Groupement pour la Protection des Droits Humains

Groupement pour la Protection des Droits Humains Le GPDH est une organisme de droits humains œuvrant dans la défense et la protection des DH

23/03/2024

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) est terrifié face à la montée vertigineuse des actes de banditisme et l'absence continue de l'État. "Inacceptable" et "inconcevable" sont les maîtres mots pour qualifier cette période, qui est une grande première dans notre histoire e...

23/03/2024

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) demande à l'Association Nationale des Greffiers Haïtiens (ANAGH) de faire une trêve de la grève entamée depuis le 13 décembre 2023 jusqu'à l'établissement d'un nouveau gouvernement. Dans

Mirebalais, le 20 mars 2024COMMUNIQUÉ DE PRESSEPRISE DE POSITION DU GPDH FACE À LA GRÈVE DES GREFFIERS Le Groupement pou...
21/03/2024

Mirebalais, le 20 mars 2024

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

PRISE DE POSITION DU GPDH FACE À LA GRÈVE DES GREFFIERS

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) exprime ses plus vives préoccupations face aux violations flagrantes des droits humains en Haïti et le non accès à la justice suite à la grève des greffiers exigeant des meilleures conditions de travail.

Effectivement, depuis le 13 décembre 2023, les greffiers réclament justement des conditions décentes de travail et rentrent en grève pour exiger de l'Etat des émoluments auxquels ils ont droit. Les autorités d'alors, non soucieuses de la bonne marche des institutions judiciaires, n'ont rien fait jusqu'à date pour faciliter une saine distribution de la justice qui est le plus grand bien commun au regard de la constitution haïtienne.

Le GPDH constate que la population carcérale ne cesse d'augmenter et les détenus n'ont pas pu être jugés pour connaître leur sort, ce qui accroît la détention préventive prolongée. Des contentieux civils ne peuvent pas être vidés. Ces situations favorisent la vengeance privée et met en péril l'Etat de droit que nous tentons de tenir malgré tout.

Le GPDH condamne avec la dernière rigueur le fait que les responsables du Ministère de la Justice et de la Sécurité Publique (MJSP) et le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ), organe d'administration et de contrôle du pouvoir judiciaire, n'ont rien mis en œuvre pour répondre aux desiderata de l'Association Nationale des Greffiers Haïtiens pour que la situation puisse être débloquée.

Tenant compte de ce qui précède, le GPDH demande à l'ANAGH conjointement avec les autorités établies :

1- De prendre les dispositions nécessaires afin de lever la grève jusqu'à l'établissement d'un nouveau gouvernement ;

2- De prioriser les affaires pénales de manière à ce que les prisons civiles puissent être dégorgées ;

3- De préparer un cahier de charges pour présenter au nouveau ministre de la justice.

Enfin, le GPDH espère que les greffiers feront ce pas conjointement aux autorités en vue de permettre la préservation des droits des détenus et le respect des garanties judiciaires.

Vive la protection des droits de la personne humaine !

Me Ashley JEAN BAPTISTE, Défenseur des droits humains et vice-président du GPDH

10/03/2024

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains se dit terrifier par la montée vertigineuse des actes de banditisme et l'absence continue de l'Etat. Il qualifie d'inacceptable et d'inconcevable cette période. Dans une note portant la

Le GPDH est consterné face à l'escalade de violence provoquée par les gangs à Port-au-PrinceLe Groupement pour la Protec...
10/03/2024

Le GPDH est consterné face à l'escalade de violence provoquée par les gangs à Port-au-Prince

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) est terrifié face à la montée vertigineuse des actes de banditisme et l'absence continue de l'État. "Inacceptable" et "inconcevable" sont les maîtres mots pour qualifier cette période, qui est une grande première dans notre histoire en tant que peuple. Le GPDH en est attristé !

Depuis des jours, les gangs s'entendent pour semer le chaos dans le pays. Ils se regroupent sous le nom de "VIV ANSANM" et attaquent des institutions républicaines. Commissariats, prisons, tribunaux, ministères, le palais national entre autres ont subi l'assaut des bandes armées. Ces actes sont perpétrés sous l'œil impuissant de la Police Nationale d’Haïti et des Forces Armées d'Haïti, ainsi que le laxisme des plus hautes autorités du pays. La population civile, pour sa part, est laissée pour compte face à la force de terreur des gangs armés. On dirait que le pays est pris dans un complot !

De plus, quatre policiers ont été assassinés au sous-commissariat de Bon-Repos après des heures de combat en attente de renfort. Le sous-commissariat de Cazeau a été incendié. La prison civile de Port-au-Prince n'a pas pu résister et plus de 3000 prisonniers ont été libérés. La prison civile de la Croix-des-Bouquets a subi le même sort, où plus de 1000 détenus se sont évadés. Pourtant, le Conseil Supérieur de la Police Nationale ne définit aucune stratégie pour ramener la paix dans la cité.

Par conséquent, l'État ne met rien en œuvre pour faire respecter ni pour protéger les droits inaliénables de la personne humaine. Le concept de droits humains n'a aucun sens dans la première république noire. La peur, l'angoisse, le désespoir marquent les visages de tous les Haïtiens. Ceci est dû à l'inefficacité et au laxisme des autorités. Dans ce contexte inédit, les responsabilités doivent être fixées, et le Dr Ariel Henry doit tirer les conséquences de son incompétence, ainsi que les membres de son gouvernement, pour pouvoir repartir sur de nouvelles bases.

Le GPDH exhorte la classe politique à faire preuve de grandeur et de magnanimité pour la prochaine transition politique afin de remettre sur pied les institutions étatiques. Cette classe politique, qui a entraîné le pays dans cette impasse, a l'occasion de se faire pardonner en faisant œuvre qui vaille.

Enfin, le GPDH demande à la communauté internationale d'arrêter de s'immiscer dans les affaires internes de la République d'Haïti et de prioriser une solution à l'haïtienne.

Me Ashley JEAN BAPTISTE, Défenseur des droits humains et Vice président du GPDH

22/01/2023

Dans un communiqué parvenu à Haïti Post, le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) demande au Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ) d'aller jusqu'au bout avec les dossiers des magistrats non certifiés en

20/01/2023

Mirebalais, le 18 janvier 2023

Communiqué

Certification des magistrats: Le Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ) doit aller jusqu'au bout

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains salue le travail du CSPJ sur la certification des magistrats en date du lundi 16 janvier 2023 où une vingtaine de magistrats n’a pas été certifiée.

Le GPDH, prend en compte que la majorité des magistrats écartés du système, ce pour absence ou faute d'intégrité morale et corruption. La corruption, sous quelle que soit la forme est une infraction prévue et punie dans la législation haitienne.

Le GPDH constate, avec grand étonnement, que le CSPJ se contente simplement de prendre des sanctions disciplinaires contre ces magistrats corrompus et faussaires sans les déférer par devant la juridiction compétente pour être poursuivis et jugés.

Le GDPH demande au CSPJ de continuer avec la certification et d'aller jusqu'au bout dans le but de fermer la porte de la magistrature aux gens malhonnêtes.

Le GPDH demande au CSPJ de garder un œil ouvert sur les magistrats certifiés afin de garantir à la société haïtienne une justice impartiale et juste.

Contact presse: Me Ashley JEAN BAPTISTE 4251-4238

19/12/2022

Mirebalais, le 19 décembre 2022

Communiqué

Choix de Me Ashley JEAN BAPTISTE comme Administrateur a.i du GPDH

Le président du GPDH, Me Markentz SIGUÉ informe les membres du GPDH qu'il a fait choix de Me Ashley JEAN BAPTISTE comme Administrateur a.i du Groupement pour la Protection des Droits Humains.

Me Markentz SIGUÉ
Président du GPDH

16/12/2022

Le Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) a trouvé la libération de trois détenus incarcérés à la prison civile de Mirebalais ce mercredi 14 décembre en introduisant une action en Habeas corpus par

21/10/2022

Dans une note adressée à l'agence de presse en ligne Haïti Post ce lundi 19 Septembre, le Groupement pour la Protection des Droits Humains se dit solidaire avec la population en ce moment de crise

GROUPEMENT POUR LA PROTECTION DES DROITS HUMAINS .                                       (GPDH)Siège social: Mirebalais,...
21/10/2022

GROUPEMENT POUR LA PROTECTION DES DROITS HUMAINS .
(GPDH)
Siège social: Mirebalais, plateau Central -Haiti
Tels (509):4014-1617/4727-9505/3357-9661/4319-0211 /3654-9068


Rapport de travail

Le comité du Groupement pour la Protection des Droits Humains (GPDH) s'est réuni ce jeudi 20 octobre dans la salle d'audience du Tribunal Civil de Mirebalais dans l'objectif de mettre en exergue quelques points jugés importants pour le bien-être dudit groupement et également pour la population Haïtienne ; tels que:
• Situation difficile des détenus de la prison civile de la juridiction,
• Problème de la justice dans la région,
• Situation de travail des policiers et policières,
• problème de la réouverture des classes etc…..

Après la rencontre, nous avons rencontré le Commissaire de Police de Mirebalais, M. Ronald Pierre, le Commissaire du Gouvernement Me Gabriel Fleury et nous avons visité la prison civile de Mirebalais.

Le Commissaire de Police nous a félicité pour une telle initiative et a promis de collaborer avec nous et en a profité de nous prodiguer quelques conseils.
Les responsables de la prison civile de Mirebalais nous font savoir qu’ils ont d’énormes difficultés, la prison est débordée, la présence d’une Organisation des Droits Humains œuvrant dans la communauté pour le respect des droits des détenus est importante. Nous avons échangé pendant plus d'une demi-heure sur la situation.

Pour sa part, le Commissaire du Gouvernement a manifesté sa volonté à déblayer la prison civile de Mirebalais mais la crise actuelle l'empêche d'agir en conséquence.

En fin, le Comité du GPDH travaillera dans une courte durée sur un calendrier aux fins de rencontrer les protagonistes, les notables et les responsables d'école justement pour pencher sur la question du dysfonctionnement des écoles dans le pays.

Fait à Mirebalais, le 20 octobre 2022.

Me Wismith Jean Charles,Av.
Resp. de la relation publique.

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