12/11/2024
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Bonjour à vous tous, pour bien débuter la semaine, je vous partage un chapitre important de mon livre "On récolte ce que l'on s'Aime"
Bonne lecture à vous et restez au présent si vous voulez manifester le meilleur dans vos vie.*
XI - Ressentir au Présent
La prise de conscience de l'importance du présent est fondamentale dans notre quête de bien-être et de connexion avec notre moi intérieur.
Le présent est la seule réalité tangible et le moment où tout se concrétise. Être pleinement conscient du moment présent, cela consiste à s'harmoniser avec notre essence intérieure, c'est être en accord avec soi-même.
Cette idée, bien que connue de tous, est souvent négligée dans la pratique. En vous concentrant sur le présent, vous commencez à apprécier la simplicité et la facilité avec laquelle vous pouvez ressentir le bien-être intérieur.
Vous commencez à vous libérer des illusions et fausses vérités qui encombrent votre esprit, et à vous affranchir du poids du passé et des incertitudes du futur. Cette réalisation vous permet de revenir vers vous-même, de devenir véritablement vous, libre et léger.
Cette prise de conscience vous permet de comprendre que tout ce dont vous avez besoin pour être heureux et en paix se trouve déjà en vous.
Vous réalisez que vous avez la capacité de transformer votre réalité, de vous libérer de ce qui n'est pas essentiel, et de vous épanouir pleinement dans l'instant présent.
C'est dans ce moment précis, le présent, que vous découvrez votre véritable essence, votre liberté et votre légèreté. Vous ressentez enfin la joie d'être pleinement vous-même.
Ici et maintenant !
L'importance de vivre dans le présent est primordiale pour notre bien-être et notre développement personnel. Le présent est universel et accessible à tous, et sa prise de conscience est un cadeau que nous nous faisons. En commençant à ressentir plutôt qu'à chercher, nous changeons la dynamique de notre expérience de vie.
Il est essentiel d'apprendre à identifier les verbes et les temps que nous utilisons, car cela influence directement notre perception de la réalité.
La volonté ou l'acte de vouloir, est une clé puissante pour accéder à la paix et à l'amour. En posant une intention, nous créons un mouvement en nous et autour de nous, attirant ainsi ce que nous désirons.
Cette intention doit être ancrée dans le présent pour être efficace.
C'est cette intention qui crée les conditions favorables pour que nos désirs se matérialisent.
L'acceptation du verbe "posséder" est également nécessaire. Bien qu'il puisse rappeler le manque, il est important de ne pas s'y attacher ou de le laisser influencer notre sentiment de complétude. Au lieu de cela, en cultivant la paix et l'amour en nous, nous atteignons un état de plénitude qui attire naturellement tout ce dont nous avons besoin.
Il s'agit de laisser la paix et l'amour grandir en nous, attirant ce qui est nécessaire pour leur épanouissement.
Lâcher prise et faire confiance à la plénitude en nous est essentiel pour atteindre la paix intérieure et l'amour.
La possession frénétique d’objets ou la recherche constante d’un rang ou statut social ne font qu'alimenter les sentiments de manque et nous éloignent de la tranquillité d'esprit.
En revanche, vouloir quelque chose est différent : cela implique de poser une intention dans le moment présent, qu’elle soit claire, et d’ouvrir la voie à la réalisation de nos désirs.
La volonté est une force intérieure, une émotion que nous transformons en intention, qui nous connecte à notre moi intérieur et à nos véritables aspirations, et ce dans le moment présent.
Le concept du présent est délicat pour nous, prisonniers du temps qui s'écoule.
Le lâcher-prise devient alors une gymnastique mentale, une tricherie avec notre raison. Convaincre notre esprit que tout est en ordre au présent peut devenir un défi, mais c'est la clé pour recevoir la plénitude et l'autosatisfaction.
Il faut poser son intention, en exprimant une volonté claire et établie dans notre esprit comme étant un acquis.
Il faut vouloir, mais également considérer que cela nous est acquis, que c’est déjà là, au présent justement.
Le temps présent est primordial et notre mental, qui lutte sans cesse et cherche à nous raisonner selon les codes limitants de notre éducation, voudra nous garder convaincu que la chose n’existe pas et ne nous appartient pas.
Nous sommes plus dans le passé et le futur que dans notre présent, d’où ce manque d’absence de concrétisation dans nos vies.
Il faut donc revenir à une neutralité, laquelle est bien présente dans notre présent pour tout ce que nous avons déjà acquis.
Et donc, l’exercice est bien de poser cette intention par une volonté exprimée au présent et dans la neutralité.
Et ensuite lâcher prise ! Continuer à vivre sa vie quelle qu’elle soit, mais au présent toujours et se gratifier quelles que soient les circonstances.
Se sentir heureux d’être qui nous sommes et de ce que nous accomplissons et attirons à nous.
Le manque est notre pire ennemi, il nous faut donc ne rien exprimer en termes d’émotions par rapport à cette intention posée précédemment.
La chose nous est acquise, c’est la nôtre, et elle ne manque à personne, et donc il n’y a aucune crainte d’être jalousé par autrui.
L’univers est une ressource illimitée.
Il n’est là au présent que pour distribuer vers ceux qui savent communiquer avec lui dans les bons termes.
Ces termes sont simples, ce qui peut effectivement nous déstabiliser.
Car il répond en tout temps et tout le temps. Charge à nous d’en comprendre le fonctionnement et d’accepter et de s’ouvrir à ses règles.
Être au présent, nourrir ses intentions au présent, faire comme si cela nous était déjà acquis dans ce présent ?
Et comme cela nous est déjà acquis au temps présent, pas de manque ni de frustration et encore moins de recherche de possession qui nous habitent et nous mettent dans une posture qui ne favoriserait pas la chose.
En faisant cela, on perd la mémoire de ce qui est passé et on ne projette rien dans le futur.
Il nous faut vivre le moment présent, et rien d’autre ne compte et ne nous altère à l’intérieur.
Un exemple concret pour aider à la compréhension de cette mécanique quantique, car il s’agit bien de quantique.
Nous sommes les premières machines quantiques et nous n’en avons même pas conscience, pour bien trop de raisons que nous n’évoquerons pas, car bien trop long à expliquer et stérile au regard du débat que cela ouvrirait.
Il nous faut juste accepter que nous résonnons avec l’univers tout entier, que nous sommes connectés à tout, que ce soit matière ou antimatière, et que de ce fait nous émettons et recevons.
Cet exemple concret : je voulais gagner un certain revenu à l’âge de 40 ans. Considérant que, compte tenu de mon parcours personnel chaotique et du revenu visé, il me faudrait quelques années.
Eh bien, l’univers ayant entendu clairement mon intention, il attendit que l’âge soit venu pour me l’octroyer.
Fort de ne pas avoir compris, mais heureux d’y être parvenu au bout de 20 ans de carrière net de galères, je décidai qu’à 50 ans, je gagnerais mieux ma vie et donc décidais du montant souhaité.
Eh bien l’univers, lequel lui est fidèle à nos intentions lorsqu’elles sont claires, fut encore au rendez-vous lorsque mes 50 ans furent venus.
Que dire à cela ?
J’ai donc commencé par comprendre et tester notre univers si bienveillant et à notre écoute, et là tout s’est transformé d’une manière que je n’aurais jamais soupçonnée.
C’est fort de ce constat que j’ai fait le tour de ma vie, de mes intentions et émotions passées, de tout ce que j’ai semé. Quand et quelles récoltes, bonnes ou mauvaises j’ai dû traverser durant ma vie.
Mais rien de ce que j’ai découvert et analysé de cette vie parcourue n’était dissonant avec cette règle simple. Règle qui dit qu’il nous suffit de vouloir pour avoir.
Mais faut-il encore être dans la bonne posture. Et compte tenu de notre éducation ancestrale, il est clair qu’on nous a plus appris à vivre avec le manque qu’à nourrir l’abondance positive.
En conclusion, ce qu’il faut savoir de ces intentions posées est que je n’avais aucune conscience de ce que je semais devant moi et pour quelques années, pour ne pas dire une bonne partie sinon la majeure partie de ma carrière.
J’avais à l’époque posé des limites, visualisé un cheminement, tout ceci inscrit dans une temporalité bien déterminée.
Et donc tout se déroulait plus ou moins bien selon les expériences vécues, mais surtout selon la manière dont je réagissais devant une opportunité ou une autre, et aussi selon les situations de réussites ou d’échecs qui survenaient.
Tout ceci pour dire qu’à chaque moment vécu, ma posture pouvait ne pas être en adéquation avec mes intentions premières, et le besoin de comprendre et le manque de confiance parfois faisaient qu’effectivement je cheminais vers ce résultat.
Si j’avais lâché prise, pris confiance en moi, compris que la temporalité était une limite non négligeable, alors j’aurais pu attirer à moi bien plus vite ces résultats.
En fait, j’ai toujours eu et j’ai encore, cette capacité à créer devant moi, mais quand on le fait sans en avoir conscience, en ayant des moments de vie où nos émotions sont telles, que la graine plantée ne sera pas bonne à récolter.
Alors le chemin à parcourir devient long, intense et dense dans tous les termes, d’une extrême positivité à une extrême négativité.
On gagne tout et d’un coup on perd tout !
Alors on se remet au travail et on y va d’arrache-pied ! Et on pose d’autres intentions, et on sème, et on récolte le bon et le mauvais encore et encore…
Jusqu’à dernièrement, où enfin j’ai compris cette règle simple et à laquelle personne n’échappe.
Il faut rester neutre face à l’adversité, et avancer sans se poser les questions du pourquoi ça m’arrive à moi et pas à un autre qui me semble moins méritant.
Il faut oublier les codes de cette éducation où le mérite se gagne à la force des bras et de nos actions.
Il faut effectivement être dans le mouvement, sans quoi rien ne viendra jamais à nous, mais il faut surtout cesser de se plaindre et de nourrir de mauvaises émotions, car elles nous ouvriront encore des portes que nous ne voulons plus traverser.
Il faut donc accepter ce que nous avons semé et ce que nous devons récolter ou laisser, mais surtout continuer à avancer.
Avancer dans une posture de résilience et de neutralité afin d’aller au plus vite vers le meilleur que nous apprenons à semer en optant pour cette posture.
Et donc seul le présent compte. Ni ce que nous avons fait ou été par le passé, et encore moins ce que nous ne sommes pas au futur, ne comptent.
Nous comptons au présent,
et seulement au présent.
Une fois cela compris et appliqué, on se rend compte et on mesure très rapidement que tout nous est possible et que rien n’est jamais écrit, du moment qu’on ne laisse pas notre éducation limitante nous dicter la marche à suivre.
Acceptons nos erreurs et notre manque de compréhension de cette règle unique, et avançons vers elle afin qu’elle avance vers nous.
La guerre attire la guerre, c’est pareil pour la paix, la plénitude et le bonheur que nous voulons tous.
Alors agissons selon cette règle et tout finit par nous sourire.
Nous avons tous des exemples d’expérience de vie qui confirment que selon notre état émotionnel, nous attirons à nous des situations qui viennent maintenir, voire renforcer ces états.
La loi de Murphy dit clairement que tout ce qui est susceptible d’aller mal ira mal.
Si cette loi confirme cela, alors elle confirme également que tout ce qui est susceptible d’aller bien ira bien !
Vous comprendrez que tout est question de posture et de formes de pensées, et que ce concept n’a pas de prise sur votre vie.
C’est vous qui décidez si cela ira mal ou bien !
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