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04/11/2024
Taourga (Tizi Ouzou)La résistance depuis 1830Les jeunes générations ont le devoir de s’att**der sur cette période de l’h...
04/11/2024

Taourga (Tizi Ouzou)

La résistance depuis 1830
Les jeunes générations ont le devoir de s’att**der sur cette période de l’histoire pour rendre hommage à ces guerriers de la liberté.

Au premier pas de l'armée coloniale sur la terre algérienne en 1830, les batailles se sont succédées et ne se sont jamais arrêtées, jusqu'à l'indépendance, un siècle et demi plus t**d. L'arrivée des premiers convois militaires à Sidi Fredj rencontrera une résistance farouche des populations algériennes, mal équipées en armes, il est vrai, mais habitées par une hargne de refouler les envahisseurs au prix de leurs vies. Les grandes batailles sont nombreuses, représentant des exemples vivants de cette résistance à l'avancée des contingents français. À Staouéli, les Français se heurteront à des combattants munis d'armes rudimentaires mais armées d'un courage sans faille. Une bataille conduite par le chef militaire des Iflissen Mellil Mohammed
Ben Zamoum, qui avait mobilisé plus de 25 000 combattants. Selon des données recueillies auprès du documentariste Youcef Limani, réalisateur de plusieurs films sur cette période de l'histoire, Mohammed Ben Zamoum dont les chefs spirituels étaient Lhadj Mohand Ouchekal et Cheikh Smaïl a été épaulé par une dame de fer, Lalla Khedidja, qui a mobilisé les femmes de Kabylie pour lutter auprès des combattants de Zamoum. Cette période de l'histoire faite de résistance hargneuse à l'avancée des troupes françaises, sera marquée, 30 années plus t**d par une autre grande lutte. Connue sous l'appellation de bataille de Taourga, commune située à l'est de la wilaya de Boumerdès, cette autre étape de la résistance à l'avancée des troupes françaises en Kabylie mobilisera toutes les populations derrière des chefs militaires et des responsables spirituels. Plus de 600 combattants tomberont au champ d'honneur lors de cette bataille entamée le 9 du mois d'avril 1871. Faiblement armés, les résistants ne tiendront pas devant les «soldatesques» françaises lourdement équipées et surtout beaucoup plus nombreuses. Toutefois, aujourd'hui, il y a lieu de s'att**der sur cette période de l'histoire de la colonisation pour rendre hommage à ces hommes et à ces femmes qui se sont dressés, au prix de leurs vies, pour stopper l'avancée des soldats français à la réputation funeste de criminels de guerre. Ils seront enterrés par leurs frères d'armes à proximité de leurs villages, généralement situés dans les communes du nord de la wilaya de Tizi-Ouzou et de Boumerdès.On connaît le lieu où repose le chef militaire qui a conduit cette bataille, mais non tous les lieux et les noms des 600 combattants. Tout ce que la tradition orale et quelques bribes de récits gardent encore de cette épopée racontent que le chef militaire Ali Oumhand est actuellement enterré près de son village, Tala Bouzrou, dans la commune de Makouda. Lui-même a mené sous la houlette de son chef spirituel de la zaouïa de Dellys, Sidi Amar Oucherif. Ses lieutenants étaient respectivement celui des Ath Ouaguenoun, Hand Nath Yahia dont le chef spirituel est Saïd n' Cheurfa, du coté des Iflissen Levhar le chef militaire lieutenant d'Ali Oumhand était Arav Igueroudjen dont le chef spirituel est Cheikh Amar Amsoune. Les Ath Djennad étaient représentés, dans cette armée, par le chef militaire Mohammed Ben Larbi Cherif dont le chef spirituel, Larbi Oucherif Tazrout. Après plus de 60 ans après l'indépendance, les jeunes générations ont le devoir de s'att**der sur cette période de l'histoire pour rendre hommage à ces guerriers, partis, laissant derrière eux leurs biens et leurs familles, pour défendre leur pays de l'invasion coloniale. Leur sacrifice ne sera pas vain, car quelques générations plus t**d, d'autres hommes naîtront afin de mener une guerre sans merci à cet envahisseur qui a fini enfin par se faire éjecter au prix de sacrifices suprêmes de tout un peuple. Mais aujourd'hui, les autorités sont interpellées afin d'oeuvrer à la préservation de la mémoire de ces martyrs et de leurs tombes, du moins celles qui sont connues. Dans plusieurs communes, Makouda, Taourga, Boudjima, des cimetières se trouvent près des villages mais beaucoup ne savent rien des personnes qui y reposent. Des témoignages rapportent que ce sont ces moudjahidine qui ont été enterrés par leurs frères de combat. Ils ont été ramenés de Taourga, lieu de la bataille, à dos d'ânes pour être inhumés près de leurs ancêtres. Les communes concernées sont, en effet, interpellées pour préserver ces tombes en élevant au moins des clôtures. Ces chefs militaires et les centaines de morts dans cette bataille doivent, aux jeunes générations, au moins de la reconnaissance, du moins par des stèles érigées en leurs mémoires.

Kamel BOUDJADIKamel BOUDJADI

IL N’AVAIT QUE 17 ANS. À la veille du 1ier novembre, où  beaucoup d’Algériens ne savent même pas qu’est-ce que c’est, co...
29/10/2024

IL N’AVAIT QUE 17 ANS.

À la veille du 1ier novembre, où beaucoup d’Algériens ne savent même pas qu’est-ce que c’est, conséquence d’avoir tr****ti et (désenseigné) l’histoire… Quel que soit l’héroïsme d’un peuple, si c’étaient les absents qui brillaient dans son histoire, il manquerait tous les rendez-vous à se faire valoir.
3333 était l’adresse historique de Makouda (Secteur3, Zone3, Région3 et Wilaya 3)
On n’entendait pas parler de 3333, comme à la coutume de ce bled, on instaure le silence radio sur tous ceux qui ont bruité la guerre.

Ce qu’on ignore : la guerre de 7 ans ½ a été inaugurée pour la première fois par la bataille du 14 novembre 1954 à Tighramt/ Makouda, soldée par deux martyrs, deux blessés et deux prisonniers.
Aussi, cette petite localité a offert un (surquota) de sacrifices de 478 martyrs pour que nous soyons libres et égaux. Pour que nous battissions un pays fraternel, aimant et attractif pour ses enfants ou chacun sera fière de sa culture de son histoire et de la beauté de ses plaines et montagnes. Tel était le projet de ceux qui ont arrosé ce pays de leur sang. Un projet que certains aient tenté de concrétiser pour se hisser parmi les pays les plus honorifiques. Hélas, des (ovni) ont bien voulu autrement… Mais tant que les femmes et les hommes ont encore le cœur bâtant au silence actif, l’espoir est toujours de mise.

À quelques heures de l’anniversaire de déclenchement de la révolution du 1er Novembre, l’émotion est grande même à couler des larmes. Pour certains, c’est le regard tourné vers le passé douloureux où les plaies ne sont pas encore suturées. Pour d’autres, ils sont victimes de la déception de l’espoir tant rêvé, une torture morale plus mal que les atrocités physiques.

Mr. Belmiloud Amar (dit Amar Hand Bouakli) âgé de 84 ans affaibli par le poids des ans avec ses facultés mentales auditives et visuelles amolndres.

De l’indépendance à ce jour, il s’est abstenu de toute activité politique. Autrement dit, il n’a jamais chauffé les paumes de ses mains à soutenir l’insoutenable. Longue vie, joie et bonheur et pour toujours Dd’Amr.
À rappeler, qu'apres 1962 il a sauvé plus d'un fils de chahid à intégrer les centres d'enfants de chouhada pour étudier. Et plusieurs d'entre eux ont bien réussis dans leurs études.

Dd’Amar est l’un des manuels de courage de notre histoire cachée. Il ne parle jamais de son glorieux passé. Il se forçait d’oublier pour s’occuper, honnêtement, que de ses enfants à les voir grandir dans l’espoir de s’épanouir dans l’Algérie indépendante que lui-même a arraché.
Il n’avait que 17 ans (soit en1957) quand il a été arrêté et emprisonné à la caserne de Tala Bouzrou / Makouda par les soldats Français. Son père s’y trouvait déjà en détention à Tizi-Ouzou depuis des mois.
En prison dans la salle de torture, il a subi toutes les atrocités inhumaines, jour et nuit, sans ne lui soustraire aucune information concernant l’organisation civile et militaire de la révolution. Il racontait son séjour dans la geôle de la SAS avec des larmes:
Les deux gaillards tortionnaires commencèrent par des coups assénés par des matraques sur tous les membres pour des longues heures. Quand il ne disait rien, ils actionnaient la gégène à décharger des milliers de volts sur les parties les plus sensibles du corps chétif pendant un semblant d’éternité. Quand il ne disait rien, ils passaient à l’arrachage des ongles des doigts et les orteils. Quand il ne disait rien, Ils plongeaient sa tête dans l’eau savonneuse pour des minutes puis répétitif pour des heures. Quand il ne disait rien, ils lui enfonçaient tous les calibres de bouteilles. Quand il ne disait rien, Ils allumaient le Chalumeau pour rôtir sa peau du dos et du devant. A la fin, ils le jetèrent dehors, un corps immobile avec juste un brin de vie. Il n’avait que 17 ans !
Après quelques heures, il ouvrit ses yeux sous un soleil de plomb puis se redressa lourdement contre un mur. D’un coup, il entendra une voix, lui disait : sauve-toi ! Tu aurais au moins une chance de t’en sortir. Dd’amar a rassemblé toutes ses forces puis se faufila à travers la clôture de fils barbelés. Au bas du ruisseau, il trouva une parente qui lui a conseillé de prendre un fardeau de foin sur la tête pour que les sentinelles ne le reconnaissent pas pardessus les guérites. À quelques heures de marche vers le Nord, il trouva si Achour Deziri, un civil recherché puis l’a aidé a rejoint le maquis… Il était aussi présent et heureusement rescapé de la douloureuse bataille d’Azrou Ougatouf .

( Pour s’informer de la bataille d’Azrou Ougatouf, voir le lien dans le premier commentaire, une histoire bien documentée par Mr Youcef Limani)
Ammar Chara.

29/10/2024
22/10/2024

La liste des novembristes de la région de makouda :

1- Akli Babou ( chef du groupe )
2-Said Bessalah (chef du groupe)
3-Amar Bessalah
4-Lekehal Hand Ouamar
5-Lekehal Hand Ousaid
6-Aouissi med (martane )
7-Hocini Amar (moussa)
8-Alim Hand b Akli
9-Ali Ali n'Hand usadi
10-Kasmi moh n'Ait Ali
11- Kasmi Said w Amar
12-Hamouche Akli urezki
13-Hamouche Ali moh n'Amar
14-Chafai Arezki
15-Belhamidi Moh wamar n'mhand
16-Khebatou si Hand usmail
17-Ganoun med Arezki
18- Idir moh u idir
19- Bouftis Lounes
20- Arab Akli n'Amar moh said 21- Lounis Said moh lhadj Amar
22-Challal Ali
23-Bellal Ali
24- Oultache med said
25- Iften Ahmed
26-Tagzirt Med
27- Bussad Ahmed
28- Belaid Med
29- Oudiai Moh ulhadj
30-Arezki Moh usaid
31-Kasri Akli
32- Kasri Ahmed
33- Khellil Ahmed
34- khoudja Ahmed
35- Heddad Omar

36- Kasmi med said (Chef du groupe à Blida )
37- zaghdoud Ahmed
38- Hafis Said
39-Mellas Arezki
40- Chekroun Med
41- Boussad Akli
42- Challal Ali
43- Cheboukh Med
44- Tatoult Hacene
45- Boutlendj Lounes
46- Medsana Med
47- Hamama Med
48- Abderahmani Ahmed
49- Sellah Ahmed
50- Khellil Med Said
51- Heddad Amar
52- Heddad moh Meziane
53 - Smaili Rabah
54- Benselma Med .

- LA BATAILLE D’AZROU OUGUETTOUFOn s’en souvient encore à Tala Bouzrou…   04-11-2018  Dans la matinée du 10 octobre 1961...
18/10/2024

- LA BATAILLE D’AZROU OUGUETTOUF
On s’en souvient encore à Tala Bouzrou…
04-11-2018

Dans la matinée du 10 octobre 1961, les habitants de Tala Bouzrou étaient loin de se douter qu’ils allaient vivre l’une des plus effroyables tragédies de l’histoire de leur village.


En cette matinée calme, rien ne présageait qu’ils allaient assister à une bataille qui marquera à jamais l’histoire de la guerre de Libération et celle du village. La bataille d’Azrou Ouguettouf reste encore ancrée dans la mémoire collective des habitants de la région. Les souvenirs sont vifs et les larmes coulent toujours au souvenir des maris, enfants et parents morts devant le regard impuissant de leurs proches. La plaie est toujours béante parmi les combattants qui évoquent, au détail près, ce moment tragique. À la veille de la commémoration du soixante-quatrième anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, nous avons retracé un fait d’histoire majeur de la révolution à Tala Bouzrou, lequel a forgé les nouvelles générations de ce patelin qui a donné le meilleur de ses enfants pour une Algérie libre, digne et souveraine. En compagnie de Youcef Liman, un producteur de documentaires et archivistes, nous avons recueilli des témoignages d’hommes et de femmes qui portent encore les traces indélébiles de cette bataille. Ils se remémorent encore la voix de leurs camarades, leurs mots et leurs cris d’agonie, au moment où les b***es les perforaient. Ils sont morts, mais leur présence est restée éternelle parmi les leurs. Le lieu de la bataille est presque mystique. C’est un immense rocher situé sur les hauteurs du village Tala Bouzrou, à quelques kilomètres du chef-lieu de la commune de Makouda. Il porte encore les traces de coups de canons et de mortiers. Sur sa base, il y a des grottes qui s’étendent sur des centaines de mètres. Le lieu servait de refuge aux maquisards depuis les premiers jours de la guerre. En ce 10 octobre 1961, les villageois assisteront à une des plus macabres batailles de ce petit village reculé, mais à l’histoire chargée.
72 heures d’horreur…
Se trouvant à l’abri ce jour-là, Aouchiche Ahmed et Belmiloud Amar sont des survivants de cette bataille. Nous avons recueilli leurs témoignages ainsi que celui de Boukfoussa Fatma et Rebib Tassadit. Aouchiche Ahmed et son camarade Benmiloud Amar racontent comment un maquisard du nom de Boukfoussa Mohamed, dit Moh Saïd N M’hand, fut blessé par les militaires français à Amdhiq Ourihane alors qu’il revenait d’Ighil, où il avait l’habitude de se rendre avec Moh Annan, «un spécialiste des abris». Le maquisard se dirigeait vers Azrou Ouguettouf, avant d’être repéré par les troupes françaises, qui lui livrèrent bataille sur place, à lui et aux autres maquisards cachés sur les lieux. Azrou Ouaguettouf sera rapidement encerclé par l’armée française. Des avions, des canons et des mortiers lançaient des tirs de partout sur des hommes retranchés dans une cache située dans le ventre d’Azrou Ouguettouf. L’assaut commença aux environs de 9 heures et demi en ce 10 octobre et durera trois jours. Les négociations dureront toute la journée. Deux hommes du village, enrôlés dans l’armée française, ont été chargés de demander aux Moudjahidine de se rendre pour avoir la vie sauve. Tous préféraient mourir au champ d’honneur, sauf un, l’infirmier, qui accepta le deal. Après l’attaque, les villageois apprendront que l’homme a vendu deux de ses camarades blessés et réfugiés à Icheriouen. Après une journée de bombardements et de tirs ciblés, la nuit tomba sur Azrou Ouguettouf. Nos interlocuteurs précisent que l’armée française lançait des ballons lumineux pour empêcher les hommes réfugiés de s’enfuir. «A la nuit tombée, racontent Belmiloud Amar et son compagnon, le maquisard blessé était sorti pour respirer, étouffant probablement à cause de sa blessure. Il sera, alors, la cible d’une b***e tirée par les soldats français qui guettaient ce moment-là». C’était le premier mort de cette bataille. A l’aube, les maquisards vont tenter un dernier coup de force pour sortir en tirant sur des soldats français beaucoup plus nombreux et armés jusqu’aux dents. Quatre moudjahidine seront tués sur place. D’autres réussiront à se sauver durant la nuit. Nos interlocuteurs racontent que cinq maquisards n’ont pas pu s’en extirper. Dans le feu des échanges de tirs, les soldats français ont cru que tous les hommes retranchés dans l’abri Ouguettouf ont été tués. La bataille prit fin le 11 octobre. Mais le supplice du village Tala Bouzrou n’a fait que commencer. Transportés à bord d’une jeep, les dépouilles des quatre maquisards tués seront exposées à la fontaine du village pour servir d’exemple aux «téméraires». Boukfoussa Tassadit, sœur du premier Chahid de l’attaque, raconte, les larmes aux yeux, comme elle a été amenée à reconnaître son frère : « Il portait encore les chaussures qu’il avait ramenées de France. Je les ai reconnues sur ses pieds qui dépassaient de la Jeep». Quelques heures plus t**d, les quatre corps seront déplacés pour être exposés encore, à Tarihant, village limitrophe, puis à Takhamt N’Ldjir. Les martyrs sont Amirouche Mohamed, Moh’N Blanchit, Rebib Moh Akli (Moh N Mhand), Bentoumi Belaïd et Boukfoussa. Après l’exposition des corps, ces derniers seront jetés au fond d’un ravin, au village Takhamt N’Nldjir. Ce n’est qu’après la fin de la guerre que leurs corps seront récupérés et enterrés, dignement, au cimetière des Chouhada de la région. «J’ai ramassé le crâne de mon frère avec mes propres mains», témoigne Tassadit Boukfoussa. Au lendemain de la bataille lendemain, Tala Bouzrou retombera dans son quotidien de résistance. La guerre a été le compagnon de ce village depuis les premiers pas de l’occupation française de l’Algérie. Beaucoup de ses enfants sont morts à Staouéli pour stopper l’avancée de l’armée coloniale. Quelques années plus t**d, sous la conduite d’Ali Oumhand, des enfants du village Tala Bouzrou tomberont dans la bataille de Taouerga, pour stopper l’avancée de l’armée française. L’histoire de Tala Bouzrou avec le colonialisme ne s’est pas arrêtée là, puisque ses habitants seront parmi les premiers à rejoindre le maquis, en 1945, soit une dizaine d’années avant la lutte armée. Au lendemain du déclenchement de la guerre de libération, Tala Bouzrou sera le premier village à être bombardé par l’aviation militaire coloniale, le 14 novembre 1954.
Akli N
Dépêche de Kabylie

Le célèbre scientifique qui possédait la théorie de la relativité : Einstein / collectéUne photo avec le grand philosoph...
09/10/2024

Le célèbre scientifique qui possédait la théorie de la relativité : Einstein / collecté
Une photo avec le grand philosophe indien : Tagore, lors de leur rencontre en Allemagne en 1930 ... où une conversation approfondie a eu lieu entre eux.

Einstein a dit : La réalité est relative et la vérité est absolue. Tagore lui a répondu : « Au contraire, les deux sont relatifs, car si vous niez la réalité, vous nierez la vérité, et vice versa. L'univers entier est en moi et je suis en moi. univers."

Il n'y a pas de beauté sans la présence de quelqu'un qui l'admire, et il n'y a pas de vérité sans la présence de quelqu'un qui y croit. » Einstein fut étonné par ces paroles géniales de Tagore, lui disant : Il y a quelques instants, ma théorie était incomplète. .

Et maintenant vous l'avez complété en prouvant que la vérité n'est pas absolue.

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