Agora TV Suisse est une association de presse indépendante déposée. Agora TV News est un média indépendant et il bénéficie pleinement de la protection des Droits d'Auteur, de la protection de ses sources et de ses collaborateurs. Les droits d'auteur sont effectivement protégés par les lois suisses et reconnus à l'international : LDA)1∗2 du 9 octobre 1992 (Etat le 1er avril 2020)
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Avertissement concernant les personnes avec de mauvaises intentions sur notre média indépendant. La loi pénale suisse réprime aussi la diffamation à l’article 173 du Code pénal (CP). L’infraction de diffamation a pour but de protéger l’honneur d’une personne, soit le droit pour un individu de ne pas être considéré comme quelqu’un de méprisable selon le Tribunal fédéral (TF). C’est pour cette raison que cette infraction se situe dans le chapitre du code pénal réprimant plusieurs comportements atteignant à l’honneur, la diffamation (art. 173 CP) et la calomnie (art. 174 CP) en état les plus représentatifs avec l’injure (art. 177 CP). Ainsi, la loi dispose « Celui qui, en s’adressant à un tiers, aura accusé une personne ou jeté sur elle le soupçon de tenir une conduite contraire à l’honneur, ou de tout autre fait propre à porter atteinte à sa considération, celui qui aura propagé une telle accusation ou un tel soupçon, sera, sur plainte, puni d’une peine pécuniaire de 180 jours-amende au plus. » (art. 173 al. 1 CP). Les délits et infractions constatés dans les réseaux sociaux sont notifiés et leurs auteurs poursuivis en justice pour réclamer la suppression des publications calomnieuses et pour la réparation des préjudices. Actuellement une affaire d'harcèlement en ligne et de cybercriminalité est en cours de procédure contre les auteurs de la page sociopath club, des poursuites seront également engagées contre toute les personne qui utilisent leurs publications pour propager de fausses informations provenant d'informations privées et volées dans le but de nuire à la réputation des personnes avec des accusations mensongères. Les faits sont aggravés par des appels à la haine et des attaques cybercriminels par des personnes convaincues par les appels. L'affaire Mila démontre que les condamnations sont réelles et les sanctions sont lourdes dans le cas d'harcèlement permanent. Ce groupe de délinquants est aussi sous la loupe par d'autres personnes pour des compléments de plaintes en diffamation et injures. De nombreuses personnes sont en effet détestées et injuriées par ce groupe.