16/05/2015
Association des personnes handicapées
de la daïra de Mekla « Espoir »
Soutien au président de notre association
Pour nous en tant qu’association caritative il est inacceptable est inadmissible de supporter toute ces injures et ces accusations calomnieuses parues à travers la presse venant de quiconque et surtout pas de la part de la présidente de l'association « l’élan du cœur », celle en qui nous avions si confiance la supposant de bonne foi.
Comment expliquer que nous découvrons chaque jour que Dieu fait, un article dans les pages de différents journaux dénonçant -selon cette présidente- des actes qu'elle se considère en droit de juger ? Mais hélas, cette dame, outrepassant ses prérogatives, s'arroge des droits au détriment des personnes qui sont les plus concernées. Cette façon d'agir à travers la presse dénote des intentions claires : salir la personne de notre président ou cacher ce que cette dame doit avoir certainement à se reprocher à moins qu'elle ne soit conseillée dans ce sens par des gens malintentionnés ! ajouter que les personnes qu'elle contacte en compagnie des acolytes qui ne la lâchent pas d'une semelle, d'une manière « judicaire » et sans être dotée d'aucun mandat par une quelconque autorité judiciaire, à travers des visites « incognito », des recherches auprès des bénéficiaires, des contacts avec des membres qui n'ont fait que figurer dans les listes des membres de notre association. Il semble que cette affaire a pris une ampleur dénaturée considérant que cette dame n’agit de cette manière que pour tenir la réputation de notre association et se sentant certainement coupable envers l'association qu’elle dirige au point d'interférer avec les activités de notre association sans pour cela y avoir droit, faisant des enquêtes relevant de la compétence des gens concerné par cette mission.
Puisque plainte a été déposée par cette dame à notre encontre, la justice ne l'a pas mandatée pour des enquêtes, entachant cette plainte d'irrégularité relevant de la justice.
Toutes les personnes impliquées dans cette affaire, au point de tomber dans la diffamation, savent pertinemment que notre activité au bénéfice des handicapés que ce soir à l'échelle de notre daïra ou à l’échelle nationale, n’a comme unique objectif que de venir en aide à nos frères dans le besoin. Lorsque ces personnes déclarent, sans apporter aucune preuve que nous serions (aberration incongrue) en train de monnayer notre action, cela ne peut peut-être que la diffamation, à moins que cela soit un règlement de compte avec nous sans que nous sachions en quoi nous avons fauté envers ces dites personnes.
Lorsque nous avons discuté avec cette dame en vue d'une collaboration au bénéfice de nos frères, il n'a jamais été question d'un quelconque accord qui donnerait des prérogatives à cette dame- est à ses acolytes- de superviser notre action en Algérie à partir de ses bureaux de Paris. Nous sommes une association relevant du droit algérien et sous l'autorité des responsables de la Wilaya de Tizi Ouzou.
Si une partie des lots reçus n'a pas été distribuée, il faut rappeler que certains articles étaient inutilisables avant réparation, et c'est ainsi que certains handicapés n'ont pas été servis et ont dû attendre les réfections ou le prochain arrivage.
Car, et ceci est un point très important : comment expliquer la présence dans les lots mis à la disposition de notre association par cette dame comprennent des… couveuses- usagées !- avec un sac- poubelle plein de lunettes usagées et 30 cartons de masques respiratoires ! Sans oublier que des articles n'ayant aucune relation avec notre activité figurent dans les conteneurs semblant faire partie d'un « bourrage » des envois ! Ces envois, compte tenu de leur contenu
Semblent beaucoup plus ressembler aux sacs de récupération qu’à de sacs de collecte. Ou d'une activité falsificatrice de cette responsable d'association au regard de documents administratifs de cette association sur ses activités en tant que responsable de cette association. Les autorités françaises seraient alors en droit d'enquêter sur les activités de cette dame en vertu de leurs prérogatives judiciaires.
Notre association a distribué le matériel aux handicapés de notre daïra, sachant que les membres de notre association sont prioritaires, durant des séances publiques, dans des salles publiques en présence des autorités locales et régionales, des services de la Sûreté urbaine, des personnalités publiques de toute la région, des membres des autres associations de toute la wilaya, de nos bienfaiteurs locaux et régionaux, et de toutes les personnes qui ont bien voulu nous honorer de leur présence, y compris tous ces gens qui se font nos diffamateurs. Des photos ont été prises par tout le monde. Des vidéos sont archivées au niveau de notre association.
Les décharges ont été établies sur place pour les bénéficiaires mais, pour certains ayant bénéficié sans être membre officiellement, les décharges ont tardé à être mises à jour.
Pour notre activité, faudra-t-il rappeler que nous avons toujours activé en collaboration étroite avec l'autorité de tutelle à savoir la direction de l'action sociale, laquelle nous a été d'un très grand secours par l’affectation d’un personnel dans le cadre de l'emploi de jeunes, ce qui a permis à notre association d'effectuer les activités des « auxiliaires de vie » directement à domicile auprès des handicapés qui ne peuvent nullement se déplacer comme nous avons assuré des repas chauds à certains de nos handicapés de la daïra à domicile durant tout le ramadan.
Nous nous devons de rappeler que nous n'avons de comptes à rendre qu’à Dieu avant toute chose, à nos partenaires nationaux et aux autorités compétentes en matière. Dieu nous juge et cette dame n’est qu’une partenaire dans un domaine bien déterminé- celui d'intermédiaire avec les donateurs d’outremer- qui s'arroge des droits auxquels elle ne peut prétendre, à moins que son action n’ait d'autre objectif que celui d’être « l'arbre qui cache la forêt ». Quand on a gros sur la conscience, on cherche toujours le bouc émissaire.
Aujourd'hui que l’affaire a pris une autre tournure, nous nous déclarons solidaires de notre président HOCINE GANA et demandons déjà qu'il soit remis en liberté tant que la justice n'a pas encore rendu son verdict, surtout compte tenu de son état de santé.
Fait à Djemaâ Saharidj, le : 16/05/2015
Le comité de soutien