01/12/2021
C’est en juin 1981, dans son bulletin hebdomadaire, que le réseau de surveillance des épidémies (Center for Disease Control and Prevention) fit pour la première fois état d’une série d’infections inhabituelles constatées sur la côte est des Etats-Unis chez des homos*xuels âgés de 20 à 40 ans.
Le n’est pas la seule institution qui fit l’état de ces infections inhabituelles, diverses revues médicales rapportèrent d’autres cas du même genre. Mais, Il fallut peu de temps à la communauté médicale internationale pour établir qu’il s’agissait d’un nouveau syndrome appelé aujourd’hui syndrome l’immunodéficience acquise qui n’est pas synonyme du VIH.
Cette n’est pas sans conséquences psychologiques sur la vie de ceux et celles qui ont déjà contractés ce virus. Bien avant de voir les conséquences psychologiques de cette maladie sur les PVVIH( personnes vivant avec le VIH)Voyons d’abord les voies de transmissions.
La plupart des nouvelles infections se produisent lors de rapports s*xuels sans protection et lors du partage de seringues ou de l’échange d’aiguilles hypodermiques entre les personnes qui s’injectent des drogues; c’est le cas pour /SIDA. Le virus peut aussi se transmettre de la mère à l’enfant au cours de la grossesse sans une prise en charge et lors de l’accouchement ou lors de l’allaitement.
Quelles sont conséquences de cette maladie sur la vie de
En fait, les progrès relatifs à la connaissance du VIH et de ses traitements ont évolués de manière considérable dans l’histoire de l’épidémie du SIDA, et ceux-ci ne cessent aujourd’hui encore d’évoluer. De maladie letale, le VIH est en effet passé à une condition de maladie chronique. Mais cela n’empêche pas que les personnes vivant avec le VIH ont à faire face avec de nombreuses difficultés.
Des études ont démontré que les personnes vivant avec le VIH ont une moins bonne qualité de vie, plus d’anxiété et dépression que celles non infectées, soulignant l’impact de la maladie et un manque de connaissance concernant le traitement (Cieslas et Roberts, 2001). Les conséquences psychologiques sont considérées dans ce texte comme des troubles psychologiques qui embrouillent la vie des PVVIH; telle que: la depression et l’anxiété. Ces troubles psychologiques sont engendrés par la stigmatisation, les effets indésirables des antirétroviraux.
En réalité le traitement médicamenteux peut aussi comporter des inconvénients. De plus tous les médicaments connus visant à lutter contre le VIH ont des effets secondaires. Ils se révèlent pour la plupart relativement légers ou temporaires. Parfois, les effets secondaires d’une substance sont tellement lourds que la qualité de vie du patient s’en trouve amoindrie de manière persistante et qu’il faut interrompre le traitement. Etant donné qu’il existe aujourd’hui divers médicaments contre le VIH, le médecin peut en règle générale remplacer par un autre médicament celui que le patient ne tolère pas. Par conséquent, l’intolérance à un médicament n’exclut pas tout traitement. Il ne faut pas ignoré que cette souffrance est aussi le résultat d’une mauvaise perception de la maladie.
la maladie a des conséquences psychologiques graves sur la vie des personnes infectées, donc Il est d’une extrême importance de prioriser la prise en charge psychologique que celle somatique.
Puisque les véritables perturbations des PVVIH sont d’abord psychologiques avant d’être physiques.
il est aussi d’une extreme importance de vous communiqué quelques methodes de protection.Il faut dire que les actes de la vie quotidienne avec une personne séropositive ou atteinte du sida, le virus ne risque pas d’être transmis. Un nombre réduit de situations exigent cependant des mesures de protection spéciales
Précautions lors des rapports s*xuels (safer s*x)
des préservatifs lors des rapports s*xuels. Lors de rapports oraux, ne pas prendre de liquide séminal dans la bouche, ni l’avaler et renoncer au cu*******us pendant les règles.
Précautions d’usage (safer use) En cas de consommation de drogues par intraveineuse: utiliser des seringues et autres ustensiles stériles (pas de partage de seringues, c’est -à-dire ne pas employer de seringues, d’aiguilles, etc., déjà utilisées.
Il faut encore et toujours prendre toutes les dispositions nécessaires, afin d’empêcher une transmission du VIH (respect des directives d’hygiène, optimisation des procédures au poste de travail, rapports protégés et utilisation de matériel d’injection stérile). Si malgré tout, une situation à risque se présente, il convient de consulter un médecin.
Charnelson LOUIS, psychologue licencié,