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PRÉSIDENTIELLE 2024 : KHOUREYCHI THIAM LA RÉVÉLATION DE LA CLASSE POLITIQUE SÉNÉGALAISE 🇸🇳La refonte de la classe politi...
11/04/2024

PRÉSIDENTIELLE 2024 : KHOUREYCHI THIAM LA RÉVÉLATION DE LA CLASSE POLITIQUE SÉNÉGALAISE 🇸🇳

La refonte de la classe politique Sénégalaise est marquée par une ascension fulgurante de noms que rien ne prédestinaient à un engagement politique. Il en est ainsi de l’international basketteur Choureychi THIAM.

Avant la carrière sportive prometteuse (2013-2022_
PROFESSIONNEL BASKETTEUR EN ASIE - EUROPE - AMÉRIQUE), Monsieur THIAM est un intellectuel avec un parcours académique exemplaire.

Il a obtenu le baccalauréat au prestigieux lycée Saydou Nourou TALL de Dakar puis entre 2007-2013 il engage un CURSUS UNIVERSITAIRE
USA-NCAA

DIPLÔMÉ EN BUSINESS MANAGEMENT ET SPORT MANAGEMENT

DIPLÔMÉ EN RELATION INTERNATIONALE

DIPLÔMÉ EN COMMUNICATION INTERNATIONALE

EXPERT EN SCIENCE DU SPORT AMATEUR ET PROFESSIONNEL.

En février 2021 le Sénégal traverse une crise politique sans précédent avec une sordide accusation de viol contre Monsieur OUSMANE SONKO leader du PASTEF. Le jeune international met cette carrière brillante en pause et rejoint la capitale Sénégalaise. Il était chargé de l’organisation du Pastef Texas mais ça ne semblait pas suffisant pour « sauver le projet »

L’international a mis sa liberté, sa vie ainsi que ses moyens en danger pour se mettre au service exclusif de sa patrie à un moment où défendre le chef de l’opposition était presque assimilé à un crime.

Loyauté, fidélité et amour était ses armes en faveur de celui qu’il considère comme son mentor politique.

De Dakar au Fouta en passant par Touba, ses équipes étaient partout autour du slogan « dagnouy gagner »

Aujourd’hui incontestablement la victoire de la coalition Diomaye Président dans la capitale Sénégalaise est tributaire de son savoir-faire et son engagement et grâce à une campagne bien structurée et organisée.

Le natif de Dakar dit « Borom Ndakaru » devient ainsi un acteur incontournable de la vie politique.

Amadou Ba la synthèse d’un héritage politique précieux (PAR NÉNÉ DIALLO)« Si tu deviens homme d'Etat, n'oublie pas que l...
30/09/2023

Amadou Ba la synthèse d’un héritage politique précieux (PAR NÉNÉ DIALLO)

« Si tu deviens homme d'Etat, n'oublie pas que le grand secret de la politique est dans ces deux mots : savoir attendre. Si tu es ministre, souviens-toi qu'on se tire de tout avec ces deux mots : savoir agir.» Alexendre DUMAS

Le candidat de la grande coalition présidentielle BBY, le premier ministre Amadou Ba l’homme de la situation. Le President Macky SALL, avec un bilan qui frise une mention honorable avec des réalisations spectaculaires passe le témoin à un candidat de consensus mais aussi un homme de défi, un réformateur mais sur l’homme qui synthétise le bloc BBY.

Avant l’annonce du Président sur le choix Amadou Ba, la base socialiste du PS avait exprimé sa volonté sur lui et Madame Aminata Mbengue NDIAYE a entériné cette volonté populaire car fort de l’idéologie socialiste, il voit en Amadou Ba l’héritage de feu Ousmane Tanor DIENG. Le Premier ministre a fait ses premiers pas en politique au Parti Socialiste et n’oublions pas que l’AFP est issue des entrailles du PS. En tant que membre de l’alliance pour la république, les libéraux qui ont renforcé la grande majorité présidentielle connaissent bien le candidat rassembleur, il était directeur général des impôts et domaines toute la moitié du mandat du Président Wade (2006 - 2012)

C’est en tant que patron de la DGID que ses qualités de réformateur et d’innovateur se révèlent au grand public. Le nouveau code général des impôts porte son empreinte et son efficacité lui a valût un standing ovation.
La promotion de beaucoup de jeunes inspecteurs des impôts et domaines a vu le jour sous la houlette de Amadou Ba.

La volonté du Président Sall est claire, il l'a ouvertement chargé, s'il est élu, de poursuivre sa politique de grands chantiers visant à développer le pays et le sortir de la pauvreté.

Amener le Sénégal à ce niveau oui c’est possible et notre candidat en a la capacité. Au-delà il est aussi à la mesure et la retenue nécessaire pour aussi maintenir la stabilité sociale et institutionnelle.

Le chef du gouvernement actuelle est un économiste pétri de talent qui maîtrise les moindres coins du Plan Sénégal Émergent. Un homme d’Etat aguerri et un fonctionnaire blanchi sous le harnais. Il a été Directeur des Impôts (2004), puis Directeur général des Impôts et Domaines (2006), Ministre de l’Economie et des Finances (2013), Ministre de l’Economie, des Finances, du Plan et du Budget, puis ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur (2019-2020).

Hors du gouvernement en 2020, son absence a justifié sa loyauté, il est resté constant et fidèle à ses convictions politiques.

Ce parcours exceptionnel donne des raisons suffisantes pour le triomphe de BBY au soir du 25 février 2024, il va sillonner le pays animer les bases politiques et impliquer la jeunesse dans le processus décisionnel.

De notre côté nous nous engageons en prenant repère sur lui et pour le salut de la République et la continuité voir même faire pérenniser la vision de notre mentor le President Macky SALL pour qui nous devons tout.

De la stabilité institutionnelle à l’émetteur économique la voie est tracée et dernière Amadoue Ba pour consolider les acquis avec des perspectives innovantes

Néné DIALLO PRÉSIDENTE F.E.R

Me Elhadj Diouf « Ma yerem samay none, man dama meun sagnsé…😂 »
10/08/2023

Me Elhadj Diouf « Ma yerem samay none, man dama meun sagnsé…😂 »

Accident de la circulation et émigration clandestine : le candidat à la présidentielle Al Hassane NIANG s’indigne et pro...
28/07/2023

Accident de la circulation et émigration clandestine : le candidat à la présidentielle Al Hassane NIANG s’indigne et propose.

C’est en pleine tournée nationale dans le Sud et le Sénégal Oriental que le candidat à la présidentielle Al Hassane NIANG tire la sonnette d’alarme sur le regrettable accident de la circulation de Louga et la tragédie de Ouakam.

Après avoir présenté ses condoléances aux familles des disparus et souhaité prompt rétablissement aux blessés, Monsieur NIANG interpelle les pouvoirs publics sur la lancinante question de la sécurité routière. « Où sont les 22 mesures brandies par le ministère du transport dans le sillage de l’accident meurtrier de Sikilo ? » En posant cette question le leader de la formation politique Jiitël Wareef - Le devoir en mouvement pointe du doigt la « gestion émotionnelle » de ces drames. Selon lui c’est le peuple Sénégalais qui en fait les frais en payant un tribut qui s’alourdit à mesure des dérapages de la circulation.

Monsieur NIANG invite le gouvernement à la prises de véritables solutions afin d’enrayer de manière définitive cette macabre machine qui ne cesse de décimer les populations.

« Cette recherche de solutions politique doit être élargie aux autres tares qui gangrènent le corps social telles que l’émigration clandestine.

Le candidat de Jiitël Wareef - Le Devoir en Mouvement rappelle l’éditorial de Bachir Ben Yahmed Directeur de jeune Afrique qui précisait: « des émigrants qui ont laissé dans les barrières de Miliya, des lambeaux de chair, des morceaux de vêtements et une partie de notre dignité. L’Afrique subsaharienne, plus d’un milliard de citoyens, les gouvernants qui se sont succédés n’ont pas su éduquer et soigner leur peuple pour les mettre utilement au travail »

L’absence de politique d’emploi des jeunes et de cadre juridique efficace propice à un entrepreneuriat fécond a conduit à ce sentiment de désespoir. Cette absence de perspective se traduit malheureusement par le « su***de »de la jeunesse symbolisé par le tristement célèbre « Barça wala barsakh » (Barçalone ou la mort).

« Nous - nous tenons aux côtés des populations dans le cadre d’un projet sociétal adossé à un véritable programme et des plans stratégiques qui permettront de concevoir le progrès économique et social tant attendu » conclut la plate-forme Jiitël Wareef- Le devoir en Mouvement

La réponse foudroyante d'un internaute à Khalifa Sall sur Twitter 🔥🔥🔥
19/07/2023

La réponse foudroyante d'un internaute à Khalifa Sall sur Twitter 🔥🔥🔥

UN FAUX AUDIO POUR EMPRISONNER EL MALICK NDIAYE DE PASTEF Il a été imputé un faux audio à El Malick Ndiaye dans lequel s...
16/07/2023

UN FAUX AUDIO POUR EMPRISONNER EL MALICK NDIAYE DE PASTEF

Il a été imputé un faux audio à El Malick Ndiaye dans lequel sa voix a été imitée. Et la voix imitée appelle à la violence et à marcher demain vers le centre ville. El Malick Ndiaye a nié être l'auteur de cet audio.

Il a été placé en garde-à-vue pour nécessité de l'enquête.

Nous dénonçons cet acharnement sur El Malick Ndiaye.

Nous dénonçons ces fabrications de faux éléments pour arrêter et emprisonner les militants de PASTEF afin de décapiter PASTEF et à terme de les utiliser pour justifier un dissolution de PASTEF.

GMS

Après avoir quitté l’Apr et déclaré sa candidature, l’ancienne ministre Assome Diatta traitée de membre du MFDC.Ce Régim...
14/07/2023

Après avoir quitté l’Apr et déclaré sa candidature, l’ancienne ministre Assome Diatta traitée de membre du MFDC.

Ce Régime, ce régime….

Macky Sall se dit opposé à l’investiture de Ousmane SonkoIl aurait assimilé, d’après Seneweb, l’investiture prévue de Ou...
12/07/2023

Macky Sall se dit opposé à l’investiture de Ousmane Sonko

Il aurait assimilé, d’après Seneweb, l’investiture prévue de Ousmane Sonko le 15 juillet, de « provocation », estimant que le Leader de Pastef dans les fourches caudines de la justice, ne peut prétendre être candidat.

Les propos de Macky sont d’une gravité extrême et montre que ce dernier entend s’opposer avec tous les moyens de l’Etat à la candidature de Sonko pour permettre à son dauphin de gagner sans difficulté pour garantir leur protection contre les détournements et mauvaise gestion.

Macky Sall passera le reste de son mandat à mobiliser son énergie pour tenter de sanctionner Ousmane Sonko qui l’a obligé à Capituler sur sa 3ème candidature.

Le Peuple sera présent à l’investiture pour dire non à la SÉLECTION présidentielle.

Présidentielle de 2024 : Mame Boye Diao Une candidature qui va s’imposer à Macky ?Avec la renonciation du président Mack...
12/07/2023

Présidentielle de 2024 :
Mame Boye Diao Une candidature qui va s’imposer à Macky ?

Avec la renonciation du président Macky Sall de sa candidature pour la présidentielle de 2024, les masques commencent à tomber dans la majorité présidentielle. Les candidatures foisonnent dans la majorité présidentielle avec les candidatures déclarées de Amadou Ba, Abdoulaye Daouda Diallo, Aly Ngouille Ndiaye, Moustapha Diop… de ce lot, il faut y ajouter l’actuel patron de la Caisse des Dépôts et Consignations et maire de Kolda. Mame Boye Diao est investi par ses parents de la capitale du Fouladou et de Kaolack où est originaire sa mère. Selon ses parents et militants du sud du pays, «De par son parcours professionnel atypique, sa candidature à la présidentielle de 2024 s’impose. C’est un homme d’audace qui saura s’imposer ». C’est pourquoi ses parents du Sud, sa base maternelle et ses soutiens de la diaspora sont en train de s’activer pour porter la candidature de Mame Boye Diao.

Depuis 4h, le journaliste vedette de France 24,  Marc Perelman a publié sur son compte Twitter près d’une dizaine de cou...
09/07/2023

Depuis 4h, le journaliste vedette de France 24, Marc Perelman a publié sur son compte Twitter près d’une dizaine de coupures vidéos de l’entretien de Sonko.

Ce service après-vente va exploser le million de vues de Sonko sur leur page Facebook.

France 24 risque la coupure de son signal mdrrr; ha mince, le million de vues de Sonko était sur YouTube. Donc Mr le ministre, vous pouvez couper.S

Décès du manifestant Ousmane Dia détenu à la maison d’arrêt de Mbour, le Procureur reconnaît qu’il a été touché par ball...
09/07/2023

Décès du manifestant Ousmane Dia détenu à la maison d’arrêt de Mbour, le Procureur reconnaît qu’il a été touché par balles lors des manifestations, mais que son décès serait lié à une détresse respiratoire aiguë, car il était épileptique.

En principe, une visite médicale est obligatoire avant toute détention. Quelqu’un touché par balles, doit avoir un certificat médical avant toute incarcération.

Paradoxalement, le Procureur n‘a ouvert aucune enquête sur le projectile qu’il a reçue, afin de lever le doute sur son « probablement ».

Le décès a été signalé au Procureur depuis vendredi; il a fallu attendre la sortie de la Maman du défunt et la conférence de presse de Pastef pour sortir un communiqué.

Le dossier sera transmis à la Cour pénale internationale inchallah.

Qu’Allah lui fasse miséricorde et réconforte sa famille.

Une des nombreuses performances de Ouattara (le conseiller le plus proche de Macky) en 12ans de règne ! Esque Birame Sou...
08/07/2023

Une des nombreuses performances de Ouattara (le conseiller le plus proche de Macky) en 12ans de règne !

Esque Birame Souleye n'a pas raison 🤷‍♂️

Ça commence à s’afficher, les Mame Boyistes disent « c’est l’homme de la situation »
07/07/2023

Ça commence à s’afficher, les Mame Boyistes disent « c’est l’homme de la situation »

04/07/2023

Wave a mis à la disposition de l’administration du Groupe Wal Fadjri les fonds récoltés. En effet, les sommes d’argent collectées, à travers la « Fondation Wal Fadjri », ont finalement été reçues par le groupe de presse ce lundi 3 juillet 2023.Ainsi, un peu plus de 40 millions de francs CFA ont été rassemblés et remis aux responsables dudit groupe.
Merci au peuple sénégalais

Merci les patriotes
03/07/2023

Merci les patriotes

02/07/2023

La peur de Macky Sall ne se limite pas à la seule crainte d'annoncer sa troisième candidature, il est également préoccupé par l'invalidation de la candidature de Ousmane Sonko !
À présent, il redoute la CPI et n'ose plus recourir aux méthodes brutales, préférant que ses maires prennent le relais dans le recrutement des nervis .

Nous devons être déterminés à engager la bataille finale si :

❌ Il annonce sa candidature et entrave celle de Ousmane Sonko.

❌ Il renonce à sa candidature et bloque celle de Ousmane Sonko.

Ne prêtons pas attention à quiconque se satisferait du deuxième scénario !

Bloquer la candidature du président Ousmane Sonko revient à vouloir plonger le Sénégal dans le chaos.
Dans de telles circonstances, la paix ne pourra pas régner au Sénégal.

Préparons-nous à la résistance partout dans le pays !

©️Alioune Badara Mboup

A méditer !!!
30/06/2023

A méditer !!!

30/06/2023

Tout bon musulman ne soit pas d'accord de son geste kelk soit son appartenance politique au Sénégal

30/06/2023

Observer bien et comparer le avec Sénégal.. je me demande pourquoi les Sénégalais ne s'aiment pas ou bien, ils n'aiment pas l'être humain ou encore on peut dire l'africain.? regarder cette solidarité, cette entente, cet union, cette mobilisation. À cause de quoi ? À cause d'une vie humaine, d'un garçon de 17 ans tué par balles réelles. Alors que au Sénégal,on les ramasse par dizaines et bien sûr tué par balles réelles. Ce même acte policier s'est passé au Sénégal en 2021, où le policier se cachait derrière sa voiture et visa l'enfant de moins de 17. Où est ce policier aujourd'hui ? Qui a mené l'enquête ? Où est la population ? Ya même Ndere qui réclame le retour des étrangers pour pouvoir régler ensemble cet injustice dans un pays de 18m d'habitants.?😱. Il est tant vraiment de revoir et réformer notre attitude et de redonner plus encore de valeur à l'être humain.....🇸🇳🇸🇳✊✊🇸🇳🇸🇳IB.

29/06/2023

kou bakh dafay beugg kou bakh .. diereudieuf LAYE MAKHTAR🥰 bon tabasky

Après avoir lu intégralement la décision de justice, elle révèle que « la corruption de la jeunesse» était bien visé mai...
28/06/2023

Après avoir lu intégralement la décision de justice, elle révèle que « la corruption de la jeunesse» était bien visé mais pas contre Ousmane SONKO mais Ndèye Khady NDIAYE. Cette dernière est relaxée de ce chef d’accusation.

Maintenant on a condamné pour corruption de la jeunesse celui contre qui l’ordonnance de renvoi n’a jamais visé ce chef d’accusation.

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Mensonges d'Etat, mensonges Aïssata TALL SALL
27/06/2023

Mensonges d'Etat, mensonges Aïssata TALL SALL

APRES LES GENDARMES MACKY SALL LE CRIMINEL RECRUTE DES ENCIENS DE L ARMEE POUR ASSASSINER SA POPULATION
26/06/2023

APRES LES GENDARMES MACKY SALL LE CRIMINEL RECRUTE DES ENCIENS DE L ARMEE POUR ASSASSINER SA POPULATION

Pape Abdoulaye TOURÉ évacué à l'hôpital.Tombé dans les toilettes, il s'est blessé au couNous y reviendrons...Yollande Ca...
26/06/2023

Pape Abdoulaye TOURÉ évacué à l'hôpital.
Tombé dans les toilettes, il s'est blessé au cou
Nous y reviendrons...
Yollande Camara

25/06/2023

🛑 DERNIÈRE HEURE: Les députés Cheikh Thioro Mbacké, Bacary Diédhiou, Alphonse Sambou et Ismaila Diallo arrêtés !

Des autres procédures possibles contre les personnes citées dans la plainte de Juan Branco à la Cour pénale internationa...
25/06/2023

Des autres procédures possibles contre les personnes citées dans la plainte de Juan Branco à la Cour pénale internationale

Il est urgent de traduire la plainte et les documents annexes du Juan Branco en Anglais.

Il sera possible de porter plainte devant les tribunaux français, anglais, américains et autres, contre ceux cités dans la plainte et qui ont la nationalité de ces pays, y possèdent un titre de résidence permanent ou des sociétés immatriculées ou des propriétés et autres biens.

À titre d’exemple, L’ancien ministre guinéen des Mines Mahmoud Thiam a été arrêté mardi 13 décembre à New York pour corruption et blanchiment d'argent. Il est accusé d'avoir perçu plus de 8 millions de dollars d'entreprises chinoises pour l'attribution de contrats. C'est le FBI qui a été chargé de cette enquête. EN TANT QUE CITOYEN AMÉRICAIN, Mahmoud Thiam sera traduit devant un tribunal fédéral.

Idem, un tribunal a décidé que le domaine de 3 millions de dollars (environ 1 milliard 800 millions de FCFA) situé dans l'État du Maryland, près de Washington DC, devait être saisi auprès d'un trust créé par l'ancien dirigeant gambien Yahya Jammeh.

DÉTENTION ARBITRAIRE : Me Abdoulaye TINE traduit Macky SALL devant l'ONU Me Abdoulaye TINE, Président du parti USL (Unio...
24/06/2023

DÉTENTION ARBITRAIRE : Me Abdoulaye TINE traduit Macky SALL devant l'ONU

Me Abdoulaye TINE, Président du parti USL (Union Sociale Libérale) et candidat à la présidentielle de 2024, annonce sa saisine officielle du Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire, en procédure d’urgence, ce jour. Cette démarche vise à préserver l’intégrité du système judiciaire sénégalais et à garantir le respect du cadre légal de la détention, une préoccupation qui concerne chaque citoyen sénégalais.

« Malgré sa lettre ouverte adressée au Président de la République Sénégalaise le 15 juin dernier, les autorités n’ont ni fourni de base légale ni précisé le régime sous lequel se fait le blocus du domicile de M. Sonko.

Cette absence de transparence suscite des inquiétudes légitimes quant au respect des droits fondamentaux et de la démocratie au Sénégal. Cette saisine de l’ONU dépasse le cas spécifique de M. Ousmane Sonko. Il s’agit plutôt d’un acte de défense de l’Etat de droit visant à garantir le respect des procédures légales, essentielles pour préserver une société démocratique et pluraliste.

Conformément à la procédure, l’ONU devra diligenter une enquête approfondie et demander des explications aux autorités sénégalaises sur les circonstances entourant cette détention. Cette démarche permettra également de statuer sur la conformité de la détention de M. Sonko avec les normes internationales des droits de l’homme.

Me Abdoulaye TINE reste déterminé à défendre les principes démocratiques et à œuvrer pour un Sénégal où les droits fondamentaux sont respectés et où chaque voix compte. Il continuera de suivre de près cette affaire et de soutenir toutes les initiatives visant à préserver la démocratie et la justice dans notre pays.

Enfin, il annonce la mise en œuvre d’actions judiciaires sur le plan international visant à engager la responsabilité pénale individuelle des commanditaires et des exécutants des multiples et flagrantes violations des droits de l’homme récemment perpétrées au Sénégal.

Avec Atlanticactu

24/06/2023

Demain le 25 tous à la cité Keur Gorgui
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24/06/2023

Le siège du PRP est barricadé par les gendarmes de Macky SALL. L'accès a été interdit aux femmes et jeunes de Yewwi Askan Wi qui y devraient oganiser une conférence de presse à 16h.
Pays de m€rde

🛑  sénégalais : Du devoir de se dresser contre une 3e candidature--■ À un peu plus de 200 jours de l'élection présidenti...
24/06/2023

🛑 sénégalais : Du devoir de se dresser contre une 3e candidature
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■ À un peu plus de 200 jours de l'élection présidentielle du 25 février 2024, nous journalistes sénégalais, avons décidé de faire cette Tribune pour nous insurger contre une troisième candidature de l'actuel président Macky Sall. Nous avons jugé que la presse, dernier rempart de la démocratie et de l'État de droit, ne doit ni laisser la forfaiture se répéter ni participer à amplifier le débat via ses canaux. Notre responsabilité sera questionnée par l'histoire si on devrait faire le décompte des victimes et dégâts que cette candidature pourrait causer. Au nom de la liberté, de la démocratie, nous disons NON à une 3e candidature de Macky Sall.

Il y a une dizaine d'années, nous avons couvert ou suivi le déchirement inhérent à la tentative d’Abdoulaye Wade de briguer un troisième mandat. La perspective de la répétition de ce scénario, au demeurant mortifère, nous pousse à plus d'introspection. La trame du mauvais film qui avait brisé tant de vies ne nous est plus inconnue. Tout se déroule progressivement sous nos yeux, à portée de nos micros. Il nous incombe d’évaluer à quel point nous amplifions ce débat malsain qui s’installe à travers nos médias et de le freiner avant qu'il ne soit trop t**d.

Monsieur le président de la République, c'est devant nos questions insistantes que vous aviez donné l’assurance que le peuple n’aurait plus à vivre d’épisodes tragiques autour du nombre de mandats présidentiels. Alors, comment pourrions-nous admettre que vous véhiculiez vos éléments de langage par notre biais pour faire accepter auprès de l'opinion votre contradiction ?

L’enjeu est double. Il s’agit de préserver la démocratie et de ne pas permettre aux hommes qu’elle porte au pouvoir de s’amuser avec les règles du jeu quand et comme bon leur semble. Mais, surtout, réaffirmer que les journalistes ne sont pas des agents passifs face à la dérégulation de l’espace public. La tension déjà palpable va crescendo à l’approche de la prochaine échéance électorale. Nous n’avons pas à couvrir dans nos médias de nouvelles scènes de violences en estimant n’y être pour rien. Il nous faut anticiper et prendre nos responsabilités. Nous devons tout mettre en œuvre pour que les Sénégalais et les Africains qui nous regardent, qui nous lisent, et qui descendent dans la rue, ne nous tiennent pas coupables devant l’histoire. Il nous faut sortir de ce laxisme coupable. La tâche est cruciale et simple : respecter notre part du contrat social.

Du troisième mandat

Dans cette optique, nous ne saurions garder le silence face à cette volonté qui vous est prêtée, depuis plusieurs mois, de briguer un troisième mandat. Volonté que vous n’avez, au demeurant, jamais infirmée. Nous sommes dans un État de droit. Dès lors, tout le monde a l’obligation de se soumettre aux exigences de la loi. Un tel débat ne saurait donc nous laisser indifférents. Aurions-nous pensé que vous avez droit à une troisième candidature, que nous n’aurions jamais eu à mettre cette initiative en place . Mais notre conviction est que, par quelque bout que l’on puisse analyser la situation, la conclusion est la même.

Nous avons lu et entendu les juristes, y compris les vôtres. Lorsqu’une disposition constitutionnelle est claire, nous ont-ils dit, il n’y a pas lieu de l’interpréter. Encore moins de distinguer là où elle ne distingue pas. Il faut se contenter de l’appliquer dans le strict respect de la volonté du constituant. C’est un principe basique en Droit. La question qui se pose est alors de savoir si l’article 27 de la Constitution – « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs » – signifie bien ce qu’il dispose. C’est avec un profond malaise que nous suivons ce débat que nous pensions avoir définitivement clos depuis 2012.

Certains juristes, favorables au troisième mandat, font recours à la première partie de la disposition pour tenter de faire croire que par « mandat », il faudrait bien comprendre un « mandat de 5 ans ». Ce qui, par conséquent, voudrait dire que votre premier mandat de 7 ans n’est pas concerné. Pourtant, ces mêmes juristes qui défendent cette gymnastique – appelons-la ainsi – apprennent à leurs étudiants, dès la première année de droit, qu’il est interdit de distinguer là où la loi (ici, la Constitution) ne distingue pas. Un mandat étant un mandat, il ne faudrait pas faire la différence entre un mandat de sept ans et un autre de cinq ans. Par cette « prouesse » intellectuelle, ils ont ainsi réussi à semer le doute dans la tête de certains Sénégalais. Si le juge reste à sa place, on ne voit pas, par quelle alchimie, il pourrait réussir à valider une troisième candidature sans se substituer au constituant ; ce qui l’éloignerait de sa mission.

En effet, le pouvoir d’interprétation de la règle de droit obéit à des méthodologies bien déterminées que nous ne saurions tous explorer. D’abord, il y a le raisonnement logique (raisonnement a pari ou par analogie, le raisonnement a contrario, le raisonnement a fortiori). Si ces raisonnements, qui font appel à la logique, ne permettent pas de surmonter les difficultés, alors on fait recours aux différentes méthodes d’interprétations. La première et la plus usitée, c’est la méthode exégétique qui privilégie la lettre tout en se référant à la volonté de son auteur ; la méthode téléologique qui met en avant l’esprit du texte et qui peut aller jusqu’à appréhender l’objectif recherché par le législateur afin de trouver une solution à son problème ; et enfin, la méthode créatrice qui est la plus audacieuse, mais qui doit être appliquée de façon subsidiaire, pour pallier l’insuffisance de la norme.

Appliquées à l’article 27, toutes ces techniques vous excluent de la course à la Présidentielle de 2024. En ce qui concerne la méthode exégétique, l’interprète doit s’en tenir au sens littéral du texte : « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ». En cas de difficulté, il faut chercher la volonté de l’auteur du texte, en recourant, au besoin, aux travaux préparatoires, à la lecture de l’exposé des motifs. Qui ose douter que la volonté du constituant, ou de l’inspirateur de la Constitution en l’occurrence, était d’inclure son premier mandat dans le champ de la réforme de 2016 ? Vous, qui aviez promis de faire passer votre premier mandat de sept à cinq ans ? Dans la même veine, il faut inscrire la méthode téléologique qui se fie surtout à l’esprit du texte, moins à sa lettre, qui regarde quelles étaient les finalités de la loi constitutionnelle. Là également, il faut être de très mauvaise foi pour oser soutenir que l’objectif principal de la réforme de 2016 était de vous donner la possibilité de faire deux mandats supplémentaires de 5 ans. Sauf à se substituer au constituant, en lui faisant dire ce qui lui plaît par sa force créatrice. Le juge ne saurait donc passer outre.

Enfin, il y a la jurisprudence du Conseil constitutionnel sur la possibilité pour le président de la République de réduire ou d’augmenter son mandat. Contrairement à ce que certains ont voulu faire croire, dans sa décision n°1/C/2016, le Conseil constitutionnel, dans son considérant n°25, déclare clairement : « La sécurité juridique et la stabilité des institutions, inséparables de l’État de droit dont le respect et la consolidation, sont proclamées dans le préambule de la Constitution du 22 janvier 2001, constituent des objectifs à valeur constitutionnelle que toute révision doit prendre en considération, pour être conforme à l’esprit de la Constitution. » Dans le même sillage, soulignent les sages au Considérant 26 de la même décision, « pour la sauvegarde de la sécurité juridique et la préservation de la stabilité des Institutions, le droit applicable à une situation doit être connu au moment où celle-ci prend naissance.

» Cela veut dire tout simplement, et le Conseil l’avait annoncé de manière très claire, qu’au nom de la sécurité juridique, le président de la République ne saurait diminuer son mandat de sept à cinq ans, ce qui serait une atteinte à la volonté des citoyens qui l’ont élu pour un septennat et non pour un quinquennat. Qui ne peut pas le moins ne peut pas le plus. Si la révision de 2016 devait aboutir à vous permettre de vous octroyer trois mandats, le Conseil qui a refusé une diminution du mandat n’aurait jamais pu l’admettre. C’est après tout une simple question de bon sens et de logique.

De la démocratie

Le Sénégal est une vitrine de la démocratie en Afrique. Malgré les remous notés dans le pays depuis 2021, avec les multiples arrestations d’opposants, de journalistes et d’activistes qui font douter de plus en plus les convaincus, nous voulons croire que nous n’avons pas encore atteint un point de non-retour.

Nonobstant la montagne d’obstacles, il est encore possible de préserver notre pays d’une décadence de la démocratie et des libertés. Sauver ce qui peut encore l’être. Garant de la Constitution et de l’État de droit, le président de la République devait être en première ligne de ce combat permanent de la construction du rêve sénégalais. Hélas ! Les démons de la boulimie du pouvoir risquent de vous faire passer complètement à côté de la plaque alors que vous avez été témoin, il y a douze ans, du refus du peuple sénégalais d’accorder une troisième candidature à votre prédécesseur Abdoulaye Wade.

De l’indépendance à nos jours, ils sont nombreux les hommes et les femmes, des patriotes rompus, qui ont sacrifié leur vie pour donner au Sénégal cette image reluisante en matière de démocratie. En plus de soixante ans d’existence, dans une Afrique très agitée, notre pays a non seulement vécu deux alternances démocratiques (2000 et 2012), mais surtout il n’a jamais connu de rupture institutionnelle. Cette belle histoire pourrait recevoir un sacré coup de grâce, si jamais vous suivez la voie qu’essaient de vous tracer certains faucons arrivistes, plus soucieux de la préservation de leurs intérêts égoïstes que de la construction d’un pays véritablement émergent et démocratique, où il fait bon vivre.

Dans une démocratie, le respect de la Constitution, norme suprême, est fondamental. Mais au-delà du nécessaire respect des textes de droit prévus par nos corpus juridiques, il est aussi crucial de faire converger ou de relier ces textes aux valeurs, notamment au respect de la parole donnée. À considérer même que les textes prêtent à confusion dans leur lettre, quoi de plus normal que de recourir à l’esprit pour en saisir la quintessence. À ce propos, nous vous renvoyons, vous et vos collaborateurs, à vos nombreuses déclarations sur les implications de la révision constitutionnelle issue du référendum de 2016. Vous avez toujours clamé haut et fort votre volonté de réduire la durée du mandat présidentiel tel que formulé dans la charte fondamentale du pays. Vos soutiens et vous avez battu campagne pour défendre un tel projet. Nul besoin de revenir sur tout ce que vous avez eu à dire à ce propos. Vous l’avez répété et écrit dans plusieurs documents accessibles. Rien ne saurait donc justifier aujourd’hui une volte-face.

Aussi, en aucune manière, le fait de briguer à nouveau le suffrage des Sénégalais ne peut constituer une avancée démocratique. P*s, cela risque de réveiller les vieux démons anti-démocratiques dont le Sénégal pensait s’être séparé depuis 2012. La démocratie ne peut se limiter à un contenu théorique ou à un éventail de gestes civiques ou encore à des déclarations folkloriques. Elle ne se réduit pas non plus à un ensemble de faits, concepts ou dates particulières, ni à un vague comportement social. La démocratie, c’est surtout une construction permanente de valeurs pouvant être partagées par l’ensemble des acteurs sociaux.

Aujourd’hui, tout porte à croire que vous serez en lice pour un troisième mandat. Votre récente déclaration en France, précédée par un « ni oui ni non » et d’autres actes comme l’interdiction à Dakar, en septembre 2022, du concert sur la limitation des mandats, illustre votre volonté. Vos partisans dans les plus hautes sphères clament votre candidature et organisent des investitures, sans que nul ne vous entende freiner la machine.
Monsieur le président, nous vous appelons à jouer la carte de l’exemplarité et à poursuivre le grand chantier de la démocratie auquel le peuple sénégalais a foi.
L’histoire a montré que les forcings pour un troisième mandat et l’usure du pouvoir sont sources d’instabilité ou de rupture démocratique. Nous vous demandons de renoncer à cette tentative irresponsable et pernicieuse de nature à briser les piliers déjà fragilisés de notre jeune nation.

Signataires :
1. Ayoba FAYE, Rédacteur en chef de PressAfrik
2. Moussa NGOM, Coordonnateur de La Maison Des Reporters
3. Valdez ONANINA, journaliste, membre de La Maison des Reporters
4. Fana CISSÉ, journaliste PressAfrik
5. Mame Gor NGOM, journaliste
6. Oumy R. SAMBOU, journaliste freelance
7. Abdou Khadir SECK, journaliste Le Soleil
8. Diomma DRAMÉ, journaliste
9. Alioune Dissa PREIRA, journaliste GFM
10. Salif SAKHANOKHO, journaliste PressAfrik
11. Abdoulaye DIOP, journaliste Sud FM
12. Amadou Sabar BA, journaliste
13. Mady CAMARA, journaliste freelance
14. Oumy NDOUR, journaliste
15. Mamadou Oumar Moka KAMARA, journaliste Le Soleil
16. Souleymane DIASSY, journaliste à La Maison Des Reporters
17. Hadiya TALLA, journaliste, Directeur de la Vallée Info
18. Mamadou SOW, journaliste à La Vallée Info
19. Assane FALL, journaliste Le Soleil
20. Alioune Badara DIATTA, journaliste indépendant
21. Falilou MBALLO, journaliste Emédia
22. Katy MBENGUE, journaliste
23. Momar DIENG, journaliste
24. Ndèye Fatou Diery DIAGNE, journaliste
25. Abdoulaye MBOW, journaliste
26. Ibrahima BA, journaliste Le Soleil
27. Abdou Khadre CISSE, journaliste
28. Ibrahima DIONE, journaliste APA NEWS
29. Hawa BOUSSO, journaliste L'AS
30. Souveibou SAGNA, journaliste Kewoulo TV
31. Mor AMAR, journaliste EnQuête
32. Seydina Bilal DIALLO, journaliste L’AS
33. Adama GAYE, journaliste- écrivain
34. Pape SANÉ, journaliste/ chroniqueur Walf TV
35. Moustapha DIOP, Directeur Walf TV
36. Pape Alé NIANG, journaliste Directeur de Dakar Matin
37. El Hassane SALL, journaliste Tribune
38. Dieynaba THIOMBANE, journaliste
39. Oumar dit Boubacar Wane NDONGO, journaliste
40. Omar FÉDIOR, journaliste
41. Amayi BADJI, journaliste
42. Moussa CISS, journaliste Les Échos
43. Azil Momar LO, journaliste
44. Assane GUÈYE, Walf TV
45. Samba DIAMANKA, journaliste Le Soleil
46. Fatou NDIAYE, journaliste Afia FM
47. Georges Nesta DIOP, journaliste Walf TV
48. Abdou Aziz CISSE, Journaliste
49. Abdourahmane DIALLO, journaliste à La Maison Des Reporters
50. Salmane Al Farisi SOW, journaliste
51. Mamadou Oumar BA, journaliste
52. Babacar NGOM, journaliste
53. Amadou DIOP, journaliste
54. Daouda SOW, journaliste
55. Moustapha DIAKHITÉ, journaliste
56. Habib FAYE, journaliste GFM
57. Cheikh Hassana FALL, journaliste
58. Alassane Seck GUÈYE, journaliste Le Témoin
59. Amy KEITA, journaliste
60. Modou Mamoune FAYE, journaliste Le Soleil
61. Sidy Djimby NDAO, journaliste Les Échos
62. Abou SY, journaliste L'AS
63. Mapaté NIANG, journaliste Ouest TV
64. Babacar Touré MANDJOU, Journaliste Directeur de Kewoulo
65. Diégane Sarr, Journaliste
66. Amy WANE, journaliste
67. P. Babacar NDOUR, journaliste
68. Biram FAYE, Journaliste Coordonnateur régional Médias à l'IPAO
69. Samba THIAM, journaliste
70. Babacar Francky Ba, journaliste
71. Elimane Sembène, journaliste
72. Onass Mendy, journaliste
73. Ibrahima BAKHOUM Journaliste-Formateur
74. Cheikh Saadbouh Fall, journaliste
75. Pape Sadio THIAM, journaliste, enseignant chercheur.
76. Abba DIEDHIOU, journaliste
77. Almamy Mamadou L. Sané, journaliste
78. Alioune Gueye -Journaliste Sunulabel tv
79. Awa FAYE, journaliste
80. Moustapha CISSE, Journaliste Indépendant

Adresse

Dakar

Téléphone

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