NéEssenCiel

NéEssenCiel Thérapeute psycho corporelle

Se défaire de nos fausses croyances, de nos mirages pour de meilleures relations
13/07/2024

Se défaire de nos fausses croyances, de nos mirages pour de meilleures relations

05/07/2024

CHAUSSE TES LUNETTES

Chausse tes lunettes pour voir ce qui se présente à ton regard.
Regarde l’inhabituel, car à ne voir que l’habituel, tu te coupes des opportunités nouvelles.
Chausse des lunettes et oublie tes attentes pour donner au monde une possibilité de se révéler autrement. Parce que… quand tu es sensible à la beauté, la beauté croit, quand tu es sensible à l’amour et que tu le perçois ou qu’il soit, l’amour croit. Quand tu es sensible au bien de l’ensemble, le bien de l’ensemble croit.

Ce que tu vois dit quelque chose de toi, ce que tu penses le traduit et ce que tu énonces l’ancre dans l’espace commun. L’ambiance dépend donc de ta façon de regarder le monde et de l’habiter de tes pensées, de tes émois, de tes paroles et de tes actions.
Pas simple !
Pas simple de concourir au mieux en toutes circonstances, de ne pas critiquer tel ou telle, de ne pas stigmatiser chez l’autre ce qui est en voie de perfectionnement, mais qui pour l’heure n’est pas très engageant.

Ce n’est pas inné, pas instinctif, pas naturel de constater que le monde n’apparaît que sous les verres de nos conditionnements et c’est encore plus difficile de nous départir des biais qui aliènent nos visions. Chausse tes lunettes de vérité et d’authenticité pour rire de toi et de l’importance que tu accordes à tes appréciations.
À ne voir midi qu’à sa porte, nul ne voit le soleil entrer dans la demeure de l’autre, mais c’est en coordonnant nos visions et en les inscrivant sur la carte du monde que nous aurons idée de ce qu’il est bon de faire, de la note sur laquelle il est urgent de s’accorder pour que croisse une adelphité qui existe, mais qui se cache encore sous le tapis des égoïsmes.

Chausse tes lunettes pour voir loin et grand, pour voir l’autre quel qu’il soit, pour le respecter quoi qu’il ait fait, et pour dire à la communauté que tu en fais partie au même titre que tous les autres. Comme chacun, tu as ta part à faire pour contribuer au mieux-être de tous, et ne te demandes pas ce que fait ton frère, ta sœur, cela lui appartient.
La seule chose qui importe c’est de t’impliquer en être responsable pour que triomphe l’unité.

Cesse donc de dénigrer, de condamner la façon dont l’autre s’y prend pour servir la communauté. Cesse de hurler intérieurement quand il se trompe ou nourrit l’horreur, mais fais de ton mieux pour donner à l’ensemble le meilleur que tu sois en mesure de délivrer.
C’est exigeant, cela demande d’abandonner toute impatience vis-à-vis de celles et ceux qui, comme nous, sont en chemin, et cela invite à offrir nos concordes et nos amitiés pour construire la paix.

Chausse tes lunettes pour voir large, et comprendre comment s’inscrire dans un mouvement d’harmonie sans vilipender celles et ceux qui ne se sont pas encore mis en route consciemment.
Tout cela, on le sait. On le dit et on le redit, régulièrement, mais c’est quand nous le vivrons que nous verrons plus clair.

Allez, chausse tes lunettes ! et ensemble, on finira bien par y voir clair ! pas vrai ?

Frédérique Brasseur
Psychosophie

Je vous partage une méditation inspirante, mise en ligne par Active Solutions.
05/07/2024

Je vous partage une méditation inspirante, mise en ligne par Active Solutions.

Avançons lentement le long d'un sentier de lumière dorée pour savourer nos avancées.Plus d’informations sur notre site www.activesolutions.frJames & Valérie ...

05/07/2024

Si tu crois ce que tu vois, t'es mal barré !
Si tu crois ce que tu vois, tu t’attaches aux effets, mais va plutôt voir les causes, car il n’y a pas d’effet sans cause ; et dans les causes, il est des causes formelles, des causes subtiles, mais aussi des causes toujours qui recouvrent d’un voile d’inintérêt ce sans quoi pourtant rien n’existerait.
Voilà qui se complique.
Blablas, mots par-ci, par-là ; petits et gros mots évidents ou énigmatiques qui disent l’indicible, l’évanescent comme le factuel avec ardeur ou indifférence, mais qui ne s’attachent encore bien souvent qu’à l’apparence.
Il n’y a pas d’effet sans cause, mais dans l’imbroglio des causes, il ne faut pas prendre l’arbre pour la forêt. À ne s’arrêter qu’aux causes facilement identifiables pour élucider les effets, on s’enferme dans les prisons de l’explication, de la justification, et de la compréhension ordinaire, mais pour le coup, sans effet.
La cause ?
Le désir de ne pas aller voir ce qui dérange, par-delà nos miroirs aux alouettes. Le désir d’oublier que rien de ce qui arrive n’échappe au chemin karmique et que nul ne se soustrait à ses responsabilités ad vitam aeternam. Certes l’éternité c’est long, et avant d’en voir le bout, chacun a le loisir de mettre sur pause sa recherche de causes ; mais quand les pauses s’étirent sans compter, l’éternité se vide de ses atouts et s’habille d’ennui.
Ça, c’est un effet ! un effet flagrant qui saute à l’inconscience de celles et ceux qui tentent un délit de fuite pour attribuer à autrui, la faute des circonstances ! Pourtant y’a pas de faute, y a juste des mises à jour parfois pénibles, mais salutaires pour épurer les dettes karmiques qui se rappellent à notre souvenir. Elles nous baignent individuellement et collectivement et c’est en elles que l’âme puise les effets qu’elle présente pour que nous nous saisissions du fil qui permettra de remonter aux causes !
L’existence est un effet ; elle est l’expression d’une conscience qui s’est habillée d’apparence. Or les jeux d’apparence sont des jeux de dupes auxquels nous nous identifions et qui nous enchaînent.
Libérons-nous !
Libérons-nous de ce qui semble réel, car ce n’est là que réalité virtuelle qui prend forme dans les préconçus et les a priori de nos représentations.
Le monde est un leurre, un jeu de rôles et nous devons identifier l’ensemble de ses rôles pour en comprendre l’origine et la complexité ; en remontant dans les sphères du causal, nous découvrons l’interdépendance, non comme un système d’exploitation des uns par les autres, mais comme une interreliance essentielle dont il convient de tirer profit pour faire le bien de tous et non celui de quelques-uns.
La Vie est plus large que les existences ; elle est unique et multiple, mais c’est dans ce multiple que nous évoluons et oublions notre unité première.
Aux âmes, les Terriens, pour comprendre et réaliser que nous ne sommes pas ici-bas pour satisfaire nos passions, mais pour inscrire nos chemins dans la voie de la grande aventure qui nous réunit tous. C’est là la cause de tous nos effets !
Frédérique Brasseur
Psychosophie

05/07/2024

Pourquoi reproduit-on les mêmes schémas ?

Un schéma répétitif c'est quand une situation, se répète de façon récurrente et inconsciente, que ce soit dans le milieu pro ou le milieu perso, comme par exemple : changer de job de façon cyclique, difficultés à s'engager dans une relation, peur d'être quitté/e, tomber sur le même type de personnes toxiques etc.
Un schéma répétitif est la conséquence d'une faible estime de soi.

Ces schémas puisent leur origine parfois dans votre histoire familiale, parfois dans votre expérience in utéro (durant la grossesse de votre mère), parfois dans votre enfance ou plus t**d.

Si enfant vous avez été élevé dans un environnement dysfonctionnel pouvant aller jusqu'à la maltraitance (violences psychologiques, physiques voire sexuelles), un sentiment permanent de peur s'installera chez vous. Ce qui à l'âge adulte peut provoquer les situations suivantes :

> tendance à être dans l'auto sabotage
> peur de l'abandon
> méfiance permanente vis-à-vis des autres
> engagement dans les relations en alternant intensité et fuite
> difficultés d'adaptation
> imprévisibilité voire agressivité
> troubles anxieux voire dépressifs

Il est bien évidemment possible de ne pas reproduire les mêmes erreurs/schémas et de briser le cercle vicieux.
En psychologie biodynamique, nous avons différentes approches, différents outils permettant afin à la fois d'identifier l'origine des schémas répétitifs mais aussi de donner des clés pour s'en défaire.

05/07/2024

"Aimer, c'est risquer le rejet. Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir. Essayer, c'est risquer l'échec. Risquer est une nécessité. Seul celui qui ose risquer est vraiment libre"
P. Coelho

07/04/2024

LE SOUFISME

Pendant des siècles, le soufisme a servi de voie mystique guidant les gens dans la purification de leur âme et vers la paix intérieure. Au cœur de ce voyage mystique se trouve « l’amour ». Dans la tradition soufie, l’amour est bien plus qu’une simple émotion ou un lien entre les gens ; c'est l'essence de l'existence et le fondement de la connexion humaine avec le divin.

La définition de l’amour dans le soufisme :
Dans le soufisme, l'amour signifie une conscience universelle et un éveil spirituel. L’amour est une énergie cosmique qui réside au cœur de tout et relie toute la création. Abandonner son ego et s’abandonner à cet amour universel est la clé de la vraie connaissance et de la vraie paix.

L'amour dans la poésie soufie :
Le poème de Jalaluddin Rumi « La Danse de l’amour » reflète parfaitement le pouvoir de l’amour dans la compréhension soufie. Rumi dépeint l'amour comme une force qui libère l'âme humaine de ses limites et l'invite à danser dans une mer d'amour divin. Le poème souligne l'importance de transcender l'amour individuel pour atteindre une conscience de l'amour universel et divin.

Amour et Union avec le Divin :
Pour ceux qui suivent la voie soufie, l’amour est au cœur de l’union avec le divin. L’amour signifie transcender les limites de l’ego pour parvenir à une union complète avec le divin.

Dans le soufisme, l’amour n’est pas seulement une émotion mais aussi un voyage. Ce voyage nous emmène de notre monde intérieur vers une compréhension plus profonde de la conscience et de l’existence universelles. Le concept d'amour dans la tradition soufie véhicule un message inspirant non seulement pour les penseurs et poètes soufis mais pour toute l'humanité : l'amour est la clé non seulement de nos liens les uns avec les autres mais aussi de notre lien avec l'univers entier.

07/04/2024

"Aucune rencontre n'est le fruit du hasard

L’idée qu’aucune rencontre dans notre vie n’est fortuite nous invite à un voyage de profonde conscience de soi et de développement personnel. Le concept « Aucune rencontre n’est due au hasard » représente un effort pour comprendre le tissu complexe de la vie. Cela suggère que les personnes que nous rencontrons et les événements que nous vivons dans nos vies sont porteurs de leçons significatives qui nous façonnent, nous enseignent et nous font grandir.

Comprendre profondément nous-mêmes et notre environnement, accepter que chaque personne et chaque événement entrant dans notre vie a un but nous offre une perspective riche. Cela signifie que même les rencontres qui semblent fortuites sont en réalité des opportunités d’apprentissage nécessaires à notre croissance personnelle. Comme une main de soutien cachée de l'univers, les personnes et les expériences qui apparaissent dans nos vies à certains moments nous guident dans notre voyage intérieur.

Chaque rencontre est une opportunité de mieux nous comprendre, de réaliser notre potentiel et de trouver notre place dans le flux de la vie. Cette compréhension nous aide à développer une attitude plus ouverte d’esprit et plus tolérante envers la vie. Au lieu de résister aux problèmes et aux défis, nous pouvons les considérer comme un élément naturel de notre développement personnel.

La philosophie « Aucune rencontre n’est due au hasard » nous apprend à rechercher des significations profondes même dans les moments ordinaires de la vie. Cela nous encourage à apprécier la beauté du moment et le potentiel qu’apporte chaque nouvelle rencontre, en tirant le meilleur parti des possibilités infinies qu’offre la vie. Avec cet état d’esprit, nous pouvons considérer chaque jour comme une étape précieuse dans notre voyage de découverte de soi et de croissance."
Hakan Mengüç - Ecrivain&Conférencier

07/04/2024

L'impact du temps perçu sur la guérison physique - Étude menée par les psychologues Peter Aungle et Ellen Langer de l'Université Harvard.

Au cours d'une expérience menée par un groupe de scientifiques, de petites blessures indolores ont été pratiquées sur certaines personnes. Ensuite, on a fait croire à ces personnes qu’elles vivaient des durées différentes en laboratoire. Par exemple, on a dit à un groupe « une heure s’est écoulée » alors qu’en réalité seulement une demi-heure s’était écoulée. Il s’agit de l’expérience « Slow Time ». Un autre groupe s'est vu dire à juste titre « 1 heure s'est écoulée », ce qui représente « l'heure normale ». Finalement, un groupe s'est fait dire que « 2 heures se sont écoulées », alors qu'en réalité, ce n'était qu'une heure. C’est ce qu’on appelle le « Fast Time ». Ensuite, les scientifiques ont étudié comment les blessures des gens guérissaient selon ces différentes perceptions du temps. Il est intéressant de noter que les blessures des personnes du groupe « 2 heures se sont écoulées » ont guéri en seulement une heure. Mais dans le groupe dit « une demi-heure s’est écoulée », la guérison a pris plus de temps. Ainsi, plus les gens pensaient que le temps s’était écoulé, plus vite leurs blessures guérissaient. Cette expérience montre à quel point les pensées des gens peuvent aider à la guérison de leur corps.

Ces découvertes ouvrent de nouvelles portes pour explorer plus en profondeur les interactions entre l’esprit et le corps et leurs effets sur la santé. Traditionnellement, les effets des facteurs psychologiques sur la santé physique ont été évalués à travers les états émotionnels (par exemple, le stress, l’inflammation et les fonctions immunitaires) et les comportements (par exemple, les croyances qui favorisent des actions saines). Cependant, cette recherche montre que les croyances abstraites que nous avons à propos de notre corps peuvent également façonner directement notre santé physique.

Cette étude présente un argument solide en faveur d’une évaluation plus complète du concept « d’unité » de l’esprit et du corps et de ses effets sur la santé. Les chercheurs proposent que les facteurs psychologiques aient un plus large éventail d’effets sur la santé physique, offrant ainsi une nouvelle direction pour les recherches futures dans ce domaine.
Cette recherche remet en question les approches traditionnelles dans le domaine de la santé et nous encourage à considérer de manière plus globale les impacts potentiels de la connexion corps-esprit sur notre santé.

20/03/2024

Plaisir d'offrirÀ l'heure où le printemps s’annonce, il importe de penser à ce que nous pouvons offrir à tous, à toutes, en diffusant sans modération sur l’é...

Libérer notre âme 🙏🏽✨
20/03/2024

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20/03/2024
🙏🏽✨
16/03/2024

🙏🏽✨

15/03/2024

Une méditation guidée pour s'aligner avec l'Âme que nous sommes

Les enfants et la peur
19/01/2024

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Les enfants et les émotions 👦🏻👧🏻✨
19/01/2024

Les enfants et les émotions 👦🏻👧🏻✨

Les massages biodynamiques proposés par NéEssenCiel
14/07/2023

Les massages biodynamiques proposés par NéEssenCiel

La somatisation
14/07/2023

La somatisation

14/07/2023

Quand on aime, on ne compte pas.

Mais qui a dit ça ? Qui a décidé un jour d’inscrire l’amour dans une logique comptable, tout en précisant qu’il ne fallait pas compter ?
Et puis pourquoi l’amour se nomme-t-il amour ? Qui lui a donné son nom, un nom de cinq lettres qui commence par A ? Eh oui, amour en français commence par un A ! En anglais il commence par un L et n’a plus que quatre lettres.

N’en déduisons pas pour autant que les Anglais sont moins aimants que les Français ! Non.
Ni qu’ils se lassent plus vite, car Love commence par L ; ce serait ridicule !
C’est vrai pourtant qu’amour, ça commence par A, comme avec, avec l’autre. Mais si l’on s’amuse à rester dans le factuel, dans l’apparence, dans des considérations purement formelles, on a vite fait de dire n’importe quoi !
Eh oui, c’est ce que je viens de faire, et c’est ce que l’on fait parfois !

Quand on aime, on ne compte pas ; on ne compte pas sur l’autre pour nous nourrir, on ne compte pas sur l’autre pour nous rendre heureux, on ne compte pas sur l’autre pour nous dire ce que l’on a à faire ou ce que l’on ne peut pas faire.
Quand on aime, on ne compte pas sa disponibilité, car l’amour est un état d’être et non un rapport marchand. Il ne s’achète pas au supermarché de la relation, mais il se révèle quand on ouvre le regard sur ce qui se présente à chaque instant.
Quand on aime, on ne sélectionne pas, on accueille ! Mais quand on aime, on ne subit pas non plus, sinon l’amour aliène.
Quand on aime, on est libre, car on n’attend rien. C’est là son paradoxe.

Si l’on compte, on n’est pas dans l’amour, on est dans l’appréciation ; on distribue des bons et des mauvais points comportementaux à l’autre, en fonction de nos évaluations de ce qui est ou de ce qui devrait être.
Mais l’amour c’est une qualité avant d’être un agir ; une façon d’être et non une façon de faire.
Il ne connaît pas l’intérêt particulier, il ne thésaurise pas les points de relation, il se donne et se dispense sans désir de retour. Il est gratuit et comme il ne fait rien payer, il s’affranchit de toute logique comptable. Au pays de l’amour, ni ardoise, ni crédit, mais un libre-échange permanent !

L’amour est là naturellement, léger, joyeux, détaché et déconnecté de toute frustration. Ça, c’est sacrément reposant, bien qu’il ne cherche pas à se reposer. Il n’y pense même pas, tant sa nature épouse sans contrainte ce qui est, tant il inclut tout ce qui existe dans un même champ de liaison.
Et dans sa magie sans malice, il ne nourrit aucune liaison dangereuse ; il est le liant universel qui, dépourvu de toute peur, se déploie et diffuse sa force de plénitude contagieuse et contaminante.
L’amour est un passeport pour la joie ; cette contrée subtile où chacun peut se rendre sans risquer de le voir filer à l’anglaise.
I love it !
F. Brasseur - Psychosophie

14/07/2023

Formidable ou fort minable ?
Ben ça dépend !
Ça dépend de ce qui se joue, ça dépend à quoi on joue, ça dépend
de ce que l’on sait ou de ce que l’on ne sait pas. Alors, se réjouir ou se lamenter, s’autocongratuler ou se déconsidérer, ça dépend toujours d’un contexte.Dans l’absolu, on peut raconter ce qu’on veut. On peut y croire, faire semblant d’y croire ou ne pas y croire, mais dans le relatif nous voilà bien empêtrés pour savoir à quel Saint nous vouer ; si tant est qu’un Saint existe et possède la bonne vision, la bonne analyse, la bonne réponse !
Bref, formidable ou fort minable, c’est juste une question d’appréciation qui nous invite à regarder le monde avec curiosité, sans forcément croire que le visible est une réalité intangible.

Car ce que tu vois n’est pas forcément unique ni univoque ; ce que tu vois dit quelque chose de toi et il te donne à voir.
Celles et ceux qui achètent une voiture rouge ont tendance à flasher plus spécialement sur les voitures rouges ; de même, une femme enceinte remarquera plus facilement des femmes enceintes dans les allées de son quotidien que d’autres, moins concernées par cet état. Et cela est vrai pour les tatoués, les mot**ds et tutti quanti ; c’est formidable de voir combien la vie nous propose systématiquement d’actualiser ce qui nous préoccupe ou nous intéresse !

C’est formidable d’identifier toutes les synchronicités qui nous ravissent, nous étonnent ou nous inquiètent ; c’est formidable de constater qu’elles ne sont finalement qu’une fréquence vibratoire particulière qui colore notre réalité du bain de nos préférences ou de nos répulsions.
L’arachnophobe ou l’arachnophile verront des araignées plus facilement que celles et ceux qui se moquent éperdument de ces petits animaux ingénieux ou de ces grosses bêtes dangereuses selon l’intérêt qu’elles suscitent.

C’est formidable ce que l’on est capable de créer dans l’imaginaire comme dans le factuel, et c’est fort minable de croire que ce qui nous apparaît évident est une vérité immuable.
Quand le formidable s’invite, il est toujours intéressant d’envisager le fort minable qui lui est associé. Car c’est en dénichant le fort minable que nous pouvons le faire avancer, non vers le formidable qui lui donnerait des accents d’excellence à atteindre absolument, mais vers le fort mieux, le fort possible, le fort souhaitable qui nous met systématiquement en mouvement vers un ailleurs désirable.

Alors formidable ou fort minable, ne sont que les deux pôles qui permettent d’aller de la satisfaction à l’insatisfaction, et de l’insatisfaction à la satisfaction pour ne pas rester scotché à une définition irrévocable qui serait gravée dans le marbre et fort peu évolutive.
Formidable c’est super. Fort minable c’est super aussi, car super bien comme super mal, c’est juste ce qui est proposé aux supermen et superwomen que nous sommes pour ne pas nous endormir sur des lauriers de certitude qui deviendraient convictions invalidantes.
Formidable non ?
F. Brasseur - Psychosophie

Je vous partage une nouvelle méditation guidée proposée par Active Solutions
14/07/2023

Je vous partage une nouvelle méditation guidée proposée par Active Solutions

Nous méditons sur le thème de l'intelligence pour en découvrir ensemble le sens. Nous visitons notre intellect et sa façon concrète de pensée, l'importance d...

Je vous partage cette méditation d'Active Solutions.
17/06/2023

Je vous partage cette méditation d'Active Solutions.

Nous allons méditer sur le thème de la sensibilité à divers étages de notre personnalité, pour prendre conscience de la différence de sensibilité d’un étage ...

https://youtu.be/1SyMwhU61KI
17/06/2023

https://youtu.be/1SyMwhU61KI

En complément à ce bulletin-vidéo :- Lire le texte d'astrologie spirituelle à quatre mains de Philippe Bonato et Arouna pour la Nouvelle Lune du 18 juin : h...

11/06/2023

Fais pas semblant !

À force de faire semblant, tu ne vas plus savoir à quoi tu ressembles !
Vouloir correspondre à une image, coller à une attente, souhaiter être un autre est une voie sans issue ;
A force de ne pas être là où tu dois être, parce que tu n’es pas là où tu es , tu te perds dans un ailleurs qui t’échappe.
Et perdu dans tes représentations, tu te coupes de l’essentiel.
Tu joues à ce que tu n'es pas en espérant te trouver là où tu n'es pas ; alors tu peux toujours te chercher…Et tu peux continuer à en vouloir à celles et ceux qui interrogent ton authenticité.

Arrête de faire semblant, arrête de donner à voir, cherche le chemin qui mène de là où tu es, à là où tu souhaiterais être. C'est le seul qui ne se dérobera pas sous tes pieds !
Tous les autres parlent de là où tu n'es pas ; et depuis cet ailleurs, tu ne peux pas avancer ;

Car si tu ne sais pas où t’es, tu ne peux pas savoir quelle direction prendre pour aller quelque part ! Fais pas semblant !
Fais pas semblant d'être à Rome quand t’es à Brest ; fais pas semblant d’être déçu quand tu rates le Rome-Paris alors que t’as pas quitté Brest. C’est risible et tu passes pour un rigolo alors que tu te donnais des airs de héros !
C’est risible, mais si quotidien. C’est risible, mais ca t’incite à bouger si tu ne veux pas finir sur une voie de garage.

Le bon sens invite à suivre le cap que l'on s'est fixé depuis le point où l'on se trouve ; A défaut nous partons à contresens, épousons des non-sens que nous savons insensé, mais que nous continuons d'alimenter faute d'oser avouer ce que nous sommes profondément : des êtres en chemin, faillibles mais gonflés d'orgueil pour ne pas avoir à regarder en face leur incomplétude.

Et pourtant, seule l’incomplétude permet de se perfectionner et d'explorer comment œuvrer au Bien commun, en toute humilité.
C'est le manque d'humilité qui pousse à faire semblant, à ne pas oser avouer ses faiblesses ou à trop les avouer pour que d'autres nous rassurent ;
Ce n’est pas en faisant semblant qu'on devient jardinier de l’âme.
Alors, ose donc paraître sous ton vrai jour. Il est plein de défauts, mais aussi plein de qualités qui peuvent véritablement servir l'ensemble, et plutôt que d’envier celles et ceux qui ont atteint l’étape suivante, salue-les ; ils font œuvre d'éclaireurs, ils savent ce par quoi il va te falloir passer et ils sont aussi là pour t’aider.
Allez va, fais-pas semblant, on est tous en chemin, alors inutile de se croire arrivé ;
Fais pas semblant, sinon tu tournes en rond.
Et ça, c’est dommage !
F. Brasseur - Psychosophie

Les massages biodynamiques, issus de la Psychologie    Biodynamique.Christiane Lewin   Les massages Biodynamiques sont u...
11/06/2023

Les massages biodynamiques, issus de la Psychologie Biodynamique.
Christiane Lewin

Les massages Biodynamiques sont une partie du travail thérapeutique issu de la Psychologie Biodynamique. Il s’agit d’un éventail de techniques du toucher entraînant des transformations psycho-­posturales durables. Dans les années 60, Gerda Boyesen, initiatrice de la méthode, découvrit ce fameux lien entre psyché et soma. En massant ses patients, elle fit incidemment la connexion entre les gargouillis émis par les intestins et la sensation de relâchement, de soulagement, de ses patients, puis des améliorations notoires qui s’ensuivaient. Intriguée, elle découvrit avec un stéthoscope posé sur le ventre la deuxième fonction des intestins, le Psychopéristaltisme, qui est de digérer et d’éliminer les stress émotionnels, pour intégrer les situations conflictuelles ou douloureuses. Elle comprit ainsi le rôle du système neurovégétatif* dans la régulation des tensions résiduelles liées au stress. De là, elle élabora plusieurs types de massages et traitements en fonction des désordres énergétiques, physiologiques, émotionnels et psychiques. La vision de base est de considérer la personne comme un œuf lumineux dont la radiance est plus ou moins opacifiée ou entravée. Pour illustrer les flux énergétiques, Gerda Boyesen a appelé « énergie rouge » le flux ascendant, central, de l’énergie d’action, de défense ou d’agression ; et « énergie bleue », le flux descendant, périphérique, de l’énergie de paix, harmonisant. En fonction des besoins, on va donc mobiliser l’énergie d’action, l’énergie d’harmonisation, ou l’énergie vitale radiante, appelée « énergie blanche ».

Les massages Biodynamiques psychothérapeutiques
Selon les cas, ils ponctuent le travail psychothérapeutique ou en constituent l’essentiel. La prise de conscience d’un dysfonctionnement répétitif ou d’une situation traumatisante n’est pas suffisante pour entraîner un changement durable. Pour cela, il faut que le corps ait la capacité de changer également pour l’intégrer : que la connexion corps/psyché se fasse. Le travail de massage avec un stéthoscope permet une approche diagnostique et thérapeutique très précise. La qualité des bruits nous renseigne sur le niveau le plus proche du conscient que peut assimiler la personne. Ce sont des massages qui ouvrent la mémoire du corps. Pour travailler sur le refoulé contenu dans les muscles, il est important que la personne puisse le gérer, d’où l’individualisation de chaque traitement.
Le processus de somatisation Wilhelm Reich a parlé de « cuirasse musculaire » à propos des muscles contractés chroniquement et figés dans cette tension. Gerda Boyesen a explicité ce phénomène et parlé de « cuirasse tissulaire ». La répression chronique de la rage, colère, joie, tristesse, vitalité... entraîne des contractions musculaires, mais aussi la sidération du psychopéristaltisme, et donc la non élimination des toxines résiduelles. Celles-ci forment des dépôts qui sédimentent, prennent en gelée en quelque sorte, les tissus environnant (muscles, tissus conjonctifs, peau, viscères...) générant un processus de névrotisation dans tout le corps. C’est ainsi que l’on peut lire, concrètement, l’histoire de la personne dans son corps. Tout y est inscrit dans les différentes couches sédimentées, dans la forme, la consistance, et le tonus des muscles. Avec les massages Biodynamiques, c’est tout un processus de retour à la vie, de « dé-­névrotisation » qui s’enclenche. L’énergie libérée entraîne un changement organique et psychique profond. La personne peut ainsi retrouver sa spontanéité, une sensation de bien être, sa libido... et se sentir reliée.
*Le système neurovégétatif nous permet de faire fonctionner les organes qui assurent notre survie sans que nous ayons besoin d’y penser consciemment, comme respirer, digérer, éliminer... Il est commandé par le système nerveux autonome.

LE RÉFLEXE DE SURSAUT ET LA NÉVROSE INCORPORÉEPsychologie BiodynamiqueUn coup de klaxon dans la rue, une agression, parf...
04/06/2023

LE RÉFLEXE DE SURSAUT ET LA NÉVROSE INCORPORÉE
Psychologie Biodynamique

Un coup de klaxon dans la rue, une agression, parfois le simple téléphone qui sonne : le « réflexe de sursaut », se manifeste en cas d’urgence, d’attaque, de stress, bref quand une partie de notre être se sent en danger.

Ce qui est en cours est subitement interrompu. Chez l’homme et les mammifères, l’intégralité du corps se prépare à l’action : la respiration est bloquée à la phase haute de l’inspiration, pour avoir suffisamment de souffle pour pousser un cri ou appeler au secours ; les muscles fléchisseurs se contractent, prêt à agir ; tous nos sens sont en hyper-vigilance pour se renseigner le plus possible sur la particularité du danger. Afin d’agir à bon escient

Si, ce que nous avons pris pour un danger n’est plus menaçant, la vie retrouve son cours normal : la respiration reprend son rythme, les muscles se relâchent, nos sens reprennent leur captation habituelle, la circulation libidinale reprend. L’équilibre de départ est retrouvé. En revanche, si le danger perdure, l’organisme va passer à une autre phase celle de l’action.

Dans le monde animal, au moins chez les reptiles et les mammifères, deux réflexes sont observées principalement : l’attaque et la fuite. Un troisième fait son apparition en cas d’incapacité, voire d’inutilité, de l’un ou de l’autre : l’immobilité. Enfin, si la défense n’est pas efficace, l’animal va s’offrir, dans une sorte de soumission ou d’accueil. Ces actes réflexes – qui sont de l’ordre du fonctionnement animal, grégaire de l’humain, dans le sens où il n’y a aucune maîtrise ou commande du mental – permettent de répondre de la manière la plus appropriée au danger persistant. Ces actions permettent la décharge de l’énergie mobilisée lors du réflexe de sursaut.

Le psychologue américain, Peter Levine, a observé cette stratégie dans la nature. En observant le comportement des impalas face à l’attaque d’un guépard, il remarque d’abord la fuite du troupeau, puis, une fois que le guépard a abandonné son attaque, son regroupement de manière étroite avec les individus les plus traumatisés au centre du groupe. Alors, les impalas peuvent se relâcher et partent d’un tremblement de tout leur corps. Les stress généré par l’action est évacué en sécurité.

Ce phénomène, que l’on l’observe chez tous les mammifères, y compris les humains, de même qu’au niveau de la cellule, permet de retrouver avec un événement son état d’origine. C’est ce qu’en psychologie biodynamique, est appelé le cycle vasomoteur

Ce cycle se divise en plusieurs grande phase : l’observation (la réflexe de sursaut), la montée en charge, l’expression de la réponse au stress, le relâchement, l’intégration et le rétablissement de l’état d’origine. Il se fait à tous les niveaux de l’être, physique, émotionnel, cognitif et spirituel.

En Psychologie Biodynamique, nous insistons particulièrement sur la phase de descente de l’énergie, le relâchement et l’intégration qui permet de revenir à l’état d’origine. Au niveau végétatif, on observe une ouverture du processus psycho-péristaltique (la digestion par les intestins des fluides mobilisés par le stress), une évacuation des déchets fluides et une nouvelle détente intestinale. Au niveau émotionnel, l’être récupère, il est soulagé et ses muscles volontaires se relâchent. Au niveau cognitif, on voit une prise de conscience de ce qui vient de se passer avec une nouvelle représentation de la situation et une réassurance dans ses capacités. Au niveau spirituel, l’être retrouve le contact avec son être profond. Dans cette dernière phase le système parasympathique est aux commandes.

Enfin, il y a une phase qui est primordiale pour la psychologie biodynamique, l’état de repos lors duquel on observe un état de calme complet au niveau végétatif comme émotionnel et un silence mental au niveau cognitif. L’action, en réponse au stimulus extérieur, est totalement digérée et intégrée, l’être humain retrouve sont état original d’équilibre, l’homéostasie, l’état que la psychologie nomme le bien-être indépendant. Le système parasympathique est très actif avec la digestion de l’événement via le psycho-péristaltisme. A la fin de cette phase, l’être est prêt à une nouvelle expérience.

Pourquoi chez l’homme le système s’enraie-t-il ?

Alors que chez les animaux – sauf les animaux domestiqués par l’homme…- ce cycle fonctionne parfaitement, l’être humain a une grande difficulté à agir à l’origine du stress et donc à l’intégrer. Et cette difficulté vient de sa capacité à raisonner. Le néocortex, qui nous permet de raisonner, peut nous plonger dans la confusion quand il nous faut agir face à un événement menaçant.

En effet, alors que chez l’animal l’évaluation entre fuite et combat est instinctuel (l’impala ne soupèse pas le pour et le contre de la fuite ou de l’attaque devant l’arrivée du guépard…), l‘être humain va en plus évaluer la bonne action à avoir. Et c’est sa difficulté. Dans la nature, l’homme est à la fois un prédateur et une proie et il a l’expérience des deux qui est ancrée dans ses cellules et dans sa mémoire.

Peter Levine explique très bien le pourquoi de cette différence et ces conséquences : « Lorsqu’il est confronté à une situation qui met sa vie en danger, son cerveau rationnel peut le rendre confus et prendre le dessus sur ses pulsions instinctives. Même si cette primauté a été acquise pour de bonnes raisons, la confusion qui l’accompagne plante le décor de ce que j’appelle le « complexe de Méduse », le drame du traumatisme. Comme dans le mythe grec de Méduse, la confusion, qui survient lorsque l’homme regarde la mort dans les yeux, le transforme en pierre. Il se fige littéralement de peur, ce qui engendre l’apparition des symptômes traumatiques. » De la même manière, si une réponse à une situation de danger est jugé valable par le système cognitif, celui-ci va avoir tendance à privilégier cette réponse dans tous les cas similaire de manière réflexe.

Ainsi, alors que les systèmes végétatifs et émotionnels vont avoir l’envie d’agir, le système cognitif va freiner voire réprimer toute action pour rester dans l’inaction ou privilégier une action qui n’est pas adaptée. Le cycle vaso-moteur est bloqué, il n’y a pas de décharge. L’énergie résiduelle reste bloquée dans le corps et peut provoquer nombre de symptômes tel que l’anxiété, la dépression ou des problèmes psychosomatiques ou comportementaux. L’être humain devient victime du traumatisme. A la longue, une véritable cuirasse physique et psychique se met en place avec l’apparition d’une personnalité, adaptée à l’environnement estimé comme dangereux pour l’être profond de l’individu, qui le coupe de cet être profond et empêche son expression.
Patrick Benoiton

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