Grand-Format

Grand-Format Grand-Format est un journal en ligne multimédia. Nous publions tous les mois une histoire vraie sur la Normandie, sous la forme d'une mini-série.

Et une newsletter avec de petites histoires dedans.

Grand-Format, un média qui vous fait connaître vos voisins !Depuis cinq ans, Grand-Format vous raconte la vie (extra) or...
16/11/2024

Grand-Format, un média qui vous fait connaître vos voisins !
Depuis cinq ans, Grand-Format vous raconte la vie (extra) ordinaire de Normandes et de Normands qui vivent à côté de chez vous. Des femmes qui souffrent de précarité énergétique, des ingénieurs qui ont changé de vie, des gens qui croulent sous les dettes, des chômeurs qui retrouvent un travail…
Grâce à vos dons, vous nous permettez de partir en reportage, d’enquêter, d’écrire et de publier leurs histoires.
Nous avons besoin de 10 000 euros pour débuter l’année 2025. Si vous appréciez nos articles, engagez-vous à nos côtés avant le 31 décembre !

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⚽️46 terrains de football. 🍅C'était la taille envisagée d'une des plus grandes serres à tomates d'Europe.Elles auraient ...
13/11/2024

⚽️46 terrains de football.

🍅C'était la taille envisagée d'une des plus grandes serres à tomates d'Europe.
Elles auraient été construites en 2026, dans le sud de la Manche.
Les conditions de travail y sont d'ores et déjà déplorables, raconte Guy Pichard dans Reporterre, le média de l'écologie

Mais...

❌La Préfecture de la Manche n'a finalement pas accordé d'autorisation environnementale.

📯... la mobilisation contre ce projet organisée samedi à Isigny-le-Buat par la Confédération paysanne et le collectif Stop tomates industrielles est maintenue.

Marylène Carre vous résume l'affaire dans Grand-Format.

Dans la Manche, la petite commune d’Isigny-le-Buat, 3 000 habitants, pourrait bientôt compter la plus grande serre à tomates d’Europe. C’est le projet du groupe hollandais AgroCare, l’un des plus grands producteurs de tomates sous serres d’Europe, également implanté au Maroc et en Tuni...

[Dernier appel] Recevez notre nouveau numéro papier, gratuitement, chez vous ! 🏘Il mêle deux histoires d’habitat partagé...
09/11/2024

[Dernier appel] Recevez notre nouveau numéro papier, gratuitement, chez vous !

🏘Il mêle deux histoires d’habitat partagé dans la Manche. D’un côté l’expérience du béguinage solidaire à Valognes, où vingt-huit retraités ont décidé de vivre ensemble pour s’entraider et vaincre l’isolement. De l’autre une colocation intergénérationnelle, entre une personne âgée et une étudiante à Sartilly, que nous vous racontions en 2021.

📥Il vous suffit de nous laisser votre adresse postale à partir du formulaire suivant.

👉https://framaforms.org/adresse-postale-1670509647

(PS : Si vous avez déjà reçu un numéro papier, pas besoin de remplir le formulaire. Nous avons déjà votre adresse postale !)

Jonas Verhaeghe

Nouveau rebondissement dans l'affaire de l'Androcur, un médicament progestatif à l'origine de tumeurs non cancéreuses ma...
08/11/2024

Nouveau rebondissement dans l'affaire de l'Androcur, un médicament progestatif à l'origine de tumeurs non cancéreuses mais très dangereuses au cerveau.

L'association Amavea Association Méningiomes, dont nous vous racontions le combat de sa présidente, Emmanuelle Mignaton, en mai 2023, porte plainte à Paris contre X pour "administration de substance nuisible, atteinte involontaire à l’intégrité de la personne, mise en danger de la vie d’autrui, non-signalement d’effet indésirable et tromperie aggravée".

Relisez notre article :

En 2011, Emmanuelle Mignaton a commencé à être envahie par des maux de tête terribles : des tumeurs non cancéreuses lui compressent le cerveau. En cause, un médicament progestatif qu’on lui a prescrit depuis des années. C’est le début d’un long parcours pour lancer l’alerte, à l’....

[Événement] Ce week-end, nous étions au festival de BD, Quai des Bulles, à Saint-Malo, pour parler de la montée des eaux...
30/10/2024

[Événement] Ce week-end, nous étions au festival de BD, Quai des Bulles, à Saint-Malo, pour parler de la montée des eaux et de notre reportage dans La R***e Dessinée.

Le Quai des Bulles, c'est le deuxième événement de BD de France. 46 000 visiteurs cette année, 900 auteur.e.s, des allées bondées, des files d'attente interminables pour des signatures...

Et une conférence sur les solutions face à la mer qui monte, aux côtés du dessinateur Jean Cremers, animée par Amélie Mougey dessinée en live par Camille Besse.

Merci aux consœurs et confrères de La R***e Dessinée pour cette invitation et pour l'organisation!

Le texte initial de l'enquête est là : https://grand-format.net/series/montee-des-eaux-normandie-adaptation/

Et la BD est à découvrir dans les Relays et librairies quelques jours encore, ou à partir d'ici : https://www.larevuedessinee.fr/

̂te

« Les pouvoirs publics avaient peur de l’incendie, ils sont en train de le créer. Les logements vont devenir des squats....
29/10/2024

« Les pouvoirs publics avaient peur de l’incendie, ils sont en train de le créer. Les logements vont devenir des squats. Il faut les vider en urgence. »

Faute d’ouvrir suffisamment de places d’hébergement d’urgence, l’État avait fait le choix de louer des appartements dans le parc privé. Ayant eu affaire à des marchands de sommeil, il rompt le marché dans le Calvados. Mais sans solution pérenne de relogement, les habitants sont restés sur place.
A lire sur Le Poulpe
https://www.lepoulpe.info/dans-le-calvados-apres-sa-rupture-avec-un-bailleur-prive-controverse-l-etat-ne-sait-plus-quoi-faire-des-sans-abris

[Burn out chez les travailleurs sociaux]Les travailleurs sociaux accompagnent des enfants et leur famille, des enfants p...
21/10/2024

[Burn out chez les travailleurs sociaux]

Les travailleurs sociaux accompagnent des enfants et leur famille, des enfants placés, des personnes en difficultés sociales ou psychiatriques, en situation de handicap. Derrière le soutien qu’ils et elles apportent se cachent des conditions de travail précaires et un épuisement professionnel, longtemps tu. Témoignages.

👉 https://grand-format.net/articles/burn-out-chez-les-travailleurs-sociaux/

Ouest-France Caen parle de notre reportage dans La R***e Dessinée
16/10/2024

Ouest-France Caen parle de notre reportage dans La R***e Dessinée

Simon Gouin et Jean Cremers ont publié le fruit de leur travail dans le numéro d’automne 2024 de La R***e dessinée. Les deux auteurs attirent l’attention sur le problème du grignotement de la côte ouest de la Manche causé par le réchauffement climatique, et les solutions imaginées pour y...

« Je devais faire face à une centaine d’enfants qui ont subi des traumatismes incommensurables, des enfants torturés, de...
04/10/2024

« Je devais faire face à une centaine d’enfants qui ont subi des traumatismes incommensurables, des enfants torturés, des enfants terroristes, des enfants soldats, des jeunes filles violées. J’étais payé pour recevoir des insultes et parfois des coups lors de scènes de violences quasi quotidiennes. J’ai tenu cinq ans”, raconte Étienne*, 55 ans, ex-animateur social technique dans un foyer de mineurs non accompagnés. Comme Étienne, nombreux sont les travailleurs sociaux qui, en raison de leur exposition à la violence d’un public en souffrance, et en raison de leurs conditions de travail difficiles, souffrent eux-mêmes, souvent en silence.
Un reportage à lire sur Grand-Format

Les travailleurs sociaux accompagnent des enfants et leur famille en difficultés, des enfants placés, des personnes en difficultés sociales ou psychiatriques, ou en situation de handicap. Derrière le soutien qu'ils et elles apportent se cachent des conditions de travail précaires et un épuisem...

[Petit format] Depuis la sortie de son livre « 125 et des milliers », en mars 2024, où elle dresse le portrait de femmes...
27/09/2024

[Petit format] Depuis la sortie de son livre « 125 et des milliers », en mars 2024, où elle dresse le portrait de femmes tuées par leur conjoint, Sarah Barukh développe d’autres projets pour aider les femmes à quitter leur relation amoureuse abusive.

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Depuis la sortie de son livre « 125 et des milliers », en mars 2024, où elle dresse le portrait de femmes tuées par leur conjoint, Sarah Barukh développe d’autres projets pour aider les femmes à quitter leur relation amoureuse abusive. L’écrivaine Sarah Barukh a subi des violences conjuga...

[Long-format] Depuis début 2023, un habitat atypique a ouvert ses portes à Valognes, dans la Manche. À quelques encablur...
24/09/2024

[Long-format] Depuis début 2023, un habitat atypique a ouvert ses portes à Valognes, dans la Manche. À quelques encablures du centre-ville, vingt-huit retraités ont emménagé dans une splendide bâtisse du dix-huitième siècle. Entre vie partagée et autonomie, les habitants expérimentent une nouvelle forme de vivre ensemble.

Jonas Verhaeghe raconte dans ce récit dessiné la vie de ce lieu.

Depuis début 2023, un habitat atypique a ouvert ses portes à Valognes, dans la Manche. À quelques encablures du centre-ville, vingt-huit retraités ont emménagé dans une splendide bâtisse du dix-huitième siècle. Entre vie partagée et autonomie, les habitants expérimentent une nouvelle form...

[Petit format] Une société plus inclusive ? On en rêve après les JO paralympiques de Paris. Mais les moyens pour accueil...
17/09/2024

[Petit format] Une société plus inclusive ? On en rêve après les JO paralympiques de Paris. Mais les moyens pour accueillir les enfants avec un handicap à l'école restent toujours insuffisants.

Deux mères d’élèves caennaises racontent leur parcours à Grand Format.

Le handicap à l’école a toujours été une question difficile pour les parents, les enfants et aussi les établissements scolaires. Deux mères d’élèves caennaises racontent leur parcours à Grand Format. L’école est un casse tête pour les parents et pour les enfants en situation de hand...

[Quand la mer monte]En janvier dernier, nous publiions notre enquête sur la montée des eaux en Normandie. La voilà adapt...
12/09/2024

[Quand la mer monte]

En janvier dernier, nous publiions notre enquête sur la montée des eaux en Normandie. La voilà adaptée en BD dans La R***e Dessinée, grâce aux dessins de Jean Cremers.

Disponible en librairie et sur le site de la R***e dessinée !

[Avec l'équipe olympique des réfugiés à Bayeux]Comme en Afrique et en Asie, les sportifs fuient aussi les conflits armés...
09/08/2024

[Avec l'équipe olympique des réfugiés à Bayeux]

Comme en Afrique et en Asie, les sportifs fuient aussi les conflits armés et la tyrannie en Amérique latine et dans les Caraïbes. À Cuba, où le président Miguel Diaz-Canel a été réélu par plus de 97% des députés en 2023, la dictature a poussé à l’exil l’haltérophile Ramiro Mora et le canoéiste Fernando Dayan Jorge Enriquez, membres de l’équipe olympique des réfugiés. On vous raconte leurs histoires.

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Du 15 au 18 juillet, Bayeux accueillait les 37 sportives et sportifs sélectionné(e)s pour porter les couleurs de l'équipe olympique des réfugiés à Paris. Dans la « première ville libérée de France », ce premier et unique regroupement avant les Jeux olympiques était fort en symboles pour ...

Une première médaille pour l'équipe olympique des réfugiés! Et c'est la boxeuse Cindy Ngamba qui la remporte en se quali...
05/08/2024

Une première médaille pour l'équipe olympique des réfugiés! Et c'est la boxeuse Cindy Ngamba qui la remporte en se qualifiant hier, pour les demies-finales!

Camille Vandendriessche l'a rencontrée il y a deux semaines à Bayeux.

Quand on lui demande si elle a une chance de médaille, elle riposte sans attendre. «Je suis la première boxeuse réfugiée de l’histoire à m’être qualifiée aux Jeux. J’ai dû me battre très dur pour y arriver, ce n’est pas quelque chose qu’on m’a juste donné. Alors maintenant que j’ai mon ticket, je vais livrer le meilleur de moi-même, vider tout ce que j’ai dans le réservoir, pour gagner une médaille. Pour me défendre, je saurai trouver des parades à tout ce que mes adversaires mettront à table. Je suis quelqu’un qui sait s’adapter, tout comme je me suis adaptée dans la vie. J’ai eu d’innombrables hauts et bas depuis mon arrivée en Angleterre, alors pour ce qui est de la boxe, c’est la partie la plus facile, j’ai l’impression, comparé à ce que j’ai traversé dans ma vie…»

De par son enfance passée à Douala, la capitale économique camerounaise, la boxeuse de 26 ans parle couramment français, mais elle préfère s’exprimer en anglais. Elle aussi a découvert son sport de prédilection dans son pays d’adoption, le Royaume-Uni. Cindy avait 11 ans quand elle est arrivée à Bolton, près de Manchester, pour rejoindre son père, avec le reste de sa famille. «J’ai toujours été une enfant très sportive. Au Cameroun, je jouais au football avec les garçons. Je restais collée à mon grand frère comme si on était jumeaux! En arrivant en Angleterre, j’ai rejoint une équipe de foot féminine. C’était bien, j’aimais bien ce sport, mais ce n’était pas assez « challenging » pour moi.»

C’est à l’âge de 15 ans qu’elle entre par curiosité dans une salle de boxe et trouve sa voie. «Moi qui étais calme, introvertie, en manque d’assurance, j’ai pu faire entendre ma voix et exprimer ma personnalité. Ça m’a fait du bien au niveau physique et psychologique. J’avais du mal à m’adapter à mon nouveau pays. La boxe m’a aidée à libérer mon énergie et à me sortir de mon quotidien.» Car à l’époque, Cindy vit une période tourmentée. En plus du climat et de la langue, la lycéenne doit affronter les moqueries de ses camarades de classe et les refus successifs à ses demandes pour obtenir le statut de réfugiée. À 20 ans, lors d’un banal rendez-vous avec les services d’immigration, elle et son frère sont arrêtés et envoyés dans un centre de détention de Londres. Lesbienne, la jeune femme craint alors d’être renvoyée au Cameroun, où l’homosexualité est criminalisée. Mais heureusement, elle et son frère sont relâchés au bout de 48 heures…
«La boxe, c’est la partie la plus facile»

Deux ans plus t**d, soit dix années après son arrivée en Angleterre, Cindy Ngamba obtient enfin le statut de réfugiée. Entre-temps, la boxeuse a remporté ses premiers combats et même décroché le premier de ses trois titres nationaux en 2019, dans la catégorie des 75-81 kg. Depuis, elle a fait ses preuves au niveau international et occupe le troisième rang au classement mondial des -75 kg. Pourtant, elle a été surprise par cette première sélection au sein de l’équipe olympique des réfugiés. «Je n’ai jamais pensé aux Jeux Olympiques, je n’y jamais cru, même si c’est le rêve de tout athlète professionnel ou amateur, confie la jeune diplômée en criminologie. C’est seulement lors de mon deuxième tournoi de qualification olympique à Milan, après mon dernier combat, quand on m’a levé la main et que le speaker a annoncé ma qualification, que j’ai réalisé que j’allais y participer.»

«Je n’ai jamais pensé aux Jeux Olympiques, je n’y jamais cru.»

Pour lire d'autres histoires de ces athlètes exilés, rendez-vous sur Grand-Format.

👉https://grand-format.net/series/avec-lequipe-olympique-des-refugies-a-bayeux/

[Sportifs en exil] Le judoka syrien exilé en Allemagne Adnan Khankan combat aujourd'hui aux JO de Paris. Nous l'avons re...
01/08/2024

[Sportifs en exil] Le judoka syrien exilé en Allemagne Adnan Khankan combat aujourd'hui aux JO de Paris. Nous l'avons rencontré il y a deux semaines, à Bayeux.

Il n'avait pas prévu de fuir son pays natal, la Syrie. Originaire de Damas, la capitale, il débute le judo à 10 ans sur les conseils d'un ami de son père, professeur de judo. « Il lui a dit que j'avais un très bon corps pour le judo, mais mon père ne voulait pas que j'en fasse. Il trouvait qu'il y avait trop de tensions dans ce sport. Une semaine plus t**d, mon oncle m'a quand même emmené à un entraînement. Dès la première seconde, j'ai trouvé ça fantastique. Tout le monde avait l'air heureux, et j'ai tout de suite aimé le judo. Après seulement trois années de pratique, j'ai été contacté par l'entraîneur national pour intégrer l'équipe de Syrie. J'ai participé à plusieurs championnats asiatiques et arabes, avec de bons résultats et même une médaille aux championnats d'Asie juniors à Beyrouth. Ma carrière avait vraiment bien commencé, jusqu'à ce que je doive quitter la Syrie... Mais c'est une histoire différente, je préfère parler de sport ! » Il acceptera d'en dire un peu plus, quelques mots d'allemand se glissant dans son récit.

En 2015, alors que la guerre civile fait rage depuis quatre ans, Adnan, alors 21 ans, est appelé à combattre avec l'armée de Bachard Al-Assad. Réprouvant l'idée de prendre les armes contre ses propres compatriotes, il ne voit d'autre solution que de fuir vers l'Europe. « Ce voyage était trop dangereux, mais je n'avais pas le choix. J'ai marché jusqu'en Turquie, à travers les Balkans, et encore marché dans les forêts. Ça a duré 21 jours en tout. » Arrêté à la frontière entre la Croatie et la Hongrie, Adnan est envoyé dans un camp de réfugiés à Trièves, en Allemagne. « Je suis arrivé le 1er octobre 2015. J'avais beaucoup de problèmes, je ne parlais pas allemand, je ne savais rien de mon avenir, mais pendant les trois mois passé au centre de réfugiés, je n'ai pas perdu de vue mes objectifs. Je m'entraînais tous les jours avec mon ami judoka qui a voyagé avec moi. C'est ce qui m'a permis de garder espoir, parce que je ne peux pas vivre sans sport. »

Son témoignage complet est à lire sur Grand-Format : https://grand-format.net/series/avec-lequipe-olympique-des-refugies-a-bayeux/ #2

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