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SNJ Marseille Provence Informer sur l'actualité de la section régionale Marseille Provence du Syndicat National des Journalistes

Les syndicats de la rédaction prennent là Une après la tentative d’atteinte à la liberté éditoriale.
26/03/2024

Les syndicats de la rédaction prennent là Une après la tentative d’atteinte à la liberté éditoriale.

A la une de "La Provence" du mardi 26 mars

Elle n’est pas magnifique cette Une!! Soutien aux journalistes de La Provence et à la liberté de la presse!! Partagez!!!
22/03/2024

Elle n’est pas magnifique cette Une!! Soutien aux journalistes de La Provence et à la liberté de la presse!! Partagez!!!

19/03/2024

Les permanences sont assurées par des journalistes qui ont choisi, en plus de leurs activités professionnelles, de militer, pour défendre notre profession.

21/11/2023

Intelligence artificielle dans les rédactions : mais de quoi se mêle RSF ?

Alors que les premières expérimentations d’introduction de logiciels d’intelligence artificielle (IA) dans des articles de presse viennent de faire leur apparition dans plusieurs médias (L’Est Républicain et Reworld Média notamment), un « protocole d’accord » vient d’être conclu sur le sujet, entre l’ONG Reporters sans frontières (RSF) et l’Alliance de la presse d’information générale (APIG), le syndicat patronal qui regroupe les éditeurs de presse écrite quotidienne nationale, régionale, départementale et de la presse hebdomadaire régionale.

Lire la suite du communiqué :
https://snj.fr/article/intelligence-artificielle-dans-les-r%C3%A9dactions-mais-de-quoi-se-m%C3%AAle-rsf-408025370

Pas de journal demain.
16/11/2023

Pas de journal demain.

La rédaction du quotidien local se réunissait jeudi 16 novembre en assemblée générale et a décidé à 88,5% des votants d’entamer une grève reconductible face aux promesses non tenues de son actionnaire, qui réduit les effectifs.

15/11/2023
04/11/2023

Le quotidien des Hauts-de-France crée un statut de rédacteur, moins bien payé que celui de reporter, et réaffecte une partie de ses équipes à la couverture de l’actualité de la métropole lilloise au détriment de l’effectif des locales.

C’est parti pour le 105e congrès du SNJ à Albi !💪🏼
04/10/2023

C’est parti pour le 105e congrès du SNJ à Albi !💪🏼

14/03/2023

[section SNJ La Provence] Qui en veut à La Provence ?

Ce lundi 13 mars, vers 23 heures, une coupure électrique a affecté les installations du siège de La Provence, empêchant la sortie totale des éditions des Alpes et du Vaucluse. A l'exception d'Arles, c'est l'édition de Marseille qui a été distribuée dans les Bouches-du-Rhône, de façon extrêmement t**dive.


En raison de cette longue coupure électrique, aujourd'hui à midi, le système Hermès n'était toujours pas accessible, provoquant aujourd'hui encore de fortes perturbations dans la production. Renseignements pris ce matin auprès d'Enedis, cet incident est "lié à un acte de malveillance" repéré par leurs services sur le réseau ; La Provence ayant été, semble-t-il, directement ciblée. Hypothèse d'autant plus crédible que si 2 000 foyers ont été privés d'électricité hier soir à Marseille, seule notre entreprise a été concernée dans le quartier. La direction envisage de porter plainte.


Cet acte quels qu'en soient les auteurs, et quels qu'en soient les motifs constitue une atteinte à la liberté de la presse. Le SNJ La Provence ne peut que condamner avec vigueur ce sabotage du travail des journalistes. Un “incident" qui fait écho à une menace à peine voilée émise la semaine dernière. Contrairement à ce que pense le patron de la CGT 13, les journalistes ont le droit d'avoir la lumière à tous les étages pour pouvoir éclairer leurs lecteurs et le débat public.

Marseille, le 14 mars 2023.

20/11/2022

Un propriétaire de médias qui empêche des journalistes d’effectuer leur mission d’informer le grand public. C'est la décision obtenue par Patrick Drahi (SFR, BFM, RMC, le groupe l’Express et Libération) le 6 octobre du tribunal de commerce de Nanterre. Depuis, le média Reflets.info a int...

Soutien à Olivier Dubois
14/10/2022

Soutien à Olivier Dubois

13/07/2022

Quand tu fais le max pour négocier une rémunération digne de ce nom pour les journalistes sur les droits voisins et que la CFDT et la CGT participent (malheureusement) à la négo....

Communiqué du SNJ
Droits voisins dans le groupe Ebra : chronique d’un échec annoncé

La négociation sur les droits d’auteur et la répartition des droits voisins au sein du groupe Ebra a lamentablement échoué, ce jeudi 7 juillet, après sept réunions calées dans un calendrier resserré, depuis le 21 avril. Malgré les efforts continus du SNJ pour tenter d’aboutir à un accord équitable, raisonnable et respectueux des droits et du travail des journalistes, la direction du groupe a saboté la conclusion d'un accord majoritaire en s'obstinant à lier les deux sujets des droits d’auteur et des droits voisins.
Inchangée depuis le 15 juin, la proposition de la direction sur les droits d’auteur Hadopi est restée la suivante : un total de 850€ bruts annuels pour une ré-exploitation des contenus sur un périmètre qui concernerait l’ensemble des quotidiens du groupe Ebra, mais aussi Libra Memoria ou encore Humanoïd (cercle 3), ainsi que Facebook News, Google Actualités, Digiteka (plateforme vidéos) ou encore la plateforme de podcasts Acast (cercle 3bis). Ce montant de 850€ brut pour un périmètre de cession beaucoup plus large qu’aujourd’hui, ne représente que 15 à 50 € de plus par mois par rapport à ce qui existait déjà dans les différents accords des titres du groupe.
Pour les droits voisins, la direction a refusé une répartition au pourcentage des sommes versées par les GAFAM, pour un partage « approprié et équitable » prévu par la loi de 2019, et a fini par proposer un montant forfaitaire annuel de 250€ brut, correspondant à environ 18% des sommes perçues. Considérant cette clé de répartition bien trop faible, le SNJ ne pouvait être signataire de ce texte, alors que les négociations dans l’ensemble de la presse française achoppent sur ce point.
Le SNJ a proposé, pour débloquer la situation de signer uniquement la partie droits d’auteur. La direction a refusé, préférant mettre à la signature les deux textes en l’état, et recueillir la signature de deux organisations syndicales minoritaires chez les journalistes, la Filpac-CGT et la CFDT, dans un simulacre de séance de signature dans les locaux du Crédit Mutuel. Ce faisant, la direction a dévoilé ses véritables intentions : minorer significativement la part des droits voisins, en la liant à la signature du nouvel accord droits d’auteur.
Le SNJ ne remercie pas la Filpac-CGT et la CFDT, qui ont pollué les négociations avec des propositions ayant tiré les discussions vers le bas. Ces deux organisations syndicales ont fluctué dans leurs revendications, pour finir par signer un accord caduc, à des conditions très inférieures (18% de « part équitable » sur le droit voisin) aux positions affichées au niveau national par leurs confédérations.
Le SNJ s’interroge sur cette précipitation. Rien ne justifiait d’interrompre les négociations si vite, alors qu’un compromis majoritaire n’était pas trouvé. Le SNJ déplore la vision autoritaire du dialogue social au sein du groupe. Le SNJ considère que les « partenaires sociaux » n’ont pas vocation à se laisser piétiner pour récolter des miettes, quand la loi est pour une fois du côté des auteurs salariés, en parlant de partage équitable.
Le versement de cette part équitable des droits voisins aux journalistes est un juste retour des choses. C’est la production quotidienne des journalistes qui permet aux éditeurs de bénéficier de cette manne.
Les accords droits d’auteur en vigueur dans les entreprises continuent de s’appliquer malgré l’échec de la négociation groupe.
La partie n’est évidemment pas terminée. Le SNJ ira chercher la part « appropriée et équitable » due aux journalistes sur les droits voisins, en saisissant la commission nationale d’arbitrage prévue par la loi.
Paris, le 7 juillet 2022

12/07/2022

Des nouvelles de La Provence...

"Historique ! Un journaliste SNJ élu secrétaire du CSE !"

Réunis cet après-midi pour le premier CSE de la mandature, vos élus ont procédé à l'élection du nouveau secrétaire du CSE.
Deux candidats se sont présentés au scrutin : Marie-Cécile Berenger pour la CFDT et Éric Breton pour le SNJ. Éric Breton a été élu à l'unanimité moins une voix et devient donc secrétaire du CSE pour les 4 années à venir.
Félicitations à lui pour son élection, nous nous réjouissons que pour la première fois un journaliste, qui plus est, représentant le SNJ, accède à ce poste.
Lors du CSE du 21 juillet seront désignés les membres du bureau et des commissions.
Cette élection revêt une importance capitale, au regard des échéances cruciales pour lesquelles Eric saura se montrer à la hauteur sans esprit de chapelle. "

Marseille, le 12 juillet 2022

22/06/2022

Communiqué de la section La Provence

Le tribunal de commerce de Bobigny, qui devait rendre sa décision sur la cession des 89% des parts de GBT dans La Provence à la CMA-GCM l'a reporté au 30 septembre. D'ici-là, le 29 juin, le tribunal de commerce de Marseille aura tenu l'audience, sur le fond, de l'appel de Xavier Niel sur son droit de veto, et peut-être rendu aussi sa décision, susceptible d'appel puis d'un pourvoi en cassation.
Nous, salariés du groupe, n'avons donc pas le droit d'envisager enfin un horizon dégagé, après des années d'immobilisme ! Dans l'indifférence générale, le premier titre de presse du Sud-Est s'enfonce jour après jour dans la crise, englué dans des procédures judiciaires que personne ne semble plus maîtriser. Combien d'autres encore, au détriment de l'avenir économique d'une entreprise, de la sérénité attendue, et enfin méritée, de ses salariés? Entendez notre SOS!
Marseille, le 22 juin 2022

03/06/2022

Sections SNJ La Provence et Corse Matin, STC Corse Presse: Compte-rendu du CSE extraordinaire tenu hier pour les six CSE du groupe La Provence

La vente le 7 juin ou le redressement : il y a urgence !

Un CSE extraordinaire a été convoqué cet après-midi par Jean-Christophe Serfati et Me Frédéric Avazeri, en présence de l'ensemble des élus des six CSE du groupe La Provence-Corse Matin. A l'ordre du jour : « Information sur la procédure de cession et sur les conséquences à prévoir dans le cas où le juge-commissaire du tribunal de commerce de Bobigny n'arrêtait pas à bref délai la cession au profit de la CMA-CGM à la suite de son audience du 7 juin ». En sa qualité de mandataire, Me Avazeri a alerté les représentants du personnels sur la situation financière de notre groupe, très inquiétante à court terme : « L'intégralité des 2 PGE (15 millions d'euros) a été consommée en 18 mois. Nous entamons la trésorerie générée par la vente des murs ». Évoquant des « pertes abyssales » et une réserve en trésorerie qui ne pourra pas dépasser la fin de l'année, le mandataire en a conclu : « Si la cession n'est pas ordonnée dans les jours qui viennent, ses dirigeants seront dans l'obligation de demander une procédure de sauvegarde, auprès du tribunal de commerce de Marseille, qui entraînerait automatiquement un placement sous redressement judiciaire . On a tout fait jusqu'à présent pour l'éviter, mais on va dans le mur ». Questionné par le SNJ, Me Avazeri a estimé que les conditions du placement sous sauvegarde sont d'ores et déjà réunies : « Péril imminent, c'est le cas très objectivement, sans être encore en cessation de paiement, ce qui est aussi le cas ».
En cas de redressement judiciaire, un nouvel appel d'offres serait lancé « sur un calendrier compressé ». Toutes les clauses du pacte d'actionnaires (agrément et préemption) deviendraient caduques. Tout candidat pourra déposer une nouvelle offre selon trois critères : maintien de l'emploi, d'une activité autonome et paiement des créanciers. Si dans ce scénario, l'ensemble des droits des salariés, y compris la clause de cession pour les journalistes, sont maintenus, le groupe pâtirait d'une image et d'une publicité dégradées, d'une perte de confiance des clients, fournisseurs, voire du lectorat. « La sauvegarde, c'est bénéfique pour les repreneurs mais une catastrophe pour La Provence et ses filiales », estime le PDG, qui compte « écrire dans la foulée de ce CSE aux juges commissaires » pour les avertir de ses intentions. En outre, les deux candidats actuels ne seraient plus tenus aux engagements pris jusqu'à présent, ce qui réduirait à néant toutes les négociations entreprises depuis des mois par les élus. Autre conséquence : le candidat choisi n'aura ni à rembourser la dette de nos entreprises, ni à participer au remboursement de celle du Groupe Bernard Tapie : « La procédure GBT tombe à l'eau ».

Jean-Christophe Serfati, seul habilité à demander un placement en sauvegarde, a confirmé qu'il le ferait, si le juge-commissaire ne procédait pas à la cession le 7 juin, ou s'il reportait cette audience sine die. Il le ferait aussi si la vente était validée par le juge-commissaire mais que la CMA CGM, du fait des recours de Xavier Niel, décidait de différer la prise de contrôle du groupe, dans l'attente que ces recours soient purgés. Des délais de procédure qui, d'après Me Bouquet, avocat de La Provence, nous mènent à la fin de l'année, « ce qui est incompatible avec la trésorerie de La Provence ».

Rappelons que Xavier Niel a engagé deux recours contre la décision du conseil d'administration de La Provence d'agréer l'offre de la CMA CGM, l'un en référé (audience le 9 juin), l'autre sur le fond (le 29 juin). Des actions évidemment susceptibles d'appel de chacune des parties...

Averti de la menace d'une procédure collective par les dirigeants de La Provence, Xavier Niel aurait, selon Me Avazeri, répondu qu'il apporterait "des fonds pour compenser". Mais selon le mandataire, cette solution n'est pas envisageable puisqu'il faudrait que cet apport se fasse sans contrepartie : « Financer des pertes, en continuant à générer de la dette est une faute de gestion qui peut engager la responsabilité des dirigeants ». Pour Me Avazeri, « la mascarade a assez duré, il faut que cela s'arrête. On ne voit pas le bout du tunnel ».

Questionné sur les recours de Xavier Niel, Me Avazeri a estimé qu'ils étaient « sérieux. Il fait valoir ses droits, ce n'est pas critiquable ».

Plus t**d, il précisera, « si le plan de cession est arrêté le 7 juin et que la CMA l'accepte, le plan de redressement de l'entreprise serait alors lancé ».

Le tableau qui nous est présenté nous inquiète fortement. Nous avions alerté à de multiples reprises sur cet enlisement démarré sous l'ère Tapie, qui nous conduit au bord du gouffre. Au-delà du marasme économique, l'anxiété des salariés devient préoccupante. Les élus du SNJ de La Provence et Corse-Matin et ceux du STC de Corse Presse feront tout ce qui est nécessaire pour éviter l'irréparable et défendre les intérêts des salariés. Ils en appellent solennellement à la responsabilité de toutes les parties pour éviter une catastrophe humaine et sociale. Elles devront en assumer les conséquences si cela devait malheureusement arriver. Les dégâts sont déjà trop nombreux. Stop.

Marseille, le 2 juin 2022
Vos élus et représentants SNJ La Provence, Corse-Matin et STC Corse Presse

01/06/2022

SECTIONS SNJ LA PROVENCE et CORSE PRESSE

LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

"C'est l'avenir de 850 salariés de La Provence et de leurs familles qui est en jeu"


Monsieur le président de la République,

Les groupes de presse La Provence et Corse Matin vont-t-ils être le funeste et dernier dommage collatéral des affaires Tapie, dont il a déjà tant souffert ? L'Etat, principal créancier de la procédure en liquidation du groupe GBT, peut-il laisser l'avenir de 850 salariés - qui portent à bout de bras une entreprise acculée financièrement et privée d'investissements depuis des années - se dissoudre dans les manœuvres dilatoires de son actionnaire minoritaire ?

C'est bien le risque que nous encourons aujourd'hui, et dont nous voulons solennellement vous alerter lors d'un entretien que nous sollicitons à l'occasion de votre visite demain à Marseille.

En effet, dans le cadre de la procédure en liquidation des affaires Tapie, la cession des 89% des parts de GBT au sein du groupe La Provence a fait l’objet d’un appel d’offres fin 2021 : le projet présenté par CMA CGM a été retenu par le liquidateur comme le mieux disant. Les 6 CSE, consultés sur cette offre, ont rendu un avis unanimement favorable.

Or depuis des semaines, le groupe est otage de recours juridiques à répétition qui, non seulement paralysent son fonctionnement mais le conduisent tout droit vers une procédure collective !

L'Etat peut-il ainsi regarder mourir un grand groupe de presse alors qu'une possibilité de relance se dessine avec le projet retenu par les CSE ? L'Etat peut-il bouder les 80 millions d'euros avancés par la CMA CGM en remboursement d'une partie de la dette de Bernard Tapie ?

Au-delà de la bataille qui vire au concours d'ego entre deux milliardaires et outre notre souhait de voir respecté l'avis favorable donné par les représentants du personnel en CSE, nous nous devons de vous alerter sur l'impérieuse nécessité de voir cette saga judiciaire se clore au plus vite au risque de mettre en péril deux titres de presse quotidienne régionale.

L'enjeu dépasse largement le simple conflit commercial. C'est l'avenir de 850 salariés et de leurs familles qui est en jeu comme la nécessité démocratique d'une presse plurielle et économiquement forte.
Comptant sur l’attention bienveillante que vous porterez à notre sollicitation, nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en nos sentiments les plus respectueux.

Le Syndicat National des Journalistes, SNJ, majoritaire, de La Provence et Corse Presse.
Le Syndicat des Travailleurs Corses, STC, de Corse Presse.

27/05/2022

✊Journalistes empêchés de travailler à l'assemblée générale de : le SNJ condamne une entrave à la liberté d'informer

Des confrères et consœurs de LCI, France Télévisions, l’AFP et bien d’autres n’ont pu exercer leur mission d'informer, mercredi 25 mai, alors qu'ils couvraient une manifestation d'écologistes, rassemblés salle Pleyel à Paris, où se tenait l'assemblée générale du groupe TotalEnergies.

Sur Twitter, notre confrère Paul Larrouturou, journaliste politique LCI explique : "La police empêche volontairement les journalistes d'accéder aux manifestants qui bloquent l'AG de Total Energies pour protester contre sa présence en Russie et les projets d'expansion d'énergies fossiles". "Aucun journaliste n'a accès aux manifestants", proteste-t-il...

👉 Lire la suite de notre communiqué sur le site du SNJ : https://www.snj.fr/article/journalistes-emp%C3%AAch%C3%A9s-de-travailler-%C3%A0-lassembl%C3%A9e-g%C3%A9n%C3%A9rale-de-total-le-snj-condamne-une-entrave-%C3%A0-la-libert%C3%A9-dinformer-1004825568

27/05/2022

Communiqué de presse

Le cri d'alarme des salariés du groupe La Provence

Dans le processus de cession des actifs du groupe La Provence, Xavier Niel a communiqué son intention d'assigner en référé pour suspendre, dans un premier temps, l'agrément donné par le Conseil d'administration réuni le 9 mai dernier, puis le faire annuler. Un recours qui pourrait, dit-on, pousser le juge-commissaire à “temporiser”. Une nouvelle fois. Cela fait désormais bientôt neuf mois que le groupe La Provence végète et s'enfonce dans les difficultés dans l'attente d'un nouvel actionnaire. Qui, dans cette procédure de cession virant au duel entre deux repreneurs milliardaires, se soucie des 850 salariés des groupes concernés, et de leurs familles ? Qui mesure à quoi peut ressembler leur quotidien, rythmé depuis des mois par des procédures judiciaires, des rebondissements et revirements en tout genre? Qui va se décider à entendre leurs voix? Nos voix?
Les élus, représentant une écrasante majorité des salariés, ont exprimé un vote favorable sur la seule offre qui leur était soumise par les liquidateurs, à savoir celle de la CMA-CGM. Alors oui, c'était la seule, mais personne ne nous a mis le couteau sous la gorge. Bien au contraire. Les élus du Syndicat National des Journalistes, majoritaire à la rédaction, ont très largement travaillé cette offre qu'à l'occasion de multiples échanges, ils ont pu voir améliorée. Alors, non, cette offre n'est pas un choix par défaut. Mais, au-delà de cette bataille qui vire au concours d'ego, outre notre souhait de voir respecté l'avis favorable donné en CSE, nous alertons sur un calendrier qui s'éterniserait davantage si la procédure de vente était suspendue, et qui nous fait craindre désormais pour nos emplois et pour la pérennité de nos titres. Voilà des années que notre entreprise est privée d'investissements. Nous ne voulons pas risquer la mise sous sauvegarde. Combien de temps cela va-t-il encore durer? Jusqu'à ce que notre actionnaire minoritaire, Xavier Niel, nous tienne sous perfusion? Comble des trous de trésorerie, sans projets d'avenir? Que notre salut vienne de la justice ou même d'un accord entre les deux repreneurs, c'est un cri d'alarme que nous lançons à tous les acteurs de ce dossier pour trouver rapidement une solution de sortie de crise.

Marseille, le 26 mai 2022

20/04/2022

[tribune] L'extradition d’Assange serait un signal désastreux pour tous les lanceurs d'alerte

À l'approche de la nouvelle audience d'extradition de Julian Assange, le Syndicat national des journalistes, au côté de la Maison des Lanceurs d'Alerte et de dix autres organisations, réaffirme son soutien au fondateur de WikiLeaks. Dans une tribune publiée ce jour, nous rappelons le rôle de "facilitateur" d'alerte qu'a joué Julian Assange. Nous appelons les États-Unis à retirer leur demande d'extradition ; le Royaume-Uni à libérer immédiatement Julian Assange ; et la France à lui accorder l'asile politique comme il l'avait demandé au Président Hollande en 2015. Ce texte a été signé notamment par cinq grandes organisations de journalistes : la Fédération internationale des journalistes, le SNJ, le SNJ-CGT, le collectif Informer n'est pas un délit et Reporters sans frontières.

http://www.snj.fr/article/lextradition-d%E2%80%99assange-serait-un-signal-d%C3%A9sastreux-pour-tous-les-lanceurs-dalerte-712731464

Le SNJ reuni aujourd’hui et demain matin en comité national à la Bourse du Travail à Paris.
18/03/2022

Le SNJ reuni aujourd’hui et demain matin en comité national à la Bourse du Travail à Paris.

03/02/2022

Bonsoir,
Le SNJ recrute. Possibilité de CDI...
N'hésitez pas à nous contacter en MP.
Merci.

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