Black Stories

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07/08/2023

Bonsoir ma Black Family...
J'espère que nous allons bien. Je ne vous ai pas oublié hein. Depuis la dernière fois, je n'ai pas toujours résolu mon problème et ça me met sérieusement hors de moi. Je commence même à me dire que je vais laisser cette histoire et revenir avec une autre quand la page sera de nouveau opérationnelle.

Je suis toujours entrain de travailler à résoudre le problème. Je ne vais pas baisser les bras et je sais que les choses vont rentrer dans l'ordre.

Prenez soin de vous en attendant 🙏🏾🙏🏾

02/08/2023

Ça m'énerveeeeeeeee 🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️

02/08/2023

Je ne sais pas ce qui se passe avec ma page hein. Je n'arrive pas à publier mon texte hein. Haya !!

02/08/2023

Bonjour ma black family. Depuis hier je n'arrive pas à publier sur la page. Je ne sais pas quel est le problème hein 🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️. Je vais essayer de régler ça aujourd'hui pour continuer avec notre aventure 🙏🏾🙏🏾

     Chapitre 13 TU LIS ET TU NE PARTAGES PAS POURQUOI ? 😒 Prisca était dépassée par ce qu’elle voyait. Elle avait du ma...
31/07/2023







Chapitre 13



TU LIS ET TU NE PARTAGES PAS POURQUOI ? 😒



Prisca était dépassée par ce qu’elle voyait. Elle avait du mal à croire que c'est Carlos qui se trouvait en face d'elle. En effet, l'homme qui se tenait debout face à elle avait les traits du visage renfermés. Rien qu’en le regardant, on voyait toute la colère et la rage qu’il éprouvait.

Carlos se tenait au dessus de Gabin. Il faisait preuve d'arrogance et de fierté. Il avait l'air satisfait de la peur qu’il lisait dans les yeux de sa proie.

Carlos : vous allez payer pour Lucie !

Cela faisait plusieurs années que Prisca n'avait plus entendu parlé de Lucie. Sur le coup, elle se demanda ce qu’il avait à voir avec elle. C'est donc tout naturellement que la surprise apparue sur son visage.

Carlos : Je vais vous tuer comme vous l’avez fait avec ma sœur.

Prisca pouvait sentir da détermination rien qu’en l’écoutant parler. Elle se mit à reculer, prise de peur. Carlos se mit à avancer dans sa direction. Il tenait fermement son poignard entre les mains, comme s'il allait s'en servir.

Tandis qu'il faisait des pas vers Prisca, elle le suppliait, toujours en reculant.

Prisca : S'il te plaît Carlos, ne fait pas ça. C’est moi Prisca. Tu ne me reconnais plus ?

Carlos faisait la sourde oreille. Il se foutait pas mal de ses jérémiades. Il était décidé à la saigner.

Prisca : S'il te plaît Carlos. Tu n’es pas un meurtrier n'est ce pas ?

Carlos continua d'avancer vers elle. Au même moment, Gabin qui continuait de perdre du sang et qui n’était toujours pas mort tenta de se lever. Prisca s’écria

Prisca : Gabin ?

Carlos marqua un temps d’arrêt. Il se retourna lentement, mais sûrement vers Gabin.

Hervé n'était pas resté dans les pommes pendant longtemps. Lorsqu’il ouvrit les yeux, il se rendit compte que Carlos était parti. Il était désormais seul avec Katy.

Hervé : Katy ? S’il te plaît détache-moi

Katy fit la sourde oreille et se dirigea plutôt vers les bâillons qui se trouvaient sur la table prêt de lui. Hervé se mit à la supplier de plus belle

Hervé : S'il te plaît. Aide moi ! S'il te plaît. Pourquoi fait tu ça ?

Katy : Parce que je n'ai pas le choix. Si je ne fais pas ce qu’il dit, il va tuer ma fille. Alors, reste tranquille et meurt en silence

Hervé : S'il te plaît

Katy tenta alors de lui mettre le bâillon, mais il se débattit pour ne pas se faire museler. Katy le frappa avant de dire

Katy : Si je suis dans cette m***e, c'est à cause de toi. Tout ce qui arrive ici est dû à ton nom ! C’est vous les Kayo qui avez provoqué ça

Hervé la regarda d'un air surpris. Katy poursuivit

Katy : C'est parce que tu as tué sa sœur qu'il se venge ainsi. Mais avant lui, il y avait une famille qui vivait sur ces terres. Elle faisait partie des quelques 300 âmes qui vivaient dans le petit village qui se trouvait dans ces bois. Dans les années 30, ta famille a réalisé des expériences chimiques et radioactives dans le coin.

Hervé avait déjà entendu parlé des expériences réalisées par les siens. Cependant, il n’en savait pas plus. C’était un sujet tabou chez les Kayo.

Katy : Ces expériences contaminèrent les habitants du village. Ta famille fut alors obligée de fuir pour aller s'installer de l'autre côté de la montagne, laissant ce petit village à son sort. Tous ceux qui vivaient sur place moururent les uns après les autres. Cette famille par contre survécu.

Katy s’arrêta un temps avant de poursuivre

Katy : Pour dire clairement les choses, cette famille avait subi des mutations génétiques et les membres avaient commencé à développer un amour pour la chair humaine. C'est comme ça qu'ils ont bouffé les autres membres du village qui étaient encore en vie et qui n'avaient pas péri des suites de l'infection répandue sur place par ta famille. Aujourd’hui, ces créatures sont dans ce château et la seule chose qui les intéressent c'est la chasse aux êtres humains. Si je ne fais pas ce que Carlos me demande, il leur livrera ma fille. Ces choses aiment la chair humaine. Ce sont des cannibales.

Hervé : Qu’est-ce que tu racontes ?

Hervé prenait tout ce qu’elle disait pour du délire. Comment se faisait il que pareilles choses pouvaient exister ? Pourquoi personne n’en avait jamais entendu parlé ? Il ne garda pas ces questions pour lui et les lui posa.

Katy : Tu fais semblant d’oublier que toute cette zone appartient à ta famille ? Lorsque tes ancêtres ont commis ces atrocités, ils se sont empressés d'acheter les lieux pour contenir le mal qui y sévissait. Personne ne peux venir y fourrer son nez tant que c’est une propriété privée.

Cette réponse tilta chez Hervé et il se souvint alors d'une conversation qu’il avait eu il y a de cela plusieurs années avec son père. Ce dernier lui avait dit que la propriété de la famille s’étendait au-delà de la colline, mais qu'il y avait une zone interdite où personne ne devait aller. Hervé comprit qu'il s'agissait sans doute de l’endroit où il se trouvait.

Katy : Ce château était jadis habité par les tiens. Après la catastrophe, les survivants l'ont transformé et en ont fait un véritable labyrinthe. Sortir de là est presque impossible. Je me suis perdue sur cette terre il y a de cela 3 ans avec mon époux et ma fille. À cette époque déjà, c’est Carlos qui nous a livré à ces choses. Il collaborait déjà avec eux et leur livrait des hommes comme si on livre de la nourriture. Nous n’avons eu la vie sauve que parce que mon mari a proposé de se mettre à leur service. Il fut alors obligé de leur livrer des hommes comme Carlos. D'ailleurs, Idriss que vous avez trouvé ici au début n’était pas notre fils, mais une victime. Je suppose que c'est son cadavre que vous avez vu pensant que c’était celui de Carlos.

Jusque là, Hervé avait toujours eu du ressentiment pour Katy. En écoutant son histoire, il ne put s’empêcher d’éprouver de la pitié pour elle. Entre eux à cet instant, régnait une atmosphère étrange. Hervé décida de profiter de l'apparence faiblesse de son interlocutrice pour la supplier.

Hervé : S'il te plaît, libère moi et je te promet que je vais tout faire pour sauver ta fille

Katy : Désolé, mais je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas te faire confiance. Ma fille est cachée quelque part dans les bois à 500 mètres de ce château. Même si tu la retrouves, tu ne pourras pas te débarrasser des autres créatures qui s'y trouvent. Ils sont au nombre de 5 !

Hervé eut des sueurs froides. Il comprit que ceux qui étaient dans le château n’étaient pas les seuls. Il y en avait encore qui ne participaient pas à cette chasse. L'espoir de s'en sortir commença à le quitter.

Loïc tentait toujours de prendre la fuite avec sa sœur. Il n'avait toujours pas vu ce qu’ils avaient à leur trousses. Cependant, il pouvait sentir son souffle derrière lui.

Carole était toujours accrochée à son frère aîné. Plus vite il allait, plus elle sentait sa jambe devenir de plus en plus lourde.

Arrivé au bout d'un couloir, Loïc tourna immédiatement à sa gauche et sentit le plancher craquer sous ses pieds. Le parquet à cet endroit était pourri. Loïc portant Carole sur son dos pesait plus que d'habitude.

À peine avait-il franchi cette zone qu'il s’enfonça avec sa sœur. Les deux tombèrent alors violemment dans l’espace qui se situait sous leur pieds.

En tombant, Carole ressentit une vive douleur lui traverser la jambe qui était déjà malade. Elle poussa alors un cri strident. Loïc se trouvait près d'elle et était tout aussi sonné qu'elle. Il ressentait un picotement au niveau de la fesse. En plus, il était dans les vapes.

Le temps pour lui de reprendre ses esprits, il entendit sa sœur qui respirait si fort près de lui. Loïc s’empressa donc venir prendre de ses nouvelles.

Loïc : Carole ? Ça va ?

Carole semblait en état de choc. Loïc ne voyait pas bien où ils avaient atterri. Cependant, c'est en tâtonnant qu'il retrouva sa sœur. Il avait perdu son téléphone lors de la chute.

Loïc : Carole ? Ça va ?

Sa sœur continuait de respirer plus fort. Loïc tenta de retrouver son téléphone dans la pénombre. Il mit finalement la main dessus et dirigea sa faible lumière immédiatement vers sa sœur. Aussitôt, Loïc compris pourquoi elle était en état de choc.

Carole s’était cassée la jambe qui jusque là était déjà malade. En voyant la blessure, Loïc fut effrayé. La jambe de sa sœur était brisée à trois différents endroits au niveau du tibia. De plus, sa cheville avait complètement tournée. La douleur qu'elle ressentait devait être atroce.

Loïc : Carole ça va aller ! Tu m’écoutes ? Ça va aller !

Carole se contentait de respirer fort en laissant couler des larmes. Elle avait le regard figé dans une seule direction.

Loïc se souvint ensuite que quelque chose le suivait. Il leva les yeux vers le plafond et il eut l'impression d'apercevoir cette chose qui le regardait depuis la pièce au dessus. Cette chose n'avait pas bougé. Elle s’était contenter de rire et de s'en aller. Sur le coup, Loïc ne lui prêta plus aucune attention. Il devait essayer de soulager sa sœur.

Il la fit coucher délicatement et commença à réfléchir sur ce qu’il devait ensuite faire quand un frisson lui parcourut le dos. Aussitôt quelque chose se posa sur son épaule. Loïc sentit une vague de froid s'emparer de lui. Son épaule devint toute faible.

Loïc tourna légèrement la tête pour voir ce qui venait de l’agripper et il vit une main étrange qui semblait venir tout droit des enfer. Cependant, il pouvait sentir que dans cet endroit, ils n’étaient pas seuls. Bientôt, cette main commença à caresser son épaule et à descendre lentement vers son muscle pectoral. Au fur et à mesure que cette main touchait une partie de son corps, cette partie semblait perdre de sa vigueur.

Loïc avait les yeux rivés sur sa sœur. Il se demandait comment il allait faire pour s'en sortir avec elle. Pendant qu’il réfléchissait à une solution, une voix rauque, sombre et morbide se rapprocha de son oreille et lui chuchota

- Désormais, vous m'appartenez 👹👹

Mais où avait atterri Loïc et sa sœur ? À qui ou à quoi appartenait cette mystérieuse main ? Qu'allait il advenir de Gabin et de Prisca ? Et quid d’Hervé ?

La suite s'annonce imprévisible pour tous le monde.

À suivre…

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     Chapitre 12 TU LIS ET TU NE PARTAGES PAS POURQUOI ? 😒Après quelques coups de fouets, Hervé était couvert de blessur...
28/07/2023







Chapitre 12



TU LIS ET TU NE PARTAGES PAS POURQUOI ? 😒

Après quelques coups de fouets, Hervé était couvert de blessures. Devant lui, Carlos prenait carrément son pieds. Ça se voyait dans son regard qu’il était entrain de savourer ce moment. Derrière lui, Katy assistait à tout sans broncher. Toutefois, il y avait quelque chose d’étrange. On avait l’impression que Carlos faisait vivre tout ça à Hervé devant Katy pour lui montrer ce qui lui arriverait si elle décidait de s'opposer à lui.

Carlos : Alors chef ! Ça va ? Tu vas bien ? 😂

Cette série de questions, Hervé avait l’habitude de les poser à Carlos lorsqu'il travaillait sous sa coupe. Toutes ces questions avalent le don de l'agacer au plus haut point.

Carlos : Chaque fois que tu me posais ces questions, j’avais envie de me jeter sur toi pour t'étrangler. Après toutes ces années de frustration, je peux enfin laisser éclater ma colère.

Hervé, épuisé par le châtiment qu’il était entrain de vivre leva les yeux vers Carlos et ce dernier vit dans le regard de sa victime une lueur de résistance. Il ne l'avait pas complétement brisé.

Carlos : À ce que je vois, tu es toujours entrain de me résister.

Hervé rassembla quelques forces et cracha devant Carlos. Ce dernier laissa échapper un léger sourire agacé avant de donner l'ordre à Katy de lui rapporter un flacon.

Carlos : Dépêche toi ! Avec ça, il va être requinqué et je vais pouvoir à nouveau me débattre sur lui.

Pendant que Katy s'exécutait, Carlos dit à Hervé

Carlos : On appelle ça le reboost. C'est une potion qui va te remettre sur pieds. En dehors des blessures, tu auras l’impression d'avoir une seconde jeunesse pour quelques heures.

Lorsque Katy revint avec le flacon, il en donna un peu à Hervé.

Carlos : En attendant que les effets soient effectifs, laisse-loo répondre à tes questions.

Hervé de contenta de lever les yeux vers lui sans rien dire. Cependant, son silence parlait clairement. Il hurlait : Que me veux tu ?

Carlos se contenta d'un simple hum !! Puis, il tira une chaise, s'assit en face de sa victime, s’alluma une cigarette et après avoir tiré une bouffée, recracha la fumée sur lui avant de prendre la parole.

Carlos : J'ai passé les dernières années de ma vie à faire semblant d’être un bon employé pour me rapprocher de toi. Ça n'a pas été facile. Tu es vraiment une m***e. Une fois que j’ai commencé à te côtoyer, ma haine à ton égard n'a fait que doubler

Pendant qu'il parlait, Hervé le regardait sans rien dire. Son visage ne montrait pas particulièrement d’émotions. La seule chose qu’on pouvait voir était la douleur qu'il ressentait suite à ses blessures. Par contre, Carlos avait du mal à caché sa rage et son dégoût pour l'homme qui se trouvait en face de lui.

Carlos : Ma vie n'a jamais été facile, mais elle a basculé quand Lucie a fait votre rencontre. Cette gamine était tout pour moi. J'ai tout fais pour elle. Elle était le rayon de soleil de la famille. Que se soit maman ou moi, on était prêt à tout pour qu'elle puisse réussir. Elle était sur la bonne voie quand elle a fait votre connaissance à tous.

Carlos s’arrêta ensuite, tira dans sa cigarette avant de recracher la fumée dans le gu**le de Hervé, le faisant toussé.

Carlos : Lucie a bossé sur ce projet et vous le lui avez volé. Vous avez même profité de l'occasion pour la tuer

Hervé tenta alors de se défendre : Ce n'est pas vrai ! Tu te trompes

Carlos devint encore plus vert de rage : Bien-sûr que ça s'est passé comme ça ! Je connais la vérité !

Hervé : Non ! Tu es loin du compte ! Lucie n’était pas celle qu'elle prétendait.

Carlos se leva et se mit à donner des claques à Hervé en hurlant ; Ne parle pas en mal d'elle. Ne parle pas en mal de ma sœur.

Après avoir déversé sa frustration à coup de claques, il revint s'asseoir en face de lui et lui dit

Carlos : Après la mort de Lucie, maman a sombré dans la dépression et elle s'est finalement donnée la mort 6 mois après. Je me suis retrouvé seul. Au départ j'ai cru que c’était un accident. Puis, j'ai remarqué que votre entreprise avait vu le jour. Lucie m'avait parlé de ce projet. J'ai alors compris qu’elle s’était faite rouler par vous. Vous avez poussé ma sœur du haut de la falaise et aviez fait passé ça pour un accident. C'est quand vous avez créé cette entreprise que j'ai su que la mort de Lucie n'avait jamais été un accident.

Hervé : Ce n’est pas ce que tu crois

Carlos : Ah oui ? Et c’est quoi ?

Hervé : Lucie était une femme difficile ! C’était une manipulatrice. L’idée du projet n'avait jamais été la sienne. C’était celle de Carole et de Laura à la base. Étant donné qu’on était tous amis, on avait décidé de travailler ensemble pour bâtir cette entreprise. Lucie a alors voulu voler l’idée. De plus, elle s’est échinée à nous monter les uns contre les autres.

Carlos : C’est faux !!

Hervé : Je suis désolé mais c'est vrai. À cette époque je sortais avec Carole et elle voulait m'avoir.

Le visage de Carlos se rembrunit. Il n'aimait pas ce qu'il attendait.

Hervé : Ce jour là, elle avait demandé à parler avec Carole et avait tenté de la pousser du haut de la falaise. Dans la bagarre qui a suivi, c'est Lucie qui est tombé. Elle a glissé alors qu'on essayait de séparer cette bagarre. Après cela, nous avions décidé de garder le silence sur cette mort. On aurait dû tout dire mais on avait peur et on était jeune. On a fait profil bas et on a décidé d'avancer sans elle et personne ne s’est jamais plains parce qu’elle était une garce.

Carlos n'en pouvais plus. Sa rage était énorme. Il frappa alors brusquement Hervé qui tomba à nouveau dans les pommes. Il se releva et serra les poings de rage. Je vais écraser chacune de ces personnes pour ce qu’ils ont fait à Lucie.

Sa conversation avec Hervé l'avait conforté dans cette idée. Il prit une petite arbalète qui trainait dans la pièce de torture et dit à Katy

Carlos : Reste là et assure toi de garder un œil sur cette porte ! Je ne veux pas que quelqu’un passe ici. D'ailleurs s'il se réveille bâillonne le. Moi je vais à la chasse en espérant que les autres n'ont pas encore finit le travail. C'est compris ?

Katy : Oui…oui Mr !

Carlos : Très bien !!

Katy regarda ensuite Carlos disparaître dans le sombre château.

Gabin et Prisca qui avaient échappé à No1 et No2 avaient avancé lentement jusqu’à une autre pièce où ils s’étaient assis. Gabin souffrait toujours le martyr et Prisca était agitée.

Gabin : Prisca ? Il faut qu'on avance. On ne peut pas rester ici. Nous ne savons pas quel est cet endroit. Mais pour qu'on avance, il va falloir que tu m'aides

Prisca : qu’est-ce que tu veux que je fasses ?

Gabin : Je crois que je me suis défaits l’épaule. Il faut que tu m'aides à me la remettre en place

Prisca : Quoi ? 🤯 ! Je ne suis pas médecin. Comment suis-je censé faire ça ?

Gabin : Je ne sais pas comment tu vas le faire mais s'il te plaît, il faut que tu m'aides. Sinon je vais te ralentir. Je vais te dire comment faire.

Prisca n’était pas rassuré par tout ça. Son visage se referma davantage. L'ayant remarqué, Gabin tenta de la rassurer du mieux qu’il pouvait

Gabin : S'il te plaît calme toi ! Nous sommes dans une position délicate. Plus nous perdons le temps, plus ces créatures se rapprochent de nous.

Prisca soupira avant d’acquiescer d’un geste de la tête.

No1 et No2 s’étaient lancés à la suite de Gabin et de Prisca. Malheureusement pour eux, ils semblaient les avoir perdu de vue

No1 : tout ça est de ta faute ! M***e !

No2 : ce n’est pas moi qui me suis fait plaqué au sol 😒

No1 : Qu'est-ce que tu viens de dire ?

No2 se contenta de garder le silence.

No1 : En tout cas, nous allons devoir les débusquer et je veux la tête du chien qui est avec la femelle 😠

Pour ne pas faire de bruits, Gabin avait mordu fort dans un bout de bois ramassé sur place et Prisca avait tenté de le remettre sur pieds. Malheureusement, elle n'était pas une professionnelle et n'avait pas réussi son coup. Pendant que Gabin dégustait, il entendit des bruits de pas.

Quelqu'un s'approchait d'eux et la pression se mit à monter. Prisca alla se cacher en prenant avec elle un objet contondant. Elle se plaça de manière à frapper celui qui s'approchait.

Lorsque les bruits de pas furent à leur portée, chacun d'eux coupa sa respiration. Le temps sembla se suspendre. La tension était à son maximum.

Celui qui avançait franchit la porte et Prisca qui était sur le point de l'assommer le reconnu.

Prisca : Carlos ? 😳

Carlos : Prisca ? C'est toi ?

Gabin qui avait toujours mal au bras sortit de sa cachette

Gabin : Carlos ? Merci mon Dieu 😩

Carlos : qu'est ce que vous faites ici ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

Prisca : Nous avons cru que tu étais mort !

Gabin : Oui, nous avons vu un cadavre suspendu au baobab avec tes vêtements non ?

Carlos : Non ! Ce n’était pas moi. Je suis là. Je suis allé chercher de l'aide avec Idriss et en revenant j'ai découvert que le château était dans cet état. Je sais comment on peut faire pour sortir d'ici.

Prisca et Gabin étaient aux anges. Carlos se proposa d'aider Gabin qui avait toujours mal au bras. Il l'aida à se lever et marchait à ses côtés en le soutenant.

Pendant qu'ils avançaient dans le noir, Gabin toucha par inadvertance l’arbalète qu’il avait prise quelques instants plutôt. Il l'avait caché dans son dos.

Prisca était devant et marchait avec la torche. Lorsque Gabin toucha cet arme il demanda

Gabin : Carlos ? C’est quoi ça ?

Carlos : Ce n'est rien Mr 😊

Gabin : Ah oui ? Tu…

Il s’apprêtait encore à parler quand Carlos le poignarda violemment au côtes avant de dire

Carlos : Je t'ai dis que ce n’était rien

Gabin s’écroula, l'air incrédule. Prisca surprise se retourna pour voir ce qui se passait et Carlos se jeta violemment sur elle, la plaquant au sol. Prisca jeta un coup d'œil et vit Gabin qui se vidait de son sang près d'elle.

Prisca : Gabin 😭

Carlos : Je vais tous vous saigner !!

À suivre…

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Il y a de cela quelques jours, un immeuble s'est effondré à Douala, engloutissant avec lui une quarantaine de personnes....
27/07/2023

Il y a de cela quelques jours, un immeuble s'est effondré à Douala, engloutissant avec lui une quarantaine de personnes. Parmi les victimes on retrouve des hommes, des femmes, des enfants et des jeunes.
Ce drame m'a énormément choqué et m'a fait une fois de plus réaliser que la vie est de fois perverse et qu'elle peut nous quitter à tout moment.
Je profite alors de cette occasion pour nous demander cultiver sans cesse l'amour autour de nous.
Je ne peux terminer sans avoir une pensée pour ceux et celles qui ont péri dans cette tragédie. J'ai une pensée pour les survivants et pour les familles des disparus. Puisse leurs âmes trouver le repos éternelle.
Enfin, j'espère et j'appelle de tous mes vœux que des mesures soient prises pour que ce genre de tragédies ne se produisent plus. Il y a de cela quelques années, une pareille tragédie avait frappé la ville de Bafoussam à Gouache. Après les larmes, tout est tombé dans l'oubli.
Nous devons garder en mémoire ce genre de drame pour faire en sorte qu'à l'avenir cela ne se produise plus.

Passons une excellente nuit et puisse le tout puissant veiller sur nous.

     Chapitre 11 AVANT DE LIRE NON ? IL FAUT D'ABORD PARTAGER 😁🙏🏾 La pièce était sombre et elle faisait peur. Il y avait...
27/07/2023







Chapitre 11



AVANT DE LIRE NON ? IL FAUT D'ABORD PARTAGER 😁🙏🏾



La pièce était sombre et elle faisait peur. Il y avait du sang séché sur les murs. Rien qu’en la regardant, on pouvait en déduire que de nombreuses personnes y avaient souffert. L'odeur du pourri qui s'y dégageait en rajoutait au macabre de ce sinistre endroit.

Hervé : Qu'est-ce que tu veux faire ?

Carlos : Voyons ! Tu es plus intelligent que ça 🤣. Tu es quand même le grand Hervé Kayo, le digne héritier de la grande famille Kayo. Ne gâte pas ton nom 🤣🤣🤣

Hervé se retourna alors vers Katy d'un air abattu : Tu vas le laisser faire ?

Katy se contenta de regarder ailleurs. Elle semblait complètement sous la coupe de Carlos. Elle ne montrait aucun signe de rébellion. D’ailleurs, ce dernier dit à Hervé

Carlos : Cesse de gaspiller ta salive, tu en aura besoin tout à l'heure

Hervé était dans une impasse incroyable. Son visage se déforma et il essaya de prendre son chauffeur par les sentiments.

Hervé : Qu’est-ce que je t'ai fais ? As-tu oublié tout ces moments que nous avons passé ensemble ? Hein ? Oublies tu que je t'ai toujours traité comme un frère ?

Cette dernière question eut l'effet contraire à celui qu’il recherchait.

Carlos : Tu as toujours agit comme mon frère ? Ne me fais pas rire 🤣. Connais tu où j'habite ? Que sais tu au juste de moi ? De ma famille ? Hein ? Tu aimes bien faire le bon patron alors que tu ne sais rien de tes employés

Hervé fut quelques peu déboussolé par les remontrances de son chauffeur. Il marqua un léger temps de pause avant de redire de plus belle

Hervé : C'est pour cela que tu veux te venger ? Que tu nous a conduit dans ce guet-apens ?

Carlos : Je t'ai déjà demandé d’économiser ta salive non ?

En parlant, il mis une claque à Hervé qui était de plus en plus surpris par ce qui était entrain de lui arriver. Cependant, il était si paniqué qu'il ne put se résoudre à fermer sa bouche.

Hervé : Maintenant tu me donnes des claques ? Carlos qu'est-ce qui se passe ? Hein ? Parle moi s'il te plaît

Carlos lui lança un regard froid comme un iceberg avant de lui dire d’une voix enrobée de rage

Carlos : Si tu ne la fermes pas, je te coupe un doigt

Hervé vit clairement cette lueur dans son regard et compris qu'il devait réfréner ses ardeurs, au risque de perdre un doigt.

Carlos lui sourit subitement avant d'ajouter : Quoi que ! Même si tu te tais, je te couperai toujours tes membres 😁

Sur ces mots, il se dirigea vers une grande chaise sinistre qui avait des traces de sang séché tout autour et des menottes. Il dit ensuite à un Hervé toujours entrain d'halluciner

Carlos : Allez !! Vient par ici !

Hervé tenta de résister. Il fit tout ce qu’il pouvait pour rester loin de cette chose qui puait la mort. Il se mit à secouer la tête pour manifester son refus d’avancer vers cette chose. Sa réaction fit rire Carlos. Ce n’était pas un rire de joie, mais un rire d'agacement.

Carlos : Tu es bien mignon en refusant de venir, mais ça ne changera rien à la situation. Soit tu avances sans rechigner soit je te force. Et si c'est cette dernière option que tu as choisi, alors, tu souffrira deux fois le martyr

Malgré le sérieux qui se lisait sur son visage, Hervé refusa de se faire torturer sur cette chose. Pour lui, les choses étaient assez claires. Peu importe ce qui allait se passer, il souffrirait s'il se faisait attacher à cette chose. Dès lors, la seule option qui lui restait était de résister.

Carlos s’impatienta et le roua de coups avant de lui porter quelques coups de crosses de fusil à la tête. Assez rapidement, Hervé se mit à saigner. Les trois coups qu'il avait reçus au crâne avaient été portés avec tellement de force qu'il s’était évanoui pendant quelques instants.

Carlos profita de cette situation pour donner des ordres à Katy qui avait assisté à cette scène sans broncher.

Carlos : Allez ! Ne reste pas planter là ! Viens m'aider à l'attacher.

Katy n’hésita pas et courut aider le chauffeur d’Hervé.

Loïc et sa sœur marchaient toujours dans l'obscurité du château. Il portait toujours Carole qui avait la cheville qui faisait toujours mal. Ils avançaient prudemment dans la pénombre sans vraiment savoir où ils mettaient les pieds. Pendant qu'ils marchaient, le silence autour d'eux était tel qu’on entendait le sol grincer à chacun de leur pas. Loïc trouvait cela trop pesant

Loïc : Carole ? Tu dors ?

Carole : Non ! Comment veux tu que je dorme dans cette situation ?

Loïc : C’est juste que ton silence m'a fait peur. Comment vas ta cheville ?

Carole : Elle me fait toujours mal, cependant, la douleur est encore supportable.

Loïc : Tiens bon, je vais nous sortir d’ici

Carole se contenta de poser sa tête sur l’épaule de son frère qui avançait lentement et prudemment à travers le sinistre château.

Loïc continua d'avancer dans le silence du château quand un étrange bruit alerta son attention. Il s’arrêta et avant qu’il ne dise quoi que se soit, Carole lui dit

Carole : Qu'est-ce que c’était ?

Loïc : Toi aussi tu l’as entendu ?

Carole : Oui !

Le rythme cardiaque de Loïc augmenta et il se mit à regarder partout. Il sentait qu’il n’était pas seul. Il dit à sa sœur

Loïc : nous ne sommes pas seuls, quelqu’un est là et il nous épie

Les deux se sentaient observés comme jamais. Il avait l’impression d’être à la portée de quelque chose de sombre. Loïc ajusta sa sœur qu’il portait toujours au dos et lui dit

Loïc : Accroche toi !! On va essayer de s'en aller à toute vitesse

Carole se cramponna à son frère sans rien dire. Sans crier gare, il se mit à courir dans le noir du château il tenait son téléphone d’une main et éclairait comme il pouvait son chemin. En réalité, il ne voyait vraiment pas où il posait les pieds.

Pendant qu'il traçait donc dans le noir, il sentit que cette chose qui les épiait les suivait. Loïc et Carole pouvaient sentir qu'il se rapprochait d'eux. En effet, ses bruits de pas et ses grognements étaient des signes très palpable. Frère et sœur sentirent alors la pression monter. Ils étaient en mauvaise posture.

Lorsque Hervé se réveilla de son côté, il était déjà fermement ligoté et Carlos se tenait devant lui avec une sorte de fouet. Il avait sur le visage un sourire béant. Hervé voyait dans ses yeux aussi bien sa jouissance que son envie de lui faire mal.

Hervé : S'il te plaît Carlos, laisse moi m'en aller. S'il te plaît.

Il n’avait pas d'autres choix que de supplier la clémence de celui-là qui jusque là travaillait comme son chauffeur. Devant la rigidité de ce dernier, il se tourna vers Katy en suppliant

Hervé : Katy ? Tu vas le laisser faire ? Hein ? S'il te plaît…

Carlos : Économise ta salive. Elle ne peut rien faire contre moi ! Elle fera tout ce que je lui dirai

Hervé jeta un coup d'œil à Katy et comprit que Carlos avait raison. En effet, cette dernière baissa la tête et dans son geste, il y vit au-delà de la honte la soumission. Cette femme lui était soumise et il ne comprenait pas pour quelle raison elle se soumettait de la sorte.

Lorsque Carlos s’avança vers Hervé en tournoyant le fouet qu'il tenait dans sa paume de main, ce dernier se mit à le supplier de plus belle mais Carlos lui dit

Carlos : Je ne savais pas que le grand Hervé pouvait supplier de la sorte 🤣🤣. Quoi qu'il en soit, tu n’as pas laisser la même chance à Lucie

Ce prénom fit trembler Hervé. Son regard se figea et Carlos lui dit

Carlos : Je vois que tu es déjà entrain de te demander pourquoi je parle d'elle n'est ce pas ?

Hervé était bouche bée.

Carlos : 🤣 ! Quoi qu'il en soit, tu vas payer pour elle, et vous tous allez le payer pour elle

Hervé : Comment ça ? Tu veux te venger d'elle ?

Carlos : Oui ! Vois tu ! Lucie était ma petite sœur et vous l'avez tué. Alors, il est temps que l'esprit de vengeance s'empare de vous 😠

Hervé : Mais…ce qui est arrivé était un..

Carlos : Un accident ? C'est ce que tu t'apprêtait à dire ?

Hervé se figea et Carlos fou de rage lui donna un coup de fouet sur le torse. Aussitôt, il se mit à saigner abondement. Le fouet de Carlos possédait de Petites dents tranchantes qui déchirèrent la peau à chaque coup. Il hurla de douleurs et Katy préféra tourner la tête pour ne pas regarder.

Carlos : Vous l'avez tué et vous avez par la même occasion détruit ma famille. Aujourd’hui, vous êtes riches et vous prenez les gens de haut ? Je vais vous détruire. Chacun de vous sera charcuté jusqu’au dernier. Ursule fut la première à passer au feu de ma vengeance. Aujourd’hui c'est à votre tour.

Le regard sombre, il leva son fouet et tandis qu’Hervé implorait son pardon, il le roua de coups. Chacun d’eux écorcha grièvement la peau de la pauvre victime qui, pendant qu’il saignait et souffrait le martyr devait faire face à un bourreau qui semblait prendre son pieds.

Qui était cette Lucie ? Qu'est-ce qui s’était passé entre elle et les autres ? Qui étaient ces créatures qui n'avait pas de noms et qui se faisaient appeler par des No ? Rdv aux prochains chapitres pour lever le voile sur ces différents mystères.

À suivre…

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