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23/02/2021

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09/02/2021

Nomination du Premier Ministre : les potentiels candidats

c le président de République devra dans peu de jours signer une ordonnance portant nomination d’un nouveau Premier Ministre, après la chute du gouvernement ILUNKAMBA. Selon nos informations, le nom du Premier Ministre de l’Union Sacrée de la Nation pourra être connu cette semaine, sauf changement majeur.

Qui pour succéder à Sylvestre Ilunga Ilunkamba ? Des noms circulent, et plusieurs nouveautés. Ce mardi les chos reçus par notre rédaction, renseignent que le futur Premier Ministre sera originaire de l’espace Katanga. La piste Bahati ainsi frigorifiée puisque l’informateur de Félix Tshisekedi est pressenti à la présidence du Sénat.

Parmi les noms qui circulent : Edmond Mbanz a Mbang (ancien ministre provincial du Katanga sous Moise Katumbi), Fabien Mutomb (DG de la SNCC, député national l’UDPS), Christian Mwando Simba (député national Ensemble), et W***y Kitobo (Ministre des Mines du gouvernement ILUNKAMBA et membre du FCC qui vient de traverser vers l’union sacrée).

Les discussions se poursuivent dans les quartiers secrets de l’union sacrée. Mais les parties prenantes ne sommes pas loin d’un compromis.

09/02/2021

Fuite de 400 militaires avec armes: "Faux, C'est juste un montage orchestré par les prophètes de malheur" (Armée)

Les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à travers le commandant de la base militaire de Kamina, dans la province du Haut-Lomami, affirme qu’il n’y a pas eu fuite de 400 militaires avec armes et munitions de guerre, comme certains médias l’ont relayé.

Dans une interview accordée ce mardi 9 février 2021 à nos confrères de 7sur.cd, le général major Jean Claude Kifwa indique que le calme règne à la base de Kamina.

« C’est faux et archi faux. On est calme. il n’y a pas eu des militaires portés disparus à la base de Kamina. Ne vous fiez pas à ce qui se dit sur les réseaux sociaux », a fait savoir Jean Claude Kifwa, commandant de la Base militaire de Kamina.

Dans la foulée, le général major Jean-Claude Kifwa précise qu’il s’agit d’un montage orchestré par des prophètes de malheur.

« Qui a donné cette information ? Vous ne trouverez personne. Vous savez comment est-ce que les réseaux sociaux fonctionnent aujourd’hui. Je suis le commandant de la base militaire de Kamina, je vous donne la vraie information, il n’y a rien, il y a la paix et la sécurité ici. Ce sont des montages faits par des prophètes de malheur », a-t-il martelé.

09/02/2021

RDC/Alexis Tambwe Mwamba en fuite à l’ambassade de la Belgique !

Ayant l’épée de Damoclès sur sa tête compte tenu de tout ce qu’il a comme ennuis avec la justice, Alexis Tambwe Mwamba se cacherait à l’ambassade de la Belgique pour se mettre à l’abri des poursuites. Une source digne de foi qui nous livre cette information nous révèle que si l’ancien président de la chambre haute du parlement a choisi ce lieu c’est en rapport avec sa nationalité belge. L’homme serait belge !

Il faut noter que Alexis Tambwe Mwamba et ses cinq collègues ont démissionné du bureau du sénat après une motion de censure contre eux par la majorité de sénateurs.

07/02/2021

RD Congo : comment Félix Tshisekedi a réussi à tourner la page Joseph Kabila.

Avec la démission du président du Sénat, vendredi, l’élection d’un nouveau président à l’Assemblée nationale et l’éviction du Premier ministre, le président congolais, Félix Tshisekedi, prend la main dans un pays où son prédécesseur, Joseph Kabila, semblait pourtant indéboulonnable.

Deux ans. C’est le temps qu’il a fallu à Félix Tshisekedi pour écarter son prédécesseur Joseph Kabila du pouvoir. La tâche semblait pourtant quasi-impossible. Lorsqu’il accède à la magistrature suprême en janvier 2019, à la faveur d’un accord électoral conclu avec son rival, Félix Tshisekedi a une marge de manœuvre réduite : le Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila contrôle les deux tiers des sièges au Parlement, et le nouveau président est contraint de former un gouvernement de coalition, dans lequel son propre camp est minoritaire. Sans compter qu’avant de céder sa place, son prédécesseur, aux affaires depuis 2001, a verrouillé les principales institutions du pays : commission électorale, Cour constitutionnelle, armée et services de renseignement.

Deux ans plus t**d, la page Joseph Kabila est sur le point d’être tournée. Après avoir destitué en décembre le bureau de l’Assemblée nationale, les députés FCC ont rejoint en grande majorité l’Union sacrée, le nouveau groupement politique de Félix Tshisekedi, qui rassemble désormais 391 des 500 membres de la chambre basse. Ces mêmes députés ont voté, le 27 janvier, une motion de censure pour renverser le Premier ministre pro-Kabila et son gouvernement.

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07/02/2021

Dossier Bukanga-lonzo : l'étau se resserre autour des "détourneurs présumés"

L’Inspection Générale des Finances (IGF), se montre très impliquée pour mettre fin au détournement.

Plusieurs enquêtes sont diligentées dans beaucoup des institutions et provinces du pays. Elle se bat pour que tous les « détourneurs présumés » des deniers dans le cadre de ses enquêtes soient jugés et sanctionnés selon la loi.


Parmi le dossier qui figure sur sa table, on cite le projet du Parc Agro-industriel de Bukanga Lonzo.

L’organe qui traque les detourneurs et fossoyeurs » fait désormais face à 7 detourneurs dans ce projet ».
« Face à la vitesse de croisière prise par l’IGF pour faire la lumière sur ce dossier, nous constatons que les principaux detourneurs se sont mobilisés pour distraire l’opinion et se victimiser », dénonce le service de l’IGF.
Ce dernier s’indigne du fait que ces « fossoyeurs circulent librement alors que sous d’autres cieux, des pareils pratiques font objets des grandes sanctions ».
Le service de l’IGF qui constate aussi « les agitations de la part de certains inculpés, appelle au calme en attendant le début du procès ».

Toute fois , ils s’assurent qu’ « ils ne baisseront pas le bras quant à l’accomplissement de leur mission ».

Au terme du travail abattu par l’IGF dans l’enquête sur le projet Bukanga-lonzo, plusieurs griefs ont été retenus comme étant à la base de l’échec cuisant de grand programme notamment, le marché de gré à gré entretenu avec un partenaire non expérimenté et n’évoluant pas dans le secteur agricole dans son pays d’origine, des surfacturations pour l’acquisition des équipements et engrais agricoles, ainsi que la présumée surfacturation des travaux de soutirage d’électricité sur la ligne Inga à 40 millions de dollars dont un trop paiement de 2 millions de dollars, pour ne citer ceux-ci.

07/02/2021

Mike Hammer : « Ça fait 2 ans que je suis en RDC et je m'inquiète car on n'a pas fait de grands progrès pour éliminer cette menace ADF »



Les violences meurtrières sont toujours persistantes dans la ville et le territoire de Beni au Nord-Kivu, et inquiètent la communauté internationale compte tenu du nombre élevé de morts et de déplacés internes. Les besoins d'aide humanitaire s'accentuent en même temps.

Ces points ont été parmi ceux abordés par l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique en RDC, Mike Hammer et le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Carly Nzanzu Kasivita, le vendredi 05 février dernier à Goma, où le diplomate américain séjourne.


Depuis plusieurs années, malgré de multiples opérations militaires amorcées par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), la guerre qui secoue l'Est du Congo-Kinshasa n'est toujours pas vaincue, chose qui inquiète les États-Unis d'Amérique, si l'on en croit son ambassadeur en RDC.

« Nous sommes toujours impliqués pour aider les victimes des conflits et de donner l'aide humanitaire. Du fond de mon cœur, je sens la souffrance de la population de Beni, c'est du sérieux ! Je viens d'être en RDC deux années et je m'inquiète parce qu'on n'a pas fait de grands progrès pour éliminer cette menace de l'ADF qui a des liens avec les groupes islamistes », s'insurge ce diplomate américain.

Mike Hammer appelle à la solidarité locale et internationale pour en venir à bout de ces groupes armés qui terrorisent la population.

« Le gouverneur m'a dit qu'il vient d'être en visite à Beni et a fait cet appel à la population. C'est nécessaire que toutes les personnes responsables, les autorités congolaises, la communauté internationale mais aussi la population locale, travaillent ensemble car les ennemis ne sont pas la MONUSCO, les ennemis ne sont pas les citoyens qui manifestent non, les ennemis sont les ADF, les ennemis sont les groupes armés ».

07/02/2021

Pour sa première prise de parole en tant que président de l’UA, Félix Tshisekedi rend hommage à Patrice Lumumba.



RDC: pour sa première prise de parole en tant que président de l’UA, Félix Tshisekedi rend hommage à Patrice Lumumba

ACTUALITE.CD
La 34e Session ordinaire de l’Assemblée des Chefs d’État et de Gouvernements s’est ouverte à Addis-Abeba, en Éthiopie, ce samedi.

Du haut de la tribune de la salle Nelson Mandela, Félix Tshisekedi qui prend la tête de l’organisation panafricaine, a rendu hommage à Patrice Emery Lumumba.


Pour lui, « c’est un privilège unique pour la RDC qui accède à la présidence de l’UA à un moment symbolique et hautement significatif où nous célébrons les 60 ans de la disparition d’un digne fils du Congo et de l’Afrique, Patrice-Emery Lumumba ».

Et d’ajouter:

« Croyant fermement au grand destin de l’Afrique, il n’avait pas hésité à organiser, en aout 1969 à Kinshasa, alors Léopoldville, le dernier congrès de l’histoire du grand mouvement du panafricanisme. Le 30 juin peu avant sa disparition tragique, il déclarait: l’Afrique écrira sa propre histoire et elle sera au Nord et au Sud du Sahara, une histoire de gloire te de dignité ».

C’est dans cette optique que, pour honorer la mémoire de tous les panafricains, dit le Chef de l’Etat congolais, qu’il entend ancrer la thématique de ma présidence de l’UA dans la vision ci-après: « une Union africaine au service des peuple ».

Cette vision spécifique qui s’inscrit dans le premier plan décennal de mise en œuvre 2014-2023 de l’agenda 2063, va se décliner autour de neuf pilier stratégique mieux détaillé dans son plan d’action.

Pour rappel, le thème officiel de l’année 2021 est « Arts, culture et patrimoine : leviers pour construire l’Afrique que nous voulons ».

07/02/2021

Faute de légitimité, Tshisekedi ne va pas atteindre le bien-être de la population congolaise (Muzito)

Au cours de la deuxième semaine du séminaire idéologique orienté vers les cadres de son parti, le Nouvel Élan a abordé l'actualité sous l'angle économique.

Selon le président de ce parti, même avec le changement de la majorité, Félix Tshisekedi aura du mal à atteindre l'équilibre économique et le bien-être des Congolais.

"Les ressources propres mobilisées estimées à plus ou moins 3 milliards $ en 2019 et 2020 par Félix Tshisekedi sont en dessous et du taux de croissance et de la pression fiscale qu'il s'était fixé. Les ressources qu'il a mobilisées ne pouvaient pas lui permettre de financer le développement du pays. Les dépenses régaliennes de l'État c'est-à-dire la sécurité intérieure et la défense, ne pouvaient pas financer le fonctionnement des administrations et des différents cabinets", a expliqué Adolphe Muzito.

L'essentiel de cette enveloppe budgétaire 2019, 2020 a été consacré au salaire. Ce dernier a pris 70% et en 2019, et en 2020. À mon époque, c'était entre 40 et 45 %, a renchéri ce membre du présidium de la coalition LAMUKA.

À en croire Adolphe Muzito, cette faiblesse dans la mobilisation des ressources est en grande partie due à l'absence de légitimité de l'actuel pouvoir.

"En passant de FCC-CACH à l'union sacrée, est ce qu'il va atteindre l'équilibre économique ? Nous, nous avons peur que ça ne soit pas le cas", répond Muzito.

Muzito insiste sur le fait que Nouvel Élan et LAMUKA ne sont pas dans l'opposition moins encore une opposition républicaine parce que, dit-il, ils ne sont pas en face d'une majorité républicaine, et qu'ils ne sont pas une alternative en terme de programme mais que cette analyse s'inscrit dans un cadre purement pédagogique et montrer que les gens qui n'ont pas la légitimité n'auront pas des résultats ni sur le plan social, ni sur le plan économique.

06/02/2021

En pleine pandémie, l’Union africaine met la culture à l’honneur .

05/02/2021

Haut-Katanga(FCC) : Joseph Kabila prépare sa contre-offensive politique.

« Nous sommes en train de travailler (pour reprendre) le pouvoir. (Nous sommes en train) d’affûter les armes pour les prochaines élections, c’est dans 2 ans et demi« , déclare, sur TOP CONGO FM, Jessé Numbi, porte-parole du Front commun pour le Congo (FCC) dans le Grand Katanga. « Un grand général lorsqu’il connaît des difficultés avec ses troupes, la première stratégie et la meilleure, est de prendre un temps de repli pour réfléchir« , note-t-il pour justifier le silence dans lequel s’est muré l’ex-Chef de l’État depuis la première déconvenue subie par son camp : la déchéance du bureau Mabunda à l’Assemblée nationale.

Compter les loyaux

Interrogé sur l’échec du Comité de crise qui avait juré, en vain, de ramener les parlementaires FCC dissidents dans les rangs de la Kabilie, le communicateur Jessé Numbi renseigne que « l’objectif (était plutôt) de voir qui sont ceux sur qui nous pouvons compter pour reconstituer le FCC »

Il explique « qu’il en a beaucoup qui sont partis par peur et d’autres par hypocrisie ».
FCC, Opposition de fait

Ayant échoué à ramener comme prétendu ses élus « à la raison », le FCC, reconnaît Jessé Numbi, est « dans l’Opposition de fait ».

Et de s’interroger : « est-ce qu’il faut attendre une déclaration de Joseph Kabila pour dire que nous sommes dans l’opposition? ».

Mais déjà, prévient-il : « nous allons résister à toute forme de dictature ».

En attendant que s’organise cette résistance à la dictature, le camp Kabila subit un nouveau revers avec l’installation d’un bureau d’âge au Sénat, qui va examiner, dès ce vendredi 5 février, 6 pétitions contre le bureau Thambwe Mwamba.
L’initiative emane de ce qu’il convient d’appeler la nouvelle majorité « Union sacrée » qui, après l’Assemblée nationale, déploie ses tentacules dans la chambre dite des sages. Bien fragile, celle-ci était jusque-là, considérée comme dernier bastion de l’influence kabilie.

05/02/2021

05/02/2021

Présidence : Alexandre Kayembe présente ses excuses pour un infime geste non-maitrisé face au président

Ce cadre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social est victime de l’ardeur dès censeurs suite à un infime geste non maîtrisé qui lui a valu un tollé sur la toile. « Il est en fait victime d’un précédent plutôt flagrant de ces conseillers qui restaient assis alors que le président entrait dans la salle lors des consultations », explique un internaute qui répondait à la publication de mea-culpa d’Alexandre Kayembe Wa Bampende.

« Désolé et regrettable que la main dans ma poche a offensé et attiré plus l’attention que mon regard et toute la concentration qui traduisent mon attention, ma loyauté et toute mon admiration à l’égard du Président de la République lors de cette audience », a brièvement tweeté Alexandre Kayembe, le très dynamique conseiller spécial du chef de l’Etat en matière d’infrastructures.

En outre, rappelons que ce conseiller du président Félix Tshisekedi s’est récemment illustré dans le démantèlement des dispositions suicidaires du projet de construction en eau profonde du port de Banana tel quel négocié par l’ancien chef de l’Etat et ses collaborateurs avec l’opérateur dubaïote DP World.

Délégué par le chef de l’Etat compte tenu de son expertise acquise de ses précédentes fonctions notamment de président et CEO de PetroAfrica, l’examen du texte par ce conseiller spécial a mis en exergue une série de dispositions du contrat susceptibles, selon l’exécutif congolais, de nuire aux intérêts de la RDC.

Rappelons que ce conseiller figurent également parmi les autorités congolaises qui ont discuté de l’éventualité d’un nouveau consortium composé des sociétés égyptienne Income et chinoise China State Construction Engineering Corporation (CSCEC) pour prendre en charge le projet d’Inga III

05/02/2021

Kinshasa - Accident de la route à Mimoza : Il s'agit d'une Toyota IST. Aucun survivant, les recherches des corps démarrent bientôt (G. Ngobila)

Aucune personne n'a survécu dans l'accident de la route survenu, jeudi 04 février 2021, à la hauteur de l'avenue du tourisme sur le tronçon compris entre l'Hôpital de la Rive et l'entrée Mimoza, à Ngaliema, dans la ville de Kinshasa.

L'information est livrée par le gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, qui a le déplacement du lieu du drame ce vendredi.

À l'en croire, il s'agit d'une voiture Toyota IST communément appelée "Ketch" qui a fini sa course dans le fleuve Congo contrairement aux informations relayées à travers les réseaux sociaux faisant état d'un mini-bus.

À cet effet, le chef de l'exécutif provincial a annoncé la tenue d'une réunion avec les services compétents de la ville dans les heures qui suivent, afin d'entamer les recherches pour retrouver les corps des victimes.

"À ce niveau, je vais avoir une réunion tout à l'heure, je vais faire appel aux services compétents capables de faire des recherches en vue donc de repêcher les corps s'il y en a. Selon les informations qui nous ont été fournies, on dit qu'il n'y a pas eu des gens là où l'accident a eu lieu c'est-à-dire que il n'y a pas eu des survivants, ils sont sous les eaux. On va commencer les recherches l'après-midi en vue donc de repêcher tous ces corps", a laissé entendre Gentiny Ngobila.

Il faut signaler que cet accident de la circulation a eu aux alentours de 22h, heure de Kinshasa. À ces heures, l'avenue du tourisme sur le tronçon Hôpital de la Rive et l'entrée Mimoza est peu éclairée. D'où, la nécessité pour le gouvernement provincial de renforcer l'éclairage public dans ce coin pour éviter des accidents routiers.

7sur7.cd

04/02/2021

Le PPRD et le FCC se séparent de Joseph Kabila ?

Au pouvoir, Joseph Kabila a donné à l’opinion publique l’impression qu’il était un leader charismatique prêt à relever les défis de la vie quelles que soient les circonstances. Mais selon plusieurs analystes, sa situation actuelle prouve que c’est un homme qui n’aurait presque plus rien comme grande arme ou stratégie politique forte.

Car, malgré ses nombreux péchés durant l’exercice de son pouvoir, Joseph Kabila avait de manière inattendue réussi à conclure un accord de coalition avec son successeur, lequel accord lui donnait la possibilité d’avoir une mainmise sur la gestion du pouvoir en RDC. Malheureusement, à cause de ses intentions individuelles qualifiées de mauvaises par plusieurs personnes et du coaching mal apprécié de ses poulains, le fils de Laurent-Désiré Kabila a poussé le Président de la République Félix Tshisekedi à briser systématiquement cet accord pour constituer stratégiquement l’Union sacrée avec une bonne partie de la plateforme de l’opposition Lamuka.

Au lieu de mettre sur pied des nouvelles stratégies par rapport au développement de l’actualité, Joseph Kabila s’est permis de quitter la capitale congolaise pour Lubumbashi sans laisser des orientations à son gigantesque FCC. Cette façon de faire les choses a démobilisé ses troupes, au point qu’il y a eu émergence d’un groupe du FCC membre de l’Union sacrée.

Présentement, certains de ceux qui lui sont restés encore fidèles ont poussé l’idée de se reconstituer pour une opposition républicaine forte. Mais, jusque-là, Joseph Kabila, l’homme du silence, ne dit mot. Aucune consigne de vote, ni préparation sérieuse pour la mise en place du Bureau définitif de l’Assemblée nationale, le PPRD FCC est en train de naviguer à vue, alors qu’avec une cinquantaine des députés qui lui restent, pensent les analystes politiques, c’est possible de faire un effort pour récupérer ne cerait-ce que le poste de porte-parole de l’opposition.

04/02/2021

La congolaise Débora Kayembe Buba élue recteur de l'université d'Edinburg (Écosse)

Débora Kayembe Buba a été élue le 3 février 2021 recteur de l’Université d’Edinburg, devenant la troisième femme à ce poste en quatre siècles d’existence de l’institution. La congolaise (RDC) est la première africaine à cette prestigieuse fonction.

«J’exprime un sentiment de profonde gratitude pour ceux qui m’ont désigné en tant que candidate. C’est une grande responsabilité parce que je suis un exemple qui montre au monde que si vous êtes capable de réaliser les bonnes choses et de lutter pour la justice en vous oubliant vous même et en mettant la cause des autres en avant, la récompense sera toujours grande », a déclaré Debora Kayembe à Financial Afrik.

La désignation de Debora Kayembe comme 54 ème Recteur de l’université d’Edinburg sonne comme une révolution. En quatre siècles, 53 recteurs s’y sont succédés, tous blancs dont deux femmes.

Edinburg est l’une des plus prestigieuses université du Royaume Uni, classée à la 8ème place en Europe et 20 ème dans le monde .

04/02/2021

Tshisekedi : "Dans les années qui viennent, Kinshasa sera la ville la plus peuplée d'Afrique avec près de 30 millions d'habitants. Il faudrait déjà anticiper son extension"

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a, dans un point de presse tenu en Égypte dans le cadre de sa visite officielle le 2 février 2021, affirmé son engagement à tout mettre en œuvre pour l'extension de la ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.

D'après Félix Tshisekedi qui était aux côtés de son homologue Égyptien Abdel Fattah al-Sissi, Kinshasa sera dans les prochaines années la capitale la plus peuplée de tout le continent africain.

D'où, a martelé le 5ème président de l'histoire de la République démocratique du Congo, la nécessité d'anticiper déjà son extension étant donné qu'elle n'est habitée que par une petite partie.

"Demain, ça sera le jour de la visite touristique, je profiterai de cette occasion pour aller visiter la nouvelle ville du Caire que j'aimerais dupliquer aussi à Kinshasa. Vous savez que la capitale de la République démocratique du Congo n'est habitée que sur un tiers de sa partie et que dans les années qui viennent nous allons avoir la ville la plus peuplée d'Afrique. Il y aura à peu près 30 millions d'habitants à Kinshasa et il faudrait donc déjà anticiper son extension", a déclaré le président Tshisekedi.

Pour rappel, la construction de la Centrale photovoltaïque de Tshipuka avec une capacité de 10 Mégawatts, l’aménagement de la route à péage Mbuji-Mayi-Kananga longue de 185 km, la construction du port de Ndomba et l’implantation d’une usine de traitement d’eau sur la rivière Lubi dans le Sankuru sont parmi les grands projets dont les contrats et les protocoles d’entente ont été signés mardi dernier, entre d’une part, des sociétés égyptiennes et d'autre part, le FPI et quelques ministères de la RDC

Ces projets seront lancés dans les prochains jours car le financement est disponible.

04/02/2021

Bureau d'âge au Sénat : les sénateurs FCC appellent le chef de l'État à arrêter "cette dérive dictatoriale susceptible de plonger le pays dans l'instabilité"

Au cours d'une déclaration rendue publique ce jeudi 04 février 2021 à Kinshasa, les sénateurs membres du Front Commun pour le Congo (FCC) ont dénoncé la convocation de la plénière de ce jeudi au Sénat avant d'interpeller le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, sur ce qu'ils considèrent comme "des dérives dictatoriales".

"Nous, sénateurs membres du FCC, indignés par le recul démocratique dans notre pays, révoltés par les coups de force systématiques contre les institutions de la RDC, soucieux de prévenir les risques de recour à la prise en charge des populations de nos provinces respectives par elle-même, conformément aux dispositions de l'article 64 de la constitution, dénonçons la convocation illégale d'une plénière par le secrétaire général du Sénat, l'implantation sans masque d'une dictature monolitique, l'exacerbation des tensions inter communautaires et la rédiction des conditions qui ont conduit à l'instabilité politique dans les années 1960-1965. En conséquence, nous demandons au président de la République, chef de l'État, d'arrêter cette dérive dictatoriale susceptible de plonger le pays dans l'instabilité institutionnelle et sociale" a affirmé Tshikez Diemu.

Nous prenons à témoin l'opinion nationale et internationale, l'union Africaine, CEAC, SADC sur la nécessité de ne pas cautionner la caporalisation du Parlement à la veille de la prise en main de la direction de l'Union africaine et de la SADC par notre pays, renchéri-t-il.

Pendant que l'ancien ministre de la défense lisait cette déclaration au nom de ses pairs sénateurs FCC, le secrétaire général du Sénat procédait quant à lui, à l'installation du bureau d'âge au niveau de la chambre haute du parlement.

Celui-ci aura pour mission de présider les plénières sur l'examen des pétitions contre le bureau en cours.

29/01/2021

28/01/2021

CHAN 2020 : RDC - Cameroun, toutes les rencontres des quarts de finale.



Fin de la phase de groupe au CHAN 2020. Hier, le Groupe D a livré les dernières équipes qualifiées pour les quarts de finale de la compétition.

A partir de samedi, les quarts de finale vont débuter. Et quatre belles rencontres seront au programme qui vont tenir en haleine le continent africain.

Le samedi, le Mali ouvre le bal face au Congo Brazzaville au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Le même jour, le Cameroun, pays organisateur, va défier la RDC pour l’un des chocs des quarts de finale.


Le dimanche, les champions en titre marocains vont affronter la Zambie au stade de la Réunification de Douala. Quant à la Guinée, elle sera face au Rwanda pour la dernière affiche des quarts.

Voici le programme

Samedi 30 janvier 2021

16h GMT : Mali – Congo
19h GMT : RDC – Cameroun

Dimanche 31 janvier 2021

16h GMT : Maroc – Zambie
19h GMT : Guinée – Rwanda

africatopsports.com

28/01/2021

RDC: En 2021, les recettes exceptionnelles se chiffrent à 252,0 milliards de CDF, soit un rabais de 28,0%


Les recettes exceptionnelles arrêtées dans la loi des Finances de l’exercice 2021 s’élèvent à 252,0 milliards de francs congolais (CDF).
RDC: En 2021, les recettes exceptionnelles se chiffrent à 252,0 milliards de CDF, soit un rabais de 28,0% 1
Comparées aux prévisions budgétaires de l’exercice 2020 plafonnées à 350,0 milliards de francs congolais, les recettes exceptionnelles attendues en 2021 connaissent une régression de 28,0%.

Accroissement prévu côté recettes extérieures

Sur le même registre, le Gouvernement congolais prévoit les recettes extérieures à hauteur de 3 928,7 milliards de CDF. Ici au contraire, il y a de l’embellie en perspective avec un taux d’accroissement des recettes de l’ordre de 22,9% par rapport à leur niveau de 2020 qui était de 3 197,1 milliards
de francs congolais.


Il convient de noter que les recettes extérieures sont constituées des recettes d’appuis budgétaires de l’ordre de 1 271,7 milliards de francs congolais et des recettes de financement des investissements chiffrées à 2 656,9 milliards de francs congolais.

S’agissant des recettes des budgets annexes, elles s’élèvent à 362,8 milliards de francs congolais (CDF), avec un taux d’accroissement de 18,8% par rapport aux prévisions de l’exercice 2020 qui étaient de 305,4 milliards de francs congolais (CDF).

Signalons que les recettes des budgets annexes renferment essentiellement les actes générateurs des opérations des établissements publics d’enseignement supérieur et universitaire, ainsi que
des hôpitaux généraux de référence.

En ce qui concerne les recettes des comptes spéciaux, celles-ci sont évaluées à 702,6 milliards de francs congolais (CDF),
enregistrant un taux de régression de 30,8% par rapport à leur niveau de l’exercice 2020, soit 1 014,6 milliards de francs congolais (CDF).

Il sied de souligner que les recettes des comptes spéciaux se rapportent aux opérations des comptes d’affectation
spéciale répertoriés à ce jour.

zoom-eco.net

28/01/2021

RDC : les recettes budgétaires du secteur de l’ESU sont évaluées à plus de 84 milliards de CDF en 2021
zoom-eco.net


Le secteur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU) doit mobiliser l’importante somme de 84 milliards 799 millions 991 mille 628 francs congolais. C’est ce qu’indique la loi de Finances pour l’exercice 2021.
RDC : les recettes budgétaires du secteur de l'ESU sont évaluées à plus de 84 milliards de CDF en 2021 1
Avec les mesures prises par le Gouvernement congolais dans le cadre de la lutte contre la pandémie de covid-19, le secteur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU) reste en berne.

En conséquence, sur un montant de 71 milliards 390 millions 622 mille 627 de CDF que l’État congolais attendait en vertu de sa Loi de Finances de l’exercice 2020, le secteur l’Enseignement Supérieur et Universitaire n’a pu mobiliser que 47 milliards 954 millions 175 mille 88 francs congolais, soit 67, 1/% des assignations.


En ce moment où le nouveau régime congolais fait de la lutte contre la corruption, le détournement de deniers publics, la malversation financière et le clientélisme son cheval de bataille, avec à la clé l’arrestation de plusieurs hauts responsables, beaucoup d’efforts restent à faire pour inverser réellement la tendance.

Selon les données du Ministère de l’ESU, la République Démocratique du Congo compte près de 3 000 professeurs d’universté pour un effectif de plus 400 000 étudiants répandus à travers le territoire national.

Ces chiffres représentent en effet une moyenne d’un professeur pour 200 étudiants, ce qui est de loin supérieur au ratio exigé par l’UNESCO, soit un professeur pour 20 étudiants.

L’insuffisance du personnel académique constitue l’un des problèmes majeurs dans le secteur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire.

Alors que le besoin en ressources humaines est important, l’Université de Kinshasa (UNIKIN), par exemple, a perdu 39 professeurs décédés au courant de l’année 2020.

Selon des analystes, le manque d’effectifs suffisants de professeurs entraîne notamment la désertion de certaines filières par les étudiants ainsi que le vieillissement du corps enseignant.

Les filières des sciences, technologie et innovation, telles que les mathématiques, la physique, la biologie, la chimie, les sciences, la mécanique, l’électronique et l’informatique connaissent un très faible engouement. La plupart d’étudiants se tournant vers les filières des sciences humaines.

Il convient de noter qu’à cause du vieillissement du corps académique, il y a des risques énormes de fermeture de certaines facultés, comme celle de Polytechnique

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