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Le PASTEF aux commandes : Plus d’excuses, l’heure de vérité a sonné pour le Sénégal ! Par Ndiawar Diop Une victoire écra...
18/11/2024

Le PASTEF aux commandes : Plus d’excuses, l’heure de vérité a sonné pour le Sénégal ! Par Ndiawar Diop Une victoire écrasante du PASTEF marquant la Fin des discours et ouvrant la place aux actes pour sauver le Sénégal ! Majorité absolue pour le PASTEF: Le peuple a tranché, le Sénégal attend des résultats ! Le peuple sénégalais a marqué l’histoire ce 17 novembre 2024 en se rendant massivement aux urnes pour élire ses représentants à l’Assemblée nationale....

Le PASTEF aux commandes : Plus d’excuses, l’heure de vérité a sonné pour le Sénégal ! Par Ndiawar Diop Une victoire écrasante du PASTEF marquant la Fin des discours et ouvrant la place aux actes po…

Le PASTEF aux commandes : Plus d’excuses, l’heure de vérité a sonné pour le Sénégal ! Par Ndiawar Diop Une victoire écra...
18/11/2024

Le PASTEF aux commandes : Plus d’excuses, l’heure de vérité a sonné pour le Sénégal ! Par Ndiawar Diop

Une victoire écrasante du PASTEF marquant la Fin des discours et ouvrant la place aux actes pour sauver le Sénégal !

Majorité absolue pour le PASTEF: Le peuple a tranché, le Sénégal attend des résultats !

Le peuple sénégalais a marqué l’histoire ce 17 novembre 2024 en se rendant massivement aux urnes pour élire ses représentants à l’Assemblée nationale. Le PASTEF remporte une victoire écrasante, marquant ainsi une nouvelle étape dans la vie politique du Sénégal. Félicitations au peuple sénégalais pour cette mobilisation exemplaire qui témoigne de sa soif de changement et de progrès.

Maintenant que les dés sont jetés, place au travail !
Avec cette majorité parlementaire, le PASTEF n’a plus d’excuses ni de prétextes pour retarder la mise en œuvre de son programme. Il est temps de voter des lois audacieuses, des réformes profondes pour répondre aux défis socio-économiques du pays, priorisant l’emploi, la santé, l’éducation, la lutte contre la corruption et la justice sociale. Il est également crucial de promouvoir l’unité nationale. Après des années marquées par des tensions politiques et sociales, l’heure est venue de rassembler les Sénégalais. La réconciliation doit être une priorité afin de projeter le pays vers un avenir serein et solidaire.

Il est aussi essentiel de faire disparaître l’impunité en bâtissant une justice impartiale où tous les citoyens, quelle que soit leur affiliation politique, sont égaux devant la loi. Ces quatre dernières années ont été marquées par des pertes en vies humaines tragiques, des blessures profondes et des divisions accrues. Il faut maintenant panser les plaies, offrir un accompagnement psychologique aux victimes des crises politiques récentes, investir dans des projets qui redonnent espoir et dignité aux populations, et prioriser le dialogue intercommunautaire pour reconstruire un tissu social fort.

Le PASTEF doit saisir cette opportunité pour montrer que le Sénégalais, sans distinction de couleur politique, est au cœur des priorités. Il faut valoriser les ressources locales et les talents nationaux, créer des opportunités équitables dans tous les secteurs, et renforcer les institutions pour éviter les dérives autoritaires.

Nous formulons des prières pour que cette victoire soit un tournant décisif et que le Tout-Puissant Seigneur des Mondes guide nos dirigeants dans la voie de la justice, de l’équité et du développement. Que cette nation s’aime de nouveau, s’unisse et se développe pour offrir un avenir meilleur à ses enfants.

Une majorité parlementaire doit être synonyme de progrès, pas d’abus. Le PASTEF doit incarner cette rupture en écoutant les besoins des populations dans toutes leurs diversités, en travaillant main dans la main avec la société civile et les experts, et en garantissant la transparence et la redevabilité dans toutes ses actions.

Le Sénégal vient d’écrire une nouvelle page de son histoire. Ensemble, faisons en sorte que ce chapitre soit celui de l’unité, de la prospérité et de l’espoir retrouvé.
Que Dieu bénisse le Sénégal et son peuple. Amine !

Par Ndiawar Diop
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Nationalisme Inclusif vs. Panafricanisme Vague : Le Duel Idéologique entre Tahirou Sarr et Ousmane Sonko ? Par Ndiawar D...
15/11/2024

Nationalisme Inclusif vs. Panafricanisme Vague : Le Duel Idéologique entre Tahirou Sarr et Ousmane Sonko ? Par Ndiawar Diop Quand le Panafricanisme de Sonko S'oppose au Nationalisme Inclusif Sénégalais ! Les récentes attaques d'Ousmane Sonko devant les militants du PASTEF contre Tahirou Sarr, figure montante du nationalisme sénégalais inclusif, soulèvent des interrogations. Pourquoi Sonko, qui se dit patriote et panafricaniste, cible-t-il aujourd'hui un allié qui l’a souvent défendu contre les assauts politiques du régime de Macky Sall ?...

Nationalisme Inclusif vs. Panafricanisme Vague : Le Duel Idéologique entre Tahirou Sarr et Ousmane Sonko ? Par Ndiawar Diop Quand le Panafricanisme de Sonko S’oppose au Nationalisme Inclusif …

Nationalisme Inclusif vs. Panafricanisme Vague : Le Duel Idéologique entre Tahirou Sarr et Ousmane Sonko ? Par Ndiawar D...
15/11/2024

Nationalisme Inclusif vs. Panafricanisme Vague : Le Duel Idéologique entre Tahirou Sarr et Ousmane Sonko ? Par Ndiawar Diop

Quand le Panafricanisme de Sonko S'oppose au Nationalisme Inclusif Sénégalais !

Les récentes attaques d'Ousmane Sonko devant les militants du PASTEF contre Tahirou Sarr, figure montante du nationalisme sénégalais inclusif, soulèvent des interrogations.
Pourquoi Sonko, qui se dit patriote et panafricaniste, cible-t-il aujourd'hui un allié qui l’a souvent défendu contre les assauts politiques du régime de Macky Sall ?
Ce virage critique soulève des questions sur la vision et les priorités du leader de PASTEF.

Ousmane Sonko serait-il en guerre contre un Nationalisme qui protège les Sénégalais ?

Est-ce la Peur de la montée - Pourquoi Ousmane Sonko redoute-t-il le Nationalisme de Tahirou Sarr ?

C'est un nationalisme inclusif en réponse aux défis du Sénégal; et bien Oui. Le discours de Tahirou Sarr repose sur un nationalisme sénégalais inclusif, loin des modèles occidentaux souvent marqués par l’exclusion. Il propose une vision où la cohésion sociale et l'identité sénégalaise sont au centre, tout en intégrant les étrangers dans un cadre légal clair. Cette approche met en avant la régularisation des immigrés et une gestion rigoureuse des frontières, un impératif dans un pays où celles-ci restent largement perméables.

Pour Tahirou Sarr, ce nationalisme n’exclut pas mais cherche à protéger les citoyens sénégalais face à des systèmes corrompus qui vendent des documents d'identité à des étrangers, laissant de nombreux Sénégalais sans papiers. Ce contrôle, loin d’être une fermeture, viserait à renforcer l'économie nationale en donnant la priorité aux ressources humaines locales.

N'est-ce pas une peur d’un leadership concurrent ?

Les critiques de Sonko pourraient-elles être motivées par la montée en puissance de Tahirou Sarr ?
Il est légitime de se demander si le leader de PASTEF, lui-même victime de jalousies politiques lors de son ascension, ne répète pas ce schéma face à un nouveau concurrent potentiel. L’idéologie de Tahirou Sarr, bien que distincte de celle de Sonko, trouve un écho auprès de nombreux Sénégalais qui souhaitent un équilibre entre TERANGA (hospitalité) et préservation des intérêts nationaux.

Panafricanisme et nationalisme : Une contradiction ?

Sonko se réclame du panafricanisme, une idéologie noble mais souvent déconnectée des réalités locales. La position de Tahirou Sarr, en revanche, met l’accent sur une priorité aux citoyens sénégalais tout en restant ouverte aux échanges africains. Contrairement à l’image d’un Sénégal sans contrôle migratoire, le nationalisme inclusif préconisé par Sarr propose des solutions pratiques : réglementation des flux migratoires, renforcement de la souveraineté et mise en avant des ressources locales.

Si l’on compare cette vision aux modèles occidentaux comme le Brexit, ou les politiques de Marine Le Pen et de Donald Trump, il est évident que Sarr offre une alternative équilibrée. Loin d’un nationalisme défensif et exclusif de l'Occident, il propose une approche qui pourrait inspirer d’autres nations africaines à prioriser leurs citoyens tout en favorisant une coopération régionale.

Sonko : une incohérence stratégique ?

Il est surprenant de voir Sonko s'opposer à un projet qui, dans le fond, n’est pas contradictoire avec ses idées patriotiques. Son insistance à dénigrer Tahirou Sarr pourrait être perçue comme une tentative de détourner l'attention des Sénégalais des enjeux réels, ou pire, comme une peur de perdre son monopole sur le discours patriotique.

Le nationalisme de Sarr ne cherche pas à isoler le Sénégal, mais à poser les bases d’un développement solide avant une intégration africaine globale. En cela, il complète plutôt qu’il ne contredit les aspirations panafricaines de Sonko. Pourtant, ce dernier semble ignorer que protéger les intérêts locaux n’est pas antinomique avec le panafricanisme ; c’est au contraire une étape cruciale.

Une occasion manquée pour le Sénégal

Le débat entre patriotisme et nationalisme inclusif aurait pu enrichir le discours politique sénégalais. Malheureusement, les critiques de Sonko risquent de polariser davantage les opinions et de détourner l’attention des solutions concrètes dont le pays a besoin. Le Sénégal n’a pas à choisir entre ouverture et protection ; il peut trouver un équilibre grâce à des idées novatrices comme celles de Sarr.

En définitive, Ousmane Sonko gagnerait à s’inspirer du modèle proposé par Tahirou Sarr. Le Sénégal a besoin d’un leadership uni, capable de relever les défis économiques, sociaux et migratoires sans céder aux querelles politiques inutiles. Plutôt que de s’attaquer à ses alliés potentiels, Sonko ferait bien de reconnaître que le nationalisme inclusif pourrait renforcer la souveraineté sénégalaise tout en consolidant son propre combat pour un Sénégal fort et respecté.

En ce sens, Ousmane Sonko se méprend en voyant dans ce nationalisme une menace. Son discours d’unité africaine pourrait en effet s’enrichir de la vision nationale de Sarr, où chaque pays est encouragé à devenir autonome pour contribuer pleinement à une Afrique forte et solidaire. Si chaque pays africain renforçait ses capacités internes avant de s’ouvrir pleinement aux autres, cela pourrait être une étape essentielle vers une intégration régionale réussie et prospère.

Au final, le modèle de Tahirou Sarr offre une perspective d’union nationale, unie et inclusive, où chaque individu, Sénégalais ou étranger, peut contribuer légalement et respectueusement à l’essor de la nation. Un modèle dont le Sénégal pourrait s’inspirer pour construire un avenir serein, ancré dans ses valeurs tout en restant ouvert au monde.

Par Ndiawar Diop
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JOJ Dakar 2026 - Quand le Sénégal renie ses propres champions: Les nouveaux visages de l’olympisme sénégalais… sans ses ...
10/11/2024

JOJ Dakar 2026 - Quand le Sénégal renie ses propres champions: Les nouveaux visages de l’olympisme sénégalais… sans ses légendes ! Par Ndiawar Diop

JOJ Dakar 2026 - Exclure nos champions: Incompétence ou stratégie délibérée; qui a peur des héros du sport sénégalais ?

L’héritage sportif sacrifié sur l’autel de la politique - Quand l’élite du sport sénégalais est écartée des JOJ: Erreur ou ingratitude ?

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10/11/2024

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10/11/2024

JOJ Dakar 2026 - Quand le Sénégal renie ses propres champions: Les nouveaux visages de l’olympisme sénégalais… sans ses légendes ! Par Ndiawar Diop

JOJ Dakar 2026 - Exclure nos champions: Incompétence ou stratégie délibérée; qui a peur des héros du sport sénégalais ?

L’héritage sportif sacrifié sur l’autel de la politique - Quand l’élite du sport sénégalais est écartée des JOJ: Erreur ou ingratitude ?

À l’aube des Jeux Olympiques de la Jeunesse de Dakar 2026, événement censé représenter un moment de gloire pour le Sénégal, l'exclusion flagrante des grands noms du sport sénégalais tels qu’Amadou Dia Ba, Amy Mbacké Thiam, Mame Maty Mbengue, Henry Camara, Dr Mouhamed Diop, et tant d'autres nous interpelle. Ces athlètes, qui ont porté haut les couleurs du Sénégal sur les scènes mondiales, sont aujourd'hui marginalisés dans les préparatifs de cette grande rencontre internationale. Comment le Sénégal peut-il prétendre célébrer sa jeunesse et son sport tout en reniant ceux qui en sont les symboles vivants ?

Amadou Dia Ba, unique médaillé olympique du Sénégal, représente une part indélébile de l’histoire sportive du pays. Vice-champion olympique aux Jeux de Séoul en 1988 et médaillé d’or aux Jeux de la Francophonie en 1989, son parcours n’est pas seulement une réussite personnelle mais aussi une inspiration pour des générations entières de jeunes athlètes.
Comment peut-on exclure une telle figure, qui incarne les valeurs de discipline, de persévérance et de succès que les Jeux Olympiques de la Jeunesse sont censés promouvoir ?

Aujourd’hui, Amadou Dia Ba, en tant que président d’honneur de l’Association des Olympiens du Sénégal et premier vice-président de l'Association Mondiale des Olympiens, possède une légitimité indiscutable. Pourtant, son absence dans l'organisation de Dakar 2026 est un affront à la mémoire olympique du Sénégal et une tentative de réécrire l’histoire en écartant les véritables artisans du sport sénégalais.

Ce n’est pas seulement lui. Amy Mbacké Thiam, championne du monde de 400 mètres, Henry Camara et Elhadji Ousseynou Diouf (héros du football), Mborika Fall et Mame Maty Mbengue au Basketball, Cheikh Touré (sauteurs en longueur), Dr Mouhamed Diop (natation), Mouhamed Ali Ndiaye (boxe), Hortance Diedhiou (Judo), nos champions de la lutte, ou encore tant d'autres, restent aujourd’hui en marge des préparatifs de Dakar 2026.

Le sport sénégalais compte d’autres champions d’exception qui ont écrit l'histoire à l'échelle mondiale. Amadou Gakou, finaliste à Mexico en 1968, Ndiss Kaba Badji, finaliste aux Jeux de Pékin en 2008, ou encore Mamadou Diallo Rasta, finaliste à Los Angeles en 1984, sont autant de noms qui devraient occuper une place de choix dans les instances d’organisation des JOJ. Leur absence dans les préparatifs de cet événement est une insulte à leurs contributions et au potentiel inspirant de leurs parcours.

Il est ironique et choquant que ces légendes, ayant sacrifié des années de leur vie pour porter haut le drapeau sénégalais, soient aujourd’hui mises de côté, tandis que certains organisateurs, dont l'engagement envers le sport sénégalais reste contestable, s’accaparent les responsabilités. En écartant ces héros, les organisateurs semblent vouloir récolter les fruits de la gloire sans même en comprendre la valeur.

Il devient donc urgent de repenser l’approche organisationnelle des JOJ Dakar 2026 pour que cet événement reflète véritablement l'esprit du sport sénégalais et honore ceux qui ont fait sa grandeur. Impliquer les anciens champions et olympiens sénégalais comme dans le comité d'organisation des JOJ, permettrait d'apporter une crédibilité et un savoir-faire essentiels à la réussite de l'événement. Associer des figures emblématiques telles que Sadio Mané, Louis François Mendy, Gana Guèye et d'autres jeunes champions des différentes disciplines sportives à des programmes de mentorat pour la jeunesse, ou encore créer une exposition dédiée aux héros du sport sénégalais, renforcerait le sentiment de fierté nationale et montrerait au monde que le Sénégal est un pays riche de talents et d'histoires inspirantes.

Offrir aux athlètes de renom sénégalais l’occasion de partager leur parcours, leurs défis et leurs succès avec la jeunesse, via des ateliers ou des conférences durant les JOJ, permettrait également de transmettre leurs expériences et d’inciter les jeunes à viser l’excellence. Enfin, il est impératif que les organisateurs reconnaissent officiellement la contribution des anciens champions et rectifient cette exclusion en leur attribuant des rôles clés dans l'organisation des JOJ. Une telle démarche ne serait pas un simple hommage, mais une façon de consolider l'héritage sportif sénégalais et de renforcer la légitimité de l'événement.

Si les JOJ Dakar 2026 veulent réellement être un succès et un moment de fierté pour le Sénégal, ils doivent cesser d’ignorer les légendes qui ont façonné le sport national. Ignorer ces figures éminentes c’est non seulement effacer une partie de notre histoire, mais aussi envoyer un signal désolant aux jeunes : celui que les sacrifices pour l’excellence ne sont pas reconnus.

Il est donc temps que les organisateurs agissent avec sagesse, reconnaissent les véritables héros du sport sénégalais et créent un événement qui rende hommage à ceux qui ont sacrifié tant pour le Sénégal. La réussite des Jeux Olympiques de la Jeunesse ne pourra être totale que si elle inclut les champions qui ont construit le prestige sportif de notre pays.
Wassalam !

Par Ndiawar Diop
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America's Crossroads: The Illusions Behind Trump's Return. By Ndiawar Diop America Reimagined: The Realities of Trump’s ...
09/11/2024

America's Crossroads: The Illusions Behind Trump's Return. By Ndiawar Diop America Reimagined: The Realities of Trump’s Comeback ! Ladies and gentlemen, today, I’m speaking about a major moment in U.S. history—the return of Donald Trump to the White House. This isn’t just any election win. No! It reflects the deep divisions, the open wounds, and the unresolved issues in a country that calls itself the leader of freedom and equality....

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Retour vers le Passé: La victoire de Trump, reflet d'une Amérique divisée et désillusionnée ? Par Ndiawar Diop Quand les...
08/11/2024

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08/11/2024

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08/11/2024

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Autant de questionnements qui visent à souligner les tensions et les contradictions sociales dans le contexte de cette élection présidentielle américaine de ce 5 Novembre 2024.

L’élection présidentielle américaine vient de couronner Donald Trump pour un second mandat, marquant un retour retentissant de cet homme politique controversé à la Maison-Blanche. Ce résultat n’est pas une simple victoire électorale ; il représente un profond malaise dans le tissu social et politique américain. La nation semble aujourd’hui plus divisée que jamais, reflétant les tensions raciales, économiques et sociales qui traversent le pays. Cette élection illustre la résurgence des idéologies qui fragmentent l’Amérique, laissant les minorités dans un sentiment de trahison et d’insécurité.

Le fossé est désormais évident entre ceux qui soutiennent Trump, principalement des Américains blancs conservateurs, et ceux qui ont voté pour Kamala Harris, particulièrement les minorités afro-américaines et latino-américaines. Dans des États clés comme la Géorgie, la majorité des femmes blanches ont voté pour Trump, malgré ses nombreux scandales liés aux droits des femmes. En votant pour un homme reconnu coupable d'agression sexuelle et d'autres crimes, elles ont choisi le statu quo patriarcal, remettant en question leur propre émancipation. Cette décision alimente le ressentiment parmi les électeurs noirs et latinos, qui se demandent pourquoi la majorité blanche persiste à soutenir un homme dont les actions divisent et discriminent les Américains.

L’élection de Trump est perçue par beaucoup comme une victoire de la suprématie blanche, un renforcement des privilèges historiques des hommes blancs au détriment des minorités. Depuis des décennies, les Afro-Américains, les Latino-Américains et d'autres minorités luttent contre un système qui les marginalise dans presque tous les domaines : accès à l’éducation, marché de l’emploi, ou encore système de santé. Pire encore, les taux d’incarcération sont disproportionnellement élevés parmi les minorités, en raison d'un système judiciaire partial et discriminatoire. L'élection de Trump, dont les discours ont souvent résonné avec des idées racistes et xénophobes, vient exacerber ce sentiment d'injustice pour les citoyens noirs et bruns, qui se considèrent déjà comme des citoyens de seconde zone.

Avec le retour de Trump, un nouveau chapitre s’ouvre dans la politisation des institutions judiciaires américaines. Sa victoire lui permettra de nommer un nouveau procureur général qui pourrait révoquer le conseiller spécial Jack Smith et faire annuler les poursuites judiciaires à son encontre. De plus, un Sénat à majorité républicaine lui donnerait le pouvoir de nommer plusieurs nouveaux juges à la Cour suprême. Cette mainmise républicaine sur la plus haute juridiction du pays pourrait anéantir pour des décennies toute possibilité de progrès social : les droits reproductifs, la diversité et l'inclusion, les protections environnementales, et les réformes du système judiciaire risquent d’être écrasés sous le poids d'une interprétation conservatrice de la Constitution.

L’agenda politique de Trump est marqué par une volonté de destruction des acquis sociaux. Son désir de supprimer le ministère de l’Éducation et de réintroduire des pratiques policières controversées comme le "stop and frisk" menace directement les minorités et exacerbe les discriminations. Cette vision de l'Amérique représente un retour en arrière pour des millions d’Américains qui espéraient des avancées en matière de droits civiques et de justice sociale.

Le retour de Trump au pouvoir est aussi le symptôme d’une crise morale et éthique profonde aux États-Unis. Cette élection montre que de nombreux Américains sont prêts à fermer les yeux sur les comportements immoraux d’un dirigeant, à ignorer ses multiples inculpations, ses attaques contre la presse, ses discours haineux et sa dévalorisation des droits humains. Que les citoyens d’un pays se présentant comme un modèle de démocratie et de droits de l’homme puissent élire un homme qui incarne ces valeurs inverses soulève des questions troublantes sur l’état de la conscience collective américaine.

Dans ce contexte morose, les perspectives pour les minorités sont sombres. La victoire de Trump signifie la résurgence des politiques d’exclusion et de la répression, avec un gouvernement déterminé à protéger les privilèges des classes dominantes. Les figures de l’opposition comme Hakeem Jeffries, désormais chef des démocrates au Congrès, devront se battre pour maintenir un semblant de justice sociale dans un environnement hostile. Quelques victoires démocrates, comme l’élection de Lisa Blunt Rochester et Angela Alsobrooks au Sénat, peuvent donner un certain espoir. Cependant, il est clair que la lutte pour l’égalité et la justice sera longue.

Pour ceux qui croient en un avenir meilleur, il est essentiel de ne pas baisser les bras. Cette élection n’est pas un sprint ; c’est un marathon. Les minorités et les progressistes devront redoubler d’efforts pour faire face à un gouvernement qui les ignore, voire les méprise. L’auto-soin, la résilience et la solidarité communautaire seront nécessaires pour traverser ces temps difficiles. Ensemble, ils devront rester unis, renforcer leur voix et ne jamais cesser de croire en leur capacité à influencer le cours de l’histoire. Comme l’a souligné un des leaders communautaires après cette élection, « Peu importe ce qui arrive dans les jours à venir, nous sommes et resterons du bon côté de l’histoire. »

L’élection de Donald Trump est-elle une erreur temporaire ou l’expression authentique des valeurs et des peurs profondes de l'Amérique blanche ?
La réponse reste incertaine, mais ce qui est certain, c’est que l’Amérique qui s’éveille aujourd’hui est une Amérique divisée et désillusionnée. Les minorités, considérées comme des citoyens de deuxième classe, devront à nouveau se battre pour défendre leurs droits, leur dignité et leur place dans une nation qui semble leur tourner le dos. Le monde observe, inquiet, une Amérique qui semble trahir son idéal d’égalité, laissant place à une vision polarisée et régressive.

Par Ndiawar Diop
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Panafricanisme ou Division ? Quand la Croisade Anti-Religieuse Freine l'Éveil Africain. Par Ndiawar Diop Le Panafricanis...
05/11/2024

Panafricanisme ou Division ? Quand la Croisade Anti-Religieuse Freine l'Éveil Africain. Par Ndiawar Diop Le Panafricanisme Détourné: Quand l'Intolérance Religieuse Sabote l'Unité Africaine! Dans le cadre des discussions panafricanistes, certains militants semblent déterminés à stigmatiser les Africains pratiquant des religions dites "étrangères" comme l'islam ou le christianisme, en prétendant que seule la réadoption forcée des croyances ancestrales garantirait un véritable retour à la "dignité africaine"....

Panafricanisme ou Division ? Quand la Croisade Anti-Religieuse Freine l’Éveil Africain. Par Ndiawar Diop Le Panafricanisme Détourné: Quand l’Intolérance Religieuse Sabote l’Unité …

05/11/2024

Panafricanisme ou Division ? Quand la Croisade Anti-Religieuse Freine l'Éveil Africain. Par Ndiawar Diop

Le Panafricanisme Détourné : Quand l'Intolérance Religieuse Sabote l'Unité Africaine !

Dans le cadre des discussions panafricanistes, certains militants semblent déterminés à stigmatiser les Africains pratiquant des religions dites "étrangères" comme l'islam ou le christianisme, en prétendant que seule la réadoption forcée des croyances ancestrales garantirait un véritable retour à la "dignité africaine". Pourtant, une telle position non seulement manque de respect envers les croyances individuelles, mais elle contribue également à diviser les Africains plutôt qu’à les unir. Les récentes attaques contre le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, qui a effectué une Umrah (petit pèlerinage musulman) lors d'un voyage officiel en Arabie Saoudite, illustrent bien ce manque de respect et de tolérance envers la foi d'autrui.

Le Sénégal, pays à majorité musulmane, n’est pas étranger à la coexistence religieuse. Plus de 95 % des Sénégalais sont musulmans, mais ce pays accueille avec respect toutes les croyances. De même, aucun bruit ne se fait entendre lorsque des dirigeants chrétiens africains visitent le Vatican pour pratiquer leur foi. Or, certains critiques trop zélés du panafricanisme s’acharnent contre les pratiques musulmanes et chrétiennes, montrant leur mépris envers les expressions spirituelles de millions d’Africains, et réduisant la religion à une question de "dignité africaine". Ces apprentis populistes semblent ignorer que les rites et la dévotion font partie de l'héritage spirituel de l'Afrique, où nos ancêtres eux-mêmes s'agenouillaient devant leurs dieux.

Le panafricanisme est censé être une lutte pour l’émancipation africaine, la solidarité, et l'égalité. Mais en s’attaquant aux croyances religieuses des Africains, ces critiques tombent dans une guerre de division qui n’aboutira à rien de constructif. Vouloir imposer un retour forcé aux traditions religieuses africaines comme la seule voie d’authenticité, c’est non seulement contre-productif, mais aussi une atteinte à la liberté de culte. L'émancipation ne peut pas être construite sur la base de l'exclusion et du rejet de la diversité spirituelle. En réalité, ce type de militantisme mal orienté nuit davantage au panafricanisme qu'il ne le sert.

Dans notre quête d'émancipation, la division ne peut être l’outil du succès. Ce sont les dictateurs africains et les systèmes d’oppression internes qu’il faut dénoncer. Le panafricanisme ne consiste pas à pointer du doigt les croyances religieuses de nos frères et sœurs, mais à bâtir une solidarité basée sur des valeurs communes et des objectifs concrets. Pourquoi certains Congolais et Camerounais préfèrent-ils critiquer Diomaye, qui au moins a été élu démocratiquement, plutôt que de s’opposer aux dictateurs locaux qui bradent leurs terres ? C’est une question de courage, et d’authenticité dans le combat.

Les exemples de double standard abondent : ceux qui critiquent les musulmans pour leur relation avec le monde arabe, ou les chrétiens pour leur lien avec l'Occident, sont souvent les premiers à s'envoler pour des séjours de luxe à Paris ou Washington, à épargner leur argent dans des banques occidentales et à envoyer leurs enfants étudier en Europe. Ce sont ces incohérences qu’il convient de remettre en question, pas les croyances d’autrui. Chaque culture ou religion apporte sa part d’héritage, de valeurs, et de structure qui s’ajoute à la diversité africaine. Plutôt que de prôner une "pureté" artificielle, il nous faut accepter cette complexité et s’attacher aux combats qui rassemblent.

L'Afrique ne manque pas de défis : les conditions de travail des migrants africains en Arabie Saoudite, comme l’histoire de Mbayang Diop emprisonnée dans des conditions controversées, ou les injustices subies par de nombreux Africains en Occident. Ces questions méritent notre attention, notre solidarité et nos efforts diplomatiques. Critiquer ceux qui exercent leur foi religieuse, c’est détourner notre énergie des véritables urgences.

Vouloir tout mélanger – religion, politique, panafricanisme – mène à la confusion et à la division. Critiquer un croyant qui pratique sa foi, c’est s’engager dans un débat stérile. Il est nécessaire d'adopter une vision stratégique et lucide, en concentrant notre énergie sur des sujets essentiels pour l’avenir de l'Afrique. Au lieu de s'attaquer à la foi des autres, recentrons le débat sur l’économie, l’éducation, la santé, et la souveraineté politique.

Le véritable panafricanisme repose sur une méthodologie et une stratégie cohérentes. Si nous voulons que le panafricanisme réussisse, il doit commencer par unir, non diviser. Et pour cela, il est impératif d’apprendre à respecter la religion des autres. La spiritualité de chacun est une affaire personnelle qui ne devrait pas être utilisée comme un argument pour décrédibiliser son engagement ou son identité africaine. Soyons intelligents dans notre lutte et laissons la foi en dehors de débats politisés et émotionnels.

En somme, il est temps pour ces apprentis panafricanistes de cesser de vouloir imposer leurs vues religieuses, et d'apprendre ce qu’est véritablement le panafricanisme : un mouvement de respect, de solidarité, et d'unité.

Par Ndiawar Diop

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