Association des diabétiques départementale d'Eure et Loir

Association des diabétiques départementale d'Eure et Loir Association à but non lucratif-Loi 1901
[email protected]
2 patients expert à votre écoute.

LE SUCRE N'EST PAS L'ENNEMI !!!Le rôle du sucre dans la gestion du diabèteDans la lutte contre le diabète, il est facile...
30/11/2024

LE SUCRE N'EST PAS L'ENNEMI !!!
Le rôle du sucre dans la gestion du diabète

Dans la lutte contre le diabète, il est facile de voir le sucre comme un ennemi à éviter à tout prix. Cependant, il est important de comprendre que le sucre joue un rôle crucial dans notre organisme.

C’est le principal carburant du corps : les glucides ingérés au cours d’un repas sont absorbés puis transformés en glucose, afin d’être ensuite consommés par nos muscles et notre cerveau notamment.

Même pour les patients atteints de diabète, le sucre peut faire partie d'une alimentation saine et équilibrée lorsqu'il est consommé avec modération.

Il est important de faire des choix judicieux en matière de consommation de sucre :

Optez pour des aliments riches en glucides complexes, comme les féculents, les légumes et les céréales complètes, qui sont digérés plus lentement et modèrent les pics de glycémie.

Les légumes entiers contiennent également des vitamines et des fibres essentielles dont notre corps a besoin.🥕🥦🍏

Évitez les aliments riches en sucres ajoutés, comme les boissons sucrées, les pâtisseries et les confiseries, qui peuvent faire grimper rapidement votre glycémie.

Lisez attentivement les étiquettes nutritionnelles pour repérer les sucres cachés dans les aliments transformés.

Si vous souhaitez sucrer, privilégiez les édulcorants naturels (Stevia, xylithol, miel…) qui peuvent être de bonnes alternatives au sucre raffiné.
Veillez à répartir votre consommation de sucre pour éviter les fluctuations extrêmes de la glycémie.
En combinant une alimentation équilibrée avec une activité physique régulière, vous pouvez mieux contrôler votre glycémie et améliorer votre qualité de vie.

🙂Lancement des adhésions 2025🙂Rendez-vous sur le site internet
26/11/2024

🙂Lancement des adhésions 2025🙂
Rendez-vous sur le site internet

L'association - Notre équipe - L'association des diabétiques départementale d'Eure et Loir, (ADD) est une association de patients formés et certifiés, animée par des bénévoles...

Lancement des programmes 2025
26/11/2024

Lancement des programmes 2025

Avec Popote EtCompagnie – Je viens d’être reconnu(e) comme l’un(e) de ses meilleurs fans ! 🎉
24/11/2024

Avec Popote EtCompagnie – Je viens d’être reconnu(e) comme l’un(e) de ses meilleurs fans ! 🎉

9 signes précoces qui peuvent passer inaperçusPoursuivez ici selon votre inspiration...Selon les résultats d'une étude p...
17/11/2024

9 signes précoces qui peuvent passer inaperçus
Poursuivez ici selon votre inspiration...

Selon les résultats d'une étude publiée ce mercredi 13 novembre dans The Lancet, le diabète touchait environ 14% des adultes à travers le monde en 2022, contre quelque 7% en 1990. En prenant en compte la hausse de la population, les chercheurs estiment que plus de 800 millions de personnes sont diabétiques aujourd'hui, contre moins de 200 millions au début des années 1990. Une telle progression peut s'expliquer, entre autres, par la hausse de l'obésité et la mauvaise alimentation de la population. À l'occasion de la journée mondiale du diabète, ce jeudi 14 novembre 2024, on fait un point sur cette pathologie et ses symptômes.

Le diabète est une pathologie qui affecte la gestion du sucre dans le sang, essentiel à l'énergie de notre corps. Dans les cas de diabète, ce taux de sucre, ou glycémie, atteint des niveaux anormalement élevés, provoquant divers symptômes. Il existe deux principaux types de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2.

Le premier survient lorsque l'organisme produit insuffisamment d'insuline, l'hormone régulant la glycémie, et il est souvent diagnostiqué chez les jeunes. Le diabète de type 2, plus répandu, signifie que le corps ne répond pas correctement à l’insuline. Ce type se manifeste généralement plus t**d dans la vie et touche davantage les personnes ayant un surplus de poids ou des antécédents familiaux. Selon webmd.com, les deux types de diabète présentent certains des mêmes signes avant-coureurs, pas toujours connus, qui peuvent passer parfois inaperçus.

1. Faim excessive et inexplicable

Lorsqu’une personne est diabétique, son corps n'arrive pas à absorber le glucose présent dans l’alimentation pour l'utiliser comme source d'énergie. Cela provoque une sensation de faim accrue, même après avoir mangé. C’est un des premiers signes à prendre en compte, surtout si cette faim persistante devient inhabituelle.

2. Fatigue inhabituelle

Le manque de glucose disponible pour les cellules peut également entraîner une fatigue intense. Ce symptôme, courant mais souvent ignoré, doit être surveillé si la lassitude persiste malgré un repos adéquat.

3. Besoin fréquent d'uriner

Les personnes diabétiques ont en commun d'aller aux toilettes bien plus fréquemment que la moyenne, car leur corps tente d'éliminer l'excès de sucre par l'urine. Si vous constatez un besoin accru d’uriner, surtout la nuit, cela pourrait être un signe précurseur du diabète.

4. Soif excessive

La soif constante accompagne souvent la miction excessive. Lorsque l’organisme perd une grande quantité d'eau par l’urine, il tente de compenser cette déshydratation en créant une sensation de soif persistante. Une consommation accrue d’eau sans raison apparente est donc un indice à prendre au sérieux.
5. Sécheresse de la bouche

L’excès d’élimination d'eau peut aussi réduire l'humidité corporelle, entraînant une sensation de bouche sèche. La déshydratation peut également provoquer des sensations d'inconfort et perturber les activités quotidiennes, et doit être considérée avec les autres symptômes.

6. Peau sèche et démangeaisons

Le manque d’hydratation de la peau, conséquence du diabète, peut également provoquer des démangeaisons. Certaines personnes remarquent même des zones plus rugueuses et desséchées, notamment au niveau des jambes, du cuir chevelu et des bras. Ces signes sont fréquents chez les diabétiques et peuvent se manifester bien avant le diagnostic.

7. Vision floue

Les fluctuations de la glycémie influent également sur les niveaux de liquide dans les yeux, ce qui entraîne des changements de forme du cristallin et altère la vision. Si vous commencez à remarquer des difficultés de mise au point ou une vision brouillée, cela peut être une alerte à ne pas négliger.

8. Perte de poids involontaire

Le corps, en quête d’énergie, puise alors dans les réserves de graisse et de muscle. Résultat : une perte de poids inattendue et inexpliquée, même si vous continuez de manger normalement, peut être un signe alarmant et devrait inciter à consulter un médecin.

9. Infections fréquentes

Les diabétiques, en particulier les femmes, peuvent être plus sujets aux infections, notamment cutanées, urinaires ou vaginales. Chez les enfants, le diabète de type 1 peut se manifester par des infections de la peau, et chez les femmes, les mycoses vaginales récurrentes sont un signe à surveiller.

Quand consulter un professionnel de santé ?

Si vous présentez un ou plusieurs de ces symptômes, ou si vous avez des antécédents familiaux de diabète, il est essentiel de consulter un professionnel de la santé. La détection précoce permet de prendre des mesures adaptées, comme une surveillance plus attentive de la glycémie, et aide à éviter les complications du diabète, notamment les lésions nerveuses, les troubles cardiaques et la perte de vision. Les symptômes peuvent sembler anodins mais, associés, ils dessinent le profil d’une maladie à prendre au sérieux.

6 NOVEMBRE - Mois de l'économie sociale et solidaire. En principe, le site des Journées Mondiales présente surtout des j...
06/11/2024

6 NOVEMBRE - Mois de l'économie sociale et solidaire. En principe, le site des Journées Mondiales présente surtout des journées... sauf aujourd'hui où nous avons choisi de vous parler d’un "mois" complet, en l'occurrence le mois dédié à l'Economie Sociale et Solidaire (dîtes ESS si vous voulez paraitre dans le coup !).
Une économie en pleine transition
Le Mois de l’Economie Sociale et Solidaire est un temps annuel se déroulant théoriquement au mois de novembre qui donne l’opportunité de découvrir l’ESS et de comprendre ce que cette forme d’économie peut apporter à notre société en pleine transition.

En 2023, les dates s'échelonnent en réalité du 6 novembre au 3 décembre :
Le 6 novembre 2023 : lancement du Mois de l'ESS, Le Mois de l’Economie sociale et solidaire vise à attirer l'attention du grand public, des entreprises, des collectivités et des institutions sur l’ESS par l'organisation d'un certain nombre d'actions.

Agir pour l'ESS /
Manifestations : portes ouvertes, visites d’entreprises, conférences, forums, ateliers, formations, rendez-vous festifs…
Evénements dans tous les secteurs d’activité : services à la personne, action sociale et solidarité, culture, sport, insertion, développement durable, services aux entreprises, entrepreneuriat…
Médiatisation locale, régionale et nationale sous différentes formes.

DASTRI pour les patients diabétiques.
02/11/2024

DASTRI pour les patients diabétiques.

Notre association est partenaire avec le CPTS Pays Chartrain.
02/11/2024

Notre association est partenaire avec le CPTS Pays Chartrain.

Découvrez le site de la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) du Pays Chartrain

Fruits et légumes de novembre
02/11/2024

Fruits et légumes de novembre

Apnée du sommeil : ces traitements prometteurs qui pourraient changer la vie des patients.Ronflements la nuit, somnolenc...
16/10/2024

Apnée du sommeil : ces traitements prometteurs qui pourraient changer la vie des patients.

Ronflements la nuit, somnolence dans la journée, fatigue chronique… Très fréquent, le syndrome d’apnées du sommeil reste sous-traité. L’arrivée de nouveaux traitements pourrait changer la donne.
Le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) empoisonne la vie de 21 % des Français*. Pourtant, seulement 3,5 % sont traités pour cette maladie qui se caractérise par des fermetures répétées, complètes ou partielles, du pharynx au cours du sommeil et peut avoir de lourdes répercussions. Les pauses respiratoires qu’elle entraîne provoquent des micro-réveils dont le dormeur n’a pas conscience, mais qui rendent ses journées difficiles (fatigue, somnolence, irritabilité…) et augmentent à terme le risque de troubles cardiovasculaires et métaboliques (hypertension, arythmie, diabète de type 2…). Si, aujourd’hui, le port d’une orthèse d’avancée mandibulaire la nuit ou la ventilation en pression positive continue (PPC), qui nécessite le port nocturne d’un masque relié à une machine, restent les traitements de références, de nouvelles options thérapeutiques se développent, permettant une prise en charge de plus en plus personnalisée.
Combattre la somnolence en journée
Deux médicaments, un amphétaminique (solriamfétol) et un éveillant (pitolisant), permettent de traiter l’une des conséquences de l’apnée du sommeil : la somnolence diurne excessive. Le premier est commercialisé en France sous le nom de Sunosi depuis 2021, et le second sous celui d’Ozawade depuis 2022. L’un et l’autre sont indiqués chez l’adulte souffrant d’un SAHOS modéré à sévère. "La pression positive continue (PPC) reste la référence, mais ces médicaments viennent en complément, notamment lorsqu’il reste une somnolence résiduelle en journée", précise la pneumologue Justine Frija-Masson. Ils sont soumis à une prescription initiale hospitalière. L’ordonnance ne peut être faite que par un médecin exerçant dans un centre du sommeil, un médecin du sommeil ou un pneumologue (voire un neurologue pour le solriamfétol).
Réduire les pauses respiratoires
Il n’existe actuellement aucun médicament qui traite la cause de l’apnée. Mais les candidats ne manquent pas. Parmi les plus prometteurs, certains sont déjà prescrits dans d’autres indications. C’est le cas des inhibiteurs de l’anhydrase carbonique (acétazolamide, sulthiame), utilisés notamment contre l’épilepsie et le glaucome. Une étude suédoise parue en 2022 a montré qu’ils abaisseraient en moyenne le nombre de pauses respiratoires d’une vingtaine par heure. Même chose du côté de certains antidiabétiques et anti-obésité, en particulier le tirzepatide, en cours d’agrément en France, qui entraîne une perte de poids moyenne de 20 %. Selon deux essais publiés en avril dernier, cette molécule diminuerait le nombre d’apnées de 55 % chez les personnes obèses non traitées par pression positive et de 63 % chez les personnes traitées. Autre piste prometteuse : l’association dans un même comprimé de deux molécules déjà connues, l’atomoxétine et l’oxybutynine. En améliorant le tonus des voies aériennes, elle réduirait non seulement fortement le nombre d’apnées du sommeil mais également les ronflements.
Stimuler le nerf de la langue
Déjà utilisée depuis une dizaine d’années aux États-Unis, en Allemagne ou aux Pays-Bas, la stimulation du nerf de la langue devrait être remboursée bientôt en France. Cela devrait rendre plus accessible ce dispositif, activé par le patient lui-même grâce à une télécommande, dont le coût avoisine les 10.000 euros. Il est implanté sous anesthésie générale par voie chirurgicale. Un stimulateur semblable à un pacemaker est placé sous la clavicule et relié à deux électrodes. L’une, située entre deux côtes, sous le thorax, détecte le rythme respiratoire. L’autre est placée dans le cou au contact du nerf qui commande la langue (hypoglosse). Lorsqu’elle est activée, au moment des inspirations, elle projette la langue en avant, ce qui empêche les apnées. Le dispositif est efficace, avec peu d’effets secondaires. À condition que les indications soient bien posées (échec des traitements de première ligne, obstruction du pharynx par la langue, indice de masse corporelle inférieur à 32, nombre élevé d’apnées).
Rééduquer la langue et la posture
Tirer la langue sans toucher les lèvres, la ventouser au palais, la claquer en imitant le bruit des sabots d’un cheval… La rééducation linguale est encore peu développée en France chez l’adulte souffrant d’apnées du sommeil, faute de professionnels formés. "En corrigeant la position de la langue au repos, elle permet de dégager les voies respiratoires supérieures de jour comme de nuit", explique le Dr Didier Cugy, médecin du sommeil à Bordeaux. Pour être efficaces, les exercices doivent être répétés tous les jours chez soi, ce qui est assez contraignant. Ils vont souvent de pair avec la correction des troubles posturaux. "La façon dont on se tient à un impact majeur sur la ventilation", rappelle le praticien qui conseille de marcher régulièrement.
Le dépistage est désormais possible à domicile
Pas de diagnostic sans enregistrements du sommeil (polygraphie et/ou polysomnographie). Jusqu'à présent, ces examens nécessitaient de passer au moins une nuit à l’hôpital. Désormais, l’arrivée de dispositifs connectés permet d’analyser son sommeil à domicile. Tel le capteur de doigt WatchPAT (disponible sur prescription) qui traque les pauses respiratoires en mesurant les niveaux d'oxygène dans le sang, les mouvements du corps et de la fréquence cardiaque pendant que vous dormez. Autre exemple, le capteur Sunrise qui se colle sur le menton et détecte les apnées du sommeil grâce aux mouvements de la mandibule (vendu 249 € sur hellosunrise.com).
Mieux prédire la sévérité de l'apnée
"La sévérité de l’apnée du sommeil est évaluée en comptant le nombre d’évènements respiratoires anormaux par heure de sommeil. Cette mesure reste toutefois insuffisante pour prédire les complications cardiovasculaires et les prévenir. Plusieurs biomarqueurs sont à l’étude pour mieux caractériser les risques liées à la maladie. À commencer par la charge hypoxique qui permet de connaître l’importance de la chute du taux d'oxygène dans le sang durant la nuit. Plus cette charge serait élevée, plus le risque de mortalité cardiovasculaire serait grand."
Merci au Dr Justine Frija-Masson, pneumologue au centre du sommeil de l’hôpital Bichat Claude Bernard (Paris).
Source :Claire Gabillat, Santé

J’ai un taux de cholestérol LDL élevé, qu’est-ce que ça signifie ?Le cholestérol LDL désigne le mauvais cholestérol, par...
16/10/2024

J’ai un taux de cholestérol LDL élevé, qu’est-ce que ça signifie ?

Le cholestérol LDL désigne le mauvais cholestérol, par opposition au bon cholestérol (HDL). Un taux de cholestérol LDL élevé, autrement dit une hypercholestérolémie, est un facteur de risque de maladie cardiovasculaire.

Le cholestérol provient de l’alimentation et du foie. S’il est nécessaire au bon fonctionnement de votre organisme, un excès de mauvais cholestérol est dangereux. En effet, l’excès de mauvais cholestérol se dépose sur la paroi de vos artères, ce qui vous expose à de l’athérosclérose. Il convient donc de ramener ce taux de mauvais cholestérol à la normale par un traitement adapté.

Le cholestérol LDL, de quoi s’agit-il ?
Le cholestérol désigne, avec les triglycérides, l’ensemble des lipides nécessaires au bon fonctionnement de votre organisme. Il est issu de votre alimentation et de votre foie. On distingue le bon cholestérol (HDL) du mauvais cholestérol (LDL). Le mauvais cholestérol, s’il est en excès dans le sang (hypercholestérolémie), se dépose sous la forme de plaques d’athéromes sur la paroi de vos artères, informe le site des Hôpitaux universitaires de Genève. C’est l’athérosclérose. La conséquence est une rigidification de la paroi de vos artères et une diminution du diamètre de celles-ci, ce qui réduit le flux sanguin, précise le Manuel MSD.

Vos tissus et organes sont alors moins bien irrigués et moins bien oxygénés, avec le risque qu’une plaque d’athérome se détache de la paroi artérielle et migre vers votre cœur, votre cerveau ou vos jambes.

Ce risque cardiovasculaire d’infarctus du myocarde, d’AVC ou d’artérite des membres inférieurs est élevé en cas de taux de LDL trop élevé. Une prise en charge médicale est indispensable. À l’inverse, on parle de bon cholestérol (HDL) pour désigner les lipoprotéines chargées de charrier le cholestérol en excès dans le sang vers le foie, où il est éliminé.
________________________________________
Les causes d’un taux de mauvais cholestérol trop élevé
Selon la Fédération française de cardiologie, votre taux de cholestérol LDL ne doit pas excéder 1,6 g/L. Un seuil qui peut être abaissé au regard de votre sexe, de votre âge, de votre IMC, de vos antécédents familiaux, de vos traitements en cours ou comorbidités. Si votre taux de cholestérol LDL est trop élevé, cela peut s’expliquer par :
• Votre alimentation : elle est trop riche en acides gras saturés (lait entier, fromages, beurre, viandes rouges, plats industriels préparés, fritures, certaines huiles…).
• Votre hygiène de vie : la sédentarité, le tabagisme et l’alcool augmentent les risques d’hypercholestérolémie.
• Vos antécédents familiaux : il existe un facteur de prédisposition génétique à une hypercholestérolémie.
• Vos éventuelles autres pathologies : cela peut être un diabète de type 2, de l’hypertension artérielle, une hypothyroïdie…
• Vos traitements médicamenteux : certains traitements (pilule contraceptive, rétinoïdes…) ont des effets secondaires sur le taux de mauvais cholestérol.
La prise en charge de l’hypercholestérolémie
Si votre taux de cholestérol LDL est trop élevé, un traitement doit être entrepris. Il passe par une modification de votre régime alimentaire, par la pratique d’une activité physique régulière, et également par l’arrêt du tabac et de l’alcool, voire, dans certains cas, par la prescription de statines.

Sources :
Le cholestérol, Fédération française de cardiologie, 21 mai 2021
Athérosclérose, Dr George Thanassoulis et Dr Haya Aziz, Le Manuel MSD - Version pour le grand public, septembre 2022
Pauline Flairot Santé

Voici l'heure précise où il faudrait manger sucré sans détraquer sa glycémie Souvent diabolisé, le sucre doit surtout ne...
16/10/2024

Voici l'heure précise où il faudrait manger sucré sans détraquer sa glycémie

Souvent diabolisé, le sucre doit surtout ne pas être consommé en excès et bien choisi. Pourtant, une relation saine avec l'alimentation ne devrait exclure aucun aliment de manière définitive (sauf allergie alimentaire). À choisir, voici à quel moment vous devriez privilégier la consommation de sucre.
Naturel ou non, rapide ou lent, le sucre est présent dans de très nombreux aliments de notre quotidien, même ceux qui sont par ailleurs considérés comme sains. Ce n'est pas pour autant qu'il faut en bannir certains définitivement. Juste faire preuve de modération et de stratégie quand il s'agit de faire les bons choix au bon moment.
Comment le sucre impacte-t-il notre glycémie ?
Dès lors que l'on mange ou boit autre chose que de l'eau, la dose de sucre dans notre sang augmente. Cependant, la variation est plus ou moins importante et rapide selon les choix effectués. Par exemple, consommer des légumes verts, des agrumes, des céréales complètes, des légumineuses, des noix et graines ne fera pas grimper subitement votre glycémie. Au contraire, manger des bonbons, une viennoiserie, un soda ou jus de fruit aura un impact direct et important sur la concentration du sucre dans le sang. Ce qu'on appelle aussi pic de glycémie est une réponse du corps qui, face à une forte dose de glucose, libère de l'insuline, hormone vouée à réguler le sucre.

Ce pic de glycémie explique qu'il soit important de faire les bons choix alimentaires quand on doit surveiller sa glycémie pour des raisons de santé (diabète de type 2, syndrome métabolique, hypertension…). Mais ce bon réflexe peut aussi être très utile lorsque l'on souhaite veiller à son bien-être et sa vitalité. Des pics de glycémie brutaux et/ou fréquents peuvent en effet provoquer des fringales, une fatigue importante et bien sûr, des problèmes de santé à long terme. De même, il est recommandé à tous. De veiller à ne pas abuser du sel, des graisses, des additifs…

Quand manger du sucre sans trop dérégler sa glycémie ?
Pour savourer les aliments sucrés qui vous font envie en subissant le moins possible leurs effets indésirables, il faudrait faire en sorte de les consommer avec modération mais délectation. Mais surtout, en veillant à les consommer au meilleur moment de la journée ! Selon de nombreux. ses expert.e.s en nutrition, il y a une heure dans la journée où le sucre a un impact moindre sur notre glycémie. C'est aux alentours de 17h qu'il faudrait manger le gâteau qui nous fait de l'œil, la petite glace qu'on aime tant ou, option plus raisonnable au quotidien, une portion de fruit.

À mesure que la soirée approche, le corps a besoin de freiner le rythme pour pouvoir passer sereinement et efficacement en mode « nuit ». Il est aidé dans cette tâche par un neurotransmetteur - la sérotonine - qui est lui-même à l'origine de la mélatonine, hormone très impliquée dans le sommeil. C'est elle qui indique au corps que la nuit approche, et qu'il est temps de ralentir le rythme, en vue de se mettre au repos complet quelques heures plus t**d. Or, pour obtenir une bonne dose de sérotonine, l’organisme a besoin de tryptophanes, un acide aminé présent dans les protéines, tandis que les glucides vont optimiser leur action. Par conséquent, s'offrir une petite douceur au goûter est la meilleure façon de bénéficier d'un endormissement rapide et d'un sommeil réparateur. Le tout, sans brutaliser votre glycémie, surtout si vous combinez intelligemment protéines et glucides.
SOURCE : LORELEÏ BOQUET-VAUTOR

🙂
08/10/2024

🙂

Rétinopathie diabétique : quels sont les symptômes de cette maladie qui rend aveugle ?Article de "Mathilde Debry"Dans un...
03/10/2024

Rétinopathie diabétique : quels sont les symptômes de cette maladie qui rend aveugle ?
Article de "Mathilde Debry"
Dans un dossier de presse, l’Unadev (Union Nationale des Aveugles et Déficients Visuels) annonce lancer une campagne nationale de sensibilisation et de dépistage concernant les 4 principales maladies cécitantes que sont la DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age), le glaucome, la cataracte et la rétinopathie diabétique.
Si les Français ont majoritairement le sentiment d’avoir des yeux en bonne santé, ils semblent en revanche en manque de repères concernant la prévention de la déficience visuelle et méconnaissent les maladies cécitantes", justifie d’abord l’association de patient.
Rétinopathie diabétique : quels sont les symptômes ?
L’institution poursuit son communiqué de presse en informant plus précisément sur ce qu’est la rétinopathie diabétique.
Commençons par les symptômes. "Au début, la maladie se développe en silence et la vision n’est généralement pas modifiée", indique l’Unadev. "Lorsque la rétinopathie diabétique évolue, des symptômes peuvent apparaître au niveau de la vision centrale puis entrainer une baisse importante de la vision", ajoute-t-elle. "Concrètement, la vision devient floue et des tâches peuvent partiellement ou totalement l’obstruer", indique-t-elle.
"Lorsqu’elle est évoluée, la rétinopathie diabétique est une maladie très invalidante qui peut entrainer de graves et irrémédiables troubles de la vision", souligne-t-elle.
Rétinopathie diabétique : cause et incidence
Poursuivons par la cause de la rétinopathie diabétique et son incidence. En France, la rétinopathie diabétique est la première cause de cécité avant 65 ans. C’est aussi la complication oculaire liée au diabète la plus fréquente : elle touche 50 % des patients diabétiques de type 2 et 80 % des patients diabétiques de type 1 après 15 ans d’évolution de la maladie.
"La rétinopathie diabétique est une complication du diabète mal équilibré, car l’excès de sucre dans le sang fragilise les petits vaisseaux sanguins de la rétine", complète l’Unadev.

Rétinopathie diabétique : quels sont les facteurs de risque ?

Concernant cette fois les facteurs de risque de la rétinopathie diabétique, le dossier de presse liste l’hyperglycémie (l’excès de sucre dans le sang), l’hypercholestérolémie (l’excès de gras dans le sang), l’obésité, l’hypertension artérielle, la consommation de tabac et la sédentarité.

Diabète et VIH : quelles interactions ?Le VIH augmente-t-il le risque de diabète ?Pour autant, la plus grande susceptibi...
02/10/2024

Diabète et VIH : quelles interactions ?
Le VIH augmente-t-il le risque de diabète ?

Pour autant, la plus grande susceptibilité des PVVIH de souffrir de diabète versus les personnes non infectées reste à nuancer, selon la professeure Corinne Vigouroux, endocrinologue à l’Hôpital Saint-Antoine (AP-HP, Paris), qui s’intéresse aux troubles métaboliques associés au VIH et contribue en particulier aux travaux de l’Alliance Francophone des Acteurs de Santé contre le VIH et les infections virales chroniques (AFRAVIH) sur le sujet : « Oui, le risque de diabète est supérieur chez les PVVIH par rapport à la population générale, mais la différence d’incidence a nettement diminué avec l’évolution des traitements antirétroviraux : les premiers, développés à la fin des années 1990-2000, étaient beaucoup plus toxiques au plan métabolique. Les études épidémiologiques de l’époque indiquent qu’une PVVIH avait 4 fois plus de risques de développer un diabète qu’une personne non infectée. Aujourd’hui, l’excès de risque est beaucoup plus faible ». De fait, avec la diminution du recours aux premiers analogues nucléosidiques et antiprotéases, l’apparition de nouveaux cas de diabète chez les PVVIH passe de 14 pour 1000 patients par an en 1999 à 6 en 2009 d’après l’étude française APROCO-COPILOTE (ANRS).

Si la différence de prévalence de diabète entre patients infectés et non infectés par le VIH diminue, l’incidence du diabète dans la population générale ne cesse en revanche d’augmenter, en raison notamment de facteurs environnementaux comme le mode de vie, en particulier la sédentarité, l’alimentation déséquilibrée, etc. « Il s’agit d’une problématique importante pour les PVVIH dont le risque de diabète suit cette hausse globale, et est également associé à l’exposition prolongée au virus et aux traitements. Mais la bonne nouvelle est que le risque supplémentaire par rapport à la population générale est moins important qu’auparavant », tempère Corinne Vigouroux.

Quels sont les facteurs de risque ?

Dans la population générale, les facteurs de risque principaux de diabète sont l’âge, le surpoids, les antécédents familiaux de diabète, la sédentarité, le sexe masculin, l’infection par le virus de l’hépatite C, ainsi que la répartition préférentiellement abdominale des graisses corporelles. Ce dernier facteur est souvent exacerbé chez les patients infectés par le VIH, en particulier ceux ayant été soumis aux antirétroviraux les plus anciens, qui ont pu développer une lipodystrophie. Ce risque est néanmoins devenu de moins en moins prévalent avec le temps et l’évolution des traitements.

Parmi les autres facteurs de risque plus spécifiquement liés au VIH, on peut citer les facteurs immunologiques, comme l’activation immune, la dysbiose intestinale ou l’inflammation résiduelle, qui contribuent au risque de diabète. A ces facteurs s’ajoutent dans les pays émergents la malnutrition, la dénutrition au moment de l’introduction des traitements antirétroviraux, les co-infections par l’hépatite B, par la tuberculose, etc.

« Les risques concrets pour les PVVIH sont de développer un diabète à un âge plus jeune que la population générale, ou de souffrir de pré-diabète et/ou du syndrome métabolique, c’est-à-dire d’une conjonction de facteurs (répartition abdominale des graisses, anomalies des lipides sanguins, concentration de glucose dans le sang un peu élevée, hypertension artérielle) qui entraînent à la fois un risque de diabète et un risque cardiovasculaire (risque de maladies ischémiques du cœur en particulier) », détaille Corinne Vigouroux.

Comment traiter à la fois le VIH et le diabète ?

Les lignes directrices pour le traitement du diabète chez les personnes séropositives sont cependant similaires à celles de la population générale. Il est important de se faire dépister, d’examiner les comorbidités associées, de surveiller son poids (en particulier pour les PVVIH sous inhibiteurs de l’intégrase), et d’être attentif à tous les autres facteurs de risque cardiovasculaire : cholestérol, tabac, hypertension, sédentarité, utilisation de drogues récréatives, etc. Il est également essentiel de prendre en compte les interactions médicamenteuses, certains médicaments utilisés pour abaisser la glycémie pouvant interagir avec les médicaments contre le VIH. C’est notamment le cas de certains inhibiteurs de l’intégrase comme le dolutégravir avec certains antidiabétiques comme la metformine.

« Le taux de glycémie des personnes séropositives doit être vérifié avant de commencer un traitement contre le VIH. Certains médicaments utilisés pour traiter le VIH peuvent en effet augmenter encore plus le taux de sucre dans le sang ou provoquer une prise de poids, qui est un facteur de risque pour le développement du diabète, confirme la professeure Vigouroux. Je dirais que les actions de pointe dans la prise en charge sont prévenir, être attentif au taux de glycémie et réagir vite. Il est également très important de mener des actions d’éducation thérapeutique autour de l’activité physique, de l’équilibre alimentaire et des facteurs de risque cardiovasculaire ».
(Source : www.sidaction.org/transversal/diabete-et-vih-quelles-interactions)

Les personnes vivant avec le VIH sont-elles plus susceptibles de souffrir de diabète que la population générale ? Quels sont les facteurs prédisposants et les risques effectifs auxquels elles sont exposées ? Le point sur les liens entre ces deux maladies chroniques et sur les dernières étud...

Adresse

Chartres
28000

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Association des diabétiques départementale d'Eure et Loir publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Association des diabétiques départementale d'Eure et Loir:

Partager


Autres Site web d’actualités à Chartres

Voir Toutes