12/09/2024
Conséquences probables de la parution de "Espion et télépathe : j'ai hacké les Ovnis" (décembre 2020) (voir ici le lien : https://www.amazon.fr/dp/B08RC5RF6D. La 3ème partie détaille les faits d'insécurité au quotidien. De manière exacte. Avec l'incompréhension, le stress, parfois la terreur...
L'INSTRUCTION AU PENAL EN MACRONIE : L'ETOUFFEMENT ?
DEMANDE DU DOSSIER D'ENQUETE : IL Y A 3 SEMAINE. AUCUNE NOUVELLE...
Les téléphones peuvent borner autour des lieux où sont commis des actes criminels, dans mon cas fin octobre 2022. L'un des faits consistant en un retrait de l'un des 2 écrous de la colonne de direction (au bas du plancher, à droite de la pé**le de freinage). En soi, il est difficile que l'arbre saute quand-même de lui-même, y compris s'il ne reste qu'un seul écrou... sauf si un choc violent est exercé sur la voiture. Dans ce cas, la direction se bloque et vous faites un tête-à-queue.
Or, d'abord, la biellette de direction avait été déserrée en 2019 (on avait déserré le contre-écrou après avoir forcément démonté la roue avant-droite, en plein centre ville, tandis que j'étais coincé dans un bureau de change).
Il est quasi-impossible déjà que de tels faits sur une direction se produisent une fois, mais 2... ! On est au-delà de l'impossible. Dans le premier cas, j'avais été suivi, je pense, car je me suis mis à faire un fort malaise cardiaque : j'avais alors grillé un feu rouge, accéléré sur la 4 voies à 160... Le malaise avait disparu mais, alors, l'écrou avait été à un pas de vis de sauter !
Or, presque à chaque fois, j'avais été suivi par d'autres véhicules (une fois, je crus que l'un cherchait à me heurter).
En effet, après l'épisode de la biellette, il s'est avéré que j'avais été à nouveau suivi de près : cela, j'en étais désormais certain, car certains véhicules se collaient presque au mien, avec, chaque fois, un bon spectaculaire de ma tension et de mon rythme cardiaque.
A un moment, je suis parvenu enfin à mesurer ce qui m'impactait, après de longs tâtonnements, grâce à l'interview d'un scientifique spécialiste des armes à fréquence. C'est aussi le moment où l'on a retrouvé Jacques Garnier, ufologue de Brest, que je connaissais, mort derrière sa porte (début 2021). Ses amis parlèrent de jets micro-ondes... S'il s'avéra ensuite, à 90%, que Jacques était mort naturellement, cela fit "tilt" en moi... d'autant que mon scientifique me dit ceci, le mois de la mort de Jacques : "... on vous projette quelque chose et ce sont certainement des micro-ondes". (A peu près. Je le notais sur mon agenda).
Les 3 années qui suivirent me virent comprendre peu à peu ce qui m'arrivait, que je me mis surtout à mesurer...!!
Je parlais de presque tout cela à mon enquêteur, en oblitérant toutefois l'aspect "micro-ondes" : pour mon défenseur, à moitié à raison, cela était improuvable... Il craignait, encore à moitié à raison, qu'en situant en plus le contexte homicides dans l'univers OVNIS, je me place sous une "crête de crédibilité".
A la limite, il ne fallait pas que je parle OVNIS : le cabinet, de toute façon, n'y croyait pas.
L'enquête pénale, elle, en tout cas, a trouvé très vite nos failles et, je pense, senti nos désaccords sur la stratégie : elle a considéré -selon ce que j'en sais- que les faits matériels de sabotage eux-mêmes n'étaient même pas prouvés... et prouvables ! L'une de mes interrogation, c'est : a-t-elle mis des éléments en plus qui me discréditeraient ? Dans le binôme d'enquêteurs, l'un d'eux était clairement une sorte de physionomistes, bref, un Intuitif à la sauce Gendarmerie nationale...
En clair : on aurait cherché dans mon comportement des hiatus d'expression, en négligeant tous les éléments que je donnais (comme le fait que j'avais été approché pour un recrutement au printemps 2012 par 2 agents de la DGSI - mais là, me dit mon enquêteur, il ne pouvait aller y voir, ceci étant "secret-défense" !! Or, tout part de là.
Ce qui était clair alors, et je m'en ouvris dès juin 2023 à mon avocate, le processus qui s'engageait me paraissait être clairement une "déqualification du chef des tentatives d'assassinat".
Janvier 2024 : arrivé du classement sans suite, confirmation de mes impressions d'enquête...
La lenteur du greffe d'envoyer le dossier, elle-même, détruit les preuves qui pourraient rester : dans moins d'un mois, les téléphones qui auront borné autour du lieu du sabotage, cette nuit-là, seront effacés du cloud des opérateurs où ils ne sont conservés que 2 ans.
Bon : il faut vous dire que l'enquêteur n'était arrivé que 3 mois après les faits. D'où, selon lui, il était inutile de prélever des restes ADN ou des empreintes digitales, cela "faisant trop de temps". Je l'énervais particulièrement en lui disant que l'organisme auquel ils s'adressaient pour cela m'avait dit le contraire. "Vous n'allez tout de même pas faire l'enquête à la place". Concernant les traces ADN : ils en avaient récupéré sur une caillasse jetée sur le tribunal par un gars, condamné sur cette base ! On en récupère sur des fossiles vieux de dizaines de milliers d'années... C'est archi pas crédible, tout bonnement !
COPIE DU MAIL adressé le 12 juin 2024 au Greffe des Affaires pénales - resté sans réponse.
Madame, Monsieur,
plus de trois mois - si mon compte est bon - après le classement sans suite de la plainte pour tentative d'assassinat que nous avions porté avec mon Conseil en novembre 2022, celui-ci vous a aussitôt demandé aussitôt à ce que nous soit communiqué le DOSSIER D'ENQUETE, laquelle avait été menée par le gendarme ### de la Brigade criminelle de gendarmerie de ### - que j'avais vu à plusieurs reprises.
Depuis ces faits, une entrée dans mes locaux, des signes indiscutables d'une tentative d'effraction ont révélé que mon dossier n'était pas clôt pour tout de monde - j'avais d'ailleurs écrit au gendarme pour l'informer de cela.
(là, je vous précise que ces faits nouveaux sont antérieurs au classement sans suite. Le bonhomme le sait donc, mais il cela lui est égal visiblement, lui ou le Procureur, et il classe sans suite. C'est juste du délire. Il me fait savoir que mon cas "agace beaucoup". Sous-entendu : c'est n'importe quoi, ce n'est pas crédible.) Suite du mail au Greffe :
Le gestionnaire de la vidéo-surveillance, ###, m'a indiqué, par voie écrite, qu'en octobre 2023, mon téléphone avait été probablement hacké pour que l'on puisse pénétrer chez moi. Ainsi que le considérait, pour son propre chef, un enquêteur privé qui avait travaillé pour moi (son témoignage est dans le dossier)
J'avais suggéré à M ###, par mail, de checker les appels dans la zone lors du sabotage de mon véhicule à ###.
J'ignore si cela a été fait, j'en doute fort, mais ce que je sais c'est que les opérateurs publics ne conservent pas les données d'appels au-delà de 2 années.
A cette vitesse, nous nous acheminons à toute allure vers l'effacement des données d'appel autour du lieu où a eu lieu, à mes yeux, du moins une tentative d'assassinat, après le retrait d'un des 2 écrous enserrant ma colonne de direction - le premier sabotage étant intervenu en 1919, par desserrement du contre-écrou de direction, à Rennes, rue Saint-Georges.
Par conséquent, quand pensez-vous nous communiquer le dossier d'enquête de la Gendarmerie nationale ?
En vous remerciant de votre compréhension, je vous prie d'accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,
Pierre-Gilles Bellin