Association des Professionnels des Médias Sociaux et Web-Acteurs

17/02/2024

Dans le cadre de l’exécution de sa mission , le Président du Comité de Pilotage du Dialogue Inter- Maliens, l’ancien Premier Ministre , Monsieur Ousmane Issoufi MAIGA organise une rencontre d’échanges avec la Presse nationale et internationale le mardi 20 février 2024 à 10 Heures dans la salle de conférence de la Maison de la Presse du Mali.

Compte tenu de l’importance de l’événement la présence de tous les médias est souhaitée.

Le Président de la Maison de la Presse

El Hadj Bandiougou Dante
Chevalier de l’Ordre National

13/02/2024

13/02/2024

Rencontre entre la DIRPA et l'APMS-WA (Association des Professionnels Média Sociaux et Web Acteurs): Vers une collaboration renforcée pour une communication responsable🇲🇱🇲🇱🇲🇱

10/02/2024

09/02/2024

09/02/2024

09/02/2024

09/02/2024

09/02/2024

09/02/2024

Le 8 février 2024, s'est tenue à la DIRPA une réunion entre cette dernière et l'APMS-WA dans le but d'établir un cadre de collaboration.

Le Colonel Souleymane Dembélé, directeur de la DIRPA, a mis en avant le rôle crucial des médias sociaux dans la communication des forces armées maliennes et a appelé les acteurs médiatiques à la prudence dans la diffusion d'informations, en particulier celles pouvant ternir l'image du pays et de l'armée. Le Colonel Mariam Sagara a également souligné l'importance de la vérification des informations avant leur diffusion.

Les représentants de l'APMS-WA ont exprimé leur gratitude envers la DIRPA pour cette démarche et ont évoqué certaines difficultés rencontrées dans l'accès aux informations. Ils ont également sollicité une révision de la stratégie de communication de la DIRPA et la mise en place d'un cadre de collaboration avec les professionnels des médias sociaux pour une coordination accrue.

Crédit photo/ APMS-WA (Association des Professionnels Média Sociaux et Web Acteurs)🇲🇱🇲🇱🇲🇱

08/02/2024

Racontre entre la Dirpa et l'association des Professionnels Média Sociaux et Web Acteurs

08/02/2024

Racontre entre la Dirpa et l'association des Professionnels Média Sociaux et Web Acteurs aujourd'hui le 8 Février 2024

07/11/2022

Communiqué N° 003 de APMS-WA (Association des Professionnels des Médias Sociaux et Web Acteur) suite à la diffusion d’un reportage sur la chaine française BFM TV sur le Mali.
Depuis un certain temps, nous membres de l'Association des Professionnels des médias sociaux et Web-acteurs (APMS-WA), dans l'exercice de notre profession, nous assistons à des attaques injustes et diffamatoires à l’encontre de notre président M. Malick KONATE, au-delà de la personne physique du président, l’Association n’est non plus épargnée.
APMS-WA déplore les appels à l’atteinte de l’intégrité physique et les injures subversives dont notre président fait l’objet sur les réseaux sociaux. Par conséquent, nous dénonçons et condamnons ces attitudes qui sont abjectes et inconscientes de la part de ces détracteurs. Tout individu a droit à la présomption d’innocence. Nous rappelons que le président Malick KONATE ne fait qu’exercer son métier de journaliste en donnant des informations au paisible citoyen lambda Malien. Il faut également noter que tout citoyen doit apporter sa pierre à l’édifice nationale. Par contre, si les critiques sont objectives, elles peuvent nous aider dans la reconstruction du Mali. Nous sommes tous des Maliens, nous devons j***r des mêmes droits et des mêmes devoirs.
Par ailleurs APMS-WA se pose des questions pourquoi tant de haine contre le Président Malick KONATE et de l’Association ?
Si toutes fois le Président fait objet d’une poursuite judiciaire, comment ce communiqué se trouve entre les mains des influenceurs ou des vidéo-men au moment où l’Etat lui-même ne fait pas objet de ce communiqué ?
Nos remerciements à l’endroit de tous ceux qui n’ont ménagé aucun effort pour leurs soutiens indéfectibles à l’endroit de notre président et de notre Association, nous les remercions tous.
Vive le Mali !
Vive l’APMS-WA
Bamako, le 07 Novembre 2022
Secrétariat Général

15/06/2022

Communiqué de la Maison de la Presse du Mali sur la sortie du Premier ministre dans l’émission Malikoura Taasira .

C’est avec stupéfaction et indignation que la Maison de la Presse a suivi l’interview du Premier ministre dans l’émission Malikoura Taasira diffusée le lundi 13 juin 2022 sur la chaîne nationale.

À la question d’un confrère sur l’indexation de l’aide à la Presse au budget de l’Etat ( question qui est d’ailleurs évoquée dans un projet de décret sur la table du gouvernement depuis plusieurs mois) , le Premier Ministre s’est livré à un exercice de désinformation de l’opinion publique.

En effet , le Premier Ministre a déclaré que des journaux l’ont qualifié de voleur dans le traitement de l’information sur la question de l’aide à la Presse. Nous nous inscrivons en faux par rapport à cette déclaration.

Sur la cinquantaine de journaux ayant traité ce sujet qui a fait la « UNE » de l’actualité les semaines écoulées, chaque organe a librement choisi un angle spécifique, aucun n’a manqué de respect ni au Premier Ministre ni à une quelconque autorité de la Transition.

Nous invitons le Premier ministre à la retenue et à faire face à l’essentiel notamment en s’inscrivant dans le cadre de l’adoption des textes de la refondation de la Presse malienne plutôt que de se livrer à des campagnes de désinformation à issue incertaine et aux conséquences dangereuses pour notre pays.

Par ailleurs , la Maison de la Presse invite l’ensemble des rédactions en langues nationales à relayer nos communiqués pour une meilleure compréhension des populations.

Bamako le 15 juin 2022
Le Président de la Maison de la Presse
Bandiougou Dante

02/06/2022

Interrogations sur la sortie du Ministre de la Communication dans l’émission MALIKOURA TASSIRA.

1. Pourquoi annoncer plus 600 millions d’aide à la Presse maintenant dans une émission censée faire le bilan de la « Rectification » de la Transition ? Rectification commencée en mai 2021.

Pour rappel le gouvernement de la rectification a juste un an et plus de475 millions ont été payés, dépensés et justifiés avant le coup d’État d’août 2020.

2. Quelles sont les motivations réelles pour un gouvernement de semer le doute dans l’esprit des journalistes contre la Maison de la Presse à un moment de précarité sans précédent ?

3. Pourquoi ne pas dire que c’est le département de la Communication qui convoque et assure la présidence de la Commission de répartition de l’aide à la Presse ?

4. Pourquoi ne pas dire que c’est à cause du caractère insignifiant des montants que la commission n’a pas été convoqué par le Ministère de la Communication ?

Pour rappel, depuis janvier 2020, le département de la Communication n’a pas pu convoquer la commission à cause de la faiblesse des montants alloués à la Presse (les plus faibles montants dans la sous-région), d’Afrique et assurément du monde.

Par courtoisie, nous n’allons pas avancer des montants des pays de la sous-région moins nantis que le nôtre et ayant moins d’organes que le nôtre.

5. Pourquoi ne pas dire que la Maison de la Presse n’a bénéficié ni de la Primature , ni du département de la Communication, depuis le début de ce qui convenu d’appeler par ses acteurs la rectification, un(1) franc CFA, même un litre de carburant , comme appui à la réalisation différentes activités comme celles du 13 février (journée mondiale de la radio) , le 3 mai ( journée mondiale de la liberté de la Presse) , les différents ateliers de relecture des textes régissant les médias maliens, les formations organisées à l’attention des journalistes, animateurs radios, acteurs des médias sociaux etc.

6. Pourquoi ne pas évoquer les mille et une promesses non tenues du Premier Ministre de la rectification en faveur de la Presse ?

7. Pourquoi ne pas reconnaître que la rénovation de la Maison de la Presse est une initiative du gouvernement d’avant rectification même si l’administration est une continuité ?

8. Pourquoi ne pas évoquer l’entretien d’un petit groupe de journaliste et d’un nombre indéterminé de vidéos men à travers le monde au service du Premier Ministre ?

9. Pourquoi, utiliser les canaux de l’ORTM, membre à part de la Maison de la Presse pour diffuser des informations incomplètes ?

10. Pourquoi chercher à diviser davantage la Presse malienne à un moment où seule l’unité de la nation est recherchée par tous ?

11. Pourquoi ne pas démentir les accusations de détournements de 600 millions avancés par une certaine Presse suite à la rencontre du Premier Ministre Choguel Kokalla Maiga avec des éléments de l’ASSEP ? Association membre de la Maison de la Presse.

Nos réponses :

Nous sommes en droit de penser qu’il s’agit de représailles suite :

1. Au différend entre les Autorités de la Transition et la Maison de la Presse sur la question de l’élection des membres des organisations professionnelles à la Haute Autorité de la Communication (HAC).

2. Les contre - vérités du Premier Ministre devant le CNT et démenties par le Président de la Maison de la Presse

3. L’affirmation claire et nette par la MP de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la Presse dans un contexte de précarité sans précédent. Journée largement médiatisée par la Presse nationale.

Enfin, on peut ajouter le mépris affiché du Premier Ministre contre les forces démocratiques notamment la Presse et des Partis Politiques.

19/05/2022

https://www.facebook.com/103522735124554/posts/381363600673798/

19/05/2022

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19/05/2022

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Affaire Sékou Tounkara : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS-WA

19/05/2022

https://fb.watch/d6m2dtIhgo/

19/05/2022

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Affaire Sékou Tounkara : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS

19/05/2022

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Affaire Sékou Tounkara : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS-WA

19/05/2022

https://www.facebook.com/100076535493403/posts/149388130955703/

🔴Affaire : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS-WA

19/05/2022

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Affaire Sékou Tounkara : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS-WA !!!

19/05/2022

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AFFAIRE SÉKOU TOUNKARA | qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

Malick Konate président de Association des Professionnels des Médias Sociaux et Web-Acteurs - APMS-WA

19/05/2022

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Affaire Sékou Tounkara : ce qu’il faut comprendre du pardon accepté et de la raison de ma présence à la Primature cet après-midi du mercredi.

Au sujet de la libération de Sékou Tounkara, les gens ont des appréciations diverses et beaucoup cherchent à comprendre. A travers les réseaux sociaux, sms, appels téléphoniques voire bouche à l’oreille, j’ai reçu les réactions et les soutiens des uns et des autres. Toutefois, il est de mon devoir de vous expliquer ce qui s’est réellement passé à propos de la motivation de notre plainte.

En ce qui concerne ma rencontre avec le Premier Ministre dans cet après-midi du mercredi 18 mai 2022, le docteur Allaye Bocoum et Adama Ben Diarra dit Ben le Cerveau (Tous soutiens de la transition en cours) m’ont appelé pour une rencontre avec le PM toujours au sujet de la plainte contre leur compagnon Sékou Tounkara. Raison pour laquelle je me suis rendu à la Cite administrative où loge la primature. Je précise que ma présence n'a aucun rapport avec un quelconque soutien à la transition. Je suis de la presse et la presse n'est ni ami ni ennemi d'un pouvoir en place, d'après ce que nous avons appris de nos aînés. Je partage parfaitement cette valeur de notre corporation.

En effet, nous avons intenté une action en justice contre Sékou Tounkara suite aux propos diffamatoires tendant à nuire à ma réputation et à ma dignité.
Notre première intention était d’abord de faire en sorte que justice soit faite.

Vous savez, dans un pays de droit, nul ne doit rendre justice à soi-même. Puisque, nous avons beaucoup de considération à la justice malienne, nous avons porté l’affaire au tribunal de la Commune 4 du district de Bamako.

Subséquemment, nous avons répondu l’appel du parquet de la juridiction saisie à travers le procureur Touré. En présence de son avocat Me Cheick Oumar Konaré, Sékou Tounkara a reconnu les faits et rapporta qu’au moment où il tenait ces propos, il était en colère, même si ces propos n’ont pas pu convaincre le magistrat Touré. Il a présenté ses excuses et a promis de faire une vidéo pour s’excuser auprès du public tout en demandant pardon.

Pour les autres détails dans le cabinet, j’opte pour la couverture secrète.

L’objectif n’était en effet rien d’autre que l’auteur des propos puisse s’expliquer tout en rapportant des preuves sur ses allégations, car nos images sont ternies en raison de ces déclarations. Nous sommes perçus comme des apatrides que Dieu nous en préserve.

Alors, les avis des bonnes volontés divergent. Je voudrais que les gens comprennent que j’ai pardonné. On s’est excusé et donné les mains en présence de ses collaborateurs dont certains d’entre eux ont mené des combats avec moi à l’époque.

En sommes, je reviens sur les précisions ci-dessus. Ma rencontre de cet après-midi avec le docteur Choguel Kokalla Maiga n'a aucun lien avec un soutien quelconque.

Je tiens enfin à remercier tout le monde pour le soutien indéfectible.

Merci à tous !

président de APMS-WA