Béjaïa sous toutes les coutures

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Juste pour la comparaison.Les œuvres sociales de l'éducation de la wilaya de Béjaïa ont eu la louable initiative d'organ...
28/12/2023

Juste pour la comparaison.
Les œuvres sociales de l'éducation de la wilaya de Béjaïa ont eu la louable initiative d'organiser un séjour au Hammam de Debbagh dans la wilaya de Guelma.
Les bénéficiaires étaient aux anges.
Beaucoup n'attendaient que cette opportunité pour profiter d'une cure de santé ou d'une remise en forme après un trimestre long et harassant.
Jusqu'ici tout va bien.
Sur place, nous avons rencontré des collègues de la wilaya de Bouira.
D'un mot à l'autre, on a appris que cette excursion thermale est meilleure chez nos voisins. Pour quatre nuitées et cinq jours, avec en bonus des sorties à Annaba et Skikda, ils ont déboursé 9000 dinars, alors qu'à Béjaïa on a payé 14500 dinars.
Là, il y'a un hic.
Comment cela est possible ?
Pour la même prestation sociale, organisée par un même organisme, les prix sont différents.
Je ne fais que poser une question.

Mystère et boule de gomme.La date de la rentrée scolaire 2023/2024 est devenue un véritable mystère qu'entretiennent sav...
28/08/2023

Mystère et boule de gomme.
La date de la rentrée scolaire 2023/2024 est devenue un véritable mystère qu'entretiennent savamment les décideurs du Ministère de l'éducation nationale.
La date de la reprise des cours n'est pas encore annoncée alors que dans les pays qui se respectent, le programme est connu avant la sortie des élèves de la saison précédente.
Tous les parents s'interrogent de ce re**rd délibéré. Il faut bien boucler les vacances, Pardi !
Il faut aussi s'atteler aux achats des manuels et des affaires scolaires.
Pourquoi cette date est-elle si importante ou si gênante pour continuer à entretenir le doute et le suspense.
Monsieur Abdelhakim Belaabed, le Ministre de l'éducation, a fait une déclaration, hier à Tiaret, mais aucune reprise des cours n'est signalée, avançant juste cette énigme "Cette date sera dévoilée prochainement".
Le personnel d'administration est en place ce dimanche et les enseignants reprendront la semaine prochaine.
Quant aux pauvres élèves, quand vous saurez la date exacte, vous nous faites signe, s'il vous plaît.

Faut-il en rire ou en pleurer ?Le taux de réussite à l'examen du BEM (brevet d'enseignement moyen) est de 60,97 % cette ...
25/06/2023

Faut-il en rire ou en pleurer ?

Le taux de réussite à l'examen du BEM (brevet d'enseignement moyen) est de 60,97 % cette année. Vous remarquerez qu'il est en hausse comparativement à celui de l'an dernier.
On se souvient qu'il était de 58,16 % pour la session de 2022.
Faut-il s'en étonner ? A regarder la moyen de réussite, il n'y a pas photo. Les candidats sont admis avec la note de 09,50 sur 20. Et on se réjouit, on se congratule d'avoir réussi son examen en dessous de la moyenne reconnue universellement.
Quelle crédibilité nous reste-t-il ?
Quand on vous dit que dans ce pays tout est politique.
Pour préserver son poste de Ministre (généralement c'est un fusible qui saute à la moindre escarmouche), il faut des résultats dignes et encourageants. Le peuple a besoin d'être choyé et satisfait. Et cela, quel qu'en soit le prix. Quitte à se ridiculiser aux yeux du Monde.
Cette année encore, on dira qu'on est les meilleurs et surtout plus fort que nos voisins.
On attendant les résultats du BAC... vogue la galère.

21/12/2022

Une semaine de trop.
Le calendrier fixé par les services de la programmation du Ministère de l'éducation ne fait pas l'unanimité. La réalité du terrain a démontré qu'il y'a une fausse note dans la conception de ce calendrier où deux semaines de scolarité après les examens perturbent les élèves et leurs enseignants.
Les experts du Ministère serait bien inspirés s'ils avaient opté pour un raccourcissement d'une semaine après les compositions.
Certes, la cadence sera démentielle pour les enseignants car ils doivent en ce laps de temps assez court : corriger les copies, faire la correction des sujets en classe et remplir les bulletins.
Quel a été le constat ?
Après la semaine des corrigés, les élèves décrochent et ne sont plus motivés. Les cours du deuxième trimestre sont dispensés avant l'heure. Du gaspillage puisque les vacances d'hiver vont briser l'élan entamé trop top.
Les enseignants courent deux lièvres à la fois. Ils atteignent la saturation et une grosse perte d'énergie inutilement.
Notre système éducatif est ce qu'il est, mauvais et dépassé.
Or, une bonne planification du calendrier scolaire participe grandement à la réussite de nos enfants dans leur scolarité.
Mais avons-nous les compétences humaines au niveau du Ministère pour étudier ce genre de situations et donner la meilleure copie possible dans ce cas ?
Quand on ne sait pas, on regarde ce que font les voisins.

L'enseignement des arts, une réalité.La rentrée de cette année a été riche et a apporté beaucoup de nouveautés dans le s...
29/09/2022

L'enseignement des arts, une réalité.

La rentrée de cette année a été riche et a apporté beaucoup de nouveautés dans le secteur de l'éducation. Après l'enseignement de l'anglais au primaire et l'utilisation de la tablette en replacement du livre scolaire, ce fut au tour de l'introduction de la filière des arts dans le secondaire de voir enfin le jour.
Cette sixième filière est du concret, suite à l'ouverture du lycée d'El Biar, à Alger, qui reçoit 157 élèves sélectionnés à travers le territoire national.
Dans notre wilaya, plusieurs élèves ont concouru mais seulement huit ont été retenus dans les quatre spécialités que sont : la musique, les arts plastiques, le théâtre et l'audiovisuel.
Nos futurs artistes sont installés dans les meilleures conditions et prêts à entamer des études jusqu'à l'examen du baccalauréat des arts dans trois ans.
Bonne réussite à nos surdoués.

21/09/2022

La culture de l'exclusion.
Une annonce vraiment étonnante.
Ce soir, sur la page facebook des œuvres sociales de l'éducation, on n'en revenait pas en constatant de visu l'étroitesse d'esprit des gestionnaires de cette structure. Alors que la création de cette organisation sociale est censée servir les travailleurs et les aider à améliorer leurs conditions, il s'avère qu'à Béjaïa c'est exactement l'inverse qui se produit.
Jugez-en de vous-même.
Un communiqué appelle les travailleurs de l'éducation à déposer le dossier de leurs enfants ayant obtenu le BEM avec 18,50 de moyenne et le BAC avec 17,50 c'est-à-dire presque personne. Ailleurs, dans d'autres wilaya, pour la même opération on exige 17 au BEM et 16 au BAC, faisant bénéficier un maximum.
Chez-nous, on fait dans la parcimonie et dans l'avarice outrancière et maladive. Ils veulent éliminer des lauréats que la Présidence de la république serait ravie de recevoir lors de sa cérémonie annuelle.
Ces élus des œuvres sociales, issus d'un syndicat corporatiste, ne veulent pas du bien à leurs collègues. Ils oublient d'où ils viennent. Il y'a moins d'un an, c'étaient des enseignants anonymes trimant dans leurs établissements respectifs.
Avant de conclure, que dire encore de l'exclusion des admis de l'école primaire avec d'excellents résultats. Ceux-là sont totalement ignorés.
Surtout qu'on ne nous raconte pas l'ineptie qu'il n'y a plus d'examen de cinquième.
Il y'a de quoi s'arracher les cheveux.
Notre devoir est de dénoncer ces anomalies dans un secteur déjà moribond.
Et dire qu'on se plaint constamment des défectuosités de l'administration.

Heureusement que l'entraide existe encore dans ce pays, où les prix des affaires scolaires ont plus que doublé, en moins...
05/09/2022

Heureusement que l'entraide existe encore dans ce pays, où les prix des affaires scolaires ont plus que doublé, en moins d'un an, et ont dépassé tout entendement.
Les parents, dont la majorité ont plusieurs enfants scolarisés, sont affolés par les dépenses à surmonter. Leur pouvoir d'achat étant érodé à son plus bas niveau, ils n'arrivent pas à faire face.
La tenue vestimentaire de rentrée, la blouse, le cartable, les livres, les différentes affaires scolaires et d'autres achats imprévus inquiètent même des salariés de la classe moyenne. Autant de frais et de charges supplémentaires dans le budget familial, à vrai dire, personne n'est épargné.
On se rend compte alors qu'on est pauvre et que la vie est de plus en plus difficile à vivre.
Tiens, pour certains, il y'a cette prime de scolarité de cinq mille dinars comme voie de secours.
Cette bouffée d'oxygène, peut-elle amortir le choc de tous ces frais ?
On aura recours au système D, comme à l'accoutumé. Les objets en état de servir seront encore utiles. Les emprunts et les échanges de quelques matériels ou de livres feront le bonheur des plus récalcitrants.
La solidarité des Algériens est légendaire. Des trousseaux seront offerts aux démunis. Des particuliers et les services sociaux de nos communes seront très sollicités en cette période. Ce sera pénible, mais ça passera.
Ainsi est l'atmosphère de la rentrée. Ça marche uniquement par le miracle divin, comme dirait l'autre.

C'est pour quand, la rentrée ?Partout dans le Monde, avant les vacances scolaires, on connaît déjà la date de la reprise...
28/08/2022

C'est pour quand, la rentrée ?

Partout dans le Monde, avant les vacances scolaires, on connaît déjà la date de la reprise.
Ainsi, les parents vont s'organiser et préparer la rentrée scolaire de leurs enfants. Rien ne se décide à l'improviste. Ils tracent un programme jusqu'au retour, avec les achats, les cours durant les vacances, la préparation psychologique ...
Chez nous, le personnel administratif est en place. Les établissements scolaires sont prêts. Les élèves attendent qu'on leur fasse signe, mais aucune bonne nouvelle n'est annoncée pour les destresser et les aider à amorcer une année scolaire qu'on prévoit longue et chargée.
Ça ne se passe qu'en Algérie.
Le Ministre, lors de sa conférence de presse, a parlé de tous les sujets sans mentionner la date de la rentrée scolaire, une aberration !
Surtout qu'on ne cherche pas des justifications, du genre "c'est à cause de l'anglais au primaire". Ou encore "continuer à répartir les élèves en groupes ou ...".
On continue l'improvisation alors que le moindre détail est sensé être réfléchi au préalable.
Ce n'est pas sérieux tout çà.

Cherche directeur désespérément...Notre wilaya est sans directeur de l'éducation depuis maintenant quatre mois. La nouve...
25/08/2022

Cherche directeur désespérément...

Notre wilaya est sans directeur de l'éducation depuis maintenant quatre mois. La nouvelle secrétaire générale, récemment installée, assure l'intérim.
Le titulaire en poste n'a pas tenu deux mois et fut congédié illico-presto suite à son congé de maladie diplomatique déposé la veille des examens de fin d'année, le moment le plus crucial dans le secteur. Une faute gravissime aux yeux des responsables.
La maison fut, plus ou moins, préservée. Aucun incident d'importance n'est à déplorer malgré le manque d'expérience de la remplaçante.
Notre secteur, qui a souffert des nominations hasardeuses, va-t-il subir longtemps la vacance d'un poste aussi névralgique ?
C'est dans de telles situations que l'on reconnaît l'importance accordée par la tutelle à une direction. Il s'avère que Béjaïa ne pèse pas lourd. Personne ne lui donne du crédit, on l'a oubliée dans l'échiquier national.
Dans les bureaux sombres du Ministère, on concocte des surprises en préparant un réaménagement des responsables de wilaya pour la rentrée sociale prochaine.
Dans la pochette surprise du Ministre de l'éducation sortira peut-être l'homme qu'il faut, capable de mener à bien notre wilaya. Mais si on continue le bricolage, on aura un autre stagiaire, comme ces prédécesseurs, et dans ce cas, adieu la baraque. Ce sera toujours le règne de la médiocrité avec des chefs de service à la botte d'un syndicat qui fait la pluie et le beau temps.
Ces chefs de service, pour une partie d'entre eux, sont des pistonnés à la solde du clan qui les a placés là.
Les problèmes seront toujours réglés à la carte et beaucoup de travailleurs subiront l'injustice et leur mise à l'écart continuelle.

Une direction sans directeur. L'alerte est déclenchée dans le secteur de l'éducation. Rien ne va plus ces derniers temps...
19/06/2022

Une direction sans directeur.

L'alerte est déclenchée dans le secteur de l'éducation. Rien ne va plus ces derniers temps.
Le congé de maladie du nouveau directeur de l'éducation se prolonge encore et encore. Les dossiers s'entassent et le re**rd s'accumule. La situation financière risque d'en pâtir.
Le ministère de tutelle ne sait plus quoi faire de cet état. Remplacer ce directeur boiteux ou placer un intérimaire pour assurer la continuité du service.
Une mauvaise surprise attend les travailleurs de l'éducation dans les prochains jours. La prime de rendement ne sera pas versée dans les délais faute de signataire. Ça va jaser.
Après son installation et les passations de consignes, le directeur n'a pas présenté son dossier pour obtenir son agrément de signature. Qui va signer alors les états financiers en cours ?
Heureusement que le personnel de la DE maîtrise parfaitement l'organisation des examens de fin de cycles. Aucun incident n'a été déploré. Aucun scandale n'a été signalé. Quelle aubaine !
Le Ministère va-t-il se satisfaire uniquement de ça ?
Espérons que les choix à venir seront les plus adéquats

05/06/2022

Le directeur de l'éducation sous pression ?

A peine installé, le directeur de l'éducation de notre pauvre wilaya, prend un congé de maladie diplomatique.
Cet administrateur, venu récemment d'Alger, n'a pas bouclé un mois de présence et n'a même pas eu le temps de s'imprégner de la situation réelle de son secteur que déjà la pression exercée sur lui par le syndicat corporatiste, connu pour ses escapades répètées, le fait déguerpir de son bureau à la première alerte.
En effet, suite à une exigence de ce syndicat, qui veut, comme toujours, s'impliquer dans la cogestion et décider à la place des décideurs, de changer la décision prise en toute souveraineté par la commission de discipline à l'encontre d'un chef d'établissement. Ce syndicat veut une sanction du quatrième degré (la sanction du troisième degré n'est pas sévère apparemment), quitte à déclencher un mouvement de grève à travers la wilaya. Bien-sûr à ses adhérents, plutôt à ses moutons qui ignorent tout, il dira qu'il s'agit de revendications sociales ou professionnelles (ça passe à tous les coups).
Recevant ces menaces en pleine figure, notre directeur rentre chez-lui, sans donner signe de vie depuis plusieurs jours déjà.
Allez-y comprendre quelque chose à ce monde qui ne tourne pas rond !

Violence, dites-vous ?Ces jours-ci, certains illuminés ont cru détecter un nouveau phénomène dans le secteur de l'éducat...
30/05/2022

Violence, dites-vous ?
Ces jours-ci, certains illuminés ont cru détecter un nouveau phénomène dans le secteur de l'éducation.
Chacun y va de sa théorie.
En spécialistes qu'ils ne sont pas, ils vous diront qu'il s'agit d'un prolongement de la violence dans notre société qui s'exprime pleinement à l'école.
D'autres verront que cela relève des conséquences de la dégénérescence de notre système scolaire.
En allant plus loin dans leur analyse, ils sont sûr qu'il s'agit d'un coup de vengeance de la part des élèves envers leurs professeurs qui les ont déçus et malmenés durant l'année scolaire.
Or, déchirer ses cahiers à la fin des examens, est du déjà vu.
Cette scène se répète à la même période depuis des décennies.
Nos élèves, se libèrent ainsi d'une conduite qu'on leur impose, qui est un peu trop conformiste et rigoriste à leurs yeux. Ils observent au sein de leurs établissements une discipline étouffante, quasi militaire.
En psychologie, il est connu qu'un adolescent rebute le respect des règles, il a tendance à désobéir, à se rebeller contre la loi et le règlement établi par les adultes.
Par contre, on a signalé à certains endroits de quelques rares wilayas, une exagération de violence physique, puisque des enseignants ont été agressés à coups d'œufs et le mobilier des classes vandalisé.
Rien ne sert de dramatiser et de chercher de faux coupables.
Il est tout à fait clair que notre école a besoin d'une réforme et d'une refonte totale.
Mais ça, c'est une autre sujet.

24/05/2022

Un petit tour et puis s'en va.

Le Directeur de l'éducation, en fin de mission à Béjaïa, n'a pas gobé sa mise à l'écart, ou plutôt la manière dont il a été éjecté de son confortable siège.
Rien ne sert de grogner ou de gesticuler quand on est en service.
Quand on vous confie une mission, on peut réussir et avoir les éloges des supérieurs et des subalternes. Mais quand on échoue, on plie ses bagages et on prie Dieu pour une sortie clémente et sans trop de dommages à sa carrière.
Il est vrai qu'on peut faire valoir des circonstances atténuantes. Une maladie handicapante diminue de vos capacités ou du rendement exigé de vous.
Le bilan est à établir ailleurs, sur un autre terrain, celui de la gestion quotidienne des affaires de la cité et des résultats qu'a engendrés cette gestion approximative.
Qu'en pensent vos collaborateurs directs de votre administration, Monsieur le directeur ?
Qu'en pensent les partenaires sociaux des relations de travail avec eux ? Là sont les véritables questions.
Sinon à ce degré de responsabilité, personne n'est intouchable.
Les bons conseillers ne sont jamais ces flatteurs de beni-oui-oui.
Maintenant, les habituels lèche-bottes, qui ont grandement contribué à la débâcle générale, vont se recycler ailleurs, auprès du maître du moment.
On ne récolte que ce qu'on a semé.
A ce niveau de jeu, on perd ou on gagne. Quand on perd, il faut savoir quitter la table avec honneur en assumant ses erreurs passées.
Buonasera.

15/05/2022

Changement à la tête de la Direction de l'éducation de la wilaya de Béjaïa.

Le Directeur de l'éducation, tant décrié par les partenaires sociaux, a été relevé de ses fonctions, ce dimanche quinze mai en raison, selon le Ministère de l'éducation, de son état de santé défaillante.
Il est vrai que le premier responsable de l'éducation dans notre wilaya est d'une forme physique assez fragile. Il a été admis en hospitalisation à plusieurs reprises.
Pour ne pas tirer sur les ambulances, ce qui n'est pas de notre éducation, on lui souhaite un prompt rétablissement et une meilleure reprise.
Le nouveau Directeur est attendu dans l'après-midi pour les passations de consignes.
Comme son prédécesseur, il exerçait à Alger.
M. Arrous était un chef de service des finances et des moyens au niveau de l'académie d'Alger-est. Malgré une expérience avérée dans les rouages de l'administration, ce sera le premier poste qu'il occupera en qualité de Directeur de wilaya dans l'éducation.

PS : Nous reviendrons prochainement avec de nouvelles contributions.

14/05/2022

ABERRATION DU STATUT PARTICULIER.
Pour être responsable, dans n'importe quel domaine, il faut avant tout un savoir-faire qu'on acquiert avec la pratique, l'expérience et surtout la connaissance et la maîtrise de son sujet.
Or, dans le secteur de l'éducation, c'est tout à fait le contraire qui est mis en pratique. Le statut particulier des travailleurs de l'éducation, complété et modifié en 2012, donne la possibilité à un enseignant d'accéder au poste de chef d'établissement avec juste quelques années d'ancienneté d'enseignement. Pour y accéder, il faut réussir au concours en qualité de professeur principal, alors que le grade supérieur à celui-ci n'ouvre pas droit à l'examen d'accès. En effet, les professeurs formateurs possèdent un capital expérience de vingt à trente ans mais n'ont pas le droit de postuler au poste de directeur. Allez-y comprendre l'idée des concepteurs de cette aberration administrative. On devient directeur après six ans seulement sur le terrain mais pas après vingt ans et plus. Que celui qui peut nous fournir la moindre explication éclaire notre lanterne. (Surtout ne nous dite pas que cela relève d'un choix de carrière entre l'administratif ou le pédagogique).
Cette conception des choses sera rectifiée lors de la révision à venir du statut particulier.

27/04/2022

La grève du 26 et 27 avril de la fonction publique ?
Ce n'est pas le raz-de-marée, tel qu'on l'aurait souhaité, mais plusieurs secteurs ont été tout de même paralysés. Les centres hospitaliers, les établissements scolaires, les sièges des APC, les bureaux de poste, des impôts, des assurances ont été, pour la plupart, fermés.
L'appel des syndicats a été entendu par une base frustrée et humiliée par les bribes qu'on lui a attribuées. C'est de l'aumône camarades. C'est à prendre ou à laisser comme dit l'adage populaire. On n'a plus le choix ?
Si. On a le choix de dire "non", de protester par le moyen que nous confère la loi, c'est-à-dire de cesser le travail jusqu'à satisfaction de notre demande en commençant par la réhabilitation de notre dignité.
Pour éviter la propagation du feu, il fallait éteindre l'étincelle. Le Président s'est empressé d'annoncer une nouvelle augmentation des salaires dès le mois de janvier prochain.
Cet avis a eu l'effet escompté par les maîtres du pouvoir. Certains syndicats maisons ont déjà annoncé leur satisfaction et de fait renoncer à la grève.
La bataille ne fait que commencer. Faisons d'abord un bilan et préparons la suite.
Les autorités ont estimé à 60% le suivi de la grève. C'est de bonne augure.

Pour réussir la grève du 26 et 27 avril prochain, le SETE de Béjaïa a organisé une réunion de coordination de délégués s...
21/04/2022

Pour réussir la grève du 26 et 27 avril prochain, le SETE de Béjaïa a organisé une réunion de coordination de délégués syndicaux.
Cette rencontre a été l'occasion de jauger la base syndicale, et par la même, de débattre de toutes les questions inhérentes à cette action de protestation.
Il a été décidé de signer une déclaration dénançant la répression policière envers des syndicalistes de l'éducation, comme il y'a lieu de signaler les entraves à l'exercice du droit syndical.
Les conférenciers tiendront prochainement un conseil extraordinaire pour évaluer le mouvement de protestation et prévoir d'autres actions à l'avenir.

PRINTEMPS AMAZIGHS.A travers ce post, je rends hommage particulièrement aux travailleurs de l'éducation qui, depuis 42 a...
20/04/2022

PRINTEMPS AMAZIGHS.
A travers ce post, je rends hommage particulièrement aux travailleurs de l'éducation qui, depuis 42 ans, n'ont pas failli une seule année à commémorer la date événement du 20 avril 1980 à leur manière, en arrêtant de travailler durant toute la journée.
Sans pression, ni contrainte aucune envers le personnel du secteur totalement investi, celui-ci répond spontanément au mot d'ordre de boycott. En ce jour du 20 avril, les établissements scolaires se ferment de fait. En solidarité, pour marquer cette date symbolique du recouvrement de notre identité ancestrale, il n'y a eu jamais cours.
Les plus entreprenants de nos élèves et de leurs encadreurs organisent, en cette circonstance, des conférences, des expositions, des activités culturelles diverses pour marquer cette événement historique.
Le personnel éducatif de toute la Kabylie montre ainsi son engagement auprès de la société civile pour l'aboutissement de ses revendications identitaires, linguistiques, sociales et culturelles.
Le combat continue.

Grève générale dans le secteur de la fonction publique.Ce qui n'était que rumeur est maintenant une réalité. La grève es...
18/04/2022

Grève générale dans le secteur de la fonction publique.

Ce qui n'était que rumeur est maintenant une réalité.
La grève est annoncée pour les journées du 26 et 27 avril 2022.
Les dernières augmentations de salaires ont été perçues par les travailleurs comme une insulte envers leur personne. Ce sont des miettes qu'on leur attribue alors que le pouvoir d'achat est tombé à son plus bas niveau.
Dans cette équation, les travailleurs perdent au change et donc s'appauvrissent de plus en plus.
Leur humiliation s'est transformé en frustration qui s'est muée en une grande colère.
Leur réaction ne se fait pas attendre.
Les délégués des coordinations et des syndicats d'entreprise de la fonction publique ont tenu ce matin une réunion de concertation sous l'égide de l'Union de Wilaya UGTA de Béjaïa.
Une declaration d'appel a été rédigée et sera distribuée lors des conférences d'information et de sensibilisation de la base syndicale.
Bon courage à tous.

Nouvelle augmentation des salaires : dernière nouvelle. L'augmentation des salaires tant attendue a été un bide monument...
11/04/2022

Nouvelle augmentation des salaires : dernière nouvelle.

L'augmentation des salaires tant attendue a été un bide monumental pour les travailleurs. Ce fut le choc. On s'attendait à mieux. Malheureusement nos calculs se sont avérés totalement à côté. Certains réclament déjà une grève illimitée à l'appel de l'ensemble des syndicats exerçant dans tous les secteurs de la fonction publique. Une démonstration de force s'impose pour faire plier les décideurs qui nous narguent du haut de leur piédestal.
Finalement, la hausse des prix du pétrole ne profite pas au simple citoyen qui continue sa descente aux enfers en s'appauvrissant davantage.
Sur les ondes de la radio nationale chaîne deux, l'invité d'une émission du matin d'aujourd'hui fait un scoop étonnant.
Une lueur d'espoir pour les travailleurs de l'éducation viendrait du projet de révision du statut particulier. En effet, Ferhat Chabakh a annoncé qu'une commission mixte commencera l'étude du nouveau texte et éventuellement il y aurait l'inclusion de nouvelles primes pour arrondir les salaires.
C'est un syndicaliste qui apporte cette information.
Faut-il continuer à croire ?

DECEPTION. Le pouvoir d'achat des algériens a atteint son plus bas niveau en cette année de confinement et de récession ...
09/04/2022

DECEPTION.
Le pouvoir d'achat des algériens a atteint son plus bas niveau en cette année de confinement et de récession économique.
Vivre, ou plutôt survivre un mois durant avec ce salaire de misère relève de la prouesse. Les travailleurs n'arrivaient pas à boucler leur fin de mois. L'inflation galopante présageait une rentrée insupportable. Tout a augmenté sauf les salaires.
Les gouvernants se devaient de réagir avant l'explosion sociale. Les rumeurs vont bon train. La spéculation sur une éventuelle augmentation conséquente a donné de l'espoir aux travailleurs, ils ont résisté difficilement tout un semestre. On nous proposait une plus value de quelques neuf milles dinars. On se disait déjà "c'est peu, mais c'est mieux que rien".
On était tous impatient de voir ce que nous réservent les décideurs. L'attente fut longue.
En ce mercredi 06 avril, ce fut la do**he froide. L'information tombe enfin, divulguée dans le journal officiel.
Que des promesses non tenues
Ce fut un recul flagrant comparativement aux prévisions.
Nos calculs se sont avérés totalement faux. Ni huit milles, ni six milles, on en a eu que des miettes.
Des mensonges comme toujours, encore des mensonges.

Finalement, comme un bon cru, le secrétaire général tant attendu est arrivé. Le Ministère de l'éducation a été long à la...
04/04/2022

Finalement, comme un bon cru, le secrétaire général tant attendu est arrivé. Le Ministère de l'éducation a été long à la détente. On prit tout son temps avant de nommer quelqu'un. Ce quelqu'un est une femme venue de Blida où elle exerçait dans un lycée depuis cinq ans en qualité de chef d'établissement.
Le mercredi passé elle prit fonction à Béjaïa dans un poste totalement nouveau dans sa courte carrière. Comme ces prédécesseurs, elle aura assez de temps pour apprendre le métier. Combien de hauts cadres sont-ils affectés en stage à la Direction de l'éducation avant de se voir muter dans une autre wilaya ?
Notre directeur et sa secrétaire générale sont des novices, ils feront mille et une erreurs avant de maitriser les rouages de leur fonction, et bien-sûr sur le dos des pauvres travailleurs.
Mme Hamadi Louisa a été installée ce lundi matin par le Directeur de l'éducation qui s'est déplacé de Tizi Ouzou pour la circonstance.
Cette dernière a entamé son travail bien avant son officialisation puisqu'elle a déjà réuni tous les chefs de service pour une séance de travail. Elle montre par là qu'elle veut réussir, c'est tout le mal qu'on lui souhaite. Bon vent.

Une direction sans secrétaire général. Du jamais vu dans toutes les annales du secteur de l'éducation.Une administration...
03/04/2022

Une direction sans secrétaire général.
Du jamais vu dans toutes les annales du secteur de l'éducation.
Une administration qui fonctionne sans secrétaire général, le poste le plus important et le plus sensible.
Depuis le retrait volontaire du titulaire à ce poste, son remplaçant n'a pas, à ce jour, pris fonction. Apparemment, il se fait désirer. On se demande alors, comment on arrive à gérer quelques trois cents fonctionnaires, repartis en huit services, depuis huit mois déjà.
Le Ministère re**rde à nommer un candidat (plusieurs demandes sont en attente) pour des raisons qui lui sont propres, d'un côté, de l'autre, notre nouveau directeur n'a visiblement aucun pouvoir de décision, il n'est qu'un simple agent qui attend les ordres de ses supérieurs.
Mais la réalité crue est là. Un poste vacant qu'occupait auparavant un employé dévoué et compétent reste à pourvoir. Son utilité se fait ressentir surtout en cette période où le premier responsable a pris un congé de maladie, contraint de quitter les lieux en ce moment capital. Sur le terrain, c'est la préparation des examens de fin d'année et de la rentrée prochaine. Le travail ne manque pas, la présence de tout un chacun est indispensable.
L'absence de coordination et l'anarchie qui règne dans certains services, sont certainement dues à ce manque dans le planning organique du personnel de la DE.
Des rumeurs annoncent l'affectation incessante d'une dame arrivant de la région du centre. Attendant pour voir.

Congrès de la la FNTE.Aujourd'hui, jeudi 31 mars de l'an 2022 se tient à l'Institut de la recherche syndicale Mohamed Dr...
01/04/2022

Congrès de la la FNTE.
Aujourd'hui, jeudi 31 mars de l'an 2022 se tient à l'Institut de la recherche syndicale Mohamed Drarni d'Alger, le cinquième congrès de la Fédération Nationale des Travailleurs de l'Education.
La délégation de notre wilaya a participé avec cinq membres (Yacine Hassani, Kaci Belaloui, Arezki Tazibet, Karim Boukir, lakhdar Zerarga).
Les travaux se sont déroulés en présence du secrétaire général de la Centrale M. Salim Labatcha qui a prononcé une allocution en la circonstance.
Le Secrétaire général sortant, en l'occurrence M. Ferhat Chabakh a été réélu au consensus général. Les membres de son secrétariat seront choisis ultérieurement lors d'une prochaine cession du conseil fédéral qui est constitué de 71 membres élus par leurs pairs au niveau wilayal.
Les travaux se sont achevés après l'adoption des résolutions du congrès débattues la veille par les 287 représentants des 58 wilaya.

23/03/2022

L'absence du premier responsable, est-elle une tare ?

Le directeur de l'éducation est contraint de prendre un congé de maladie de plusieurs jours. A qui doit-il confier la maison de l'éducation ? Apparemment les hommes de confiance ne courent pas les rues.
Les postulants ne se bousculent pas devant la porte.
S'il y avait un secrétaire général en place, le problème est réglé de fait. L'intérim lui revient de droit. Malheureusement, à Béjaïa rien ne se déroule selon les normes.
En attendant la décision, qui n'est pas si cruciale qu'elle n'y paraît pour un secteur qui marche en boitant, les travailleurs attendent leur dû et la solution à leurs préoccupations administratives.
Avec ou sans le directeur en poste, la DE ne se portera pas mieux. Les affaires marchent à l' "à peu prêt"

Le Ministère de l'éducation bloque la prime de rendement.Cette information, qui nous est parvenue ce jour, fera jaser pl...
21/03/2022

Le Ministère de l'éducation bloque la prime de rendement.

Cette information, qui nous est parvenue ce jour, fera jaser plus d'un dans le secteur de l'éducation.
Le Ministre, en représailles contre un syndicat qui n'a trouvé comme moyen de faire pression sur sa tutelle que de restreindre les moyennes trimestrielles, a décidé de réagir par la force afin de débloquer la situation.
Un bras de fer observé dans uniquement cinq wilaya.
La contre-attaque du Ministre est claire comme l'eau de roche : priver les récalcitrants de la prime de rendement du premier trimestre. Malheureusement, cette instruction "verbale" touchera, par ricochet, tous les fonctionnaires, c'est-à-dire "le bon paie pour le mauvais".
Les agents du service paie ont finalisé le travail et n'attendent que l'instruction de procéder au versement de la prime en transitant par les services de contrôle.
Personne n'acceptera une paralysie financière à la veille du mois sacré du ramadan.
Les travailleurs de l'éducation ne se laisseront pas entraîner dans une affaire qui ne les concerne ni de près ni de loin.
Il faudra s'attendre à une réaction musclée de leur part.

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Bejaïa
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