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• AFFAIRE ÎLE MBANIÉ 🇬🇦 vs 🇬🇶QUE COMPRENDRE ?Le Gabon défend sa souveraineté territoriale sur les îles stratégiques de  ...
03/10/2024

• AFFAIRE ÎLE MBANIÉ 🇬🇦 vs 🇬🇶

QUE COMPRENDRE ?

Le Gabon défend sa souveraineté territoriale sur les îles stratégiques de , et ; à la Cour Internationale de Justice (CIJ) de la Haye au Pays-Bas, face à la Guinée Équatoriale.

Depuis plusieurs décennies, le Gabon et la Guinée Équatoriale sont en désaccord sur la souveraineté de ces trois îles de 20 hectares, située à une dizaine de kilomètres de la côte de la province de l'Estuaire. Celle-ci est sans population, à l'exception du détachement de gendarmes gabonais qui y est installé en permanence depuis 1972.

Mais alors que les deux voisins africains exposent leurs arguments, l’enjeu semble s’intensifier avec la présentation documentée de l’un et des revendications historiques contradictoires de l’autre.

- COMPRENDRE L’HISTOIRE

Ce litige autour des îles de Mbanié, Cocotier et Conga trouve ses racines dans un traité signé en 1900 entre la France et l’Espagne, alors puissances coloniales en Afrique. À l’époque, les frontières entre les deux colonies étaient définies.
Mais avec les indépendances respectives des deux pays, des ambiguïtés ont été exacerbées. Et depuis les années 1970, et en raison des enjeux stratégiques, la Guinée Équatoriale a relancé cette polémique.

- APERÇU DES ENJEUX

Selon une opinion courante et avisée, les eaux de ces îles abriteraient d'importants gisements de pétrole. En réalité, l'intérêt de la Guinée équatoriale pour Mbanié tiendrait au contrôle de zones maritimes situées entre les côtes du Gabon et l'île de São Tomé pour lesquelles le Gabon et la Guinée ont attribué des permis pétroliers sur les mêmes espaces. Toute bilatéralité qui, renforcée par la mitoyenneté entre ces deux pays, nécessite un encadrement de la diplomatie juridique internationale.

- FACE À FACE DEVANT LA JUSTICE

En 2016, les deux nations décident de soumettre cette querelle devant la CIJ, espérant trouver une solution qui encadre et mette un terme à des décennies de tensions. Cette semaine, après les plaidoiries de la Guinée Équatoriale, SEM Brice Clotaire Oligui Nguema a fait le studieux choix de missionner Sieurs Régis Onanga Ndiaye, Pierre-Marie Ngondjout, Guy Rossatanga-Rignault, Serge Mikoto et Mme Marie-Madeleine Mborantsouo pour la défense du patrimoine territorial, économique et stratégique du Gabon.

- PLAIDOIRIES ARGUMENTÉS

Au cœur de l’argumentation gabonaise, se trouve la «Convention de Bata», un traité signé en 1974 entre Francisco Macías Nguema et Omar Bongo Ondimba, respectivement ancien Présidents de la République.
Selon ce Traité, la Guinée Équatoriale reconnaîtrait la souveraineté du Gabon sur les îles. D’où la présence d’ailleurs des forces de défense et de sécurité du Gabon sur les lieux querellés.

Cependant, la Guinée Équatoriale rejette la validité de ce Traité, le qualifiant de simple «photocopie» sans valeur juridique. Les représentants Equato-guinéens affirment même que les îles ont été annexées par l’Espagne bien avant les indépendances et qu’elles appartiendraient à Malabo.
Selon la plaidoirie de son vice-ministre en charge des Mines et des Hydrocarbures, Domingo Mba Esono, les jours précédents, le Gabon n’a jamais été capable de présenter un original authentifié du traité de 1974.

Face à ces accusations, le Gabon, par la voix de Mme Marie-Madeleine Mborantsuo, présidente honoraire de la Cour constitutionnelle du Gabon, rappelle aujourd’hui que ladite Convention avait été dûment transmise à l’ambassade de France à Libreville peu après sa signature en 1974, et qu’une copie certifiée conforme serait toujours disponible dans les archives françaises.

Le lien d’un fragment de la plaidoirie gabonaise : https://vm.tiktok.com/ZMhhKSbDv/

Ce conflit, vieux de l’époque coloniale, est désormais soumis au jugement des hautes instances de la Cour Internationale de Justice de La Haye. Le Gabon espère un arbitrage indiscutable et à juste titre une déclaration de propriété définitive en sa faveur.

- ÉPILOGUE

À suivre …✍🏾

• L’EAU ET L’ÉNERGIE POUR LE PEUPLE 🇬🇦À l’endroit de la SEEG, et pour l’amélioration de vie des populations et de la per...
16/09/2024

• L’EAU ET L’ÉNERGIE POUR LE PEUPLE 🇬🇦

À l’endroit de la SEEG, et pour l’amélioration de vie des populations et de la performance de l’économie nationale, Son Excellence Général Brice Clotaire Oligui Nguema a fait monter le ton de la rigueur dans la qualité de service de fourniture d’eau et d’électricité au public.

C’est donc en sa qualité de premier défenseur du peuple Gabonais, que le Président de la République veille à l’application des principes de la «le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple».

Ainsi, si la souveraineté appartient au Peuple, le devra en j***r par l’intérêt des politiques en vigueur, par les actes de gouvernance au quotidien et par la qualité du service public à son profit !

Vive le Général,
Vive le Peuple Gabonais,
Pour que vive La Nouvelle République🇬🇦

CTRI News

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• JOURNÉE DU DRAPEAU 🇬🇦Thème 2024 : « Autour du Drapeau, exprimons la fierté nationale »Un (1) an après le Coup de Libér...
09/08/2024

• JOURNÉE DU DRAPEAU 🇬🇦

Thème 2024 : « Autour du Drapeau, exprimons la fierté nationale »

Un (1) an après le Coup de Libération du Gabon, cette première célébration de la Journée du Drapeau revêt une ambiance toute particulière.

Les uns exaltent La Nouvelle République, les autres continuent de s’interroger…

C’est le cas de ce garçon qui fait flotter le drapeau, du Gabon, alors que les plus âgés derrière gardent leurs bras croisés se demandant à juste titre : « que serait le Gabon aujourd’hui, s’il n’avait pas été libéré hier ? »

Merciii à SEM Brice Clotaire Oligui Nguema et au Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI .

CTRI News

Paul Perfect PINDJICollaborateur de qualité pour le Président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema et le Comité...
18/07/2024

Paul Perfect PINDJI
Collaborateur de qualité pour le Président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema et le Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI 🇬🇦

• HONNEUR POSTHUME    Georges DAMAS ALEKA 🇬🇦Il y a dans tout héroïsme une noble démesure. C’est à ce titre que Georges D...
30/06/2024

• HONNEUR POSTHUME
Georges DAMAS ALEKA 🇬🇦

Il y a dans tout héroïsme une noble démesure. C’est à ce titre que Georges Damas Aleka est héroïsé, au nom de son œuvre démentielle à la gloire du Gabon.

Rappelé à la mémoire collective par les Autorités du Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI , ce monument éponyme en cours d’édification sur la façade maritime porterait bien significativement le sceau de l’honneur et de la reconnaissance nationale que La Nouvelle République gabonaise devrait conférer à SEM Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la République, Président de la Transition, Chef de l’État.

- QUI ÉTAIT GEORGES DAMAS ALEKA ?

Politicien modéré, fervent défenseur de la conciliation, de l'harmonie et de la concorde entre les Hommes, Georges Damas Aleka était né le 18 novembre 1902. Diplomate et homme politique gabonais, il était passionné des arts, d’écriture et de musique. Il meurt le 4 mai 1982.

- ANECDOTE

Quand le vent des indépendances approchaient et que les pères de l'indépendance gabonaise s'affrontaient pour déterminer le type de régime à adopter, l'histoire se rappelle d'une guerre fratricide entre les camps de Gabriel Léon Mba Minko, Premier ministre et chef de l'Etat par intérim, soutenu par une majorité du Bloc Démocratique Gabonais (BDG), représentant le pouvoir exécutif et favorable à un régime présidentiel fort ; et le camp de Paul Indendjet Gondjout, Président de l'Assemblée nationale, soutenu par le Parti de l'Unité Nationale du Gabon (PUNGA) de René Paul Sousatte et Jean-Jacques Boucavel, l'Union Démocratique et Sociale Gabonaise (UDSG) de Jean-Hilaire Aubame, Eugène Amogho et Jean-Félix Mba, et quelques dissidents du BDG, favorables à un régime parlementaire.
Dans cette guerre à sueur et à sang, Georges DAMAS ALEKA restait en marge, conservait le consensus et proposant plutôt un régime politique pluraliste en acceptant la diversité des opinions et leurs représentants.

Après ce déchirement politique, peu avant la fin de la colonisation et le début de l'accession à la souveraineté internationale, une tension sociale émerge : les personnes métissées issues des unions avec les colons étaient traités plus dignement et jouissaient d'un statut particulier. Ces derniers avaient ainsi créé en 1942 le "Cercle des Métis", avec l'interdiction d'intégrer les gabonais de peau noire. Cette forme d'exclusion était encouragée par l'autorité blanche de l'époque.

Mécontent, George DAMAS ALEKA crée en 1945 un front de contestation " l'Union des Syndicats Confédérés (USC). Il en était d'ailleurs le Secrétaire Général.
Le climat était morose, le tissu social se déchirait, mais les colons, eux, continuaient de rependre encore plus largement la haine entre les fils du Gabon tout en durcissant leur hégémonie.

Convaincu qu'une société harmonieuse était possible entre les fils et filles d'un même pays, convaincu que les gabonais métissés et les gabonais noirs pouvaient vivre ensemble, sans division, ni violences, ni suprématie ; et qu'ils pouvaient ensemble mettre un terme à cette perfidie coloniale, il se met à composer une poésie pour la réconciliation, l'éveil et la reconquête de leur destin unique. Celle-là retentira désormais à travers la République et au-delà des frontières du Gabon.

Ainsi, conformément aux dispositions de l'article 1er de la loi n°55/60 du 09 août 1960 déterminant L'hymne de la République Gabonaise, cette poésie de DAMAS ALEKA devint l'Hymne national du Gabon au nom de : LA CONCORDE.
Georges DAMAS ALEKA est immédiatement récompensé.

En 1963, il est entre autres nommé Ambassadeur auprès de la république fédérale allemande (RFA).
Le 2 décembre 1967, c'est en qualité de Président de l'Assemblée nationale, à la suite de la disparition du Père de l'indépendance, Léon Mba, qu'il présidait la cérémonie de prestation de serment du nouveau président de la République, Albert Bernard Bongo.
En 1969, il publie un ouvrage célèbre : " L'homme Noir ". De 1972 à 1977, il est nommé haut-Conseiller de l'Etat. Le 4 mai 1982, il tire sa révérence.

- COMPOSITION DE L’HYMNE NATIONAL

Alors que les Gabonais entonnent la Concorde avec patriotisme, émancipation et préférence de l’identité nationale, décomposons ce chef d’œuvre pour davantage se l’approprier :

1. POÉSIE CHANTÉE :
La Concorde comporte un (1) refrain composé de cinq (5) alexandrins et quatre (4) couplets composés chacun de quatre (4) alexandrins.

2. CHAMPS LEXICAL :
La Concorde aborde, dans son ensemble, les thèmes de l'unité, la fraternité, la foi, la justice et l'honneur, la dignité, le patriotisme et l'effort.

- DÉCRYPTAGE DU TEXTE

Le choix d'une rédaction poétique peut être expliqué par le fait que le pays était en proie à un climat violent. Pour en sortir, il fallait donc opposer à cela une poésie dont le titre seul évoque une paix qui résulte de la bonne entente, une relation idéale entre parties d'un tout pour donner à l'ensemble son équilibre, sa beauté et son unité.

La poésie seule a ceci de sacré qu’elle sait régénérer, aérer et adoucir l'esprit renfermé dans la haine, l'ombre et la tristesse.
GDA avait donc à cœur de renouer les Gabonais avec ce qu'ils avaient de plus sensible en eux : la Patrie. Il fallait ouvrir grandement cette porte vers l'inconscient, pour susciter une élévation, une envie de se construire soi-même et trouver une force consolatrice dans l'union pour faire face à la méchanceté, au vice et à la ruse de l'ennemie qui voulait opposer les gabonais entre eux.

En somme, nous pouvons donc penser que, par son mémorable refrain « C'est enfin notre essor vers la félicité », Feu DAMAS ALEKA convoquait le triomphalisme du Peuple Gabonais, après le sinueux virage des indépendances et l’unité nécessaire à l’ouvrage du Gabon.
Ainsi, mieux qu’une harangue, La Concorde est une ode à l'éveil national.

• LE CHANGEMENT DES MENTALITÉS   avant LA RESTAURATION DES INSTITUTIONS - DE LA PRIORITÉ À LA PROBITÉ Dans la mémoire so...
20/06/2024

• LE CHANGEMENT DES MENTALITÉS
avant LA RESTAURATION DES INSTITUTIONS

- DE LA PRIORITÉ À LA PROBITÉ

Dans la mémoire sociale au Gabon, l’on s’est tant répandu en éloges pour les dépositaires de l’autorité publique et politique, qu’on a peu parlé de vertu. Et la corruption de même que le vice n’ont rarement été réprimé et réprimandé aussi fermement et de façon aussi indignée que depuis le Coup vertueux du 30 août 2023.

Exceptionnellement polyvalente, l’absence de probité dans la gestion des affaires de l’État expose davantage le Gabon à un nanisme économique et à la pérennité de nombreux maux : abus de pouvoir aux fins de profit personnel ; subornation, vol, détournement de fonds ; fraude et acceptations de dessous-de-table ; activités d’acquisition de rentes ; fraude fiscale ; extorsion et intention de resquiller ; sollicitation de faveurs sexuelles ou autres ; pratique de la discrimination, des « clientélisme et népotisme », du patronage et du copinage (dit copain-coquin) ; omission de dire la vérité ; distorsion de la réalité ou falsification des preuves de façon malhonnête dans le but de s’insinuer dans les bonnes grâces des Autorités et la révérence vassale des « pauvres » populations.

Il m’apparaît donc fondamental, dans un processus d’édification, de suggérer que soit d’abord érigée une solide infrastructure de l’éthique dans la cité et dans la gestion des différents appareils de l’État; avant ou concomitamment à la restauration des Institutions.

S’y faisant, le changement des mentalités s’avère aussi stratégique que tous les autres ouvrages infrastructurels. Car aussi vertigineux, beaux et utilitaires qu’ils puissent se montrer une fois sortis de terre, ou écrits d’une encre éternelle, la gestion et animation de ces ouvrages infrastructurels sont l’œuvre de l’homme.

C’est donc pourquoi, si l’homme ou la femme, dépositaire d’une autorité publique, n’a préalablement reçu aucun examen de ses qualités de l’ordre de l’éthique; la déontologique; la droiture et la conscience de ses responsabilités; la probité, etc; l’irrespect de ces normes suprêmes serait fort dommageable à l’encontre des fondamentaux de la restauration de la bonne gouvernance et de la pérennité du contrat social inscrit à la base de la Charte de Transition portée par le Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI et le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, SEM Brice Clotaire Oligui Nguema.

Dès lors, les effets délétères de notre administration induiront à l’accroissement des inégalités; dans la mesure où ce sont les plus pauvres, incapables de payer, qui en sont les victimes. En outre, les comportements impropres à la probité nuiront gravement à la confiance des citoyens dans les Institutions en cours de restauration, avec le risque que cela comporte pour la vitalité de la démocratie aussi en cours de revalorisation.
Tout chose qui enfreint l’élan du CRTI, après la série d’arrestations de certains autocrates du régime déchu et les chefs d’accusation qui pèsent sur ces derniers.

Les circonstances et l’expérience devront de fait prêcher que la dimension éthique devrait être aujourd’hui plus qu’hier, inséparable de l’idée d’administration au service des citoyens car elle est consubstantielle à l’existence d’un État porté vers la restauration de la défense de l’intérêt général et du bien commun.

Tout bien considéré, si en pensant à Barack Obama (« L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions « ), le CTRI a priorisé la Restauration de nos Institutions pour les rendre fortes, je pense plutôt et prioritairement à l’exhumation de Kofi Annan, pour qu’il revienne nous expliquer pourquoi il disait que : « Rien ne nous mettra sur le chemin de la prospérité, aucune somme d'argent, aucune oeuvre de bienfaisance, en l'absence de bonne gouvernance ».

• GABON vs GAMBIEPeuple Gabonais,« Mettons les organes », sans lâche ni relâche. Car en réalité, nos organes n’ont de se...
11/06/2024

• GABON vs GAMBIE

Peuple Gabonais,

« Mettons les organes », sans lâche ni relâche.
Car en réalité, nos organes n’ont de sens que l’essence de la gagne !

JOUR DE FOOT, C’EST JOUR DE FÊTE ⚽️

Notre attachement à La Nouvelle République gabonaise devra davantage se manifester aussi bien par la fierté du Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI à le défendre par les armes, que par l’invariabilité de notre dévouement à le promouvoir par… le football !

PLUS CHAUD, PLUS BEAU, PLUS HAUT…
ALLEZ GABAO !!!


Fédération Gabonaise de Football

• HOMMAGE À OMAR 🇬🇦Longtemps servi aux côtés de feu Omar BONGO, le Président de la Transition, Président de la Républiqu...
09/06/2024

• HOMMAGE À OMAR 🇬🇦

Longtemps servi aux côtés de feu Omar BONGO, le Président de la Transition, Président de la République, SEM Brice Clotaire Oligui Nguema préside ce jour aux côtés de la famille biologique la cérémonie de commémoration du 15e anniversaire du décès de celui dont la nostalgie des qualités de médiateur dans le dégèle des conflits et des crises politiques à travers le monde reste inconsolable.

En essayant, depuis son départ, de l’exhumer par le biais de ses actes de présidence, c’est sa divination qui continue plutôt de faire écho sur son sens élevé d’altruisme, de dévotion au service public et de maintien de tous les instants de la Paix.

La résurgence de sa célèbre divination : « Dieu ne nous a pas donné le droit de faire du Gabon ce que nous sommes en train de faire, il nous observe. Il dit : amusez-vous. Le jour où il voudra aussi nous sanctionner, il le fera » est certainement à l’origine de ce Coup vertueux du 30 août dernier orchestré par les Forces de Défense et de Sécurité, en tête desquels son fidèle aide de camp qui depuis explique qu’il s’est imposé cet acte héroïque pour empêcher des perfides trompeurs de continuer à semer le poison et répandre la peur au Gabon.

Alors, si commémorer ce jour, c’est comme rechercher la présence d’Omar BONGO à travers des visages, des lieux ou des mots, cette divination regorge en effet de nombre mots qui rappellent aux gestionnaires politiques la conscience et la souciance d’abord pour le peuple Gabonais.

Depuis le 30 août, le Général Président, répond à cette interpellation du feu Président Omar en présentant quelques incarnations qui rapprocheraient bien lisiblement son modèle politique à celui de ce prédécesseur. Mais nous pouvons aussi apercevoir un fort mimétisme d’avec feu Jerry RAWLINGS et feu le Général de GAULLE, respectivement présidents du Ghana et de la France.

D’Omar BONGO, nous pouvons observer le sens du « consensualisme » politique, illustré par la réunion réussie du CTRI autour de lui, la tenue du Dialogue National Inclusif. Sur le plan international, le Général OLIGUI s’est attaqué aux différentes suspensions sous régionales pesant sur le Gabon après le coup de la liberté. Il s’agit par exemple de la suspension de l’aide au développement, des accords de défense... mettant ainsi en avant son sens supérieur du dialogue, du pragmatisme consensualiste inspiré de feu le Président Omar.

De Jerry RAWLINGS, il se dégage une philosophie proche du « réalisme » économique que le Ghanéen avait si bien su mettre en branle dans son pays. Au Gabon, le Général l’a démontré par la saisie immédiate de certains biens matériels et financiers pour le financement des projets sociaux structurants. Les premières étapes de sa tournée nationale ont déjà permis de dégager la philosophe politique de son modèle de leadership. À Libreville, quelques réalisations sortent également de terre.

De feu le président Français, il semble proche par le Gaullisme. Ce courant de pensées qui est à la base une forme de nationalisme souverainiste, conservateur et défendant économiquement un capitalisme étatiste. Tout ce à quoi nous assistons depuis le 30 août avec le coup de la liberté qui marque la résistance au régime Bongo-Valentin (comme à une autre échelle De Gaulle avec les N***s) ; une forme d’accession à la souveraineté nationale par la réécriture d’une constitution issue des aspirations du peuple; la préférence nationale à certaines positions régaliennes; la réhabilitation de la Radio Panafricaine Africa N.1; l’investissement structurant au profit de la réhabilitation en cours de la SEEG; la création d’un fleuron du transport aérien national « Fly Gabon », entre autres actes de souveraineté nationale.

Les similitudes d’avec ces illustres personnages côtoyés soit personnellement soit idéologiquement du temps qu’il fut aux côtés de feu le President Omar BONGO témoignent de ce que le Général Président OLIGUI garde de son prédécesseur un réel héritage politique. Toute chose qui justifie, s’il en était encore nécessaire, les honneurs à ce référencement politique de choix, dans les actes de gouvernance posés depuis l’avènement du coup de la liberté.

• GLOIRE AU CAPITAINE N’TCHORERE 🇬🇦Au lendemain du coup de la Liberté, l’ère de la restauration gage au Gabon de se mont...
08/06/2024

• GLOIRE AU CAPITAINE N’TCHORERE 🇬🇦

Au lendemain du coup de la Liberté, l’ère de la restauration gage au Gabon de se montrer au monde bardé d’attributs tel N’TCHORÉRÉ.

- QUI ÉTAIT CHARLES N’TCHORERE ?

Né le 15 novembre 1896 à Libreville, mort le 7 juin 1940 à Airaines en France; Charles N’Tchoréré fut Officier Gabonais, au service par ailleurs de l’armée française lors des deux guerres mondiales.

Afin d’étoffer ses effectifs d’hommes de guerre, les autorités françaises lancèrent une vaste campagne de recrutement en Afrique. Elles promirent alors la citoyenneté française, en échange du sang versé sur les champs de bataille.

Installé au Cameroun avec ses parents, à la déclaration de guerre en 1914, il quitte cette colonie allemande pour rentrer au Gabon. En 1916, il se porte volontaire pour aller au front contre l’Allemagne.

Affecté au camp de Sauge, près de Bordeaux, il fut envoyé sur le front de la Somme où il prit le commandement de la 7e compagnie du 53e RICMS.
Le Gabonais devint, au fil des ans, l’un des hommes sur lesquels s’appuyèrent les autorités militaires de France, pour définir leurs politiques de gestion des troupes coloniales. Il fut aussi « la voix des tirailleurs sénégalais. »

En dépit de ses multiples qualités y compris pour son grand sens reconnu de “ l’observation et d’analyse hors normes”, Charles N’Tchoréré est confronté en France à un plafond de verre – dans cet entre-deux-guerres, le grade de capitaine est le plus élevé auquel peuvent prétendre les colonisés, même lorsqu’ils sont citoyens français.
Cette époque fut si imprégnée de préjugés racistes, que la hiérarchie militaire n’envisage pas de voir des officiers noirs commander à des soldats blancs, quelles que soient leurs qualités.

Charles N’Tchoréré qui avait été fait chevalier de la Légion d’honneur en décembre 1930, puis capitaine trois ans plus t**d (réf photo), demanda alors à partir. D’abord au Soudan, puis il est affecté à Saint-Louis au Sénégal où il commanda entre autres l’école d’enfants de troupe.

À la déclaration de guerre de septembre 1939, Charles et ses hommes sont faits prisonniers par la Wehrmacht (troupes allemandes) le 7 juin 1940. Ces derniers décidèrent alors de séparer les soldats blancs de leurs frères d’armes considérés par les n***s comme des untermensch (« sous-hommes »).

Le capitaine N’Tchoréré refusa de se plier aux exigences nazies et insista pour rester aux côtés de ses collègues officiers blancs. Il fut alors froidement assassiné (en violation de la Convention de Genève) d’une b***e dans la nuque.

Il est aujourd’hui le symbole de l’engagement et du sacrifice des troupes Afro-Gabonaises au service de la France et surtout du monde libre d’après-guerre.

- QUEL SENS REVÊT CETTE COMMÉMORATION ?

Le Général Président, SEM Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA poursuit le développement de son modèle politique caractérisé par un sens élevé du symbole.

Ces actes mémoriaux en l’honneur de cet héros national permettent de prolonger son souvenir, de célébrer les actes de son vivant et garder ainsi N’tchoréré toujours aussi présent dans la mémoire collective. Toute chose qui justifie le lien social, mais également d'éclairer les choix collectifs, d'établir l'autorité de la tradition et de nos valeurs communes.

Par ces hommage en France et à Libreville, le Général Président montre donc le respect, l'admiration et la reconnaissance de la République Gabonaise à l’endroit de ceux de ses dignes fils. Ainsi, les jeunes générations pourront comprendre puis à leur tour honorer et transmettre, car les monuments en hommage à nos héros sont des tableaux d’honneur qui hissent leurs noms et les noms de ceux dont les œuvres ont honoré le Pays.

• AGENDA PRÉSIDENTIEL 🇬🇦X🇫🇷Le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition, Président de la Républiq...
31/05/2024

• AGENDA PRÉSIDENTIEL 🇬🇦X🇫🇷

Le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition, Président de la République Gabonaise, Chef de l'État reçu ce jour vendredi 31 mai 2024 au Palais de l’Elysée par le Président de la République française Emmanuel Macron.

Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI

• GABON🇬🇦 - FRANCE🇫🇷À l’ère de la restauration du gagnant-gagnantLe Coup d’Etat vertueux  du 30 août 2023 au Gabon a son...
31/05/2024

• GABON🇬🇦 - FRANCE🇫🇷
À l’ère de la restauration du gagnant-gagnant

Le Coup d’Etat vertueux du 30 août 2023 au Gabon a sonné le glas du régime Bongo-PDG.
La France, un des premiers partenaires du Gabon, condamnait ce Coup. Mais plongé dans des océans de sang innocent tous les 7 ans, le peuple Gabonais, resté beaucoup trop longtemps sous la servitude d’une minorité autocratique, a salué cet acte de bravoure suprême des Forces de Défense et de Securité, et l’a d’ailleurs dénommé “Le Coup de la Liberté”.

”Quand le peuple est écrasé par ses dirigeants avec la complicité des juges, c’est l’armée qui lui rend sa liberté et sa dignité” —Jerry Rawlings.

Après les événements aux Mali et Niger dans le Sahel, la France ne laissera pas filer cet allié stratégique d’Afrique centrale. C’est pourquoi, depuis ces heureux événements, le Président Français a dépêché au Palais du Bord de Mer de Libreville Alexis LAMEK et Franck PARIS respectivement ambassadeur de France au Gabon et Conseiller du président français sur les dossiers africains (Monsieur Afrique) pour tous deux suivre « la situation de près ».

275 jour après ce Coup de la Liberté, la France, spectatrice des actes de gouvernance conduits savamment par le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, se veut désormais plus entreprenante, et envisage même de se démarquer plus activement des arrangements d’avec le régime écroué.

”Si vous êtes neutres devant une situation d’injustice, c’est que vous avez choisi d’être du côté de l’oppresseur” —Desmond TUTU.

Pour cerner avec une particulière érudition l’avènement de ce forum Gabon-France qui à juste titre agrémente l’économie du tête-à-tête entre OLIGUI et MACRON, il conviendrait de préalablement faire remonter le temps pour référer la contextualité des relations entre la France et le Gabon.

Les premiers traités entre ces 2 États frères datent de la fin des années 1830, quand la plupart des colonies françaises remontent aux années 1880. Libreville est une vieille colonie, ce qui explique le lien particulier entre le Gabon et la France. Autre preuve de ce lien, lorsqu’en 1958, le général de Gaulle organise le référendum pour instaurer la Ve République, le président gabonais Léon Mba réclame le statut de département d’Outre-mer pour son pays. De Gaulle refuse. Il craignait que la France soit accusée de manipulation destinée à conserver des ressources en pétrole et en uranium. Indépendant en 1960, le Gabon d’Omar Bongo va rester au cœur de la « Françafrique ».

Président de 1967 jusqu’à sa mort en 2009, Omar Bongo a arrosé financièrement tous les partis français au pouvoir. D’abord, à droite, il aide Valéry Giscard d’Estaing, dont il se détourne en 1977, au moment de l’affaire des diamants de Bokassa. Puis, François Mitterrand. Beaucoup à l’époque s’attendaient d’ailleurs à ce que Mitterrand mette fin à cette relation particulière après son élection, ce qui n’a pas été le cas.

En 1990, François Mitterrand envoie des militaires français au Gabon après la prise d’otages d’employés de la compagnie pétrolière Elf. Les auteurs de cette prise d’otage exigeaient le renversement du gouvernement. À l’époque, le chef de l’État français sauve le régime. Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy ont perpétué ces relations intéressées. En 2009, Nicolas Sarkozy se rend même aux obsèques d’Omar Bongo. Et entérine de fait la succession par son fils, Ali Bongo.

Mais aujourd’hui , si les relations sont anciennes, elles sont depuis quelques années en régression totale. Au niveau politique, elles se sont absolument délitées. La preuve la plus saillante est qu’en 2022, Ali Bongo a fait adhérer le Gabon au Commonwealth. Se rapprochant ainsi des Britanniques et des Américains.
Au niveau économique, si leurs géants Pétroliers et Miniers restent quelque peu présents au Gabon, ils sont tout de même témoins impassibles de l’arrivée en trombe du devenu-géant Indiens ARISE et ses innombrables tentacules dont OLAM et autres.

Avec l’élection en 2012 de François Hollande. Si le socialiste maintient les relations économiques, il gèle les relations politiques. Il est le premier président français à ne pas s’y rendre en visite officielle et s’efforce de prendre ses distances avec les potentats d’Afrique centrale. Emmanuel Macron est sur la même ligne. Il tient à ne pas s’immiscer dans la vie politique gabonaise. Parfois sans même défendre les intérêts économiques français, laissant les influences asiatiques et marocaines s’y développer. S’il s’y est rendu pour débuter sa tournée africaine en mars 2023, c’était simplement pour un sommet sur la forêt équatoriale lancé à l’issue de la COP27.

Aujourd’hui, après avoir condamné le putsch du 26 juillet au Niger contre le président Mohamed Bazoum et la constatation notoire de ses distances d’avec les nouvelles autorités de la Transition au Gabon (Comité pour la Transition et la restauration des institutions - CTRI ), la France fait marche en arrière et affûte l’éclat de son perron pour l’arrivée solennelle du Président Gabonais et pour discuter des actes de progrès politiques de la Transition (les résolutions du Dialogue National Inclusif), du prochain retour à l’ordre républicain (élection d’août 2025), les accords commerciaux entre nos deux États (économie) et tourner définitivement la page des Bongo !

L’occasion faisant le larron, c’est idoinement en France, Pays du Général Charles De GAULLE, qu’il est temps de comprendre, s’il en était encore nécessaire, que “ Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts”.

L’affluence observée à l’occasion du forum cité supra (50 entreprises attendues, mais plus de 100 reçues) laisse donc aisément entrevoir non pas que l’engouement mais aussi l’intérêt que suscite davantage la destination Gabon depuis le 30 août dernier. C’est la preuve que le Coup de la Liberté a fait place à une Transition de progrès.

Tout bien considéré, la visite du Président OLIGUI laisse entrevoir un réchauffement relationnel gagnant-gagnant pour nos deux grands pays.
L’illustration de ce Forum d’affaires qui vise ni plus ni moins la rénovation et la modernisation du partenariat économique réunissait plus de 600 chefs d’entreprises et hommes d’affaires Gabonais et Français (B2B). À la clé, plusieurs contrats signés d’une valeur totale de plus de 1 milliard d’euros.

Ces contrats ont été signés pour servir entre autres utilitaires à moderniser notre pays dans le secteur ferroviaire qui permettra la mobilité des peuples, la logistique du fret et le transport du minerai de manganèse ; densifier la production d’énergie et sa distribution qui fait tant de mal aux ménages et aux petites entreprises. Ainsi que dans le secteur de l’eau, de façon à ce que les Gabonais y soient tous à tout moment alimenter qualitativement et quantitativement. De même l’aménagement des routes, pour mieux relier les provinces entre elles et la capitale entre les provinces. Car la route est la voie du développement. Aussi, il est judicieux qu’à travers ces échanges commerciaux, les Gabonais y trouvent de l’emploi décent pour baisser considérablement ce taux de chômage qui depuis de longues années oscille précairement entre 30 et 35%.

À l’instar des initiatives de même acabit entreprises par le Général Président au Moyen Orient et à travers le reste du monde, l’enjeu affiché clairement ici, c’est la rupture des relations internationales du Gabon fondées uniquement sur la diplomatie politique classique et des entourloupes nombrilistes. Il est désormais temps de vendre la destination Gabon sous toutes ses belles autres formes de transparence, afin de redéfinir une politique économique gagnant-gagnant de nos accords commerciaux, pour financer la restauration et l’ouvrage de l’édifice nouveau auquel rêve le peuple Gabonais.

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