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« Dans le scandale hors norme du PRODAC (un carnage de deniers publics), la diffamation relève d’une fiction »Aux termes...
25/03/2023

« Dans le scandale hors norme du PRODAC (un carnage de deniers publics), la diffamation relève d’une fiction »

Aux termes des dispositions de l’article 258 du Code Pénal de la Loi 2016-29 du 8 novembre 2016 modifiant la Loi 65-60 du 21 juillet 1965 portant Code Pénal de la République du Sénégal, la diffamation est définie comme : « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation ». Dans le carnage du PRODAC, évoquer une quelconque diffamation relève d’une fiction, car l’existence du rapport de l’IGF (inspection générale des Finances) ne fait l’ombre d’un doute et est attesté par de nombreux supports (matériel, audio, vidéo…) et par de nombreuses déclarations publiques y compris du délinquant Mame M’Baye NIANG, le « supposé diffamé » et d’une autorité officielle de 1er plan (le 1er ministre actuel).

I – Il existe bel et bien un rapport authentique du PRODAC qui a fait l’objet d’une large publication

A la page 4 du rapport du PRODAC, il est clairement mentionné que les vérificateurs, en vertu du principe du contradictoire, ont réalisé une série d’auditions qui ont permis d’entendre :

Le 20 février 2018 : M. Ibrahima Cissé, Gérant de la société TIDA, et Mme Maimouna N’Dour FAYE, Directrice Générale, du Cabinet de Conseil et de communication 3M Universel,
Le 23 février 2018 : M. Mamadou Lamine CAMARA, Directeur Général de la société de transit, ITAA (International Transit Al Amine),
Le 07 mars 2018, M. Mamina DAFFE, Coordonnateur national du PRODAC,
Le 13 mars 2018, M. Jean Pierre SENGHOR, ancien Coordonnateur national du PRODAC,
Le 15 mars 2018, M. Daniel PINHASSI, ancien Coordonnateur général du Projet GREEN 2000.

Les dates des auditions et la qualité (fonction) des personnes entendues suffisent à établir l’existence du rapport. Aucune personne, parmi la liste précitée, n’a nié avoir été auditionnée. Au demeurant, une lecture approfondie des 63 pages du rapport, apporte un éclairage édifiant sur le carnage du PRODAC. Les informations fournies dans le rapport sont claires, précises et extrêmement détaillées. Tout y est ou presque. Les failles juridiques (une énorme faillite contractuelle du fait de l’inexistence d’un cahier des charges et de la signature d’un marché de gré à gré qui ne justifiait pas), le dévoiement total du projet (création de cœur de DAC au lieu de DAC complets), et les surfacturations opérées via LOCAFRIQUE (pages 14 et 15). Les dates, les lieux et les montants sont d’une telle précision qu’elles écartent de manière définitive et certaine toutes les déclarations loufoques niant l’inexistence de ce rapport. IL n’y a aucun juge au monde qui après avoir lu les 63 pages de ce rapport, oserait nier son existence. La question consistant à dire que le rapport du PRODAC n’existe pas parce qu’il n’a pas été signé ou parce qu’il ne comporte pas de tampon officiel, relève de la tartufferie (pure diversion). Le débat est ailleurs : tous les éléments figurant dans le rapport de 63 pages sont rigoureusement exacts (les faits sont constants).

C’est à Mame M’BAYE NIANG d’apporter la preuve que le rapport de 63 pages est un faux, que toutes les personnes citées sont fictives et que les auditions d’Ibrahima Cissé, Maimouna N’Dour, Mamadou Lamine CAMARA, Mamina Daffe, Jean Pierre Senghor, et Daniel PINHASSI n’ont jamais eu lieu. C’est lui demander l’impossible.

Les avocats de SONKO pourront demander que les personnes précitées soient auditionnées par le tribunal. La question qui leur sera posée est simple : ont-elles été auditionnées dans le cadre de l’affaire PRODAC, comme mentionné dans le rapport du PRODAC ? Si la réponse est oui, et elle ne peut pas en être autrement, alors cela prouve de manière définitive l’existence et la véracité des éléments contenus dans le rapport du PRODAC. Au même titre, l’actuel 1er Ministre Amadou BA qui a confirmé l’existence du rapport devant les députés Le 30 juin 2018, lors du débat d’orientation budgétaire qui marquait la clôture de la session ordinaire unique de l’Assemblée nationale, devra être entendu en qualité de témoin (sa qualité de 1er ministre ne l’exonère en rien surtout lorsque son nom est cité dans une affaire de malversations et de détournements de deniers publics et qu’il a eu à se prononcer publiquement sur cette affaire, à plusieurs reprises, pour écarter la responsabilité du Ministère qu’il dirigeait à l’époque).

II – Le rapport PRODAC incrimine nommément, et clairement Mame M’Baye NIANG

Dans le scandale hors norme du PRODAC, le délinquant et voleur de deniers publics, Mame M’Baye NIANG affirme avec une incroyable audace et un culot qui défie le bon sens qu’il « n’existerait aucun rapport de l’IGF l’incriminant ». La page 23 du rapport du PRODAC vient mettre à nu ses élucubrations. Les conclusions des auteurs du rapport sont sans appel : « en raison du principe de la chronologie des actes e procédure, la notification de l’ordre de service de démarrage ne peut être envisagée qu’après celle du contrat auquel il se rapporte. Ce principe basique du droit des contrats publics n’a pas été observé. Alors que le contrat n’a été notifié que le 25 juillet 2016 à l’entreprise GREEN 2000, le Ministre Mame M’Baye NIANG assurant la tutelle du PRODAC avait déjà émis 5 mois auparavant un ordre de service de démarrage n° 0151/MJECC/SG/CAB/SP du 24 mars 2016. C’est sur le fondement de cet ordre de service que LOCAFRIQUE a démarré les paiements le 30 mai 2016, validant en toute illégalité des demandes de paiement avant même la notification et l’enregistrement du contrat ». C’est on ne peut plus clair.

Le rapport du PRODAC incrimine nommément, et clairement Mame M’Baye NIANG qui est personnellement visé. Pour comprendre la portée juridique exacte de cette incrimination, il se faut tout simplement se référer aux articles 27 et 28 du décret n°2014-1212 en date du 22 septembre 2014 portant code des marchés publics modifié. En effet, l’article 27 du CMP dispose que la procédure de passation du marché est conduite par la Personne responsable du marché, seule habilitée à signer le marché. L’article28 (alinéa a) dudit code définit clairement l’identité de la personne responsable du marché en ces termes : « Les Personnes responsables des marchés sont pour les marchés de l’État et dans chaque Département ministériel, le ministre chargé du département concerné… ». Mame Mbaye Niang étant le Ministre de la Jeunesse à l’époque, sa responsabilité est directement et pleinement établie du point de vue juridique, dans la mesure où sa signature a engagé contractuellement l’Etat. C’est d’autant plus vrai que l’ordre de service N°000151MJECC/SG/CAB/SP (injonction faite à GREEN 2000 de démarrer les prestations alors que le marché n’a même encore été notifié porte sa signature et constitue une circonstance aggravante.

Lorsque Mame M’Baye NIANG tel un lâche, tente de se dédouaner de ses responsabilités, en affirmant qu’il n’était pas le coordonnateur du PRODAC, il croit avoir affaire à des demeurés et à des non-initiés qui ignorent les règles régissant les procédures liées aux contrats administratifs et particulièrement le code des marchés publics. Afin que nul n’en ignore, il convient de préciser que l’article 28 (alinéa a) du code des marchés qui définit l’identité de la PRM (personne responsable du marché) ne connait ni le coordonnateur du PRODAC, ni le sous coordonnateur du PRODAC ou qui sais-je encore. Le code des marchés publics est extrêmement clair : « La Personne responsable du marché, pour les marchés de l’État, c’est le ministre chargé du département concerné ». Un point, un trait.

Du point de vue juridique, le responsable est formellement identifié ; c’est le signataire du marché, en l’occurrence, Mame M’Baye Niang. Si Mame M’baye Niang était en France, son cas serait réglé depuis belles lurettes. A ce niveau les Avocats de SONKO disposent d’une arme redoutable. Il s’agira de demander à Mame M’Baye NIANG si l’ordre de service N°000151MJECC/SG/CAB/SP dont il est fait état dans le rapport existe et a bien été signé par ses soins. S’il confirme l’existence de cet ordre de service, il confirmera l’authenticité, du rapport du PRODAC de 63 pages, puisque cette information capitale y figure en bonne place.

III– Le scandale du PRODAC ne relève pas de la diffamation, mais de la nécessaire information du public

Dans tous les pays où l’état de droit n’est pas une fiction, les juges apprécient différemment les plaintes de diffamation lorsqu’elle concerne les détenteurs d’un mandat ou d’une mission de service public. A titre d’exemple, en France, un article publié sur un site Internet accompagné d’un dessin humoristique qui critiquait le montant excessif des frais de véhicules utilisés par les « proches » d’un maire n’a pas été considéré comme insinuant un détournement de fonds publics, ni comme portant atteinte à l’honneur et à la considération du maire. Ils s’inscrivaient entièrement, selon le juge, « dans le cadre de la polémique politique nécessaire à la démocratie » (CA- Aix-en-Provence, 17 septembre 2007, n°1143M2007). Ce qui est pris en compte par le juge « c’est l’objectif d’information du public dans le cadre du débat politique et démocratique à condition que l’information n’ait pas été dénaturée et qu’elle concerne l’activité publique de la personne mise en cause, en dehors de toute attaque contre sa vie privée » (CA Montpellier, 25 avril 2007).

Ce courant jurisprudentiel, s’appuie sur la position de la Cour Européenne des Droits de l’Homme. La CEDH (cour européenne des droits de l’homme) juge qu’au nom de la liberté d’expression, le juge doit apprécier si les personnes poursuivies sont des élus du peuple qui doivent pouvoir attirer l’attention sur les préoccupations de l’électorat et défendre ses intérêts – CEDH, 24 avril 2007, Lombardo c. Malte, n°7333/06)2), ou lorsque la personne visée par les propos est un responsable politique – CEDH, 8 juillet 1986, n°9815/82, Lingens c/Autriche ou encore lorsque les propos tenus contribuent simplement à un débat d’intérêt général – CEDH, 24 juin 2004, n° 59320/00 – Von Hannover c/Allemagne.
En relayant publiquement un sujet (il est l’un des derniers à évoquer l’affaire) qui a déjà fait l’objet d’un débat portant sur des malversations financières dans le cadre d’un contrat de plus de 29 milliards de F CFA qui a été conclu au dehors de tous les principes qui guident la commande publique : liberté d’accès, égalité de traitement et transparence des procédures ; Sonko a eu, à l’instar des citoyens sénégalais, comme préoccupation légitime, le bon usage des deniers publics. Dans un Etat de droit, une telle question d’intérêt public majeur nourrit le débat démocratique et permet aux citoyens d’être informés sur certains faits de délinquance financière. Au demeurant, l’article 25-3 de la Constitution dispose « Tout citoyen a le devoir de défendre la patrie contre toute agression et de contribuer à la lutte contre la corruption et la concussion ». C’est en vertu de ce principe constitutionnel que Mame M’BAYE NIANG a été interpellé, en sa qualité d’homme public. Il doit répondre de ses frasques.

Conclusion

Dans le scandale hors norme du PRODAC, la notion de diffamation relève de la pure fiction et constitue une gigantesque entreprise de mystification et de diversion. Il n’y a que dans un pays, comme Le Sénégal, une république bananière où des voleurs, bandits de grand chemin, et malfrats notoires comme Cheikh Oumar Hann et Mame M’Baye NIANG se pavanent en toute liberté et narguent la justice, parce que certains juges, des valets, sont de parfaits soumis à l’image de déserteurs qui ont pris la tangente.

L’existence du rapport du PRODAC ne fait l’ombre de doute et le fait qu’il n’ait pas été signé ou ne comporte pas de tampon officiel n’y change strictement rien. Les faits sont constants et formellement établis. Par ailleurs, les nombreux supports (matériel, audio, vidéo………) versés au dossier, dont les déclarations publiques du délinquant Mame M’Baye NIANG, le « diffamé fictif » et du 1er ministre, Amadou BA ont fini d’établir de manière certaine et définitive l’existence du rapport. Le tribunal doit être doté d’un matériel adéquat permettant de projeter toutes les déclarations publiques faites par Mame M’Baye NIANG et l’actuel 1er ministre, Amadou BA. Il s’agit de mettre en exergue tous les éléments de nature à contribuer à la manifestation de la vérité et qui prouvent l’existence du rapport du PRODAC. De fait, l’existence du rapport du PRODAC, au-delà du seul rapport de 63 pages peut être prouvé par tout moyen (ce qui importe pour le juge, c’est que tous ces éléments concourent à la manifestation de la vérité). L’incrimination de Mame M’Baye NIANG est établie au niveau des pages 23 et 53. La page 53 établit la culpabilité de Mame M’Baye NIANG, et son incroyable inertie, suite aux nombreuses alertes de LOCAFRIQUE, sur le non-respect par le prestataire de ses obligations contractuelles (lettre du 28 octobre 2016, lettre du 09 juin 2017, lettre du 02 mars 2017, et lettre du 10 avril 2017).

Il faut cesser d’amuser la galerie : il appartient à Mame M’BAYE NIANG et à lui seul de prouver que le rapport du PRODAC de 63 pages est un FAUX, que les personnes auditionnées et citées dans ce rapport sont fictives et enfin que l’ordre de service n° 0151/MJECC/SG/CAB/SP du 24 mars 2016, à l’origine des paiements illégaux ultérieurs n’a pas été signé par ses soins. Ce qui relève de l’impossible.

Le fait même que l’existence du rapport PRODAC fasse l’objet d’un débat, prouve que tout va à vau l’eau dans le pays (le régime moribond parvient à faire douter des esprits faibles là où le doute n’est pas permis).

Transformer avec aplomb, le mensonge en vérité, est la marque du régime mafieux de Macky SALL.

Seybani SOUGOU
Expert Marchés Publics
E-mail : [email protected]

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03/03/2023

L’autopont de Cambérène sera ouvert à la circulation ce weekend. L’Ageroute qui donne l’information a signalé que la mise en circulation de l’ouvrage de Cambérène à partir du samedi 4 mars 2023. Cependant, poursuit les mêmes sources, il sera procédé à la fermeture des 4 bretelles ceinturant l’ouvrage tout en garantissant l’accessibilité du giratoire afin de finaliser les travaux des voiries et des aménagements au sol. Toutefois, la transversale (Dalifort–Case bi) passant par le rond-point de Cambérène restera fonctionnelle. Mais les automobilistes qui désireront rejoindre la Patte d’Oie à partir de la A1, seront obligés de sortir de l’autoroute par l’échangeur de Lobat Fall ou celui de Hann

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Un allié de taille pour la majorité présidentielle. La coalition Jotna a rejoint BBY. L’annonce a été faite par le nouveau président de la coalition, Moustapha Wade. « La Coalition Jotna a toujours joué un rôle prépondérant dans la vie politique au Sé- négal. Notre coalition a travaillé sans relâche pendant toutes ces années à créer une alternative crédible avec les acteurs de l’opposition », a déclaré Moustapha Wade, président de la Coalition Jotna







(Lien article détaillé en commentaire)

Sidy Ahmed Mbaye recherché pour escroquerie: la collusion de Maham Diallo avec les comploteurs mis à nuIncroyable!!! Une...
03/03/2023

Sidy Ahmed Mbaye recherché pour escroquerie: la collusion de Maham Diallo avec les comploteurs mis à nu
Incroyable!!! Une énième main divine dans le dossier.
Le cerveau de l’affaire Adji Sarr, celui qui a a été l’intermédiaire entre Mamour Diallo et elle; ce fameux Sidy Ahmed Mbaye grâce au témoignage duquel le juge Maham Diallo a renvoyé Sonko en chambre criminelle…est en réalité un vulgaire escroc recherché et en fuite.
Il a fait croire à un pigeon qu’il disposait d’une vidéo de Adji Sarr et Sonko et lui a soutiré 10 millions.
Comment un dossier porté par une plaignante qui fait des aveux et un témoin clé qui est poursuivi pour escroquerie, a pu sortir de la section de recherche, traversé les fourches caudines de la justice pour se retrouver en chambre criminelle?
La légèreté, non, la complicité du Procureur et du juge Maham Diallo ne font plus l’ombre d’un doute.
La justice sénégalaise s’est noyée dans l’affaire Adji Sarr.
Désormais, avec son stratagème pour escroquer des gens dans une affaire où il est un des acteurs principaux, tout son témoignage tombe à l’eau et il ne peut servir de caution à l’accusation.
L’urgence, c’est que la plainte de Sonko contre Sidi Ahmed Mbaye transférée par l’ex Procureur général avant sa mutation à la DIC, soit diligentée.
Dans les conditions actuelles de fragilité avec ce dossier d’escroquerie, il va avouer tout le complot et les commanditaires.
Si la presse, les intellectuels et la population ne se mobilisent pas, le Régime qui va indubitablement protéger Sidy Ahmed Mbaye, va empêcher son arrestation et régler ce dossier d’escroquerie en catimini.
Si Macky mobilise sa justice et ses juges autour de l’affaire Mame Mbaye Niang, c’est qu’il sait que le dossier Adji Sarr est une boule puante qui va se retourner contre les comploteurs.
Macky a son plan de liquidation de Sonko, Allah a son plan de sauvegarde de Sonko…et Allah est plus fort que Macky.

Ba (PASTEF)

03/03/2023

Quand le conflit politique barre la route à l'engagement citoyen : A Diourbel, les militants de PASTEF interdits de don de sang par le directeur de l’hôpital régional sur ordre du préfet.










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01/03/2023

Samedi 25 Février 2023, dans le cadre d’une manifestation autorisée par la police suédoise à proximité de l’ambassade de Turquie, l’extrémiste de droite suédo-danois Rasmus Paludan a brûlé un exemplaire du Coran pour dénoncer les négociations suédoises avec Ankara sur l’Otan. Un « acte profondément irrespectueux » que le Premier ministre suédois a déploré ce dimanche, en exprimant sa «sympathie» aux croyants après plusieurs protestations dans le monde musulman. En effet, de nombreux pays musulmans ont exprimé leur indignation. Le Maroc, l’Indonésie, l’Arabie saoudite, les Emirats Arabes Unis, l’Organisation de la coopération islamique (Oci) ont condamné cet « acte odieux et inacceptable ». Le Président Macky Sall a, à son tour, déclaré que « l’islamophobie et la haine des musulmans sont abominables et doivent être combattues sans concessions ».




NANTES: un scorpion pique un passager dans un avion en provenance du sénégal(Voir lien article détaillé en commentaire)
01/03/2023

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01/03/2023

" Depuis plus d’une semaine mon avocat a introduit une requête auprès du juge Mamadou Seck deuxième cabinet. Pour me permettre de récupérer mon passeport et se rendre en France pour des soins médicaux. La requête était accompagnée d’une attestation de l’hôpital Américain de Paris. Le plus normalement du monde le dossier a été transmis au parquet. Tout le monde sait comment c’est difficile d’avoir un rdv pour décrocher un visa. J’ai pu avoir la date du 2 Mars pour le dépôt de mon dossier au consulat. Malheureusement dans leur haine viscérale et abjecte le parquet refuse de traiter le dossier. Je pense que le courage d’une autorité dans n’importe quelle situation est de formuler une réponse positive ou négative. En réalité en me plaçant sous contrôle judiciaire l’objectif c’est non seulement de m’empêcher de travailler mais également me mettre dans une prison à ciel ouvert. Voilà l’image de notre justice qui n’inspire aucune confiance encore moins du respect . Mais je suis plus que déterminé à mener le combat jusqu’au bout."
Pape Alé Niang







Conseil de discipline ordre des avocats : Me El hadji Diouf écope 8 mois assortis de sursisLe barreau a livré son verdic...
01/03/2023

Conseil de discipline ordre des avocats : Me El hadji Diouf écope 8 mois assortis de sursis
Le barreau a livré son verdict hier à la suite d’une longue audience. Me El Hadji Diouf qui comparaissait devant ses pairs a eu beaucoup de chances. D’autant qu’au terme de son audition, le barreau a levé sa suspension. Mais le bouillant avocat est condamné à une peine de 8 mois avec sursis. Pour rappel, on reproche à Me El hadji Diouf d’avoir offensé le bâtonnier.

MESSAGE À LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE Le 16 février 2023, le Sénégal et le monde entier découvraient, médusés, la scène...
28/02/2023

MESSAGE À LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE
Le 16 février 2023, le Sénégal et le monde entier découvraient, médusés, la scène surréaliste qui s’est déroulée sur la corniche Ouest de la capitale sénégalaise. Les réseaux sociaux, les télévisions et la presse écrite du monde entier ont relayé l’agression dont je venais, une fois de plus, de faire l’objet de la part du président Macky Sall. Pour m’extraire de force et m’obliger à entrer dans un de leurs fourgons, les membres de l’unité d’élite de la Police nationale (B.I.P), assistés par le G.I.G.N, l’unité d’élite de la Gendarmerie nationale, ont brisé la vitre de ma voiture avec une violence inouïe. Cette forfaiture aurait pu me causer des dommages physiques plus importants que les égratignures aux pieds causées par les tessons de vitre.
Auparavant, ces mêmes forces de sécurité m’ont refusé un itinéraire dégagé pour obliger mon convoi à emprunter un tunnel piégé où se tenaient des miliciens du régime, armés de fusils lance-grenades et d’armes à feu. Ces milices n’ont pas hésité à inonder le tunnel de grenades lacrymogènes dès que ma voiture, sous contrainte policière, s’y est engagée.
Il s’agit là sans doute d’une tentative d’atteinte à mon intégrité physique qui ne restera pas sans suite.
En réalité, cette attaque préméditée n’est que la suite d’une très longue liste de violences et de violations délibérées de mes droits depuis mon entrée en politique en janvier 2014.
Au-delà de ma personne, les militants et sympathisants de notre parti, PASTEF/LES PATRIOTES, sont tout autant victimes du régime répressif et violent instauré par le président Macky Sall à des seules fins de conservation du pouvoir.
A cette persécution ciblée et systématique s’ajoute une campagne de diffamation, de dénigrement et de diabolisation aux relents discriminatoires et régionalistes. Nous subissons constamment des actes d'intimidation et de harcèlement moral de la part de la Police et de la Gendarmerie sans compter les menaces et les agressions physiques contre nos convois.
Je suis le seul homme politique dont les droits les plus élémentaires relevant du respect de ma vie privée et familiale, de mes libertés d’aller et de venir, sont systématiquement violés.
Je suis le seul justiciable dont le domicile fait l’objet d’un blocus total par les forces de l’ordre avant, pendant et après mes convocations par la justice.
Je suis un justiciable sous contrôle judiciaire depuis plus de 2 ans et empêché de sortie du territoire national.
Je suis un justiciable qui, depuis plus de 2 ans, n’a jamais bénéficié d’un avis favorable à mes demandes d’autorisation de sortie du territoire Sénégalais malgré mes statuts de député, avant, et de maire aujourd’hui.
Aux observateurs de la vie politique sénégalaise à qui j’adresse ce message, je dis que depuis 11 ans, Monsieur Macky Sall exerce la fonction présidentielle de façon violente parce qu’il n’a ni le talent, ni le génie, ni l’envergure d’une fonction qui requiert une haute idée de la tolérance et de l’acceptation de l’opinion dissidente.
Malgré le statut de l’opposition politique qui, en vertu de la Constitution, est un pilier fondamental et un rouage indispensable de notre démocratie, Macky Sall s’est engagé, depuis le 17 avril 2017, dans le cadre d’une déclaration publique inédite, à « réduire l’opposition à sa plus simple expression » !
Premier garant de la liberté politique d’après cette même Constitution, Macky Sall est devenu la plus grande menace contre la démocratie, la liberté politique et la paix civile au Sénégal.
Pourtant jadis terre de respiration démocratique nourrie par la liberté d’expression et le consensus politique, le Sénégal s’est transformé en une véritable autocratie.
Les institutions étatiques et leurs moyens sont utilisés pour persécuter toutes les voix discordantes : l’opposition politique, la société civile, les mouvements citoyens, les lanceurs d’alerte ou encore la presse libre, sont systématiquement persécutés.
A ce jour, le pays compte plus d’une centaine de détenus politiques en attente d’un jugement. Ils sont tous membres de Pastef.
Cette répression s’est faite pendant longtemps sans aucune condamnation, même de principe.
Le peuple sénégalais a l’impression de subir cette violence historique sous la passivité de nombre de partenaires étrangers.
C’est pourquoi nous saluons les récentes productions sur le Sénégal, notamment :
- le rapport du département d’État américain intitulé ”Rapports nationaux 2021 sur les pratiques en matière de droits de l'homme : Sénégal”
- la Lettre de procédures spéciales des Mandats du Rapporteur spécial sur les droits de réunion pacifique et la liberté d’association ; du Rapporteur du Groupe de travail sur la détention arbitraire et du Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires ;
- le rapport de la Mission de Suivi Électoral de l’UE au Sénégal du 12 mars au 9 avril 2022.
Ces rapports ont relevé et dénoncé, à juste titre, les violations très graves des droits et libertés, de l’intégrité humaine et du processus électoral par le régime de Macky Sall. Nous encourageons cette posture qui est celle objectivement attendue de la communauté internationale, consacrant la primauté de valeurs et principes universels sur des intérêts individuels ou de groupes.
Nous savons que le régime du président Macky Sall entretient une propagande active auprès des représentations diplomatiques et des organisations internationales contre son opposition. Cette campagne est même planifiée et entretenue par des médias et cabinets de lobbying internationaux rémunérés avec l’argent du contribuable.
L’objectif principal de cette propagande est non seulement d’isoler notre parti et son leader par la diabolisation et la stigmatisation, mais aussi de faire peur en surfant sur le contexte sous régional et international. A cette fin, ils déploient principalement deux arguments :
- assimiler, à tort, le parti PASTEF à un parti terroriste ;
- assimiler, à tort, le parti PASTEF à un parti anti-occidental.
Nous savons bien que tous les régimes autocratiques se drapent du manteau de lutte contre le terrorisme et/ou exploitent le contexte international tendu, notamment entre l’Occident et la Russie (sur le plan militaire) et la Chine (sur le plan économique), pour exercer un chantage sur leurs partenaires ou se présenter comme unique solution dans leur pays.
Ils en profitent pour réclamer à certains États leur soutien, des armes et de la formation des forces de répression pour réprimer, au besoin dans le sang, toute aspiration populaire à la démocratie, aux libertés, à une justice indépendante, au respect de la Constitution et du nombre de mandats (deux mandats au Sénégal) à la transparence dans la gestion des affaires publiques, à la bonne gestion des ressources naturelles, à la redevabilité…
Une partie de ces partenaires, certains de bonne foi et d’autres pour diverses considérations, succombe à cette duperie qui, pourtant, ne résiste à aucune analyse factuelle ou discursive de l’évolution de notre parti.
Nous sommes un parti politique moderne intégrant les pratiques et standards internationaux de bonne gouvernance associative, rejetant les pratiques occultes.
PASTEF/LES PATRIOTES repose sur :
- un leadership moderne et agile ;
- une démocratie interne;
- des pratiques transparentes avec une communication bidirectionnelle avec la base;
- un discours limpide et responsable ;
- une vision claire de souveraineté économique et d’ouverture sur le monde ;
- un programme innovant conçu par les cadres du parti ;
- un financement innovant et participatif en toute transparence;
- une démarche inclusive qui prends en compte toutes les couches sociales de la société ;
- une intégration dynamique et évolutive ;
- une coopération équitable par un partenariat gagnant-gagnant.
C’est en cela que PASTEF/LES PATRIOTES séduit des millions de Sénégalais, toutes catégories confondues. L’ascension politique de notre parti, dans un pays comme le Sénégal où le peuple a une forte culture politique et démocratique, n’est pas le fait du hasard, mais un engagement rigoureux et sans complexe autour des enjeux de l’heure. C’est la raison pour laquelle :
- Qualifier PASTEF de parti terroriste et antidémocratique relève de l’allégation d’un régime sociologiquement et politiquement minorisé et qui ne compte désormais que sur la désinformation, la manipulation, l’instrumentalisation de la Justice et la violence d’État pour réprimer des populations qui n’en veulent plus ;
- Qualifier PASTEF de parti violent, c’est s’attaquer à l’intelligence des millions de Sénégalais de toutes catégories socio-professionnelles, de toutes religions ou ethnies confondues ; c’est aussi manquer de respect à des millions d’hommes et de femmes d’ici et de la diaspora qui ont, librement et en toute connaissance, choisi ce projet politique comme la voie d’un changement structurel d’un pays pris en otage par la mal gouvernance depuis des années ;
- Qualifier PASTEF de parti anarchiste, c’est aussi insulter et manquer de respect à ces nombreux partenaires nationaux, étrangers et internationaux qui échangent, travaillent et partagent avec notre formation autour des enjeux pluriels du moment et de l’Afrique.
Aux observateurs de la vie politique sénégalaise, j’aimerais dire que :
- PASTEF est un parti de son époque, ouvert sur le monde, mais foncièrement attaché aux valeurs culturelles fondamentales qui constituent le ciment de l’unité nationale sénégalaise ;
- PASTEF est un parti dont le candidat à la fonction présidentielle s’engage à coopérer politiquement, économiquement et diplomatiquement avec tous les partenaires du Sénégal dans un schéma bénéfique à toutes les parties et dans le respect des principes fondamentaux du droit des relations internationales, notamment celui de l'égalité souveraine des Etats ;
- PASTEF est un parti dont le seul souci est le développement du Sénégal et la sauvegarde de notre dignité par des mesures endogènes axées sur une coopération durable, équitable, sincère et mutuellement gagnante.
À moins d’un an d’une élection présidentielle cruciale, le Sénégal est à la croisée des chemins, tant l’incertitude et le climat de tension font craindre le pire.
Le responsable de cette situation n’est autre que le président Macky Sall qui, à l’évidence, veut plonger le pays dans le chaos :
- Il exerce une violence policière et judiciaire jamais égalée au Sénégal contre ses opposants ;
- Il entretient un système de corruption, d’impunité contre les actes de mal gouvernance, de détournements de deniers publics et d’exactions commis par ses plus proches collaborateurs ;
- Il fait entretenir un discours vicieux et dangereux pour la stabilité nationale sur la religion et les appartenances ethniques ;
- Il entretient des nervis et des milices privées qui officient aux côtés des forces de défense et de sécurité en toute impunité.
Les partenaires du Sénégal doivent s’abstenir de tout soutien au projet destructeur du président Macky Sall dont la motivation principale est la peur des lendemains de sa gestion calamiteuse, clanique et violente, émaillée de corruption, de détournements et de crimes impunis.
Le peuple sénégalais, qui a beaucoup donné à l’humanité et qui a encore beaucoup à donner, a déjà tourné la page Macky Sall.

Président du parti politique PASTEF-Les Patriotes
Candidat à l’élection présidentielle 2024 au Sénégal
Dakar, le 27 février 2023

Ousmane SONKO

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Dakar

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