Plumes D'ICI

Plumes D'ICI Promouvoir les jeunes pousse et leurs plumes. ici vous trouverais des histoires vécues ou imaginaires que les auteurs auront un grand plaisir a partager

04/10/2020

Peut être qu'un jour tu le verra,
Peut être que ce jour tu le lira,
Je veux te laissé dans ces lignes fortes,
Ce qui vient du plus profond de mon aorte,
A toi ma reine. Je te dédie ces lignes
Notre histoire fût unique de part les événements que nous avons vécu ensemble,
Ces derniers mois ont été un calvaire qu'on a partagé ensemble,
Mais aujourd'hui j'abandonne,
Non pas parce que je ne t'aime pas ni rester dans la donne,
Mais parce que sans moi ta vie sera pleine de bonheur,
Tu vivra dans la bonne humeur,
J'ai encore à dire,
Je préfère m'empêcher de redire,
Ce que tu sais déjà
Zoto

07/01/2020

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 2: Ma mère, ma petite amie
Auteur: Saïda BIO SANDA
EPISODE 2
Pendant ce temps loin de la ville, à Cotonou Elsa s’était trouvé un nouveau boulot plus décent que le précédent. Elle était hôtesse dans un grand hôtel de la place Bénin Marina Hôtel. Elle a réussie à se construire une nouvelle image. Elle avait fait semblant d’oublier son fils mais elle n’y arrivera jamais. C’était la chair de sa chair, une partie d’elle. Mais elle ne devait pas se laissé emporter par la nostalgie. Elle devait faire face à son nouveau monde, un monde d’hommes d’affaires, de politiciens, des hommes influents de toutes les catégories. Elle s’occupait afin d’oublier le passé. Ce passé qui la hante jours et nuits. Elle a voulu oublier mais elle ne pouvait pas. Elle a donc essayé d’avancer. Les années passaient avec les mêmes vas et viens. Elsa grandissait et devenait une femme mure et plus mature.
Déjà vingt-six ans qu’elle a quitté Parakou, elle avait oublié son fils et surtout celle qui lui avait donné la vie. A l’hôtel, elle était désormais l’hôtesse en chef. C’était elle qui coordonnait les activités de toutes les hôtesses de l’hôtel. Elle habitait une sublime villa et avait un véhicule 4x4. Pendant tout ce temps elle ne s’intéressait plus aux hommes. Certes on lui faisait la cours, mais à chaque fois elle trouvait toujours une excuse pour y échapper.
***
A Parakou, la vie avait continué son train-train, Kélvine l’enfant d’Elsa avait lui aussi grandi. Il avait fini ses études en communication d’entreprise et était devenu un homme influent dans le domaine de la communication à seulement vingt-six ans. Il faisait la fierté de sa grand-mère qui l’avait élevé toute seule depuis ses deux semaines. Il lui devait la vie. Ils habitaient désormais une sublime villa en plein cœur de la ville. C’était un après-midi le téléphone du directeur général Kélvine sonna
- Monsieur Kélvine bonsoir,
- Bonsoir Madame.
- Cabinet du ministre de la communication et de la poste, vous êtes attendu demain à 9h 00mn au bureau du ministre
- C’est entendu.
- Merci pour votre attention et votre disponibilité. Excellente suite de soirée à vous
- Merci pareille à vous.
De retour son domicile, il annonça la nouvelle sa grand-mère. Elle était contente pour lui et lui formula des vœux. Une fois à Cotonou, on le logea à l’hôtel Benin Marina, il fut accueillir par l’hôtesse en chef
- Bienvenue monsieur Kélvine, je suis Elsa hôtesse en chef. Le directeur m’a instruite pour vous accueillir. Nous avons préparé pour vous une suite, lui dit-elle
- Merci miss Elsa, vous avez un joli prénom comme vous-même d’ailleurs. Merci pour l’accueil
- Je vous en prie. Faites comme chez vous
Kélvine passa plus d’une semaine à Cotonou. Pendant ce temps, il profita pour passer de bons moments avec sa nouvelle amie. Ils ont fait de plus ample connaissance. Avant son départ, il lui avait proposé de venir passer un week-end avec lui dans la cité des Kobourou. Elle accepta sa proposition, elle était sous son charme. Kélvine était un bel homme, élégant, personne ne pouvait lui résister. De retour à Parakou, Kélvine informa sa grand-mère d’une visite très prochainement d’une femme, il expliqua à sa grand-mère qu’il était très amoureuse de cette dernière.
- Si elle t’aime aussi comme tu l’aime, alors je ne peux que vous souhaité du bonheur, lui avait-elle dit.
- Merci mamie chou, je t’aime énormément
Deux semaines plus t**d, le moment tant attendu était là. Mémé prépara un diner exceptionnel pour sa brume. Elle voulait que son petit-fils soit fier d’elle. Kélvine quant à lui était allé chercher son invité à l’aéroport. Elle était la debout devant le hall d’arriver, bien habille avec une robe droite qui dessinait parfaitement ses rondeurs. A sa vue, le jeune Kélvine était stupéfait, il ne trouvait presque plus de mots pour s’exprimer.
- Bienvenue princesse, finit-il par lâcher
- Merci mon DG, en plus d’être galant vous êtes élégant cet après-midi.
- Merci miss Elsa, on y va ?
- Oui oui
Il ouvrit la voiture pendant que son chauffeur s’occupait de ranger la valise d’Elsa dans la malle arrière. Le véhicule Toyota 4x4 quitta le parking de l’aéroport de Tourou en direction de la sublime villa du jeune DG.
- Mémé, nous sommes-la, cria Kélvine
- Je viens, je suis dans la cuisine. Installez-vous
Ils s’installèrent en attendant grand-mère. Quand cette dernière entra dans le séjour, elle laissa tombé le plateau de verre d’eau et s’écria, Elsa ma fille avant de s’effondrer.
FIN

04/01/2020

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 2: Ma mère, ma petite amie
Auteur: Saïda BIO SANDA
EPISODE 1
Le ciel était bleu, la nature brillante, le vent léger et doux. Le son brouillant de la nuit s’installait peu à peu. Parakou le chef-lieu du département du Borgou était bien éclairée par dame nature, mais aussi par les lampadaires, les phares des motos, des véhicules qui de par leurs bruits animaient les quartiers. Les bords des voies du quartier Gah, ce quartier parmi tant d’autres étaient bondés de filles. Elsa, élément de ce groupe de fille, utilisait son corps pour se faire de l’argent afin de subvenir à ses besoins et celle de sa mère, l’unique famille qui lui restait. Sa mère Paula était contre ce travail mais elle s’en tétait.
Un jour elle décida de faire un bilan de santé, elle se rendit dans un centre pour des examens médicaux. Après les examens on révéla à Elsa qu’elle était enceinte. Elle se leva lentement et se mit sur le chemin ne sachant pas où aller avec des larmes aux yeux. Elle alla se réfugier sur une place publique. Elle était là pleurant toute les larmes de ses yeux. Elle se posait des questions auxquelles elle ne trouvait pas de réponses. Elle rentra chez elle plus t**d mais elle savait une chose, elle ne voulait pas avorter. C’était une bénédiction de Dieu. Quelques jours plus t**d les symptômes de la grossesse apparus. Elle avait des nausées, elle vomissait, elle dormait beaucoup et avais de la fièvre, une fièvre forte. Sa mère remarqua et l’interrogea
- Qu’as-tu ma puce?
- Rien maman
- Mais pourquoi tous ces symptômes alors ? tu sais je suis ta mère et peu importe ce qui ce passe tu dois te confier à moi pour qu’ensemble nous trouvions une solution ? Tu es la seule famille qui me reste donc stp aide moi.
- Je suis enceinte de trois mois dit-elle avec les larmes aux yeux
- Quoi ? tu es enceinte ?
- Oui maman.
- Et tu penses faire quoi de la grossesse ?
- Je veux la garder
- Au moins c’est déjà une bonne nouvelle. Comment comptes-tu faire tu n’as que 16nans?
- Je n’en sais rien pour l’instant
- On en parlera plus t**d alors
De mois en mois son ventre grossissait, elle était de plus en plus fatiguée. Elle avait suivi à la lettre les prescriptions de son médecin afin d’assurer à son enfant une meilleure santé. Au moment tant attendu elle mit au monde un beau garçon qu’elle nomma Kélvine. De retour à la maison les premières semaines furent bonne pour le nouveau-né il avait la chaleur et l’attention de sa mère. Mais deux semaines plus t**d, elle abandonna son enfant et s’enfuit dans la nuit profonde. Au réveil Paula la mère d’Elsa, voulant aller saluer son petit-fils se rendit compte que sa fille n’était plus là. Elle la chercha mais ne le trouva plus. Elle due s’occuper de l’enfant toute seule.
A suivre.

04/01/2020

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 2: Ma mère, ma petite amie
Auteur: Saïda BIO SANDA

Qui est l’auteur ?
Saïda BIO SANDA, est une élève en classe de Tle D au collège Privé Academia, à Parakou. Elle est née à Parakou le 09 Octobre 2003. Sa passion pour la littérature l’a amené à la plume en 2016. Elle fait son entré dans la grande famille des écrivains avec sa nouvelle intitulé Ma mère, ma petite amie.

Dédicace
A mes parents, qui loin de me le refuser m’ont soutenu dans ma passion pour l’écriture ;
A ma grande sœur, mon cœur, merci infiniment ;
A mes amis qui de loin ou de près m’ont soutenu
Saïda BIO SANDA

04/01/2020

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 1: AU NOM DE LA COLERE
Auteur: Pénielle Charlène AGOSSOU ZOUGNON
EPISODE 3 (suite et Fin)
- Nous sommes enceintes du même homme. Et tu le connais mieux que personne continua-t-elle
Comme personne ne voulait l'informer, elle mena ses propres enquêtes. Elle sut que le responsable des grossesses des jumelles avait une relation avec leur mère. Elle a failli mourir lorsqu'elle apprit cela. Elle vérifia à maintes reprises mais la vérité était là. Un jour, elle a été appelée d'urgence à l'hôpital. Elle y alla et reviens plus tôt que prévu. Malgré que c'était les vacances, personnes n'était dans la cour, ni dans le salon. Ni les enfants, ni la mère, ni les jumelles. Elle alla dans la chambre conjugale.
- Chéri s'écria-t-elle
Le reste de la phrase était inaudible. Elle se demandait si elle rêvait ou s'il s'agissait de la réalité. Sa propre mère et son mari se chevauchant. Elle s'immobilisa, elle les observait impuissante. Elle laissa s'échapper un cri involontaire alertant ainsi le couple qui arrêta aussitôt sa besogne. Chacun chercha un moyen de se protéger rapidement. Ses yeux rougis par les larmes. Inès observait toujours là scène. Son mari s'approcha d'elle, se confondit en excuses, genoux à terre. La mère pendant ce temps-là s'éclipsa de la chambre laissant les deux époux seul. Le visage comme un innocent, il continuait de demander pardon. C'était vraiment difficile pour Inès. Comment il a pu? Tranquillement, elle se retira de la pièce pris sa voiture et sortir de la maison. Il fallait qu'elle reprenne son souffle. Dans la maison, tout se passait désormais comme si de rien n'était. Des jours passèrent et elle réussit peu à peu à pardonner cette tromperie de la part de son mari et de sa propre mère. Elle essaya d'effacer toutes ces colères et décida de se calmer et de redonner à son mari l'amour qu'il n'avait pas et tout rentra dans l'ordre.
Une nuit, pendant que tous dormait elle se réveilla. Elle remarqua que son mari n'était plus dans la pièce conjugale. Elle se leva, fit le tour de la maison. Elle commença par la chambre de sa mère pour voir si elle savait quelque chose. Elle était endormie. Elle alla donc dans celle des enfants. Des cris lui parvenaient. Les enfants n'étaient pas encore endormis. Leur père était sûrement avec eux elle y alla. Elle prit le poignet qui céda. Les enfants jouaient, elle parcourut la pièce. Personne. Elle recommanda aux enfants de vite se coucher. Elle était inquiète ou est –il allé? Il n’a laissé aucune note indiquant sa position. Où j’essayerai de l’appeler? Elle retourna dans la chambre conjugale, Jonas n’était toujours pas là. Et le téléphone était là. Elle ne pouvait donc pas l’appeler elle refit le tour de la maison et entra cette fois ci dans la chambre des jumelles. Toutes les lampes étaient allumées. Elles étaient en éveil. Mais Francelle n’était pas dans le lit, Franckelle quant à elle y était mais nue. Elle revint sur ses pas, elle voulut demander à sa sœur où était passé sa jumelle, quand elle vie celle-ci sortir de la do**he nue et pire encore dans les bras de Jonas. Son cœur se serra, tout son corps tremblait.
- Tu sais maintenant qui est le père de nos bébés, l’auteur de nos grossesses, lança Francelle
Elle faillit s’effondrer. Elle aurait dû y penser quand elle avait surpris son mari et sa mère. La scène de la dernière fois revint dans sa tête. Les jumelles dans leur lit observaient, les deux époux. Jonas cette fois, ne s’excusa pas, la poussa de l’entrée après s’être habillé et sortit. Inès croyait que le ciel lui était tombé sur la tête. Elle ne savait plus quoi faire. Le reste de la nuit fut pour elle, un calvaire. Indifférent, lui s’était endormi paisiblement. Quelques temps plus t**d, Inès décida de quitter le domicile conjugal en compagnie de ses deux enfants. Elle voulait s’en aller et laisser ses sœurs et sa mère avec leur mari puisqu’il n’était plus le sien. Elle rangea ses bagages et celui de ses enfants. Elle faisait sa dernière cuisine dans cette maison quand le maitre des lieux arriva.
- Inès, ne me dit pas que tu veux partir, demanda-t-il
- Bien sûr que si
- Tu es venue ici sous mon ordre, tu ne partiras donc pas sans mon ordre.
- Tu te trompes mon cher époux. Je crois que tu oubli que je suis une femme émancipé. Tu m’as toujours menti quand je me confiais à toi en parlant des grossesses de mes sœurs, répondit-elle avec énervement.
- Attend un peu, tu ne vas pas me dire que c’est cette petite erreur qui veut te faire partir ? Tu dois forcement me pardonner.
Cette dernière phrase résonna dans sa tête plus d’une dizaine de fois. Son sang ne fit qu’un tour, elle renfrogna sa mine, leva les yeux pleins de colère
- Tu as dit quoi ? demanda-t-elle avec douceur
- Tu dois me pardonner répéta-t-il
Elle lui tourna le dos, prit le premier objet qu’elle avait a porté de main : C’était un couteau. Croyant qu’elle voulait l’intimider, il essaya de le lui arracher mais elle l’enfonça dans son ventre. Il s’effondra. Elle se rendit compte qu’elle venait de tuer son mari sous l’effet de la colère. Elle ne le regrettait pas. Tant elle avait mal, très mal. La famille de Jonas porta plainte contre elle, une fois informé du décès de leur enfant. Inès fut arrêter, juger et condamner à 20ans de prison ferme. Elle avait perdu tous ce qui lui était chère, même ses enfants ne voulaient plus entendre parler d’elle car pour eux un assassin ne pouvait pas être leur mère. Elle refusa à sa mère et à ses sœurs toutes visites.
***
Assise dans cette cour, elle remémorait tous les évènements. Toutes les images lui revenaient dans la tête. Ses paupières se fermèrent et deux lignes se formèrent sur ses joues, des lignes de larmes pleines de douleur et d’amertume. Si seulement elle pouvait revoir son mari, elle était prête encore à le tuer. Tant elle avait mal, mal au plus profond de son âme.
Fin

24/11/2019

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 1: AU NOM DE LA COLERE
Auteur: Pénielle Charlène AGOSSOU ZOUGNON
EPISODE 2
C'était il y a deux ans quelques mois. Les enfants étaient en congés. Jonas n'allait plus régulièrement au service. Inès faisait de même. Elle n'allait plus au service que pour régler des urgences. C'était les vacances, ses sœurs et sa mère vinrent passer quelques temps avec eux. Les sœurs étaient des jumelles: Francelle et Franckelle. Elles étaient de très belles filles. Décidément la beauté avait décidé de s'installer là, dans leur famille. Elles étaient identiques. Le même timbre vocal, le même sourire. A toutes personnes qui les regardaient, l'on n'a pas besoin de dire qu'il s'agit des jumelles. Elles faisaient tous ensemble, c'étaient de véritables jumelles. Tout allait bien et Inès était fière de la famille dans laquelle elle vivait. Quelques temps après leur arrivée, Franckelle tomba malade. D'éternels crachats, des nausées, des vomissements des étourdissements et des vertiges. Fatigue et lassitude ! La journée qui suivait Franckelle commença aussi avec les mêmes symptômes. Il n'y avait plus de doute elles étaient enceintes. Tous les deux comment était-ce possible ? Leur sœur était devenue inquiète et se questionnait jour et nuit. Un jour après le petit déjeuner, elle interrogea leur mère
- Maman je m'inquiète
- Pourquoi ? Les jumelles ?
- Leurs grossesses
- Mais oui, selon toi c'est qui les auteurs ?
- Je n'en sais. Mais ces personnes-là auront de sérieux problèmes si je les démasque.
- Je vais essayer d'enquêter.
La mère ne semblait pas trop inquiète, on aurait cru qu'elle connaissait les coupables.
Inès entreprit d'enquêter. Elle invita Franckelle en premier
- Ma puce tu es grande maintenant personne ne peut t'empêcher de l'épouser. Il faut qu'on le connaisse.
- Tu le connais et maman aussi
- Mais dis-moi qui c'est
- Demande à maman
Elle invita ensuite Francelle. C'était le même scénario : les mêmes questions et les mêmes réponses. Plusieurs fois, elle essaya mais toujours le même scénario. La réponse commune la faisait vraiment réfléchir. C'est qui ces bât**ds ? se demanda-t-elle. Elle les invita maintenant toutes les deux. Elle insista et un jour Francelle lança
- Nous sommes enceintes du même homme. Et tu le connais mieux que personne continua-t-elle
Ce sera tout pour l’épisode 2 de la nouvelle "Au nom de la colère". Vos remarques et vos suggestions, vos soutiens sont entendus en commentaires.

15/11/2019

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 1: AU NOM DE LA COLERE
Auteur: Pénielle Charlène AGOSSOU ZOUGNON
EPISODE 1
Dans cette cour tous sont déjà debout. Tous renouvèlent leur espoir, celui de sortir de là un jour ou l’autre. Des raisons diverses avaient rassemblés ces femmes et ces hommes en ce lieu-là. Le lieu où l’on est privé de liberté. Ce lieu où personne ne désire passer ne serait-ce que deux heures de temps. Les tâches dans cette vaste cour étaient multiples pendant que d’autres balayaient, d’autres nettoyaient des bureaux, d’autres encore prenaient leurs temps à casser des graviers. Un homme se tenait près de ce dernier groupe cravache à la main, la mine désagréable. Ils n’avaient qu’à obéir s’ils ne voulaient pas goûter à la sévérité de ce dernier. Toutes ces tâches devaient être faites avant que les détenus n'aient droit au petit déjeuner. Dans cette troupe malheureuse et surtout pleine d'espoir, se comptait Inès ALIBI. Cette jeune femme à allure agréable. Elle était très belle et avait une démarche, telle une danse difficile, à imiter. Ses beaux yeux qui vous met à nu dès qu'elle vous fixe, ses lèvres pulpeuses vous invite à les embrasser, son visage beau vous paralysé dès que vous le voyez. Inès rappelait la beauté de la vierge Marie. Cette beauté vivait dans ce lieu, il y a deux ans. Elle était dans cette prison parce qu'elle s'était laissé emporter par la colère. Mariée et mère de deux enfants, Inès était une femme comblée. Elle avait un bon mari, un bon boulot, une bonne santé et tous ce dont désire un homme dès son bas âge. Fondatrice de l'hôpital le plus grand de la région, Inès et son mari formaient le meilleur des couples. Jonas lui était fidèle. Leur vie de couple venait de faire sept ans. Ils s'aiment énormément. Tout allait bon train jusqu'au jour où............


Ce sera tout pour le premier épisode de la nouvelle"au nom de la colère". Vos remarques et vos suggestions, vos soutiens sont entendus en commentaires.

L'équipe Plume D'ICI

15/11/2019

COLLECTION CONFESSION
Nouvelle 1: AU NOM DE LA COLERE
Auteur: Pénielle Charlène AGOSSOU ZOUGNON
Dédicace
A ma tendre mère MEGBETO Catherine pour son amour infini pour moi ;
A mon père AGOSSOU Achille ;
A vous : Pulchérie ADIBO, Bénédicte SOGBOSSI, Christella KANGALA, mes amis, mes soutiens ;
A vous : Emmanuella ZOUGNON, Christelle ZOUGNON, mes sœurs, mes amies je vous aime.

15/11/2019

Waouh nous avons atteint 10 j'aime plus vite qu'on ne le croyait. Merci a vous qui nous faite déjà confiance. Vous ne serez pas déçu.
Alors nous allons lancé les hostilités.
Celle qui nous livre la première histoire est Charlène Pénielle Mondukpè A. ZOUGNON. Elle nous offrons pour notre plaisir sa nouvelle intitulée " Au nom de la colère". Mais qui est t-elle réellement?
Né le 08 Août 2003 à Parakou, Mondukpè Charlène Pénielle AGOSSOU ZOUGNON est ainée d’une famille de trois sœurs. Elève en classe de Terminal D2 au collège privé Academia Parakou, elle est lauréat du concours Plumes Scolaire 2017, 3ième édition avec sa nouvelle intitulé Amour ou Amitié. Elle est nouvelliste, poète et romancière.

15/11/2019

Bonsoir à tous et Bienvenue sur cette nouvelle page littéraire.
La page Plumes D'ICI est créee dans le but de promouvoir les jeunes écrivains n'ayant pas la chance d’être publier ce sera donc un canal d'échanges entre ces derniers et vous les lecteurs les admirateurs.
Alors vos partages, vos j'aimes et vos commentaires resterons pour l'heure nos seuls forces. Je vous appelle donc à nous partager à inviter vos amis à nous soutenir à travers un j'aime pour qu'ensemble nous puissions nous fait connaitre. En attendant 10 j'aime pour lancer la première collection d'histoires intitulé "confession".
A l'endroit des amis écrivains qui sont encore dans l'ombre c'est l'occassion pour vous de vous révéler à travers notre page. Nous serons heureux de partager avec nos lecteurs votre histoire.
Littérairement votre!!!!

Address


Telephone

+22962918545

Website

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Plumes D'ICI posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Shortcuts

  • Address
  • Telephone
  • Alerts
  • Claim ownership or report listing
  • Want your business to be the top-listed Media Company?

Share