rejoindre notre librairie pour préparer la conférence qui devait se tenir à 17h. Ne nous voyant pas à l’arrivée du cortège, le groupe de 150 antifas agressifs et violents qui nous attendait a foncé en direction de la librairie pour nous attaquer. Heureusement, la police a pu nous protéger jusqu’à l’issue de la conférence qui s’est tenue comme prévu, en présence d’environ quarante-cinq personnes. Je tiens à remercier la police pour son intervention massive et la presse locale pour avoir communiqué sur la campagne agressive et les actes de vandalisme que nous avons subis, tout en précisant que la police est intervenue, non pas pour séparer deux groupes venus pour en découdre mais bien pour protéger les personnes venues voir une conférence d’une groupe violent qui s’était réuni dans l’unique but de les agresser. Cette manifestation violente et haineuse a très probablement excité contre nous des voyous qui nous ont vandalisés la nuit par deux fois.

Pour rétablir la vérité face à la campagne calomnieuse que nous subissons, nous invitons chacun d’entre vous, ainsi que la presse - locale ou non - à une réponse publique que je tiendrai ce samedi 30 octobre à 17h dans les locaux de notre librairie. Ce moment convivial autour d’un café sera l’occasion de répondre à cette campagne ordurière et mensongère en nous présentant aux Vellaves tels quels et sans les lunettes déformantes des calomniateurs, mais aussi de tendre la main à ceux qui s’interrogent sur nous mais qui souhaitent entamer un dialogue constructif et enfin d’appeler les responsables de cette situation à apaiser les tensions pour que cessent ces agressions qui, en plus de mettre en danger une famille qui n’a d’autre moyen de vivre que son commerce, a semé un climat de terreur dans le quartier samedi dernier et continue d’entretenir une insécurité ambiante la nuit, après la fermeture de notre librairie.

Enfin, étant donné le climat de menaces et de terreur que ces personnes tentent de répandre, il est plus que probable que notre vitrine soit vandalisée à nouveau, après que nous l’ayons reconstruite. Par conséquent, nous nous trouvons dans l’obligation de poser temporairement un contreplaqué, puis d’envisager rapidement l’installation d’un rideau métallique. Etant donné nos moyens limités et l’absence de subventions publiques, je fais appel à votre générosité en lançant une collecte de dons pour nous aider à supporter ces épreuves et à tenir dans le temps pour continuer à vous proposer une offre culturelle alternative et libre. Pour nous aider, je vous invite à relayer ce message sur vos réseaux et, si vous souhaitez nous soutenir financièrement, à me contacter par courriel à l’adresse suivante : [email protected]

Merci beaucoup pour votre présence. Ensemble, nous gagnerons !

A bientôt

Maxime Sanial

Arts Enracinés

06 32 25 93 59

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09/10/2021

(hommage de notre camarade Georges Briche à Gilles Soulas - publié sur le site de Synthèse Nationale que, curieusement, on ne peut mettre en lien ici, censuré comme d'hab')

Chers amis, chers camarades

L’annonce subite du décès de Gilles Soulas, le soir même, m’a laissé sans voix. J’ai peine encore à réaliser que cela ait pu être possible tant je le voyais comme un de ces rochers marins qui, bien qu’usés par l’érosion, ne changent jamais de place. Toujours souriant, toujours optimiste, sans jamais perdre sa boulimie de mouvement, Gilles savait avoir des peines discrètes mais rire aussi du quotidien morbide qui agite depuis si longtemps notre pays en plein désarroi.

J’étais un jeune étudiant en Histoire quand j’ai fait la rencontre de Gilles, en novembre 2000. Oh, ce n’était pas une rencontre fortuite. Un militant lillois m’avait parlé d’une place de libraire disponible à Paris. Pour moi, passionné de lecture et d’histoire depuis l’adolescence, j’y voyais là une opportunité à ne pas rater. J’ignorais alors à quel point cette démarche allait alors changer ma vie.

Rendez-vous pris rapidement, j’eus un entretien avec celui qui allait devenir mon « patron » pour de longues années. Cette rencontre en elle-même résume tout le personnage. Après quelques questions-réponses dans un style de quizz, Gilles me demanda sèchement « quand est-ce que tu peux commencer « ? Je répondais… « euh, quand vous voulez »… Et lui enfin : « Bon, tu commences lundi ». Nous étions vendredi.

Dès lors, j’appris à connaître Gilles. Je ne parlerai pas des circonstances difficiles de ce métier de libraire que je ne pouvais pas encore percevoir dans sa réalité mais de savoureuses anecdotes parsèment toute cette expérience dont je ne suis pas encore sorti. Peut-on d’ailleurs renier ce que l’on est destiné à faire ? Ni lui, ni moi ne le pensions.

Je le vois encore se pencher sur moi, au bureau, découvrant que je ne savais pas me servir du minitel afin de me brancher sur le logiciel adapté aux libraires. En deux mots, rigolard, voyant ma gêne devant cet ustensile électronique, il me dit : « Tu ne sais pas te servir d’un minitel ? Il ne faut pas avoir honte ! Demande ! » Pour sûr, en la matière, Gilles s’y connaissait bien plus que moi.

Ces moments, passés en sa compagnie, m’avaient fait changer mon regard sur le monde de l’entreprise. Là où le gauchiste ou le gugusse de droite molle voient, en la personne d’un patron, un autocrate sans forme qui gu**le sur ses esclaves, je découvrais un chef d’orchestre tentant d’harmoniser les différences entre les personnalités dans cette micro société qu’était alors la librairie, la maison d’édition et sa succursale de vente par correspondance sans compter bien sûr les clientèles exigeantes. Lorsque, dérouté par telle ou telle tracasserie, je lui demandais conseil, Gilles me répondait, souriant et bienveillant : « Tu gères ».

Le soldat, en sa présence, devenait général. Ainsi fut le quotidien au cœur de la librairie. Bien des gens pensaient, jaloux, que cette expérience ne durerait pas. Que les procès qui se succédaient, les querelles de chefs de sectes, le harcèlement fiscal, les permanentes et douloureuses grèves de la Poste et, cerise sur le gâteau, la crise financière mondiale qui achevait toutes les petites entreprises françaises auraient raison de notre entreprise. Il n’en fut rien.

Gilles m’avait montré que seule la ténacité paye dans l’entreprise comme en politique et que les lendemains ne sont jamais comme on les imagine.

Mon expérience à la librairie, en dehors des commandes, du suivi des commandes, de l’achalandage en rayons, ce furent bien sûr l’incroyable 11 septembre 2001 qu’on ne présente plus et le fabuleux 21 avril 2002. A cette époque, nous croyions dur comme fer, Gilles et moi et tous nos camarades, que l’avenir était pour nous.

Cette époque émulante avait vu la naissance du RIF, des deux gigantesques fêtes de l’Identité et des Libertés (Salle Wagram, à Paris et Palais des Congrès de Versailles), de camaraderies inébranlables, d’un espoir fécond en un avenir pour la renaissance de la France. Et n’oublions pas Guillaume Faye, Jean Claude Valla, qui tous deux, avec des visions différentes, remettaient les pendules à l’heure sur la doxa bienpensante du système dans lequel notre pays et ses pseudo élites pataugent depuis longtemps.

Lorsqu’en 2005, la société fut mise en redressement, bien nombreux furent ceux qui pensèrent, parmi nos ennemis comme parmi certains ex-amis. « Ça y est, on a eu la peau à ces saligauds ».

Lorsque Gilles me proposa de rester dans l’aventure pour le suivre encore, environ 45 secondes m’amenèrent à cette réponse : « J’en suis ».

Mon départ de la librairie, quelques années plus t**d, devait amener quelques changements dans l’entreprise et pourtant, nous sommes restés en contact. Mon ancien patron était devenu mon client lorsque, sur les pas de la Librairie nationale, le club du livre national était créé.

Nous nous sommes revus très fréquemment, à l’occasion de marchés ou d’achat de stocks de livres. Nous avions toujours cette franche poignée de main et ces sourires si complices d’hommes qui se connaissent. Toujours serviable, Gilles restait pour m’aider à charger des livres dans mon camion alors qu’il n’avait rien trouvé pour lui.

Venu un jour à la maison, je lui réitérais mon invitation à déjeuner, avec nos familles respectives. Bientôt en retraite, il me promit d’avoir du temps pour lui-même. Il est parti avant, quelle tristesse.

Je pense souvent à ce que Gilles m’a dit un jour sur le parking d’une réunion de Synthèse nationale. « Dans ce métier, c’est un peu moi qui t’ai fait ». Il n’avait pas tort. Merci, Gilles de m’avoir mis le pied à l’étrier.

Merci Gilles.

Salut !

Georges

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