Focus en Limousin

Châteauponsac

Châteauponsac: ville de la Haute-Vienne de 2032 habitants. Petite histoire:Cité d'origine romaine, Châteauponsac porte, à sa fondation, le nom de Castrum Potentiacum ou Ponciacum. Elle va changer 55 fois de nom avant de prendre définitivement celui qu'elle porte actuellement. Au 11ème. Au 14ème siècle, elle porte le nom de Castro-Ponssat. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Ponsac-la-Montagne A voir: L'Église Saint-Thyrse de Châteauponsac, classée au titre des monuments historiques. Le musée d'histoire et d'archéologie René-Baubérot, installé depuis 1964 dans l'ancien prieuré bénédictin fondé en 1318 par le pape Jean XXII11'12. Le pont de Châteauponsac sur la Gartempe, dit Pont romain classé au titre des monuments historiques. La chapelle Notre-Dame-de-Toute-Bonté. Le quartier dit "sous-le-moustier" (c'est-à-dire "sous le monastère"). C'est le vieux quartier de Châteauponsac situé sur les ruines du camp gallo-romain et du monastère. Les maisons sont typiques du XVe siècle : elles possèdent encore leurs resserres et leurs bûchers au rez-de-chaussée.

Bort-les-orgues

Bort-les-orgues: ville de 2745 habitants située en Corrèze. Particularité: Les Orgues de Bort s’étirent sur 2 kilomètres de longueur et s’élancent sur 80 mètres de hauteur. Les Orgues, issues d’une coulée de phonolite venant du Cantal, dominent majestueusement la ville blottie à leur pied à une altitude de 430 mètres. Du haut des Orgues, les visiteurs s’émerveillent du point de vue exceptionnel qu’elles offrent sur l’Auvergne et le Limousin. A voir: les orgues, le barrage, les halles qui datent du 19ème, le château de val et l'église du 12ème. Mon avis: a voir absolument

TULLE

Tulle: ville de 14000 habitants située en Corrèze. Surnommée « La ville aux sept collines », la cité a construit sa renommée sur le développement de son industrie et de son artisanat : elle est devenue un des centres de fabrication de la dentelle, des armes (Manufacture d'armes) et de l'accordéon. A voir: Cathédrale Notre Dame du 12ème siècle Musée du cloître Anciens bains-douches du pont de la Barrière, inscrits comme monument historique Ancien couvent des Bernardines (XVIe siècle), 5 chapelles et 2 églises. Tour d'Alverge (XVIe siècle), inscrite comme monument historique

C'est dans le Limousin, en Corrèze et c'est à voir et à découvrir. Les fermes du moyen âge de Xaintrie c'est l'histoire d'un passionné de vieilles pierres accompagné de sa famille qui a bâti pierre par pierre un village de la fin du Moyen Age. Après 25 années de recherches ethnographiques, archéologiques et historiques, Pierre s'est lancé dans cette folle aventure. Elle attire aujourd'hui des milliers de visiteurs appréciant l'authenticité de ce village mais avant tout l'âme qui s'y dégage, car le lieu est habité à l'année par Pierre et ses animaux. Grâce à sa passion, un village est né il y a plus de 10 ans, un village pourtant vieux de cinq siècles... Sur place: découverte de l'habitat d'un autre temps, ou l'homme vivait avec ses animaux et dans des aménagements des plus rudimentaire. Lit pas très grand, objets usuels d'époque, animaux de la ferme, chapelle reconstituée et une histoire à lire pendant toute la balade. Mon avis: une visite incontournable qui plaira autant aux petits qu'aux grands

Argentat: commune de presque 3000 habitants située en Corrèze. Argentat se situe aux confins de trois régions, le Limousin, l'Auvergne et le Quercy, sur la Dordogne après que celle-ci ait traversé des gorges profondes de façon impétueuse. Argentat se trouve dans la partie ouest de la Xaintrie petit pays du Bas-Limousin. Petite histoire:La ville a connu un essor économique important aux XVIIIe et XIXe siècles grâce à la batellerie effectuée par des gabares, qui a permis l'acheminement de richesses (essentiellement du bois sous forme de merrain-douves de chêne pour la tonnellerie et de carassonne-échalas de vigne) vers la région bordelaise. Cette activité périclita à la fin du XIXe siècle, à la suite des épidémies de phylloxéra qui ravagèrent les vignobles, et de l'inauguration de la ligne de chemin de fer du PO-Corrèze entre Tulle et Argentat en 1904 (cette ligne resta en activité jusqu'en 1970). Au début du XXe siècle culmina une activité d'extraction, avec l'exploitation de mines de charbon, qui fermèrent dans les années 1930. A voir: La Maison du Patrimoine, l'église Saint-Pierre, le couvent des Récollets, fondé au début du XVIIe siècle, la croix des gabariers, le quai maçonné Lestourgie XIXe siècle, le couvent des Clarisses, la chapelle édifiée à la fin du XIXe, la rue Porte-Basse, la maison natale du général Delmas, la maison Filliol (XVIe), ancien relais de poste, le manoir de l'Eyrial (1457). Le château Neuville, le château du Bac : façade XVIIIe siècle, pigeonnier XVIe siècle, la Chapelle-aux-Plats, le Barrage d'Argentat et le château du Gibanel, Pont sur la Maronne.

Brive la Gaillarde

Brive la Gaillarde: ville de Corrèze de 47400 habitants située en Limousin et maintenant faisant partie de la région Nouvelle Aquitaine. Petite histoire:Brive fut d'abord un point de franchissement de la Corrèze, comme l'atteste son toponyme gaulois Briva (ou Briua) « pont ». Le pont primitif fut ensuite remplacé par un pont romain (pont du Bouy) conçu pour un itinéraire allant de Lyon à Bordeaux par la vallée de la Corrèze. Cet itinéraire croisait un axe nord-sud qui reliait Poitiers à Cahors. Une modeste bourgade émergea, attestée par les vestiges d'ateliers de potiers très actifs. A visiter: Musée Labenche. Centre et musée Edmond-Michelet Église Saint-Martin, Église Saint-Sernin, Église Saint-Thérèse des Chapélies, Église Saint-Paul de Rivet, Église du Sacré-Cœur des Roziers, Èglise Notre-Dame-de-Lourdes d'Estavel. Sanctuaire des Grottes de Saint Antoine, église, monastère, pèlerinage, hôtellerie. Églises protestantes Gastronomie:la moutarde violette de Brive, liqueur de noix, foie gras, truffe

Musée Châteauponsac

CHATEAUPONSAC- Musée René Baubérot Géré par l'Association "Notre Terroir", il propose des objets, anciens et historiques, du patrimoine du Nord Limousin (98% des pièces ont été collectées sous forme de dons par les habitants de Châteauponsac et des alentours). 18 pièces sur plusieurs niveaux sont ainsi organisées dans l’ancien prieuré de Châteauponsac (14ème siècle) et proposent aux visiteurs, différents tableaux de la vie d’autrefois. Vieux métiers : menuiserie, couture, photographie, vannerie…sont donc présentés, avec des mises en situation : mannequins, outils ou objets anciens. Des collections de pièces archéologiques, de minéraux ou de documents historiques sont également présents et une pièce d’objets gallo romain surprend, de par son nombre de pièces enchevêtrées. Pour la visite de ce musée, chacun traverse le temps au fil des tableaux proposés, flirtant avec des siècles de vie et réalise à quel point les objets usuels de la vie quotidienne ont changé. Photos d’autrefois, premières éditions de journaux du coin, buste reliquaire du 17ème siècle ou croix discoïdale du 12ème siècle, les férus d’histoire ou de patrimoine, y trouveront leur compte et les habitants du Limousin : leurs racines. Pour parfaire la visite, l’association « Notre terroir » propose aussi à ses visiteurs, des visites guidées qui expliquent en détail, chaque tableau ; de quoi repartir avec des histoires plein la tête. Mon avis: Incontournable dans la région

Lac de Saint Pardoux vide

Treignac

Treignac: village de 1360 habitants situé dans le département de la Corrèze. Le village est bâti entre 400 et 500 mètres d'altitude, au pied du massif des Monédières, dans les gorges de la Vézère, aux portes du parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Le site est limité à l'ouest par le rocher des Folles et à l'est par le saut de la Virolle. Mon avis: petit village atypique qui mérite la visite. Un lac tout près ou le calme et la nature ressourcent. A faire non loin de là, l'arboretum de Chamberêt A visiter: -L'église Notre-Dame-des-Bans est l'église actuelle, de style gothique du XIIIe siècle. -Le musée des Arts et Traditions de la Haute-Vézère -La halle construite au XIIIe siècle et rénovée en 1484 -La chapelle Notre-Dame-de-la-Paix construite en 1626 -La tour est l'escalier en pierre et à vis de l'hôtel Forest-de-Faye, celui-ci datant de 1585. Petite histoire:Lors du haut Moyen Âge, les premières habitations furent construites autour des églises Saint-Martin, Saint-Léobon et Saint-Jean. Le château de Treignac2 est bâti vers l'an 1000 sur un énorme piton rocheux, presque inaccessible, dans une boucle de la Vézère dénommée la presqu'île. C'est alors que naquit la ville murée, dont il reste la porte Chabirande. Les remparts sont détruits au début du XIXe siècle.Ayant subi plusieurs mises à sac au moment des guerres seigneuriales (notamment par Rodrigue de Villandrando en 1438, d'où une nouvelle charte) et des guerres de religion lors du XVIe siècle, la ville est reconstruite à partir de la Renaissance, mais il ne reste avant tout que des maisons des XVIIe siècle, XVIIIe et XIXe siècles.À la Révolution, le château est entièrement détruit.

LAC DE VASSIVIERE

Lac de Vassivière: (Vaciviéra en occitan) est un lac artificiel français de 9,76 km2 qui fut créé par la construction d'un barrage situé sur la Maulde à la sortie de son vallon. Plan d'eau le plus important du Limousin et un des plus grands lacs artificiels de France, il se situe au nord-ouest du plateau de Millevaches, dans les départements de la Creuse et de la Haute-Vienne, et à proximité de la Corrèze. Mon avis: site remarquable ou la visite commentée en bâteau mouche est incontournable. On y apprend beaucoup de choses, de la conception du barrage à l'entretien et la vie tout autour du lac. Des sculptures et autres créativités sont à découvrir et pour les amoureux des activités: canoë, vélo, pédalo, voiles, ski nautique, accrobranche sont proposées. Des restaurants, campings, gites sont installés sur le pourtour ainsi que des aires de pique-nique et des aires de jeux pour les plus jeunes. Seul hic: peu de plages: 5 en tout A découvrir: Au centre du lac se trouve une île de 70 hectares qui abrite un centre d'art contemporain, créé en 1990. L’institution devient, en 2005, à la suite de la nomination de Chiara Parisi à sa direction, « Centre international d'art et du paysage de Vassivière ». Petite histoire:La route desservant les villages autour du lac fut nommée par la suite "circuit Raymond Poulidor", (j'ai rencontré le mr et il est tip top!) en hommage à l'enfant du pays natif de Masbaraud-Mérignat. Trois courses d'étape contre-la-montre individuels du Tour de France se sont déroulées autour du lac de Vassivière, à chaque fois lors de l’avant-dernière étape. La première fois ce fut en 1985, la seconde en 1990 puis en 1995. Le lac a également accueilli l'arrivée de la 3e étape de Paris-Nice en 2012.

Eymoutiers

Eymoutiers: (Aimostier en occitan) est une commune française de 2060 habitants située dans le département de la Haute-Vienne Ses habitants sont appelés les Pelauds. Limitrophe du département de la Corrèze, la commune fait partie du parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Petite histoire: au 11e siècle, se développe à Eymoutiers la corporation des tanneurs.C'est de là que les habitants d'Eymoutiers tiennent leur nom : les « pelauds » (ceux qui pèlent la peau). Cet artisanat a connu son apogée au 18e siècle (on comptait vingt tanneries à Eymoutiers en 1862). A visiter: La collégiale Saint-Étienne dont le chœur gothique possède de magnifiques vitraux du XVe siècle La tour d'Ayen du XVIe siècle La mairie, ancien couvent des ursulines Les maisons des tanneurs (dans la rue Farges) dont la construction peut remonter au XVe siècle Maison Romanet Ensemble monumental 15 Hommes Debout du sculpteur Christian Lapie

Saint Léonard de Noblat

Saint-Léonard-de-Noblat: commune française de 4600 habitants située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Miaulétous et les miaulétouses. Selon la tradition, ce nom viendrait de la miaula (le milan, en occitan limousin) qui aurait logé dans le clocher de la collégiale Saint-Léonard, inscrite avec les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Au début du XIXe siècle (1823 précisément), l'industrie de la porcelaine s'établit à Saint-Léonard. On y trouve encore de nos jours des fabriques de porcelaine (les Établissements Coquet ou Carpenet). A visiter:La collégiale Saint-Léonard14, qui date des XIe et XIIe siècles est dédiée à saint Léonard, c'est un chef-d’œuvre de l’art roman limousin. Elle fait partie du Patrimoine Mondial de l'humanité au titre des Routes de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le clocher : il est un très bel exemple de clocher dit « limousin ». Il repose sur un porche ouvert de deux côtés et orné de chapiteaux. Tombeau de saint Léonard : situé à l'intérieur de l'église, dans le croisillon sud, il est surmonté de sa chaîne de prisonnier. La tradition veut que les femmes désirant se marier et procréer viennent toucher le verrou. Autres monuments remarquables: L’ancien hôpital des pèlerins a des portes des XIIIe siècle, XIVe siècle et XVIIe siècle. Le couvent des filles de Notre-Dame : reconverti en gendarmerie et prison (début XXe siècle), aujourd'hui en foyer-rural - centre social. Le musée Gay-Lussac s’y trouve aussi. La tour ronde et la tour carrée sur la place de la République. La maison des Consuls. L'ancien prieuré de l'Artige Moulin à eau sur la Vienne. Le pont de Noblat (XIIIe siècle), franchissant la Vienne.

Oradour sur Glane:Le massacre d’Oradour-sur-Glane est la destruction, le 10 juin 1944, de ce village de la Haute-Vienne, situé à environ vingt kilomètres au nord-ouest de Limoges, et le massacre de sa population (642 victimes), par un détachement du 1er bataillon du 4e régiment de Panzergrenadier Der Führer appartenant à la Panzerdivision Das Reich de la Waffen-SS. Il s'agit du plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes, assez semblable à ceux de Marzabotto, ou de Distomo (ce dernier perpétré lui aussi le 10 juin 1944), qui transposent sur le front de l'Ouest des pratiques courantes sur le front de l'Est. Ces événements marquèrent profondément les consciences ; leurs conséquences judiciaires suscitèrent une vive polémique, notamment à la suite de l'amnistie accordée aux Alsaciens « Malgré-nous » qui avaient participé au massacre. Depuis 1999, le souvenir des victimes est célébré par le Centre de la mémoire d'Oradour-sur-Glane, situé non loin des ruines du village à peu près conservées en l'état.

Collonges-la-Rouge: surnommée la « cité aux vingt-cinq tours », est une commune française, située dans le département de la Corrèze. Mon avis: village atypique de par sa couleur rouge bien évidemment qui rappellera aux gens du Nord leurs briques sacrées. Agréable à visiter, maquette du village à découvrir et pourtour limousin sympa. Petite histoire:Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle à la suite d'une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. La Révolution, détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du XIXe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres. Au début du XXe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942. En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge.

10 juin 1944: 10 juin 2017: un président vient honorer Oradour sur Glane. Je remercie Michel Boyé, fils de résistant, de m'avoir adressé ses photos sublimes.

Comme en 1940: pour la première fois, le village de Saint Junien les Combes a organisé une journée "reconstitution des années 1940" dans son village pour refléter le quotidien de la population au temps des restrictions. Au programme il y avait des voitures des années 1940 exposées à plusieurs endroits du centre-bourg, la reconstitution d'une épicerie, des objets de l'époque qui ont été prêtés par le Musée de la Résistance de Limoges, des panneaux sur l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. Les habitants ont joué le jeu jusqu'au bout, car habillés en costume d'époque, ils ont plongé le public des années en arrière. Du matériel d' imprimerie et des radios clandestines des années passées sous l'occupation étaient également présentes ainsi que des hommages à des résistants célèbres comme Violette Szabo et Georges Guingouin. Des chansons d'époque ont régalé les anciens tant que les plus jeunes ont pu parfaire leurs connaissances en la matière. Souhaitons qu'il y ait une seconde édition l'année prochaine!

Chaptelat : Chaptalac en occitan est un village du Limousin qui compte 2050 habitants. Berceau de saint Éloi qui y naquit en 588. Il fut orfèvre et ministre de Dagobert. Il fonda l’abbaye de Solignac avant de devenir évêque de Noyon. Il mourut en 660. Il est toujours vénéré dans de nombreuses villes d’Europe et jusqu’au Canada et en Afrique. Saint patron des métiers du métal, il est fêté le 1er décembre par les orpailleurs, les orfèvres, les émailleurs, les maréchaux-ferrants, les mécaniciens, les numismates et par bien d’autres encore. Il est plus particulièrement honoré à Chaptelat, tous les sept ans, à l’occasion de l’ostension de ses reliques

BLOND: village de 700 habitants; le bourg de Blond se situe au pied du versant nord des monts de Blond, à l'extrémité d'une faille entre le plateau de Limoges et les étendues de la Basse-Marche, transition entre les terres froides du Limousin et celles plus chaudes de la Charente limousine. Les monts de Blond sont les premiers contreforts granitiques du Massif Central. Le massif culmine à 514 mètres en deux points sur la commune de Blond :aux Marcoux, entre les villages du Charlet et de la Betoulle,aux Chapus, près du village de Bachellerie. La commune de Blond comprend 83 villages.En 1564, le lieu-dit Vacqueur a été démembré de Blond3, la chapelle de ce village a été déclarée cure sous le vocable de Sainte-Catherine. La paroisse de Vacqueur a été érigée en commune en 1790, puis rattachée à celle de Bellac par décision du Directoire du district du 9 pluviôse an II, confirmée par une ordonnance royale du 4 novembre 1829.Le bourg de Blond est connu par les productions de son atelier monétaire mérovingien. Les inscriptions sur les monnaies retrouvées, datant de la fin du VIIe siècle, attestent du nom de Blatomago, du gaulois blato pour "blé" et mago signifiant "champs" puis "marché", soit le marché au blé.

Nieul: village de 1652 habitants, situé à 12 km de Limoges. Nieul, nom d'origine gauloise signifie "nouveau village". Le village compte des monuments historiques et son atout principal est le château de Nieul., son parc et son étang. L'Église, de l'Assomption-de-la-Vierge des XIIe et XIIIe siècles, contient une chapelle du XVe siècle et deux oratoires en granit du XVIIe siècle.

Limousin Nature aujourd'hui car c'est la période des naissances. Les petits agneaux relèvent fébrilement leurs pattes, cherchent leurs mères et sautillent pour jouer. Un petit coin de paradis pour les petits ou les plus grands. Chiffre: 200 entreprises sont référencées dans la catégorie Elevage d'ovins, caprins et équidés, pour le département Haute-Vienne. Ces entreprises sont principalement implantées dans les villes de Saint-Barbant, Blond. et Nouic. La catégorie Elevage d'ovins, caprins et équidés représente 11% des entreprises du secteur d'activité Agriculture dans ce département.