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21/03/2024
21/03/2024
Maimouna Ndour Faye reçoit Amadou BA candidat  de la coalition Benno Bokk Yakaar ce jeudi à partir de 21h30 sur la  . A ...
21/03/2024

Maimouna Ndour Faye reçoit Amadou BA candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar ce jeudi à partir de 21h30 sur la .

A NE SURTOUT PAS MANUQER

21/03/2024

"L'invité de " : Suivez l'intégralité de l'interview qu'Amadou BA candidat de a accordé à Maïmouna Ndour Faye ce soir sur les antennes de la .

19/03/2024
18/03/2024

ZIGUINCHOR CAPITALE DU SENEGAL : Diomaye SONKO, un désastre
Par Mamadou Mouth BANE

Les incongruités qu’ils ont dévoilées lors de leur conférence de presse n’ont pas suffi pour satisfaire l’envie de Diomaye Faye et de son colistier Ousmane SONKO, d’être suffisamment ridicules aux yeux de l’opinion nationale et internationale. Ils ont fièrement remis une couche avant-hier à Ziguinchor, ville qu’ils rêvent d’ériger en capitale du Sénégal.
Je me suis opposé à ceux qui ont tenu des propos injurieux contre ce ticket à la présidentielle. Car, à mon humble avis, Bassirou Diomaye FAYE et Ousmane SONKO ont besoin d’une assistance psychiatrique et d’une formation accélérée en Diplomatie et en Relations Internationales. A chaque sortie, ils exposent leur carence en toute matière, plus particulièrement en géopolitique, disons en géographie tout court. Or, un homme qui aspire à diriger un pays doit maitriser sa Géographie et son Histoire. L’ignorance de Diomaye Sonko dans ces domaines, inquiète les personnes averties.
Le choix d’une capitale d’un pays répond à des critères qui tiennent compte des enjeux socio-politiques, géopolitiques, environnementaux, sécuritaires... Ce n’est pas pour des raisons bassement électoralistes qu’on décide, d’un coup de tête, du transfert de la capitale de Dakar à Ziguinchor. C’est normal, car, il fallait mettre quelque chose sous la dent de ces hordes de gavroches soif de gros mots et de promesses impossibles.
Certes, aucune ville n’a plus de dignité qu’une autre sur un même territoire. Et Ziguinchor est l’une des villes les plus charmantes du Sénégal de par son environnement, son histoire, sa cuisine, la richesse de sa diversité culturelle et la générosité de sa population. Cependant, est-ce suffisant pour en faire une capitale ?
Il y a des paramètres qui entrent en jeu lorsqu’il s’agit d’ériger une localité en capitale. Le facteur démographique n’est pas le plus déterminant même si, il n’est pas à négliger. Le plus important, avant de prendre une telle décision, c’est d’abord, de savoir lire la carte du Sénégal. Il faut également savoir interpréter le plan géographique du pays, en intégrant les facteurs : sécurité, géographie, géostratégie, pays voisins, ouverture maritime, végétation, histoire, climat, environnement, population etc... Il est d’ailleurs recommandé d’effectuer, au moins, une étude sociologique dans la future capitale. Par ailleurs, une telle décision politique ne devrait être annoncée, qu’après une consultation sérieuse des hautes autorités de la hiérarchie sécuritaire du Sénégal, pour ne citer que celles-ci. Puisque Ziguinchor est une zone militaire…
Que nous apprend la carte du Sénégal ?
La carte du Sénégal nous montre que Ziguinchor se situe à l’extrême sud du pays. Pour s’y rendre, il faut traverser un Etat indépendant : la Gambie avec qui nous avions souvent des relations en dents de scie sous le magistère de Yahya Jammeh.
La géographie nous apprend également que :
1-La distance entre Ziguinchor et Banjul c’est 104 Km.
2-La distance entre Ziguinchor et Bissau c’est 109 Km…
Nous ne le souhaitons pas ! Mais, gouverner c’est prévoir pour anticiper. En cas de conflit armé contre un de nos voisins, la capitale sénégalaise (Ziguinchor) serait facilement atteinte en moins de 24heures. On se rappelle les menaces de la Mauritanie lors de la crise avec le Sénégal en 1989. Soutenu par l’ancien président de l’Irak Saddam Hussein et une partie des pays de la Ligue Arabe, Oul Taya alors Chef de l’Etat, aurait eu un projet d’attaquer Saint Louis située à un peu plus de 300 Km de Nouakchott. Des rumeurs annonçaient le positionnement des engins de guerre au niveau de l’autre rive du Fleuve Sénégal. Imaginez si Saint Louis était restée capitale du Sénégal à cette époque.
Ces deux pays (Gambie et Guinée Bissau) voisins de Ziguinchor ont connu des crises politiques qui ont secoué cette ville sénégalaise du sud. La récurrence des conflits politico militaires à Banjul et à Bissau impacterait la ville de Ziguinchor qui serait, sous le magistère de Diomaye Sonko, une capitale souvent en alerte maximum, du fait de sa position géographique dans une zone politiquement très instable. S’y ajoute la zone des trois frontières Sénégal, Guinée Bissau et Guinée Conakry dirigée par un militaire.
L’actuel président de la République Macky SALL l’avait très tôt compris. D’ailleurs, dès son élection en 2012, il avait mis en place une stratégie pour stabiliser les deux pays voisins : la Gambie et la Guinée Bissau. Il s’est investi personnellement pour aider Adama BARROW et le Général Emballo à être élus démocratiquement présidents de la République de leur pays respectif. Le président SALL avait compris que, pour gagner la bataille de la paix en Casamance, il fallait stabiliser la Guinée Bissau et la Gambie, terre de replis des rebelles du MFDC. Mission réussie sans bavure par le président Macky SALL.
Les régimes militaires qui se sont succédé à Banjul et à Bissau avaient permis aux leaders du MFDC de se renforcer militairement et de développer des activités de trafics illicites entre Sao Domingos et Kanilaï en passant par Bignona. D’ailleurs, Yahya Jammeh rêvait d’une alliance politique entre Banjul/Bignona/Bissau, avec une Casamance indépendante. A cette époque, il finançait Salif Sadio chef rebelle, Ansoumana MANE ex CEMGA tué le 20 Novembre 2000, en Guinée Bissau et le chef rebelle soudanais John Garang mort dans un accident d’hélicoptère le 30 Juillet 2005. Rappelons que, le Bissau Guinéen Ansoumana MANE était impliqué dans des trafics d’armes avec le MFDC dans les années 90.
Certes, aujourd’hui, le MFDC est neutralisé par l’Armée sénégalaise. Mais, une rébellion ne meurt jamais. Faire de Ziguinchor la capitale du Sénégal, sans penser à maintenir d’abord, l’équilibre socio politique encore fragile dans ces deux pays voisins et à renforcer la paix sociale, relève d’un amateurisme chronique.
Ziguinchor est aussi traversée par des courants criminels qui entretiennent des circuits de trafic de drogue venus de Bissau, de bois au nord de Bignona, d’armes et de chanvre indien. Cette belle ville a plus besoin d’un plan de développement économique et social que d’être érigée en capitale par la magie d’un simple décret.
Déplacer la capitale à Ziguinchor n’est pas une priorité pour ces jeunes migrants natifs de cette ville. D’ailleurs, cela changerait quoi dans le quotidien de la jeunesse ou dans le panier de la ménagère ?
Il existe déjà des politiques de développement mises en œuvre en Casamance par les Présidents Me Abdoulaye WADE et Macky SALL. Prenons l’exemple du pont sénégambien qui facilite les déplacements des populations entre le Sud et le Nord. Les interminables grèves des transporteurs sénégalais excédés par les humeurs sporadiques du président Jammeh sont oubliées. Combien de fois, les transporteurs sénégalais ont boycotté le bac gambien pour contourner la Gambie en allant à Ziguinchor par Vélingara à cause des décisions de Jammeh d’augmenter les tarifs pour la traversée ? Ces désagréments appartiennent au passé. Les dessertes maritimes Dakar/Ziguinchor ainsi que les aéroports de Ziguinchor et du Cap Skirring viennent soulager les populations. Que Diomaye SONKO proposent mieux avec des projets structurants réalistes et réalisables.
Diomaye et son acolyte devraient plutôt dire aux Sénégalais où est ce qu’ils comptent amener ce pays ? Quelle solution ont-ils pour arrêter le phénomène de l’émigration irrégulière ? Comment vont-ils gérer le pétrole et le gaz ? Vont-ils supprimer les subventions faites par l’Etat sur l’essence, le gasoil et l’électricité ? A quel prix les familles vont-elles acheter le riz, l’huile, le sucre, le lait et la viande ? Quelle vision pour l’Education, la Santé, l’Agriculture, l’Industrie ? Quelle stratégie pour lutter contre la menace terroriste au niveau de nos frontières avec le Mali ? D’eux, les Sénégalais s’attendent à un programme chiffré, ambitieux et crédible. Mais, les déclarations alambiquées et diffamatoires, les électeurs en ont plein le ventre.
Le mutisme des alliés de Diomaye Sonko face à ces constellations d’inepties (transfert capitale, sortie du CFA) devient inquiétant. Mme Aminata Touré, Abourahmane Diouf et consorts engagent leur crédibilité dans les errements graves de leur candidat. Il est difficile de comprendre toute cette solidarité sournoise devant cet extrême populisme orné de contrevérités.
Après l’annonce du transfert de la capitale, ne soyez pas surpris d’entendre Diomaye Sonko avant la fin de la campagne, prendre l’engagement de délocaliser à Ziguinchor ou à Bignona, tout le dispositif sécuritaire national de l’Armée, de la Gendarmerie et de la Police (l’armement des Forces de Défense et de Sécurité, le système de Renseignement etc…) suivi d’un enrôlement de masse de jeunes sélectionnés, dans les rangs de l’Armée, avec un risque élevé d’une infiltration achevée des Corps d’élite de tout le système de sécurité et de défense du pays. Ce serait alors la fin de la lutte armée du MFDC ? L’objectif étant déjà atteint ! Diomaye SONKO, une calamité !
Mamadou Mouth BANE, depuis Rabat

18/03/2024

Décidément !
Le ridicule ne tue pas chez certains !

La déclaration de Bassirou Diomaye Faye sur son intention de faire sa déclaration de patrimoine est une grossière bulle puante de plus sortie de la cheminée de leur usine de fabrique, spécialisée en manipulation.

En vérité, acculé dans ses contradictions, opprimé par son maître (Sonko), noyé par la vague déferlante du Président Amadou Ba, incapable de placer une seule phrase sans soulever l'indignation des sachants, le voilà qui allume ce contre-feu d'une nullité absolue.

D'abord, la déclaration de patrimoine est régie par la loi (Loi n° 2014-17 du 2 avril 2014)
relative à la déclaration de patrimoine.
La déclaration obéit à des règles fixées par l'article 2 de la loi précitée : être ordonnateur ou comptable de fonds publics avec un seuil fixé par la loi ou bien avoir été élu président d'une institution de la République ou nommé ministre.
Diomaye n'est dans aucune de ses situations.

À ce jour, à l'instar des autres 18 candidats, Diomaye n'a ni titre ni qualité pour faire une déclaration de patrimoine.

Par ailleurs, en sa qualité de fonctionnaire des impôts et domaines, il n'a qu'à produire un acte administratif attestant qu'il a été autorisé à manipuler des fonds publics depuis sa nomination dans le corps des inspecteurs des impôts et domaines.

Passons !
C'est un mensonge et une manipulation de plus.
Notre victoire est inéluctable !

12/03/2024
06/03/2024
29/02/2024
21/02/2024
19/02/2024
18/02/2024

Ce n’est pas pour 44 jours ou 10 mois, «qu’un dictateur» s’accrochera au pouvoir, Hérésie !!!, Par Samuel A.SARR

Vous faites malhonnêtement un mauvais procès au Président Macky SALL. Tous les hommes animés de bonne foi reconnaissent que le report s’est imposé au président de la République pour des motifs bien évidents.

Le bon sens n’autorise pas qu’on impute à Macky Sall ce report de la présidentielle. Sans trahir un secret de Polichinelle le président Macky SALL n’attendait que le 02 Avril 2024 pour partir, après avoir installé son successeur. Il avait organisé sa vie à partir du 02 avril, des vacances ensuite des voyages. Il n'est pas encore parti, qu'on l'appelle déjà ses qualité un Grand Homme d'Etat qui a marqué l'Histoire du . Dans le même esprit, pour ne pas gêner son successeur, il envisageait de s’installer provisoirement au .

Aucun doute ne résiste face aux responsabilités évidentes des membres du Conseil constitutionnel qui ont failli dans leur mission. Après deux alternances démocratiques, le Sénégal ne pouvait pas se payer le luxe d’élections décriées impliquant la responsabilité des juges constitutionnels.

Au-delà de l’aspect électoral, le Sénégal allait connaître une crise dans son système judiciaire à cause de la validation de la candidature d’un détenu poursuivi pour des faits graves contre la sûreté de l’Etat. C’est une offense aux Institutions que de valider la candidature d’un prisonnier. Ensuite, la mise à l’écart de Karim WADE relève d’un acte d’ostracisme que rien ne peut justifier. Je n’ose pas accuser les auteurs de racisme, comme l’ont déclaré certains observateurs téméraires.

Dans son discours, le président de la République a fourni des arguments solides et suffisants pour justifier sa décision de reporter la présidentielle dans le but de sauvegarder la stabilité et la paix. Cet homme mérite des ovations nourries, pour avoir mis son image et sa crédibilité en jeu, en annonçant le report. Un tel sacrifice ne peut trouver sa justification que dans l'Amour qu'il porte pour le Sénégal.

Ne peuvent pas être entachées par la presse occidentale, ces belles œuvres du Chef de l’Etat, à la tête du Sénégal. Cette presse occidentale, cachant son agenda, financée par des lobbies pour désinformer et amplifier.

Cette lucidité et cette sagesse légendaires dont il s’est armées, lui ont inspiré cette décision d’arrêter ce processus électoral entaché d'irrégularités qui n'honorent guère la démocratie Sénégalaise. Que les partenaires du Sénégal sachent que le président Macky Sall qui s’est investi pendant plusieurs années au service de l’ , de la démocratie et des Libertés, ne va pas s’inventer une carrière de dictateur pour 44 jours ou 10 mois. Il a une pleine conscience de la situation et œuvre pour l’unité des sénégalais dans un dialogue sincère.

Le Sénégal est un Etat de droit qui a connu de grandes avancées démocratiques sous le magistère de Macky Sall. Il revient alors aux acteurs politiques de tout bord, de saisir la main tendue par le chef de l’Etat, pour épargner notre pays d’une crise qui, à la longue, risque de compromettre tous nos efforts de développement économique et social

C’est le lieu de saluer l’initiative heureuse prise par les anciens présidents Me Abdoulaye Wade et Abdou Diouf, qui, malgré leur opposition politique jadis, ont su se retrouver pour lancer un message de paix à leurs compatriotes.

Une belle leçon est ainsi administrée à ce collectif de politiques perdants qui viennent de signer une contribution revancharde. L’un des signataires Abdoulaye BATHILY vient d’échouer lamentablement en en tant qu’envoyé spécial des . La crise dont il est chargé de résoudre en Libye, s’est empirée depuis sa nomination tant décriée par les parties prenantes au pays de Khadafi. Kader BOYE, Dior Fall SOW et leurs comparses complètent la liste des pastefiens encagoulés qui voient leur espoir s’effilocher et s’éloigner depuis l’emprisonnement de leur messie.

C’est lieu de saluer la grandeur du Chef de l’Etat, Président de la République et Gardien de la Constitution Macky SALL qui est attaché aux valeurs républicaines et à l’Etat droit. Des valeurs qu’il a réaffirmées en s’engageant sans réserve à poursuivre le processus électoral, dans le sens indiqué par le Conseil Constitutionnel.

Alors, allons dialoguer pour nous concerter au nom de l'intérêt supérieur de la nation, au nom de la sécurité et de la stabilité de NOTRE Sénégal

Vive l’unité nationale

Samuel SARR Président du
Ancien ministre d’Etat Wadiste Eternel et Mackyiste Éclairé

Samuel Sarr l'Officiel

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La Une de Dakartimes de ce mardi 30 janvier 2024
30/01/2024

La Une de Dakartimes de ce mardi 30 janvier 2024

30/01/2024

📰 𝐔𝐧𝐞 𝐝𝐮 𝐣𝐨𝐮𝐫
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30/01/2024

La du journal "Le Réveil " du Mardi 30 janvier 2024

Mimi Touré, la girouette, (par Samuel SARR) Suite à deux articles de presse qu'elle aurait lus portant sur un supposé ra...
05/01/2023

Mimi Touré, la girouette, (par Samuel SARR)

Suite à deux articles de presse qu'elle aurait lus portant sur un supposé rapport de l'IGE, Mme Aminata Touré a littéralement perdu ses esprits, sombrant dans une transe violente tout en tentant de se blanchir à travers le verbe d’un peut-être, trivial soupçon. Qui sait ?

L'ex dame de fer qui a envoyé plus de 50 militants du Pds en prison entre 2012 et 2013 dont moi-même, et son ex-mari cherche à apparaitre sous la camisole d’une victime (je me demande toujours qu’est-ce qu’elle a pu dire à leur fille sur l’emprisonnement de son père !!!).

A cette liste de libéraux emprisonnés sous son magistère, s'ajoutent des personnalités comme le défunt président du Tchad Hissein Habre mort en prison, Feu Serigne Bethio Thioune rappelé à Dieu dans les mêmes circonstances. Alors, Mme Aminata Touré portera dans sa conscience, toutes ces blessures qu’elle avait faites contre ces derniers et leur famille.

Alors qu'elle était ministre de la Justice, la dame se plaisait, selon ses humeurs matinales, d'envoyer des opposants à Reubeuss sans pourtant exiger un débat public autour des accusations portées contre ces derniers. La roue a tourné et aujourd'hui, Mme Aminata TOURE propose un débat public comme alternative à la justice suite à ce supposé rapport de l'IGE qui lui prive de sommeil.

Est-ce que la CREI qu'elle utilisait comme arme politique contre les libéraux, est une chambre de débat public ? En plus, depuis quand, un accusé définit-il les conditions de son jugement pour l’éclatement de la vérité ? Comme Adji SARR l’a exigé face à Ousmane SONKO, Mme Mimi Touré devra s’attendre à un procès public en lieu et place «d’un débat public» comme elle le souhaite.

D’ailleurs, si effectivement Mme Aminata Touré devrait être poursuivie, ce n'est pas à elle de dire comment elle le sera, où et quand ? Le maître des poursuites n’étant plus sous ses ordres. Donc, cette histoire de «débat public» relève d’un populisme moralement dégoûtant et politiquement inacceptable dans un État de droit. Et cette démarche qui consiste à mettre tout le monde (les anciens présidents du CESE Mme Aminata TALL, Idrissa SECK) dans le même sac, reflète de la mauvaise foi de cette dame qui veut dire dans un langage voilé, et toute honte bue : «je ne suis pas la seule ».

Pour s'accorder une petite poignée d'importance, elle a voulu lier ce rapport de l’IGE à sa déclaration de candidature à la présidentielle de 2024. Décidemment, Mme Aminata TOURE ne rate aucune occasion pour se donner de l'importance. N'est-il pas alors utile de la sortir de son long sommeil pour lui rappeler qu'elle n'a jamais gagné une élection au Sénégal depuis son compagnonnage avec Landing SAVANE jusqu'aux dernières élections législatives de Juillet 2022 ?

A Grand Yoff en tant que Premier ministre, à Kaolack en tant que Ministre et sur le plan national, en tant que tête de liste de la coalition Benno Bokk Yakkar, elle a toujours été laminée par ses adversaires.

L'histoire retiendra que la première fois que le Sénégal a frôlé la cohabitation à l’Assemblée nationale, c’est suite à un échec électoral de Mme Aminata Touré aux législatives de 2022. C’est parce que Benno avait misé sur un tocard qui n’avait jamais connu de succès électoral dans le passé. Naïvement, l’on croyait tous qu’elle allait enfin faire honneur aux femmes. La déception a été à la hauteur des espoirs des militants de Benno.

Mme Aminata Touré devrait juste comprendre qu'elle ne dérange personne sur le plan politique. L'influence de son action ne dépasse pas son ombre.

Et, si effectivement l'objectif du pouvoir c'était de l'atteindre, des dossiers compromettants ne manquent pas. Mais, prise de peur, Mimi oublie que les rapports de l'IGE ne sont pas forcément toujours conclus par des poursuites judiciaires. Déjà elle s'accuse et se défend toute seule, sans connaître les conclusions dudit rapport sur sa gestion.

Si besoin en était, une information judiciaire pouvait être ouverte sur d’autres faits notamment les fonds destinés à construire une prison au cap manuel dans le cadre du procès de l'ancien président du Tchad, sur son patrimoine à son départ du CESE, sur les chèques de ceux qui avaient transigé dans le cadre de la traque, sur le dossier des tickets entrant de Dubaï Port World, sur son patrimoine à sa sortie de la primature, sur les recrutements au CESE, sur les biens perdus par certaines personnes arrêtées lors des enquêtes de la traque des biens mal acquis, sur le dossier de Mme Aida NDIONGUE.

Mimi ne cesse de bruire. Telle une girouette, elle dit, se dédit et se contredit au gré de ses intérêts. Ses amis d’aujourd’hui, seront ses ennemis de demain.

Décidemment, après plusieurs années d’errance politique, elle a choisi Guy Marius Sagna comme nouveau tuteur pour parrainer son ralliement aux côtés de ce férus de la « robe rouge » pour reprendre Adji SARR.

Samuel SARR

Ancien Ministre d’Etat

Président du Parti Libéralisme Social Sénégalais

«WADISTE ETERNEL » et «MACKYSTE ECLAIRE»

GOUVERNANCE ECONOMIQUE : Les grands bonds du président Macky SALL ! (par Samuel SARR) Discours pertinent, vision claire,...
04/01/2023

GOUVERNANCE ECONOMIQUE : Les grands bonds du président Macky SALL ! (par Samuel SARR)

Discours pertinent, vision claire, perspectives rassurantes sur fond de solidarité affirmée, le président de la République Macky SALL a encore séduit de par la teneur de son adresse de nouvel an ce 31 Décembre 2022.

En dépit des chocs exogènes qui ont des influences souvent négatives sur la conduite des politiques publiques en Afrique, notamment au Sénégal, le Chef de l’Etat a su mettre en œuvre des stratégies pour adoucir les conséquences sur le quotidien des Sénégalais.

Comment le consommateur sénégalais allait-il supporter tous ces bouleversements si des mesures sociales n’étaient pas prises pour protéger le pouvoir d’achat des ménages ?

Ayant une pleine conscience de cette situation assez délicate pour les familles, ont été décidés : «l’augmentation substantielle des salaires pour un montant cumulé de 236 milliards de FCFA ; la subvention des prix du carburant, du gaz et des denrées de première nécessité pour plus de 750 milliards ; la renonciation, par l’Etat, de 157 milliards de recettes fiscales sur des produits importés comme le riz, le blé, le maïs, le sucre et l’huile, afin d’éviter leur renchérissement pour le consommateur ; enfin, le soutien direct à 543 000 familles vulnérables par transfert d’argent pour plus de 43 milliards”.

A travers des mesures à hautes portées sociales, le président Macky SALL a agi en véritable “pére de la Nation” motivé par une ferme volonté d’accompagner son peuple dans un contexte mondial fortement marqué par une hausse générale des prix des denrées notamment celui du carburant. En Europe, en Afrique, en Asie, aux Usa, les prix ont pris l’ascenseur lorsqu’au Sénégal, le Gouvernement continue de supporter cette inflation. Aujourd’hui, le réajustement des prix annoncé par le Chef de l’Etat est venu à son heure. Par contre, il s’agira désormais d’une répartition ciblée de la subvention de l'énergie.

Le ciblage de la subvention de l’énergie profitera aux familles à faible revenu, au monde rural, aux petites et moyennes entreprises. En tout état de cause, les grandes entreprises ont toutes les capacités financières de soutenir ce réajustement du prix de l’énergie. Saluons à sa juste valeur, cette discrimination positive en faveur des clients à faible consommation. Et désormais, il faudra propulser cette dynamique de solidarité énergétique agissante avant l'arrivée du gaz naturel de Sangomar et Yakkar Teranga qui va baisser de manière structurelle les coûts de l'énergie au Sénégal.

Le Chef de l’Etat a rappelé que «l’effort de protection sociale sera renforcé en 2023 avec la mobilisation de plus de 450 milliards au titre des subventions des produits alimentaires et énergétiques ». Alors, avec ces initiatives heureuses, le président de la République enclenche cette «solidarité énergétique» adoubée par d'autres mesures sociales fortes. En outre, les foyers devront s’adapter à cette situation par l’utilisation des compteurs prépayés dans le but de mieux maitriser la consommation familiale et appliquer les mesures d’économie d’énergie.

Dans les autres secteurs de la vie nationale, les chantiers d’infrastructures, les projets emblématiques à Foundiougne, Marsassoum, à Keur Massar, les axes routiers Tambacounda-Goudiry-Kidira, et Louga-Dahra, les 60 chantiers d’infrastructures en cours d’exécution, la ligne du BRT entre Guédiawaye et Dakar ; la 2e phase du TER, entre Diamniadio et AIBD ; la route du Daandé maayo ; l’axe Kidira-Bakel ; l’autoroute du Nord Dakar-Tivaouane-Saint-Louis, sont autant de chantiers qui participent à la transformation du pays jusque dans les coins les plus reculés. Cela traduit également la vision structurelle du Chef de l’Etat qui a très tôt compris l’importance de l’infrastructure dans les politiques de développement.

Obéissent à cette dynamique, «le Programme de Connectivité des Zones de Production Agricole, dans les régions de Kaffrine, Kaolack et Thiès, dont le montage financier est bouclé, le Programme Spécial de Désenclavement qui est un vaste chantier quinquennal déjà démarré pour réaliser 2850 Km de routes, ainsi que des ouvrages d’art en milieu rural et urbain qui vont permettre de mobiliser 60 entreprises nationales et de générer 50.000 emplois ».

Il faut aussi saluer la poursuite des programmes comme le PUDC, le PUMA et le PROMOVILLES qui visent «un maillage complet du pays en routes bitumées, pistes carrossables, infrastructures hydrauliques et électriques ».

Au vu de tous ces programmes réalisés et de ceux en cours, il est alors aisé de comprendre le choix porté sur le Sénégal par Global Economy qui le place au 8e rang des meilleurs réseaux routiers et autoroutiers d’Afrique, sur 38 pays évalués.

Reprenant une étude du Centre d’Etude et de Réflexion sur le Monde Francophone (CERMF), le journal «Financial Afrik » a écrit : «Avec un PIB par habitant de 1.606 dollars début 2022, le Sénégal, pays du train le plus rapide d’Afrique subsaharienne, affiche désormais un niveau de richesse par habitant près de deux fois supérieur à celui du Rwanda, parfois surnommé le «Singapour africain ». Le dynamisme sénégalais s’accompagne d’une modernisation rapide du pays, qui maitrise dans le même temps sa dépendance aux aides publiques étrangères au développement, et démontre, par ailleurs, que progrès et démocratie ne sont pas incompatibles ».

Ces perspectives heureuses renforcent les présomptions positives des partenaires au développement comme le Fmi, la Banque Mondiale, l’OCDE qui saluent les grands bonds économiques de notre pays.

L’on comprendre maintenant pourquoi, ces hâbleurs impopulaires refusent d’orienter le débat public autour du bilan du président Macky SALL, qui en réalité les jette dans une position inconfortable. Et ces mots de Karim WADE mal-heureux, inspirent la pitié, en voyant cet ancien Ministre d’Etat se rabaisser jusqu’au niveau de ce «ptit Sonko» qui n’a aucune expérience dans la gestion d’un Etat. Mais tous ces écarts de Karim WADE s’expliquent par son éloignement (exil volontaire) du théâtre d’opération, le Sénégal.

Samuel SARR

Ancien Ministre d’Etat

Président du Parti Libéralisme Social Sénégalais

Adresse

Dakar
15000

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