journal des bonnes nouvelles

journal des bonnes nouvelles toutes les belles du monde , bons actes des etres vivants, beautes de la nature, tout ce qui peut don

05/01/2023

Bravo

04/26/2023

Cette semaine, une femelle nommée Siyaya a donné naissance à quatre petits au parc national de Kuno.

Tellement beau
04/24/2023

Tellement beau

🐝 Une photo admirable !
Elle n’aura pas attendu aujourd’hui pour se goberger, cette abeille gourmande, et elle a bien raison.
Dans la nature tout est ouvert et à disposition de qui sait l’apprécier…
—•—
Texte ©LaureChevalierSommervogel
Page Animaux et Merveilles
📷 non identifié

04/22/2023
04/18/2023

Les choses extraordinaires de la Terre

04/08/2023
04/06/2023

Belle initiative

04/05/2023

Victoire majeure pour les communautés autochtones de l’Équateur
Depuis 2022, le gouvernement d’Équateur doit obtenir le consentement des Premières Nations équatoriennes pour tout nouveau projet d’exploitation minière et de forage sur leur territoire, a tranché la plus haute juridiction du pays.

Si une communauté autochtone refuse un projet, le gouvernement ne peut aller de l’avant que dans des «cas exceptionnels» qui ne portent pas atteinte aux droits des Premiers Peuples et de la nature.

03/31/2023
«Quand une multitude de petites gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses, ils pe...
03/31/2023

«Quand une multitude de petites gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses, ils peuvent changer la face du monde.»

Erich Fried

Pour une communication responsableNous sommes biologiquement attirés par les informations négatives. Nous nous préparons...
03/31/2023

Pour une communication responsable
Nous sommes biologiquement attirés par les informations négatives. Nous nous préparons instinctivement à réagir et à anticiper le pire pour notre survie, c'est inné et cela fait de l'audience.

En ces temps troublés ou la peur saisit les rennes de nos émotions, l'humeur est à la réaction à chaud, ce que Régis Debray nomme la "soumission panique à l'urgence." Après l'attentat de Nice, certains de nos dirigeants et personnalités publiques se sont livrés à une prise de parole réactive, une cacophonie médiatique laissant un sentiment de débat de place publique moyenâgeux.

Face à une population hébétée et terrorisée, ne devaient-ils pas faire preuve d'exemplarité plutôt que d'apporter encore plus d'eau aux moulins des plus bas instincts de leurs concitoyens qui, dans leur immense peine et crainte du pire, cherchent des boucs émissaires? Quid de la responsabilité et de la dignité? Les grands événements ne méritent-ils pas le temps de la réflexion?

Cette surenchère nous fait douter de leur capacité à nous gouverner et pire encore nous désunit, ce qui est l'exact objectif de nos agresseurs. Remettons-nous aussi en question et ne demandons pas à nos gouvernants de s'exprimer quand ils n'ont encore rien à dire et, respectons-les car ils ont besoin de notre soutien pour lutter contre l'horreur. Leur situation n'est pas enviable.

Sans tomber dans le déni, mesurons nos propos, ne mélangeons pas tout, cultivons-nous, réfléchissons et choisissons des médias responsables. Si nous n'avons pas de solution à proposer, taisons-nous et ne retournons pas notre colère contre nous-même.

La question de la responsabilité des médias et de notre propre responsabilité est essentielle. Le monde n'est pas fait que de mauvaises nouvelles mais nous sommes biologiquement attirés par les informations négatives. Nous nous préparons instinctivement à réagir, nous anticipons le pire pour notre survie, c'est inné et, cela fait de l'audience. Pire, nous sommes dorénavant en perfusion permanente de catastrophes: Internet nous permet d'accéder à tous les malheurs du monde sans aucune
Comment croire en demain, retrouver un peu de joie, faire preuve de solidarité quand nous sommes abreuvés de mauvaises nouvelles, de polémiques, quand tout semble perdu? Obligeons-nous à changer pour lutter contre la fascination du pire et ses risques auto-réalisateurs. Ayons le courage de la bienveillance et de l'optimisme malgré tout. Soyons dignes et respectons la mort et le deuil sans nous approprier des drames qui ne nous appartiennent pas. Voyons nos familles, nos amis et célébrons ce qui va bien.

Instaurons un quota minimum de bonnes nouvelles dans nos médias! Innovations, santé, culture, écologie... Les sujets ne manquent pas et les journalistes ont le pouvoir et la responsabilité de participer à cette transformation. Le film Demain qui a dépassé le million d'entrées prouve que ce changement est possible et même attendu.

Ensemble, montrons l'exemple et faisons de cet élan positif une force, un projet commun et, un succès dont nous serons fiers.

CANCER - "Les rêves peuvent devenir réalité si on se bat vraiment pour." Ces mots sont ceux de Montana Brown, une Améric...
03/31/2023

CANCER - "Les rêves peuvent devenir réalité si on se bat vraiment pour." Ces mots sont ceux de Montana Brown, une Américaine de 24 ans et ils ont aujourd'hui une résonance particulière.

Il y a 22 ans, alors tout juste âgée de 2 ans, on lui diagnostique une forme sévère de cancer dans les tissus musculaires. Pour se soigner, la petite fille intègre le service pédiatrique pour les enfants malades de l'hôpital d'Atlanta, en Géorgie. Ce 18 septembre, sur son compte Facebook, c'est avec fierté qu'elle a annoncé être officiellement titulaire d'un diplôme d'infirmière et rejoindre ce même service, mais dans l'équipe des soignants cette fois!
Je voulais prendre une minute pour dire MERCI à tous ceux qui m'ont appelée et envoyé des messages. Peut-être que certains ne sont pas au courant: aujourd'hui, c'est officiellement mon premier jour au service pédiatrique des enfants malades du cancer. À chaque fois que quelqu'un regarde mon badge et voit mon service, j'ai les larmes aux yeux. Je suis tellement comblée de cette vie étonnante que Dieu m'a donnée. Jamais je n'aurais imaginé qu'à 24 ans, j'aurais atteint mon rêve le plus fou: travailler à l'hôpital où j'étais soignée enfant et adolescente. C'est absolument incroyable et merveilleux de travailler dans un endroit aussi inspirant!"

"Les rêves peuvent devenir réalité si on se bat vraiment pour"

Rien n'a été facile pour que Montana en arrive là. Après le diagnostic de son cancer, elle a subi une chimiothérapie d'un an. Ses parents ont, eux, fait leur possible pour l'aider à supporter ses soins et lui offrir une vie normale.

Le traitement a finalement pris le dessus sur la maladie et Montana Brown a pu rentrer chez elle. Elle a recommencé ses études, s'est mise aux compétitions de gymnastique. Jusqu'à ses 15 ans, où son cancer l'a rattrapée.
Montana a dû abandonner la gymnastique et son équipe de pom-pom girls pour aller une fois par semaine à l'hôpital, subir de nouveau une chimiothérapie et un traitement par rayons.

"Battez-vous comme un enfant!"

Malgré cette épreuve, Montana est restée positive et garde un bon souvenir de cette période: "Les infirmières sont aussi formidables que lorsque j'avais 2 ans. Ma mère m'a raconté qu'elles étaient toutes très aimantes, attentionnées et compatissantes. Tout cet amour qu'elles nous ont montré à ce moment, ça m'a beaucoup aidée", a-t-elle raconté à la presse américaine. "Ça m'a surtout poussée à devenir aussi gentille et compatissante qu'elles l'ont été avec moi"!

C'est son passé qui lui a permis de trouver sa vocation: devenir, elle aussi, infirmière. "Une fois que j'ai intégré mon école, je voulais uniquement me diriger vers l'oncologie pédiatrique (le service dédié aux enfants souffrant d'un cancer). Je ne voulais rien faire d'autre. Je suis allée à l'école uniquement pour ça", explique-t-elle.
Aujourd'hui, nouvellement diplômée, elle a réalisé son rêve. Elle espère maintenant être une source d'inspiration pour tous les enfants qui luttent, comme elle l'a fait. "Je peux leur dire: 'Je comprends parfaitement ce que tu vis, j'y suis passée et maintenant je suis là'. Ça permet de former des liens forts."

INSOLITE - Il remonte le moral de son pays. Dans un contexte pesant lié à l’épidémie de coronavirus, l’histoire d’un anc...
03/31/2023

INSOLITE - Il remonte le moral de son pays. Dans un contexte pesant lié à l’épidémie de coronavirus, l’histoire d’un ancien combattant britannique de 99 ans, qui s’était lancé pour défi de parcourir l’équivalent de 100 longueurs dans son jardin à l’aide de son déambulateur pour collecter des fonds pour les soignants, fait du bien.

Son nom? Tom Moore. Pour le soutenir, il en a appelé à la générosité du public, les fonds récoltés étant destinés à des associations aidant les employés du service public de santé britannique, le NHS/Au rythme de dix longueurs de 25 mètres par jour, ce dernier a terminé son défi ce jeudi 16 avril. Alors qu’il s’était fixé un objectif de 1000 livres sterling, celui qui s’apprête à fêter ses 100 ans le 30 avril prochain a en réalité réussi à récolter... plus de 17 millions de livres, soit environ 19 millions d’euros.

D’après le site de la RTBF, plus de 850.000 personnes ont fait des dons sur sa page de collecte de fonds. “Je me sens bien, j’espère que vous vous sentez tous bien aussi. Le montant total collecté jusqu’à présent était une somme d’argent absolument fantastique. Je n’ai jamais rêvé de participer à une telle occasion”, a-t-il confié à la BBC à la fin de son challenge.

“Nous avons connu des problèmes avant, nous les avons surmontés et nous surmonterons ceci’, lance-t-il à ses compatriotes britanniques plein d’espoir.

Un effort “héroïque”
Originaire du Yorkshire, Tom Moore a reçu une formation d’ingénieur civil avant de s’enrôler au début de la Seconde Guerre mondiale. Il a ensuite servi en Inde et en Birmanie.

Invité ce mardi 14 avril sur une chaîne de télé britannique, le vétéran, arborant une veste couverte de médailles, a salué le travail des soignants, expliquant que “cette fois notre armée porte des uniformes de médecins et d’infirmières”.

Adresse

Isabella
Montreal, QC

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque journal des bonnes nouvelles publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager