Le parti politique de Seth kikumi s'exprime
La garde républicaine a été déployés a Kolwezi, dans la cité GCM luilu pour disperser un groupe de cresseur qui réclame qu'on leurs rendent le site de mineur.
La réaction du gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu, lieutenant-général Constant Ndima, n’a pas tardé après les dénonciations du massacre de plus de 43 civils, ce mercredi à Goma dans une opération militaire destinée à empêcher une manifestation contre l’ONU en République démocratique du Congo.
Sur les antennes de la télévision nationale, le lieutenant général Constant Ndima a justifié cette intervention de l’armée. À l’en croire, les manifestants avaient déjà tués un policier et se dirigeaient vers la base de la MONUSCO pour chasser les blancs, les ONG et s’attaquer aux forces de l’EAC.
Les manifestants “ont tué un policier et allaient investir la base de la Monusco, ils allaient commencer à chasser les blancs, ils allaient commencer à s’attaquer aux ONG et aux forces de l’EAC (…) Les policiers n’ont pas pu contenir le feu. C’est ainsi que l’armée est intervenue voyant que quelque chose pouvait se cacher derrière”, a-t-il déclaré.
Massacre de Goma: Les manifestants "ont tué un policier et allaient investir la base de la Monusco, ils allaient commencer à chasser les blancs, ils allaient commencer à s’attaquer aux ONG et aux forces de l’EAC (…) Les policiers n’ont pas pu contenir le feu.
Dans deux vidéos filmées dans un quartier de Goma et largement partagées sur les réseaux sociaux, on aperçoit des militaires portant la tenue d’une unité d’élite jeter une dizaine de corps sans vie à l’arrière d’un véhicule militaire. Certains cadavres sanglants sont traînés au sol.
Au moins 48 civils et un policier ont été tués mercredi à Goma dans une opération militaire destinée à empêcher une manifestation contre l’ONU en République démocratique du Congo, selon un document interne des Forces armées congolaises (FARDC) consulté par l’AFP jeudi.
Fin de la formation de nos militaires
La monté en puissance de FARDC🇨🇩🇨🇩💣