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PolitiqueCréation de partis politiques par les militaires : le Premier ministre Gal Abdoulaye Maïga recadre Ali Nouhoum ...
14/12/2024

Politique
Création de partis politiques par les militaires : le Premier ministre Gal Abdoulaye Maïga recadre Ali Nouhoum Diallo

Le Premier ministre Abdoulaye Maïga a recadré, ce jeudi 12 décembre 2024, lors de sa rencontre avec la presse malienne, les propos de l'ancien président de l'Assemblée nationale, Aliou Nouhoum Diallo. Ce dernier a indiqué que les militaires formeront leur parti si les membres du mouvement du 31 ne s'unissent pas.
Le Premier ministre a souligné que si les propos adressés aux institutions ne sont pas récadrés, beaucoup de personnes vont prendre comme une vérité. Il précise que le militaire, dans l'exercice de sa mission, n'est pas autorisé à créer un parti politique.

Pr Ali Nouhoum Diallo, qu'il considère comme un père, a annoncé mercredi 11 décembre 2024, à la conférence de l'Adema, que si les membres du mouvement du 31 mars ne se réunissent pas les militaires vont créer leur parti politique

A aucun moment, rétorque le Gal Abdoulaye MAÏGA, on peut dire que le militaire dans l'exercice de sa mission n'est pas autorisé à créer son parti.

"Comme je l'ai dit, depuis le début de la Transition, les partis créés sont au nombre de 66 dont 7 créés après les ANR, et tous les documents sont à l'Administration territoriale et c'est pas des militaires ", à indiqué le chef du gouvernement de Transition.

13/12/2024
13/12/2024

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𝙻𝙴 𝙿𝚁𝙴𝙼𝙸𝙴𝚁 𝚁𝙴𝙽𝙲𝙾𝙽𝚃𝚁𝙴 𝙻𝙴𝚂 𝙹𝙾𝚄𝚁𝙽𝙰𝙻𝙸𝚂𝚃𝙴𝚂 𝙴𝚃 𝚄𝙽𝙴 𝙱𝚁È𝚅𝙴 𝙼𝙸𝚂𝙴 𝙰𝚄 𝙿𝙾𝙸𝙽𝚃 À 𝚂𝙾𝙽 " 𝙶𝚁𝙰𝙽𝙳 𝙿È𝚁𝙴 𝙰𝙻𝙸 𝙽𝙾𝚄𝙷𝙾𝚄𝙼 𝙳𝙸𝙰𝙻𝙻𝙾 " 𝙳𝚄𝚁𝙰𝙽𝚃 𝚂𝙾𝙽 𝙸𝙽𝚃𝙴𝚁𝚅𝙴𝙽𝚃𝙸𝙾𝙽 ........
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𝙻𝚎 𝙿𝚛𝚎𝚖𝚒𝚎𝚛 𝚖𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚎, 𝙲𝚑𝚎𝚏 𝚍𝚞 𝙶𝚘𝚞𝚟𝚎𝚛𝚗𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝, 𝙼𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚕'𝙰𝚍𝚖𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚃𝚎𝚛𝚛𝚒𝚝𝚘𝚛𝚒𝚊𝚕𝚎, 𝚕𝚎 𝙶é𝚗é𝚛𝚊𝚕 𝚍𝚎 𝙳𝚒𝚟𝚒𝚜𝚒𝚘𝚗 𝙰𝚋𝚍𝚘𝚞𝚕𝚊𝚢𝚎 𝙼𝙰Ï𝙶𝙰, 𝚜𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚊𝚗𝚐𝚞𝚎 𝚍𝚎 𝚋𝚘𝚒𝚜, 𝚊 𝚊𝚙𝚙𝚘𝚛𝚝é 𝚍𝚎𝚜 é𝚌𝚕𝚊𝚒𝚛𝚌𝚒𝚜𝚜𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝𝚜 𝚊𝚞𝚡 𝚙𝚛𝚘𝚙𝚘𝚜 𝚝𝚎𝚗𝚞𝚜 𝚙𝚊𝚛 "𝚜𝚘𝚗 𝚐𝚛𝚊𝚗𝚍 𝚙è𝚛𝚎", 𝚕'é𝚖𝚒𝚗𝚎𝚗𝚝 𝙿𝚛. 𝙰𝚕𝚢 𝙽𝚘𝚞𝚑𝚘𝚞𝚖 𝙳𝙸𝙲𝙺𝙾, 𝚍𝚎 𝚜𝚊 𝚟𝚒𝚜𝚒𝚝𝚎 à 𝚕𝚊 𝙼𝚊𝚒𝚜𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝙿𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎.

À 𝚙𝚛𝚘𝚙𝚘𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚊 "𝚌𝚛é𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍'𝚞𝚗𝚎 𝚏𝚊𝚖𝚒𝚕𝚕𝚎 𝚙𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚖𝚒𝚕𝚒𝚝𝚊𝚒𝚛𝚎𝚜", 𝚕𝚎 𝙶é𝚗é𝚛𝚊𝚕 𝚍𝚎 𝙳𝚒𝚟𝚒𝚜𝚒𝚘𝚗 𝙰𝚋𝚍𝚘𝚞𝚕𝚊𝚢𝚎 𝙼𝙰Ï𝙶𝙰 𝚛𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕𝚎 𝚕𝚎 "𝚁Ô𝙻𝙴 𝚁É𝙿𝚄𝙱𝙻𝙸𝙲𝙰𝙸𝙽 𝙳𝙴 𝙻'𝙰𝚁𝙼É𝙴" 𝚒𝚗𝚝𝚎𝚛𝚍𝚒𝚜𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎 𝚖𝚒𝚕𝚒𝚝𝚊𝚗𝚝𝚒𝚜𝚖𝚎 𝚙𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎 à 𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚖𝚒𝚕𝚒𝚝𝚊𝚒𝚛𝚎.
𝙳𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚊 𝚖ê𝚖𝚎 𝚕𝚊𝚗𝚌é𝚎, 𝚕𝚎 𝙿𝚛𝚎𝚖𝚒𝚎𝚛 𝙼𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚎 𝚎𝚜𝚝 𝚛𝚎𝚟𝚎𝚗𝚞 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚊 𝚌𝚛é𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎𝚜 " 100 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 " 𝚎𝚝 𝚕𝚎 𝚗𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚛é𝚌é𝚙𝚒𝚜𝚜é𝚜 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍é𝚜 𝚎𝚝 𝚍é𝚕𝚒𝚟𝚛é𝚜 𝚍𝚞𝚛𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚊 𝚙é𝚛𝚒𝚘𝚍𝚎 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚃𝚛𝚊𝚗𝚜𝚒𝚝𝚒𝚘𝚗.

𝙿𝚊𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚍𝚘𝚗𝚗é𝚎𝚜 𝚜𝚝𝚊𝚝𝚒𝚜𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚊𝚞𝚙𝚛è𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝚜𝚎𝚛𝚟𝚒𝚌𝚎𝚜 𝚑𝚊𝚋𝚒𝚕𝚒𝚝é𝚜 et 𝚌𝚘𝚗𝚜𝚞𝚕𝚝𝚊𝚋𝚕𝚎𝚜 𝚊𝚞𝚙𝚛è𝚜 𝚍𝚞 𝙼𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝è𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚕'𝙰𝚍𝚖𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚃𝚎𝚛𝚛𝚒𝚝𝚘𝚛𝚒𝚊𝚕𝚎 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝙳é𝚌𝚎𝚗𝚝𝚛𝚊𝚕𝚒𝚜𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗. 𝙸𝚕 𝚗'𝚢 𝚊 𝚚𝚞𝚎 7 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝚙𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚚𝚞𝚒 𝚘𝚗𝚝 é𝚝é 𝚌𝚛éé𝚜 𝚊𝚙𝚛è𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝙰𝙽𝚁 𝚎𝚝 𝚌𝚘𝚗𝚏𝚘𝚛𝚖é𝚖𝚎𝚗𝚝 à 𝚕𝚎𝚞𝚛 𝙳𝚛𝚘𝚒𝚝 𝙲𝚘𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝𝚒𝚘𝚗𝚗𝚎𝚕 𝚎𝚗 𝚝𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚌𝚒𝚝𝚘𝚢𝚎𝚗𝚜, 𝚎𝚝 𝚕𝚎𝚜 𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚌𝚛é𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍é𝚙𝚘𝚜é𝚎𝚜 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎𝚜 é𝚟é𝚗𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝𝚜 𝚍𝚞 20 𝙰𝚘û𝚝 2020.
- 𝙻𝚎 𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚝𝚘𝚝𝚊𝚕 𝚍𝚎𝚜 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚌𝚛éé𝚜 𝚍'𝙰𝚘û𝚝 2020 à 𝚗𝚘𝚜 𝚓𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚎𝚜𝚝 𝚍𝚎 𝚜𝚘𝚒𝚡𝚊𝚗𝚝𝚎 𝚜𝚒𝚡 "66"❕
- 𝙻𝚎 𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚌𝚛éé𝚜 𝚎𝚗𝚝𝚛𝚎 𝚕𝚎 20 𝙰𝚘û𝚝 2020 à 𝚕𝚊 𝚍𝚊𝚝𝚎 𝚍𝚎 𝚕𝚊
𝚝𝚎𝚗𝚞𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝙰𝙽𝚁 (𝙰𝚜𝚜𝚒𝚜𝚎𝚜 𝙽𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚊𝚕𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚁𝚎𝚏𝚘𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗) 𝚎𝚜𝚝 𝚍𝚎 𝚟𝚒𝚗𝚐𝚝 𝚜𝚎𝚙𝚝 "27"; 𝚍𝚘𝚗𝚝 :
- 24 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚍é𝚙𝚘𝚜é𝚎𝚜 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎 20 𝙰𝚘û𝚝 2020 ;
- 3 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚍é𝚙𝚘𝚜é𝚎𝚜 𝚊𝚙𝚛è𝚜 𝚕𝚎 20 𝙰𝚘û𝚝 2020.
- 𝙻𝚎 𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚌𝚛éé𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝙰𝙽𝚁 à 𝚓𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚎𝚜𝚝 𝚍𝚎 𝚝𝚛𝚎𝚗𝚝𝚎 𝚗𝚎𝚞𝚏 "39" 𝚍𝚘𝚗𝚝 :
- 32 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚍é𝚙𝚘𝚜é𝚎𝚜 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎 20 𝙰𝚘û𝚝 2020.
- 7 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚍𝚎𝚙𝚘𝚜é𝚎𝚜 𝚊𝚙𝚛è𝚜 𝚕𝚎 20 𝙰𝚘û𝚝 2020 ❕

𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚝𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞'𝚎𝚗𝚜𝚎𝚖𝚋𝚕𝚎 𝚎𝚝 𝚌𝚘𝚗𝚏𝚘𝚛𝚖é𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚊𝚞𝚡 𝚛𝚎𝚌𝚘𝚖𝚖𝚊𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚍𝚎𝚜 𝙰𝚜𝚜𝚒𝚜𝚎𝚜 𝙽𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚊𝚕𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚁𝚎𝚏𝚘𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 (𝙰𝙽𝚁), 𝚘𝚗 𝚗𝚎 𝚍𝚘𝚗𝚗𝚎 𝚟𝚒𝚎 à 𝚕𝚊 𝚌𝚑𝚊𝚛𝚝𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜, 𝚕𝚊 𝚕𝚒𝚋𝚎𝚛𝚝é 𝚍𝚎 𝚛𝚎𝚐𝚛𝚘𝚞𝚙𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚌𝚛é𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚎𝚜𝚝 𝚎𝚝 𝚛𝚎𝚜𝚝𝚎 𝚞𝚗 𝙳𝚛𝚘𝚒𝚝 𝙸𝚗𝚊𝚕𝚒é𝚗𝚊𝚋𝚕𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝙲𝚒𝚝𝚘𝚢𝚎𝚗𝚜.
𝙻𝚊 𝙲𝚑𝚊𝚛𝚝𝚎 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚎𝚜𝚝 𝚞𝚗𝚎 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝙲𝚒𝚝𝚘𝚢𝚎𝚗𝚜. 𝙴𝚝 𝚌'𝚎𝚜𝚝 𝚎𝚗 𝚌𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚍'é𝚕𝚊𝚋𝚘𝚛𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗. 𝙲'é𝚝𝚊𝚒𝚝 à 𝚕𝚊 𝚌𝚑𝚊𝚛𝚐𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚊𝚗𝚌𝚒𝚎𝚗𝚜 𝚖𝚒𝚗𝚒𝚜𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚁𝚎𝚏𝚘𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝚕'É𝚝𝚊𝚝 𝚎𝚝 𝚌𝚎𝚕𝚞𝚒 𝚍é𝚕é𝚐𝚞é 𝚊𝚞𝚡 𝚁é𝚏𝚘𝚛𝚖𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚜𝚝𝚒𝚝𝚞𝚝𝚒𝚘𝚗𝚗𝚎𝚕𝚕𝚎𝚜.
𝙿𝚘𝚞𝚛𝚚𝚞𝚘𝚒 ç𝚊 𝚗'𝚊 𝚙𝚊𝚜 é𝚝é 𝚏𝚊𝚒𝚝 𝚗'𝚎𝚜𝚝 𝚕𝚊 𝚚𝚞𝚎𝚜𝚝𝚒𝚘𝚗.
𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚜𝚎𝚛𝚊 𝚝-𝚒𝚕 𝚏𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚕𝚊 𝚛é𝚍𝚞𝚌𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚞 𝚗𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝙿𝚊𝚛𝚝𝚒𝚜 𝙿𝚘𝚕𝚒𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜❔
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𝙱𝚞𝚕𝚊𝚌𝚘𝚖 𝚃𝚒𝚟𝚒 : 𝙱𝚊𝚗𝚝𝚑𝚒𝚗𝚎 𝙺𝙾𝚄𝚁𝙾𝚄𝙼𝙰 / 𝙰𝚕𝚑𝚘𝚞𝚜𝚜𝚎ï𝚗𝚢 𝚂𝙰𝙺𝙸𝙽𝙴

12/12/2024

Éclaircissements sur les propos des travailleurs licenciés de sanso Morila.ce jeudi 12 décembre 2024

12/12/2024

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𝐏𝐑É𝐒𝐈𝐃𝐄𝐍𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐓𝐑𝐀𝐍𝐒𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍 : 𝐈𝐍𝐀𝐔𝐆𝐔𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐌𝐈𝐍𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐈𝐓𝐇𝐈𝐔𝐌 𝐃𝐄 𝐆𝐎𝐔𝐋𝐀𝐌𝐈𝐍𝐀 (𝐑É𝐆𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐁𝐎𝐔𝐆𝐎𝐔𝐍𝐈) ...........
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𝐋'𝐢𝐧𝐚𝐮𝐠𝐮𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐌𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐋𝐢𝐭𝐡𝐢𝐮𝐦 𝐝𝐞 𝐆𝐎𝐔𝐋𝐀𝐌𝐈𝐍𝐀 à 𝐁𝐎𝐔𝐆𝐎𝐔𝐍𝐈 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞 𝐏𝐫é𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭, 𝐬𝐨𝐧 𝐄𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐆é𝐧é𝐫𝐚𝐥 𝐝'𝐀𝐫𝐦é𝐞 𝐀𝐬𝐬𝐢𝐦𝐢 𝐆𝐎Ï𝐓𝐀, 𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞 15 𝐝é𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 2024 .......

𝐁𝐮𝐥𝐚𝐜𝐨𝐦 𝐓𝐢𝐯𝐢 : 𝐁𝐚𝐧𝐭𝐡𝐢𝐧𝐞 𝐊𝐎𝐔𝐑𝐎𝐔𝐌𝐀 / 𝐀𝐥𝐡𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞ï𝐧𝐲 𝐒𝐀𝐊𝐈𝐍É

10/12/2024

Semaine Nationale de Lutte Contre la Corruption le ministère de la justice s'exprime

10/12/2024

Le secrétaire général du ministère de la justice s'exprime lors de la Semaine Nationale de Lutte Contre la Corruption

Politique:Retour à l’ordre constitutionnel : L’air d’un nouveau mirage électoral.Les signaux d’un retour à l’ordre const...
10/12/2024

Politique:
Retour à l’ordre constitutionnel : L’air d’un nouveau mirage électoral.

Les signaux d’un retour à l’ordre constitutionnel s’enchaînent sans apporter plus de clarification et d’assurance aux attentes des protagonistes de la scène politique. Après l’inscription d’élections générales dans la loi de Finances 2025 – à hauteur de 80 milliards encore hypothétique -, les gages précédemment donnés par l’AIGE avaient l’air d’être confirmés par une allusion explicite aux consultations électorales dans la lettre de cadrage que le tout nouveau Premier ministre a reçue du président de la Transition, lors du premier conseil des Ministres de l’après Choguel Maïga. Le Général Abdoulaye Maïga et son gouvernement sont notamment investis de la mission ainsi formulées : «créer les conditions d’organisation d’élections apaisées et transparentes». Sitôt instruit et le processus semblait démarrer comme sur des chapeaux de roues, avec le déclenchement d’une série de rencontres avec les acteurs d’un processus électoral.
Après une visite à l’Agence Indépendante de Gestion des Élections, avec sa casquette de Chef du Gouvernement, le PM s’est retrouvé quelques jours plus t**d en conclave avec les partis politiques. Dans son manteau cette fois de ministre de l’Administration territoriale, l’ancien porte-parole du gouvernement renoue avec une ancienne tradition de dialogue permanent avec une classe politique – dont l’AIGE est normalement l’interlocuteur attitré en tant qu’organisateur autonome du processus. En plus de marcher sur les platebandes de cette structure et de le suppléer indûment dans ses prérogatives, le PM et non moins ministre de l’Administration n’inspire aucun optimisme en nuançant les espérances et assurances suscitées par la lettre de cadrage du président de la Transition. «Nous allons faire l’effort d’aller vite, mais allons faire beaucoup attention pour ne pas confondre vitesse et précipitation», a-t-il indiqué, laissant entendre au passage que le scrutin dans un contexte d’insécurité pourrait être porteur de crise post-électorale dont le pays ne peut s’offrir le luxe. Autant dire que la budgétisation des élections, ainsi que toutes les procédures législatives déclenchées dans le cadre du retour à l’ordre constitutionnel, ne procèdent que du miroitement d’un nouveau cap qu’aucun indice plus sérieux ne distingue des précédents rendez-vous manqués sur fond de canular : engagements pris envers la communauté internationale et les instances sous – régionales sur un calendrier électoral, promesses d’un léger report portées par l’actuel PM dans sa position antérieure de porte-parole du gouvernement.
En définitive, les incertitudes sur l’horizon électoral de 2025 et son illisibilité sont totales et tout aussi persistantes que les équivoques sur la sincérité des consultations annoncées, que le nouveau PM préfère éclipser au détour de précautions préventives d’une crise post-électorale spectrale. Or, une crise préélectorale, sur fond de candidature au forceps du principal arbitre du jeu, est beaucoup plus plausible et de la levée des équivoques y afférentes pourrait dépendre l’effectivité du rendez-vous électoral annoncé.

A KEÏTA

09/12/2024

Le M5-RFP se fait avoir..
Réelle mort de sa belle mort..
Dixit ?

PolitiqueChoix d’un candidat à la future présidentielle au Mali: Quand la France hésite entre deux anciens Premiers mini...
09/12/2024

Politique
Choix d’un candidat à la future présidentielle au Mali: Quand la France hésite entre deux anciens Premiers ministres
Certes, ces deux (02) anciens Premiers ministres n’ont pas bonne presse au Mali. Mais un adage dit aussi que «nul n’est prophète en son pays». Quoi qu’on dise, la France est déjà dans ses petits calculs à la recherche d’un candidat pour l’élection présidentielle à venir au Mali. Il leur faut une nouvelle génération d’acteurs politiques, favorables à ses investissements et à sa politique néocoloniale au Mali, la France hésite entre les deux (02) jeunes anciens Premiers ministres, car ils ont leur entrée à l’Elysée.
Si l’un est modeste et généreux; l’autre est prêt à «mouiller le maillot» contre X. Ces deux (02) anciens Premiers ministres ont ravi la vedette auprès d’une certaine jeunesse. L’exilé est taciturne, mais bougrement riche et un mécène de la presse.

Source: L'inter de Bamako

PolitiqueRencontre Premier ministre et société civile : Réformes politiques et institutionnelles, élections, Cedeao au m...
09/12/2024

Politique
Rencontre Premier ministre et société civile : Réformes politiques et institutionnelles, élections, Cedeao au menu des échanges.

Le Général de division Abdoulaye Maïga a exposé les priorités de son gouvernement et appelé à l’union sacrée autour du Mali

Après la classe politique, le nouveau Premier ministre, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le Général de division Abdoulaye Maïga, a rencontré, vendredi dernier, les organisations de la société civile. Les échanges ont porté sur la révision annuelle des listes électorales (Rale), les réformes politiques et institutionnelles, ainsi que des questions diverses.
Dans son intervention, le Chef du gouvernement a rappelé le contexte sécuritaire et sociologique du pays marqué par la sortie progressive de la crise multidimensionnelle qui dure depuis 10 ans. Il a souligné que cette concertation marque une nouvelle étape dans l’engagement du gouvernement à travailler de manière participative avec tous les acteurs de la société civile. ��L’occasion était propice pour le Général Abdoulaye Maïga d’exposer les priorités du gouvernement mentionnées dans la lettre de cadrage du Président de la Transition, le Général d’armée, Assimi Goïta, lors du conseil de ministres inaugural. Il s’agit de la défense et la sécurité, la poursuite des réformes politiques et institutionnelles, notamment dans le secteur de la justice pour renforcer la lutte contre la corruption, la satisfaction des besoins fondamentaux des populations grâce à une économie forte, l’amélioration de la couverture sanitaire, du système éducatif et de l’emploi des jeunes. S’y ajoutent l’apaisement du climat social, le renforcement de la diplomatie pour défendre les intérêts nationaux, le raffermissement des relations avec les partenaires respectueux de notre souveraineté, la protection des Maliens établis à l’Extérieur.��Sans oublier la mise en œuvre diligente de la feuille de route de la Confédération des États du Sahel (AES), ainsi que la création des conditions en vue de la tenue d’élections transparentes, et apaisées qui mettront fin à la Transition. Pour la mise en œuvre de ce dernier axe, le chef du gouvernement a sollicité l’engagement et l’implication de tous les acteurs sociaux dont les organisations de la société civile. Il a ensuite sollicité l’accompagnement des acteurs sociaux. Les responsables des organisations de la société civile Cnt félicité le Premier ministre pour sa nomination et formulé des bénédictions pour la réussite de sa mission.
La rencontre a été marquée par deux présentations power point sur l’état d’avancement de la Rale et des réformes politiques institutionnelles, par le Directeur général de l’Administration du territoire, Abdou Salam Diepkilé. Il ressort de ces présentations que les opérations de Rale ont effectivement démarré dans toutes les circonstances administratives de l’intérieur et dans les missions diplomatiques et consulaires du Mali et qu’elles se poursuivent normalement. À ce jour, les tableaux de la Rale indiquent 8.472.439 inscrits dont 4.398.633 hommes.
Il convient de préciser qu’à la fin des opérations, les tableaux récapitulatifs issus des commissions administratives accompagnés des rapports de dépouillement seront remontés au niveau du ministère de l’Administration territoriale pour transmission pour les listes électorales. Celles-ci seront ensuite transmises à l’Autorité indépendante de gestion des élections (Aige) pour la mise à jour du fichier électoral.
Les préoccupations des participants ont porté essentiellement sur l’organisation des futures élections qui mettront fin à la Transition, les difficultés d’accès à l’état civil (cartes et passeport biométrique), les implications du retrait de la Cedeao, ainsi que l’amélioration de la situation sécuritaire, les opérations de révision annuelle des listes électorales....
À toutes ces interrogations, le chef du gouvernement a fourni des éléments de réponse tout en rassurant sur l’engagement des autorités de la Transition à organiser des élections mais «pas dans la précipitation, car nous ne pouvons pas nous offrir le luxe d’une nouvelle crise post-électorale», a-t-il tempéré. La rencontre a enregistré la participation de plusieurs structures, notamment le Mouvement Yèrèwolo débout sur les remparts, le Syndicat libre
des travailleurs du ministère de l’Administration territoriale (Sylmat), l’Amicale des anciens ambassadeurs et consuls du Mali, le Réseau des communicateurs traditionnels pour le développement (Recotrade). ��S’y ajoutent le Haut conseil des Maliens établis à l’Extérieur (HCME), le Haut conseil islamique du mali (HCIM), la Plateforme des Femmes leaders du Mali, le Réseau des femmes ministres du Mali, le Mouvement pour la résistance citoyenne (MRC)et bien d’autres organisations membres de la société civile nationale.

Aboubacar TRAORE

🔴Décès du Gouverneur de Ségou !Le gouverneur de la région de Ségou, le contrôleur général de police Alassane TRAORE est ...
08/12/2024

🔴Décès du Gouverneur de Ségou !

Le gouverneur de la région de Ségou, le contrôleur général de police Alassane TRAORE est décédé ce dimanche matin 08 décembre 2024 des suites d'un accident de circulation à Zambougou, axe (Ségou-Bamako). Il quittait Ségou pour Bamako.

Que son âme repose en paix !

Adresse

Missabougou En Face De L'hôpital Du
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