Ministère international du royaume de Dieu. en sigle MIRD

30/12/2021

10/09/2021

10/09/2021

10/09/2021

03/09/2021

L’ECOLE DE LA PATIENCE

L’école de Dieu est une école à laquelle nous devons nous rendre.
On y va toujours et l’on y va tout le temps.
Moïse est allée à cette école jusqu’à sa mort. Moïse est passé par l’école de la patience.
Si Abraham est le père des croyants, Moïse a suivi ses traces et Dieu l’appela, il l’appela sur la montagne.

Dieu veut nous forger, nous façonner et cela ne se passe pas dans la vallée mais sur la montagne.

Moïse devra attendre six jours dans le silence sans rien voir ni rien entendre et pourtant Dieu avait appelé Moïse… Il aurait pu s’impatienter et descendre.
L’enfant de Dieu s’impatiente souvent lorsque le Seigneur tarde à répondre et pourtant Dieu veut éprouver notre patience et notre sincérité.

Pendant six jours, Moïse a attendu dans le jeune et la prière.
Dieu voulait lui révéler des choses Glorieuses.

Pendant six jours, dans le silence et le désert, pendant quarante jours dans la communion avec Dieu.
Nous avons, dans les Ecritures, un aperçu de l’entretien de Moïse avec Dieu:

"Tu feras, tu diras, tu mettras…"

C’est là que la description du tabernacle et de l’arche de l’alliance lui fut donnée.
Moïse est descendu de la montagne avec les deux tables du témoignage.
Ouvrage de Dieu écrit par Dieu. Preuve certaine que Moïse descendait avec un message, preuve de sa Communion avec Dieu.

Dans la vallée, on fait ce que l’on veut, sur la montagne, on fait ce que Dieu veut.
Au lieu de se lamenter et de gémir, au lieu de murmurer et de se plaindre, il faut savoir monter sur la montagne et attendre Dieu.

Regardons la scène du veau d’Or et l’indignation de Moïse, Moïse est habitué à vivre dans la présence de Dieu et ses yeux ne peuvent supporter l’horreur de cette scène.
Ce récit est vrai, il s’est produit, non pas parmi les Egyptiens mais parmi le peuple choisi.

Le veau d’or existe toujours: l’amour de l’argent, la tiédeur spirituelle, la convoitise du monde, l’esprit de médisance.

30/06/2021

La Parole nous parle de trois dispositions qui devraient être permanentes dans l’âme de tout fidèle :

— la louange : « Je bénirai l’Éternel en tout temps ; sa louange sera continuellement dans ma bouche »

— la confiance : « Confiez-vous en Lui, en tout temps, répandez votre coeur devant Lui : Dieu est notre refuge »

— la prière ; déjà le Seigneur recommandait : « Veillez, priant en tout temps » (Luc 21:26).

Voilà qui laisse peu de place pour murmurer ou laisser errer sa propre volonté ! Même si la charge de travail est grande, ou les circonstances particulièrement adverses, il y a place pour la louange, pour la confiance, pour la prière ; c’est peut-être même le vrai refuge dans de tels moments !

Pour prier en tout temps, il faut une discipline personnelle, veillant au choix des occupations, à l’emploi méthodique des heures, sans dispersion ou distractions inutiles, sinon vaines et nuisibles. N’attendons pas que les circonstances elles-mêmes nous contraignent à prier.

L’invitation de l’apôtre Paul à « prier en tout temps » en Éphésiens 6:10 peut paraître étrange, s’adressant à quelqu’un qui vient de revêtir l’armure complète de Dieu ; en réalité, être à l’abri des machinations de l’ennemi, libère un tel croyant de ses propres besoins, élargit son coeur, et lui permet d’entrer dans les circonstances des autres et les nécessités de tous les saints ; « priant par toutes sortes de prières… et des supplications pour tous les saints, et pour moi » écrit l’apôtre lié de chaînes dans la prison. N’oublions pas, selon qu’il a pu être dit, que la moitié du combat contre les puissances de méchanceté dans les lieux célestes se fait par la prière : elle porte quelquefois plus de fruit qu’un travail extérieur ayant le même objet.