13/03/2024
L'histoire retiendra que la démission du Premier Ministre Ariel Henry ne fut pas le résultat d'une révolte populaire, mais plutôt le résultat d'une influence insidieuse exercée par les gangs armés de la capitale. Alors qu'il était en déplacement au Kenya pour conclure un accord sur le déploiement de forces de police kényanes en Haïti, son absence fut exploitée par les criminels locaux pour semer le chaos à Port-au-Prince. Les gangs, impitoyables, ont mené des attaques brutales, éliminant des policiers, ravageant les biens de l'État, pillant les banques et les commerces, et même ciblant l'aéroport, bloquant ainsi le retour du Premier Ministre. Cette période sombre et violente a inévitablement précipité la démission d'Ariel Henry.