Babacar Diouf l'Officiel

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15/06/2024
Pastef Ngueniene dénonce la délinquance foncière du Maire et la complicité du Préfet de Mbour. La section communale de P...
15/06/2024

Pastef Ngueniene dénonce la délinquance foncière du Maire et la complicité du Préfet de Mbour.

La section communale de Pastef Ngueniene dirigée par Dr. Saliou a tenu ce samedi 15 juin 2024 un point de presse devant la mairie de ladite commune. Il a été question de communiquer sur la délinquance foncière observée dans leur commune depuis plusieurs années et dont le principal acteur est l'actuel maire.

Quatre à cinq dossiers ont été soulevés par Dr. Saliou Ndiaye. Mais deux ont particulièrement retenu notre attention.

D'abord, le dossier du projet de lotissement de 80 ha fortement décrié par la population. La loi sur le domaine nationale exige des autorités municipales des concertations avec les populations sur des lotissements sur des champs exploités.

Malheureusement, d'après le responsable communale de Pastef Ngueniene, le maire n'a pas consulté les usagers de ces terres. Cet acte solitaire et inelegant pourrait favoriser de futures contestestions et conflits. Dr. Saliou Ndiaye dit ne pas être contre un lotissement, mais ceci doit impérativement suivre la procédure réglementaire et tenir compte de l'intérêt des populations.

Ensuite, il y a le dossier des 35 ha de la famille de Mansour Barro de Barro sur les terres du village de Ndiemane. D'après Dr. Saliou Ndiaye, coordonnateur de Pastef Ngueniene, le Préfet de Mbour a signé un acte d'approbation sur un procès-verbal d'une prétendue délibération du 02 octobre 2023 du Conseil municipal. Or, à cette date un conseil municipal ne s'est pas tenu et jamais cette instance n'a délibéré sur cette question. Le responsable Pastef accuse le Maire de Ngueniene d'avoir fait du faux, ce qui est un acte diluctuel et répréhensible.

Il est aussi très étonnant que le chef de l'exécutif département puisse signer un acte administratif basé sur du faux. Cela est un manquement grave qui engage totalement sa responsabilité dans ce dossier.

Il relève de toutes ces questions, la délinquance foncière des autorités municipales et la complicité des exécutifs locaux. La complicité de ces derniers a fondamentalement favorisé le bradage du foncier. Une complicité à quel prix ? La réponse relève d'une évidence.

Si les affaires de Ndengueler, de Mbour 4, de Mban, etc. ont pu avoir lieu, c'est parce qu'il y a la complicité de l'administration, en tête, l'exécutif local chargé du contrôle de légalité.

D'après nos informations, le Maire de Ngueniene est en train de créer une fausse amitié avec le ministre Serigne Gueye Diop dans l'espoir de trouver un refuge. La preuve, le 1er juin 2024, jour du Set Setal, au lieu de participer à l'activité dans sa commune, le Maire est allé auprès de Serigne Gueye Diop, donc dans une autre commune. Un acte ridicule et sans aucun intérêt pour lui.

Penser que le ministre pourrait lui servir de parapluie est simplement de la naïveté adulte. Serigne Gueye Diop n'est pas du parti Pastef pour avoir une certaine influence. Et même s'il y était, la gouvernance du duo Sonko-Diomaye n'est pas dans cette logique. En outre, si le maire cherche à se rapprocher de Pastef, il deviendrait un simple mililtant qui se rengerait derrière les responsables locaux et répondrait de ses actes devant la justice, au cas où il est poursuivi pour sa gestion opaque.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

La preuve de la manipulation des patrons de presses.
13/06/2024

La preuve de la manipulation des patrons de presses.

Fey impôt par force.
13/06/2024

Fey impôt par force.

13/06/2024

Ils sont à l'origine du mal, et ils veulent aujourd'hui avoir leur mot !!!!

La promesse du Gouvernement de diminuer les prix de certains produits est devenue aujourd'hui une réalité. Les prix du pain, de l'huile, du sucre, du ciment, des données mobiles, vont connaître une baisse. Cela s'est ajouté à la baisse considérable déjà opérée sur le prix de l'engrais qui est fondamental au développement de l'agriculture dans un pays où les sols se sont appauvris.

Le montant de la baisse annoncée aujourd'hui est considérée par certains comme dérisoire. Oui, la baisse n'est pas significative, chacun d'entre nous souhaiterait qu'elle soit plus importante pour mieux soulager les pauvres Sénégalais qui peinent à joindre les deux bouts.

Il y a toutefois un décalage entre les intentions et les possibilités. D'abord, nous devons savoir que nous avons une économie libérale. Aucun de ces produits n'est entre les mains du Gouvernement.
Le temps que la promesse de réduction a duré est lié à la nécessité de se concerter avec des acteurs privés qui achètent ou produisent puis revendent.

Ensuite, et surtout, le Gouvernement a hérité d'un Etat presque en faillite. Un taux d'endettement de 80%, une masse salariale explosive où on paie des laveurs de voitures, des filles de joie et autres ( d'après l'ancien Directeur de la Solde), des chantiers surfacturés en cours, etc., ne donnent pas une grande capacité de manœuvre.

Cette baisse jugée dérisoire coûte 53 milliards de FCFA à l'Etat qui est déjà en difficultés financières. Donc même si on n'est pas satisfait, on pourrait dire, " on vous a compris ".

Ceux qu'on n'a pas compris, ce sont ceux qui ont directement ou indirectement participé au malheur des Sénégalais et qui nous parlent aujourd'hui de baisse insignifiante, dérisoire.

Ce sont eux qui ont volé les terres des paysans empêchant à ces derniers d'avoir de l'espace où faire de l'agriculture pour réduire la dépendance alimentaire.

Ce sont eux qui ont volé l'argent des Sénégalais puis l'ont blanchi dans l'immobilier au point de rendre le loyer inaccessible au goorgoorlu sénégalais.

Ce sont eux qui ont détourné les bourses familiales en les octroyant à leurs militants dont beaucoup d'entre eux ne sont pas éligibles. Ils ont laissé en rade les vrais ayant-droits.

Alors qu'on avait besoin d'un recrutement massif d'agents pour contrôler les prix au détail, ils ont préféré recruter des FDS et des nervis seulement pour réprimer toute contestations et rester au pouvoir afin de continuer à voler les deniers publics.

C'est tout cela qui est à l'origine de la cherté du coût de la vie.

Ce sont les responsables, ces criminels financiers, fonciers, économiques et/ou leurs supporters qui nous parlent aujourd'hui d'une baisse dérisoire des prix. Ils n'ont pipé un mot devant les souffrances des Sénégalais car espérant des postes ou occupant des postes ou bénéficiant des avantages du régime.

Ces Harkis sénégalais feraient mieux de se taire.
Il n'y a pas plus ridicule parole que celle venant de quelqu'un qui ne devrait pas en avoir droit.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

12/06/2024

Des ouvriers de l'usine de carreaux KEDA (SN) CERAMICS COMPANY LIMITED de Sindia

Monsieur le Premier Ministre OUSMANE SONKO,
Nous, ouvriers de l'usine de carreaux KEDA (SN) CERAMICS COMPANY LIMITED, anciennement
TWYFORD, située à SINDIA, dans le département de MBOUR, région de THIES, sollicitons
respectueusement votre attention sur les difficultés que nous rencontrons au sein de notre
entreprise. Nos conditions de travail sont extrêmement précaires et nous souhaitons vous faire part
de nos problèmes dans l'espoir d'obtenir votre soutien pour améliorer notre situation et porter ce
message à Monsieur le Président de la République du Sénégal, BASSIROU DIOMAYE DIAKHAR FAYE.
Voici un résumé des principaux problèmes auxquels nous faisons face quotidiennement :
1. RÉMUNÉRATION INSUFFISANTES :
Nos salaires sont jugés très insuffisants au regard du nombre d'heures travaillées (12 heures pour
ceux qui sont en rotation), de la production réalisée journalièrement, et de la cherté de la vie
actuelle.
2. PAIEMENTS ET RETENUES NON JUSTIFIÉES :
Nous subissons des retenues salariales non justifiées et les règles de paiement sont
incompréhensibles pour la majorité des employés.
3. SANCTIONS POUR ABSENCES PAR PERMISSION OU NON :
Chaque jour d'absence est pénalisé de 12 500 FCFA, ce qui est excessif. De plus, si vous êtes absent
trois jours consécutifs, vous êtes licencié sans recevoir vos indemnités. En outre, si votre contrat est
terminé, vous ne recevez pas normalement vos indemnités.
4. LES SALAIRES :
La base salariale est de 72.425 FCFA, la prime de risque de 3.000 FCFA malgré le travail mécanique,
le sursalaire de 7.521 FCFA, et il n'y a aucune prime de performance pour les manœuvres.
5. MANQUE D’ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION :
Les équipements de protection individuelle (EPI) sont souvent insuffisants ou inadaptés aux
conditions de travail spécifiques à certains départements.
6. PROBLÈMES DE TRANSPORT :
Les véhicules mis à notre disposition pour assurer notre transport sont en mauvais état et ne
répondent pas aux normes de sécurité requises. De plus, la situation des routes est délétère,
augmentant les risques d'accidents.
7. CRITÈRES D’AVANCEMENT SUBJECTIFS :
Les promotions et avancements se font sur la base de l'appréciation subjective des chefs chinois,
sans tenir compte des compétences, des diplômes ou de règles d'évaluation claires.
8. GESTION DES DIRIGEANTS D’ÉQUIPES :
La plupart des chefs d'équipe et superviseurs, souvent appelés "chinois noirs", ne consultent pas les
employés et ne prennent pas en compte nos souffrances et nos préoccupations pour les transmettre
aux chefs de département.
9. RESTAURATIONS :
Les employés n'ont pas de restaurant dans l'usine, tandis que les Chinois disposent de leurs propres
restaurants. De plus, le menu qui nous est destiné est préparé par des employés de la direction, alors
que ceux-ci ne mangent pas ces repas. Enfin, on nous prélève 900 FCFA par plat, alors que les repas
fournis sont de mauvaise qualité et en quantité insuffisante.
10. APPROVISIONNEMENT EN EAU :
L'accès à l'eau potable est régulièrement interrompu, ce qui est inadmissible compte tenu de la
chaleur et des longues heures de travail (12 heures par jour/nuit).
11. NUMÉRO DE CAISSE SOCIALE :
Chaque mois, nous versons 19.884 FCFA à l'IPRES sans bénéficier de services adéquats.
12. MUTUELLE DE SANTÉ :
Nous souhaitons changer de mutuelle de santé, car DIPROM, notre actuelle, a des capacités
limitées. L’IPM nous coûte 4.500 FCFA par mois.
13. DURÉE EXCESSIVE DES HEURES DE TRAVAIL :
Les 12 heures de travail imposées ne sont pas conformes aux normes du Code du travail.
14. RENVOIS ARBITRAIRES :
Les licenciements sont souvent arbitraires et injustifiés.
15. CONTRAT DE TRAVAIL :
Les employés ne sont pas embauchés en CDI après deux CDD, contrairement aux dispositions du
Code du travail. Les anciens sont automatiquement licenciés un par un juste pour éviter de leur
signer un CDI.
16. CONGÉS MAL ORGANISÉS :
La gestion des congés ne respecte pas les règles du Code du travail, ce qui frustre les employés et ne
respecte pas la procédure de paiement des congés. De plus, la direction réduit le montant des congés
et l'intègre à votre salaire mensuel.
17. CHÔMAGE TECHNIQUE FORCÉ :
Les employés sont souvent mis en chômage technique de manière forcée par les responsables
chinois.
18. RECRUTEMENT D'ÉTRANGERS :
L’entreprise privilégie le recrutement d’étrangers au détriment des Sénégalais.
19. ACCIDENT DE TRAVAIL :
Si nous avons un accident dans l'usine, nous ne sommes pas pris en charge correctement. En
revanche, si c'est un Chinois qui est victime d'un accident, il sera immédiatement transféré dans une
clinique privée pour recevoir des soins adéquats. Après un accident, si nous devenons handicapés,
nous sommes licenciés sans que l'entreprise continue de veiller sur notre santé.
20. PRODUCTION ILLÉGALE :
Concernant l'installation de l'unité K3 au sein de l'entreprise, elle a été arrêtée avant les élections
présidentielles pour des raisons dont on ne nous a pas informés et qui ont causé des congés forcés et
non réglementés des employés. D'après les rumeurs, sa mise en place était illégale par manque de
licence. Elle va recommencer sa production en juin.
21. CONTRAT AVEC L’ÉTAT DU SÉNÉGAL :
Le contrat de cinq ans entre KEDA (SN) CERAMICS COMPANY LIMITED et l'État du Sénégal va bientôt
se terminer le 19 juin 2024. D'après les informations que nous avons, l'agrément accordé par l'APIX
expire à cette date. Cette échéance est critique pour notre avenir et celui de l'usine.
22. CLASSEMENT DE L’USINE :
Lors de chaque réunion avec la direction de l'usine, il nous est fait croire que c'est l'ex-président du
Sénégal qui a intégré cette usine dans le domaine du BTP. Or, les carreaux que nous produisons sont
des produits finis que l'on peut classer dans le domaine minier.
Monsieur le Premier Ministre, nous vous prions d'intervenir pour nous aider à obtenir des conditions
de travail dignes et le respect de nos droits. Votre soutien serait crucial pour remédier à ces injustices
et améliorer notre quotidien.
Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de nos salutations distinguées.

11/06/2024

Mamadou Ibra Kane, l'autre démagogue de la presse.

Mamadou Ibra Kane, le Président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse, PDG du groupe qui édite le quotidien Stades, ( différent de celui de Imedia)
est un démagogue hors paire. Ce matin, sur RFI, réagissant à la sortie du Président du Pastef, Ousmane Sonko sur l'impôt de la presse, il affirme " la presse est un secteur spécifique".

Mamadou Ibra Kane défend l'idée selon laquelle la presse ne peut pas avoir le même traitement que les autres, sur la fiscalité. C'est un manque de considération aux Sénégalais, une attitude irresponsable. Comment est-il possible de faire de la presse un secteur entièrement à part ?

Le média est une entreprise comme toutes les autres. Son prometteur est un investisseur qui a un capital, emploie des travailleurs, vend son produit, paie des salaires, fait des bénéfices. Il doit alors payer de l'impôt comme tous les autres. Si l'entreprise de presse n'est pas en mesure de payer de l'impôt, c'est qu'elle n'est pas rentable, elle doit fermer. C'est la règle dans l'investissement. On ne peut pas maintenir une entreprise non rentable, sinon on n'a d'autres intentions louches.

Comment peut-on croire à la thèse de la non rentabilité de l'entreprise alors que les patrons de presse roulent avec des voitures de dernière génération, construisent des châteaux et vivent dans un luxe insolent ? Madiambal a contruit une cité à Diamniadio pour ses travailleurs. Il paie des billets d'avion pour aller suivre les matchs de l'équipe nationale du Sénégal presque partout où elle joue. Il paie des billets d'avion pour aller suivre des finales de ligue européenne des champions.

Comment peut-on croire à l'idée que l'entreprise de presse n'est pas rentable alors que certains groupes de presse sont en mesure de faire comme le Paris Saint Germain en recrutant toutes les stars du journalisme et de l'animation ? C'est le cas de GFM.

Comment peut-on dire que l'entreprise de presse n'est pas rentable si on voit des groupes de presse qui font des secours dans le social, à coût de plusieurs millions par an ? C'est le cas de Dmedia et de GFM.

Comment peut-on dire que l'entreprise de presse n'est pas rentable alors qu'on compte plus de 30 quotidiens et chaque mois un ou des quotidiens naissent ?

Ces patrons de presse considèrent les Sénégalais comme des idiots. Ce sont des maîtres-chanteurs qui cherchent à s'enrichir sur le dos des pauvres Sénégalais. Créer un média pour soutirer de l'argent aux hommes politiques et aux hommes d'affaires, tirer sur ceux qui refusent de donner de l'argent, maintenir ses employés dans la précarité, leur couper l'impôt sans le verser et vivre dans le luxe, c'est du banditisme.

Il y a un groupe de gens, sans appartenance à un média connu, qui fait le tour des événements médiatisés pour empocher des perdiums et disparaître. Ces gens sont appelés dans le secteur, la Racaille. Mais il faut désormais considérer que la vraie racaille ce sont les patrons de presse qui sont dans la délinquance fiscale.

Nous encourageons le Président Diomaye et le Premier Sonko à rester ferme sur la question pour purifier ce secteur. La presse est un secteur clé dans une démocratie, mais à condition qu'elle soit entre les mains de vrais patriotes, des gens de bonne foi, intègres.

09/06/2024

APR, le défi quasi impossible de loosers !!!

Dans mes articles des années précédentes sur la vie de l'APR, j'avais l'habitude de dire que le parti est un prématuré qui souffre de sa précocité. C'est pour dire que le parti fondé par l'ancien Président de la République, Macky Sall, est trop tôt arrivé au pouvoir. Né en 2008, il est arrivé au pouvoir 4 ans plus t**d à la faveur d'un contexte particulier. Le Président Wade était rejeté par les Sénégalais alors qu'en face, les leaders de l'opposition ( Niass, Tanor, Idy, etc. ) étaient boiteux.

Macky Sall est arrivé au pouvoir et a fait la même erreur que Wade, c'est-à-dire ne laisser personne émerger comme un numéro 2. P*s, le parti n'est pas structuré, il n'était animé que lors des joutes électorales.

Macky, comme Wade, était la seule constante d'un parti qui n'avait pas encore fait un bon maillage territorial. La conservation de la coalition Benno Bokk Yakar avait aveuglé le Président qui s'était juste suffit de ses victoires électorales.

Après avoir échoué dans sa tentative de demander un troisième mandat, Macky Sall a choisi un candidat par défaut, Amadou Ba, puis l'a combattu ouvertement. En préférant qu'un opposant lui succède, au détriment de son propre candidat, Il a fait preuve d'une méchanceté qui a surpris tous les Sénégalais.

Mais il est dans une logique politique dont les chances de réussite sont trop faibles. Revenir au pouvoir en 2029, c'est ce que les informations concordantes glanées au sein du parti disent.

D'abord, Moustapha Diakhate qui est son pion a émis, lors de son émission à la 7 TV, la probabilité que Macky Sall dirige la liste de L'APR ou Benno aux prochaines élections législatives. Ensuite, tous ceux qui peuvent être de potentiels candidats du parti aux prochaines élections nationales sont écartés. Amadou Ba, l'ancien candidat, est écarté de toutes les activités du parti, il continue même à être combattu. D'après nos sources, il avait prévu, après son retour de son voyage de l'étranger, de faire une tournée nationale pour remercier les militants. Mais la direction du parti l'a court-circuité en organisant une tournée nationale.

Abdoulaye Daouda Diallo qui était un challenger d'Amadou Ba à la candidature de Benno à la présidentielle est aussi marginalisé. Il n'est pas impliqué dans la vie actuelle du parti, ses relations avec Amadou Mame Diop, parrain du couple présidentiel, ne seraient pas bonnes.

Ainsi, la coordination du parti est réellement entre les mains du beau-frère de l'ancien président, Mansour Faye. Ce dernier est entouré de gens comme Amadou Mame Diop, Abdou Mbow, Me Omar Youm, Thérèse Faye Diouf, Biram Faye, etc. C'est d'ailleurs ce groupe et quelques autres leaders qui étaient au conclave de Fimla de ce samedi 08 mai 2024.

Même si les moyens financiers dont disposent certains de ces leaders sont une arme politique à ne pas négliger, leur poids politique ne peut inquiéter personne.

Amadou Mame Diop est sorti de l'anonymat le jour de son élection à la présidence de l’Assemblée par la seule volonté de Macky Sall. Son influence ne dépasse pas la commune où il est maire.

Mansour Faye a été laminé à Saint-Louis lors de l'élection présidentielle comme lors des législatives. Son seul mérite est d'être un beau-frère de Macky Sall.

Abdou Mbow n'est pas en mesure de gagner le bureau où il vote à Thiès. Il n'a jamais osé mené un combat local, il se refugie toujours sur la liste nationale pour être député.

Me Omar Youm été humilié dans sa commune Thiadiaye, lors de l'élection présidentielle. Étant dans le département de Mbour d'où est originaire le Président Bassirou Diomaye Faye, il n'a plus aucune chance d'exister au niveau local.

Biram Faye n'a aucun quotien électoral à Fatick commune.

Thérèse Faye Diouf qui semble prendre la direction des femmes, malgré son arrogance sidérante, ne dépasse pas la commune de Diarrere qu'elle dirige. Et même là-bas, lors de l'élection présidentielle, Benno n'a devancé la coalition Diomaye Président que de 571 voix. Moïse Sarr est avec elle dans cette commune et ce dernier avec son mouvement politique, "La Nouvelle dynamique" s'éloigne de plus en plus de L'APR.
Et en raison de la montée fulgurante de Pastef à Diarrere, Thérèse n'a aucune chance de conserver sa commnune. Sa suffisance, son arrogance, son indisciple la défavorisent.
D'après nos informations, elle avait amené des moulins à mil dans la commune mais après la défaite, elle les a pris et les à mis dans sa maison.

Thérèse se trompe lourdement en déclarant hier, de façon péremptoire que personne ne peut leur prendre le département de Fatick. Elle délire en plein jour. S'il y a un département que l'APR va perdre très vite c'est Fatick.
D'abord, parce que le Président Macky Sall n'y a pas fait des réalisations qui peuvent lui permettre d'en faire un titre foncier.
Ensuite, beaucoup de responsables politiques du département sont frustrés par l'attitude de Macky et celle de ces gens qui pilotent aujourd'hui le parti. Le dixième des responsables n'était pas présent à Fimla hier, d'où d'ailleurs le discours musclé de Thérèse à leur endroit.
Enfin, dans toutes les communes du département, les responsables de l'APR ont des contentieux internes. Fatick commune suffit comme exemple. Cheikh Kante, Matar Ba, Fada Diene, Semou Diouf, Sitor Ndour, Boucar Diouf, Aly Koto Ndiaye, Biram Faye, Maissa Mahecore Diouf, Mamadou Ngom Niang, El Hadji Souleye Diouf, Bamba Sarr, etc. personne ne veut être derrière l'autre alors qu'ils ont tous existé par la volonté de Macky Sall ou de Mareme Faye Sall.

Cheikh Kante, Président du Conseil départemental de Fatick n'est même pas dans le nouveau groupe watchap créé récemment en perspective de l'AG d'hier à Fimla. Matar Ba était hier à Thiare Ndialgui aux côtés de son poulain, le maire Badara Ndiaye, pour les besoins d'une finale d'un tournoi de football.

L'APR est réellement l'Alliance de la Pagaille et de la Racaille, pour reprendre Babacar Justin Ndiaye.

Au delà de leurs faiblesses, Macky Sall et ses pions comptent sur des dissensions internes entre Diomaye et Sonko ou leur échec collectif, pour avoir la chance de revenir. Tous ceux qui agitent présentement le premier cas de figure, qu'ils soient politiques ou membres de la société civile, travaillent pour l'ancien président.

Et là aussi, leurs pronostics ou leur souhait pourraient ne pas se réaliser. Le duo Sonko-Diomaye est uni par des liens très solides et les premiers actes qu'ils ont posés devraient leur permettre de réussir à changer le Sénégal.
Macky Sall et ses pions feraient mieux de se repentir de tout le mal qu'ils ont fait dans ce pays au lieu de préparer un retour en 2029.

Babacar Diouf, Professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh.

08/06/2024

Mme Thérèse Faye Diouf lors du conclave de l'APR ce samedi à Fimla. 😂 😂 😂 😂 😂

Ils ont perdu la tête !!!

Ceux qui en doutaient peuvent maintenant comprendre que le tassaro est imminent.

08/06/2024

L'APR en conclave à Fimla dans la division !

L'Alliance pour la République (APR) est en conclave aujourd'hui à Fimla, une commune du département de Fatick.

Le profond malaise au sein de l'APR est déjà apparent.

D'abord, Amadou Ba qui était le candidat du parti n'est pas convié à cette rencontre. Il n'y a alors aucun doute, qu'entre l'ancien Premier ministre et son parti, tout se conjugue au passé.

Ensuite, l'organisation de cette réunion hors de la commune de Fatick est la manifestation d'un malaise avec les responsables de premier plan du chef-lieu de région. Nos sources nous apprennent que Matar Ba, maire de la ville et Cheikh Kante Président du conseil départemental n'étaient pas impliqués dans la préparation de cette réunion, ce qui explique la delocalisaion à Fimla, chez le député Karim Sene.

Enfin, il y a l'absence remarquable du Président du Conseil économique social et environnemental, Abdoulaye Daouda Diallo.
D'après nos sources, ce dernier et le Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop ne sont presque jamais présents ensemble aux réunions. Soit c'est l'un soit c'est l'autre qui se présente.
Et dans cette affaire, comme on le sait déjà, c'est le Président de l'Assemblée nationale qui a les faveurs du couple présidentiel.

D'après des informations coorcordantes, l'APR prépare Macky Sall pour 2029 et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle, ni Amadou Ba ni Abdoulaye Daouda Diallo qui ont des ambitions présidentielles, ne sont responsabilisés. C'est Amadou Mame Diop, Mansour Faye, Abdou Mbow, Thérèse Faye Diouf et autres qui sont les pions.

Nous y reviendrons avec d'autres détails et invitons le Président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko à être politiquement plus vigilants. D'ailleurs, nous avons également appris qu'une autre partie de l'opposition est en train de s'organiser dans un front.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

07/06/2024

Le très respectable Alioune Tine a peut-être commis une faute d'orthographe ?

Les propos polémique de monsieur Alioune Tine sur le nouveau régime sont à analyser sous plusieurs angles.

D'abord, je considère que ses propos s'inscrivent dans une mauvaise pente qu'il a prise depuis la période pré électorale. En un moment où tous ceux qui sont attachés à la République et à l'Etat de droit exigeaient le respect du calendrier républicain et de la décision du Conseil constitutionnel sur les candidatures validées, monsieur Alioune Tine, comme Pierre Goudiaby Atepa, prêchait une reprise du processus sous le malheureux prétexte d'une participation de tous les acteurs.

Il déclarait qu'Ousmane Sonko était disposé à négocier avec Macky Sall. Ses propos avaient suscité une grosse confusion dans les rangs des militants et sympathisants qui ne voyaient aucun intérêt dans des supposées négociations. Les partisans du régime d'alors et les opposants à l'opposition avaient utilisé ses propos pour discréditer le leader du Pastef en l'accusant de dealer. Or le chef du protocole de ce dernier avait plus t**d affirmé que le militant des droits de l'homme n'avait pas rencontré le leader du Pastef.

Monsieur Tine s'est même permis d'annoncer plusieurs fois une libération de Sonko dans les "tout prochains jours" ou " heures" ce qui n'en était rien.
Tous ces agissements avaient suscité des doutes sur les intentions réelles de monsieur Tine.

Ensuite, je considère que monsieur Alioune Tine veut se laisser embarquer dans le jeu funeste des opposants. Ces derniers tentent d'obliger toutes les personnes apolitiques à s'opposer au nouveau régime. Ils sont prompt à dire, " monsieur x, il faut parler de ceci" ou " pourquoi tu ne condamnes pas cela". Au lieu de s'opposer, ils veulent que les autres le fassent à leur place.

Ne pas être politique ne doit pas nous obliger à s'ériger en opposants. Attendons de voir de véritables dérives du régime pour critiquer. Le bon sens ne pas admettre qu'on juge l'avenir. Attendons de voir des divergences entre Sonko et Diomaye ( c'est peu probable) pour en parler. Quelqu'un qui souhaite du bien au Sénégal ne doit souhaiter qu'une parfaite harmonie de ce duo.

Un Etat pastefien ??? Quelle exagération !!!! Un Etat pastefien c'est par exemple si les concours de la magistrature, de la police, de la gendarmerie, de l'éducation nationale, etc., seront réservés seulement aux militants de Pastef. C'est quand seuls les militants de Pastef ont des droits au Sénégal.

Même au pire moment du régime sanguinaire de Macky Sall, monsieur Tine n'avait pas parlé d'un Etat aperiste. C'est vraiment trop méchant de sa part.

Dans quelle situation sommes-nous ? Nous sommes dans un " état pastefien " et non dans un " Etat pastefien", le Professeur de Lettres modernes, monsieur Alioune Tine a commis une faute d'orthographe, le "E" devrait être en minuscule.

Qu'est-ce qu'un état pastefien ? C'est la situation dans laquelle nous sommes, c'est-à-dire celle où le parti Pastef a gagné une élection, haut la main, et gouverne le pays. Cela donne le droit à celui qui est élu de choisir, des militants du Pastef, en priorité, dans les nominations. Et même la configuration du Gouvernement et des autres nominations montrent suffisamment l'ouverture du Président sur toutes les compétences. Cheikh Tidiane Dieye, Moustapha Guirassy, Mary Tew Niane, Général Jean Baptiste Tine, Général Birane Diop, Cheikh Oumar Diagne, Mareme Soda Ndiaye, capitaine Touré, Dame Mbodji, Aida Mbodji, Habib Sy, Fatou Blondin Diop, etc, sont-ils de Pastef ?

On n'a pas encore limogé une personne qui occupe un poste qu'elle a gagné par un concours ou un appel à candidature. Ceux limogés ont été à des postes par des nominations politiques. Le nouveau régime peut-il faire autre chose ?

Monsieur Alioune Tine, vous êtes capables d'être plus pertinent et convainquant.

Babacar Diouf, professeur d'histoire et de géographie au lycée de Nguekokh

02/06/2024

Indignation populaire bien justifiée !!!!!

La vidéo où apparaissent Djibril Gueye Ndiaye, chef de protocole du Premier ministre Ousmane Sonko et l'ancien ministre de l'intérieur sous le régime de Macky Sall, a suscité beaucoup de controverses. Des Sénégalais se sont beaucoup indignés de voir une personnalité de premier plan du Pastef être dans une telle complicité avec un des principaux acteurs de la criminalité du défunt régime.

Ne nous parlez ni de relations de parenté, ni de voisinage ou n'importe autre chose expliquant ce spectacle. Il s'agit d'une hypocrisie et une insulte à la mémoire de toutes les victimes.

Antoine Diome a été le plus sanguinaire du régime du régime de terreur de Macky Sall. Il n'a jamais mis en avant une quelconque considération humaine encore moins le droit de vie des Sénégalais. Il a méprisé tout ce que le Sénégal compte comme valeur et surtout le droit qu'il a appliqué et qui est la base de sa fonction de magistrat.

S'il faut établir une chaîne de responsabilité des crimes orchestrés par le défunt régime, Antoine Diom viendrait derrière Macky Sall. Sympathiser avec cet homme est de la pure hypocrisie.

Nous avons aimé et applaudi l'attitude de Falidou Keita, DG de la CDC, face à Abdou Khafor Touré. C'est exactement cela que les Sénégalais attendent de tous les responsables de Pastef.

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