Quel est le site Web ?

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Sèmako Ben KPORO, Benjamin Sèmako KPOVIESSI ( BEN-ONI ). JE PARTAGE ICI MON LIVRE INTITULÉ """LE SECRET EN APPLICATION"" ET BIEN DISPONIBLE, Porto-Novo (2024)

31/03/2024

Je suis unique. J’ai toujours voulu être la personne que je suis devenu aujourd’hui. L’âge ne veut rien dire, car mon âme restera éternellement jeune. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire, alors je prends soin de moi, car je m’aime !

01/03/2022

L’histoire méconnue du premier africain champion du monde de boxe : Louis Mbarick Phall dit Battling S**i

Né le 16 septembre 1897 à Saint-Louis au sénégal, il est remarqué par une danseuse hollandaise qui lui propose de l'emmener vers l'Europe alors qu’il a à peine 13 ans.

Battling S**i fut le premier africain à devenir champion du monde. S**i n’échappera pas au racisme tout au long de sa carrière.

Certains journaux français l’appellent le « championzé » par référence au chimpanzé ou de façon beaucoup plus explicite le « gorille des rings » ou encore « l’enfant de la jungle », « l’enfant sauvage ». Le Journal l’intransigeant titre même « S**i donnerait la moitié de ses victoires pour devenir blanc ». Son propre manager n’est pas en reste puisqu’il déclare dans la presse que « S**i a du singe en lui ».

Le 24 septembre 1922, il écrase Georges Carpentier et devient champion de France, d’Europe et du monde. Le combat avait été « arrangé » au profit du Grand Georges, mais ce dernier avait voulu, devant un public venu le voir donner la leçon, frapper durement son adversaire. « Battling » S**i ne l’avait pas accepté, l’avait prévenu à plusieurs reprises puis avait fini par se battre sans retenue, jusqu’à allonger son adversaire, à la surprise générale.

Battling S**i a longtemps été ostracisé par la fédération française de boxe qui l’a déchu de ses titres vaillamment conquis parce qu’il était noir.
Las de subir le racisme en France, Battling S**i s’envole pour les Etats-Unis où le racisme est encore plus virulent à son endroit.

Le 15 décembre 1925, son corps est retrouvé criblé de balles au pied d’un immeuble à New-York. Il n’avait que 28 ans.
Source : " Surnoms des hommes et femmes qui ont marqué l’histoire contemporaine de l’Afrique, Editions La Doxa."

30/06/2021

On pense souvent que créativité et rigueur s'opposent ; Sèmako Benjamin Kpoviessi en est le contre-exemple. Il se montre curieux envers la nouveauté, cherche une activité stimulante avec un rythme de travail soutenu. Il accorde...

19/10/2020

Roch David
CELA VOUS FAIT-IL SI MAL ? MAIS BON……!!!!!!!!

C’est terrible. Ils ont la tête qui tournent, ils ont des palpitations (elles se déclenchent paraît-il avec l’anxiété, le stress, ou la panique). Pour un second mandat en téléchargement, ça crie au respect d’une promesse mûrement pensée et honnêtement exprimée, d’un acte d’une dimension à la fois individuelle et collective. Quel médecin faudra-t-il consulter pour sauver des gens ? Un psychologue ferait probablement l’affaire. Mais peut-il soigner quelqu’un qui délibérément se fait du mal, à lui-même, s’autodétruit en prenant en aversion le premier citoyen d’une nation ? Sous le prétexte du non-respect de sa parole donnée, ils se lancent dans des diatribes qui cachent mal leur mécontentement, leur haine, leur inimitié, leur rancune. Où étaient-ils lorsque Jacques Chirac affirmait : « les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent ». On n’attire pas la foule avec des arguments, on la séduit avec des formules simples. Au-delà de cette observation, la parole prononcée à l’époque était sincère et constituait un engagement unilatéral juridiquement très fort. Elle trouva, par la suite, sa place dans un contrat social et politique passé entre des citoyens consentants (Ah ! vous ne l’étiez pas ? oh zut !). Cette époque devrait être l’époque d’un accompagnement avec des droits et des devoirs. Certains ont très tôt fait de refuser cet accompagnement, s’arrogeant rien que les droits et niant les devoirs subséquents. Où se trouve la contrepartie souhaitée ? De fait, le contrat a été affecté d’un vice appelé "intellectocratie" corrompu. En conséquence, il n’est ni convenable ni sérieux de demander un respect d’une parole que l’on a refusée d’aider à se réaliser. Cette parole perd de sa juridicité à ce moment et devient factuel (le soleil se lève à l'est). Que voulez-vous enfin ? Quand on manque de connaître et de comprendre les trois niveaux de la stratégie appliquée à la politique à savoir : le niveau des objectifs stratégiques, le niveau tactique et le niveau opérationnel, encore une fois, il vaut mieux se taire toute honte bue. Ce n'est pas le lieu d'affabuler sur des dettes qu'on aurait jamais laissées à son successeur. Mais si vous espérez compétir et vous revêtir plus t**d du costume présidentiel, soyez en règle vis-à-vis des textes du moment. L’opposition peut aller chercher des parrainages. Toutefois les parrains doivent, à ce sujet, assumer entièrement et complètement avec une opposition de position ou une opposition de composition (la posologie est disponible). Considérant que « la politique est une course automobile dans laquelle on engage le meilleur pilote, sans s’apercevoir qu’il est au volant d’une vieille guimbarde » (Denis Leroy), beaucoup doivent revoir leur propos. Qui peut le moins peut le plus est la devise des persévérants. Cinq et cinq ne font pas cinq. C'est dix et c'est dit.

On se lave les mains et on porte le masque quel que soit son état d'âme.

RDG

28/09/2020

QUE FAUT-IL SAVOIR ???

Une différence importante à faire entre une "" ASSOCIATION "" et une ""SOCIÉTÉ "" s'avère nécessaire.
Mais qui pour éclaircir ???

Seuls les sages et non les hypocrites à ambition démesuré...... Ces hommes qui se cachent derrière un destin farouche avec un corps remplir de méchancetés pour ne pas dire d'orgueils pour agir dans un monde de polémique créé d'eux même.
Quand c’est obtus, c’est méchant !!!!!!

« J’ai la faiblesse de penser qu’en général, la méchanceté n’est pas une preuve d’intelligence » (René Goscinny) et « toute méchanceté a sa source dans la faiblesse » (Sénèque)
Stupidité, inintelligence, faiblesse, c’est le propre de certaines personnes qui ignorent qu’elles ne doivent prendre la parole qu’après avoir tourné assez longtemps leurs langues dans leurs bouches, qu’elles ne doivent poser des actes qu’après avoir cherché à expliquer à elles-mêmes ce que veut dire l’empathie. Hélas, quand c’est la méchanceté qui vient du tréfonds de l’être, rien n’arrête et l’on est fier d’avoir fait du mal en étant le mal incarné.
Il est une vérité qu’aucun être humain ne peut prétendre à la perfection. Les hommes ont des qualités mais également des défauts. Les qualités, il faut les cultiver davantage et les défauts, les atténuer continuellement. Ces défauts et qualités projetés sur le terrain politique laissent entrevoir la compréhension que les uns et les autres ont de la notion d’intérêt. Les intérêts publics ou généraux, a priori, avancés et défendus avec force et parfois sans conviction ont toujours été rappelés par la communauté aux gouvernants, ici et ailleurs, qui font de leur mieux pour s’y atteler en termes de protection sociale. Cela laisse perplexe, pantois et furibond. Bon sang ! l’homme est un vrai artiste capable de faire dans la tragédie et la comédie.
Quand la bonne vision, la stratégie, le travail et la témérité s’élèvent, le mérite est toujours au rendez-vous. Mais en vrai, c’est ce qui fâche, ce qui fait mal et qui rend méchant dans la critique. Cela conduit, en outre, à aller chercher des gens encore imbus de leur personnalité, versés dans une conquête de biens et non de valeurs et à qui on inculque une ambition, une représentation messianique pour une alternance impossible. On a tout compris.
Assurément les gens expérimentés conseillent à juste titre. Il en est de même des personnes âgées qui sont une source intarissable de conseils judicieux. Mais tout bien pesé, les cons aussi sont expérimentés et de plus ils vieillissent. Tirez en la conclusion.
Cherchons plutôt à construire ensemble pour le bien commun. Pour une critique constructive allons-y, mais sachez que celui qui vous déteste n’a plus aucun bon sens de jugement.

Portons nos masques et lavons-nous les mains.

KBS...BEN-ONI

09/09/2020

Moins de mensonges ! Nous fairions taire les ruptures...

Apprenez à vous contenter de ce que vous avez.
A aimer et à faire avec les moyens disponibles.

A être heureux pour le moindre et à travailler dure pour le surplus....
Dire que les femmes sont tous matérialistes, c'est montré sa faiblesse envers et à l'égard d'elles.
Le comble est que toi garçon, tu te vente trop ,et plus , tu te fais passer pour ce que tu n'es pas .

Pourquoi cherches-tu à flatter la fille avec des moyens loués ???

Pourquoi veux-tu séduire la fille avec une apparence déguisée ? Tu te fais passer des moyens et choses pour séduire la fille et la mettre dans une posture de haut rang. Mais plus t**d que les amis qui t'offrent ces moyens deviennent tes ennemis le secret se dévoile. Elle finit par découvrir le vrai homme, elle est déçue ; elle regrette que tu n'est pas ce que tu prétendait être. Laisse tomber ton masque maintenant car tu fais trop de victime.
Trop de victime !

Oui, je te le répète.

Les promesses, c'est bon mais, les promesses d'île sont meilleures et importantes.

Juste après la première rencontre, tu l'amènes au maquis, tu lui achètes des trucs de luxe. C'est toi le bouquet de la ville. Mais, tout cela passe vite comme un feu de paille et tu regrette ce moment où tu gaspillait l'argent. Songe à décroché un boulot d'abord et tu pourra lui offrir ce que tu désires sans trop de difficulté.

Je n'ai rien contre les garçons qui se disent "CHO MAN" mais, je déteste vos mensonges envers les jeunes filles.

Toi qui empreuntes de l'argent au PADME, à la CLCAM, des caisses de TONTINES, et dans d'autres institutions de microfinance et ceci dans le but de démarrer un projet ou de le faire avancé, tu te voir détourner par le goût du plaisir pour venir faire " CHOCO BOY " ou pour te faire admirer par les jeunes filles dans les boîtes et autres.......
Chose bizarre, tu es le premier a crier le manque d'emploi dans le pays. Mais qu'elle mentalité ????

Et toi jeune fille, réalises-tu un instant la nature d'homme dont il s'agit ? Pour la plupart , il s'agit bien sûr d'un loup déguisé en agneau. Il te flatte par des moyens loués pour faire de toi son objet sexuel. Où ne sais-tu pas que tout ce qui brille n'est pas de l'or ?

Cherchons plutôt à construire ensemble pour le bien commun.
Pour une critique constructive allons-y mais sachez que celui qui vous déteste n'a plus aucun bon sens de jugement.
Le monde évolue mal pas à cause de ceux qui font mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.

J'AI PARLÉ DÉJÀ .

J'ai mon masque bien porté. Je m'en vais laver les mains aussi.............

SBK.....BEN-ONI

15/07/2020

. Épisode 13.......

Dès son retour , Léa était presser de rencontrer ou de voir Serge. Mais une chose bizarre s'est produite. Serge était en voyage sur Abomey avec son papa et cela devrait duré environ deux (02) semaines avant de retourner. Ici, le comble est que dans la zone où était Serge , le réseau ne marche pas du tout . Ainsi pas d'appel téléphonique, à moins qu'il se déplace pour le centre ville.
Léa essaya de le joindre plusieurs fois mais en vain.

Le mercredi soir comme d'habitude, elle allait à la répétition et bien, étant la directrice ajointe, la première directrice était la grande sœur à Serge, ainsi Léa décida de l'accompagner à la maison le soir afin de prendre son ancien cahier de chant pour revoir quelques anciennes chansons.

Une fois rentrer avec la grande sœur, elle se sersit de l'occasion pour demander d'après Serge, mais hélas, il n'était pas effectivement à la maison.
Mais cela ne l'a pas empêcher de discuter avec la grande sœur.

— Léa: Mais où est-il partir Serge ?

— Grande sœur : Bon au fait, il est sorti avec papa et c'est même une longue voyage qui va leurs prendre environ deux semaines avant qu'ils ne reviennent.

— Léa: Ah je vois alors
Bon ! Bon ! Bon !

— Grande sœur : Mais je n'arrive plus à te comprendre.
Depuis environ cinq (5) mois tu devient plus coller à Serge et même à travers tes propos , j'ai l'impression que tu cherche à contrôler ses actions on dirais....

— Léa: Loin de tout cela grande sœur.
Si j'aime parler de votre frère Serge ; c'est parcequ'il est à mon avis différent des autres jeune garçon de l'église. Aussi j'apprécie trop ses caractères

— Grande sœur : Hum ! Tu apprécies ses caractères

— Léa : Oui grande sœur

— Grande sœur : Alors c'est aussi bon d'apprécier une personne si on le trouve vraiment appréciable.

— Léa : Merci grande sœur, savez-vous peut-être par quel numéro ils sont jouable ?

— Grande sœur : Vraiment je n'en sais rien , mais certainement maman doit connaitre.

— Léa : Laissez d'ailleurs cette affaire grande sœur.

— Grande sœur : Mais tu deviens plus sérieuse dans tes attitudes ces derniers temps, et surtout a propos de mon frère.

— Léa: S'il vous plait, oublier cette affaire. Et d'ailleurs Serge est un garçon, et vous ne devez pas aussi contrôler tant ses actions

— Grande sœur : Je vois donc où tu en arrives Léa...

— Léa : Je ne vois pas aussi ce que cela coûte à une fille comme moi de partager l'amour d'un mignon garçon aussi fort et fidèle comme Serge....

— Grande sœur : hummm, qualificatifs est trop en tout cas, je n'ai pas de raison à vous empêcher à mon avis. Je taie
ma parole déjà.

— Léa : C'est mieux dada, sinon on vas pas s'entendre héin......

— Grande sœur : Je ne suis pas ici en tant qu'obstacle pour toi ni pour mon frère. Alors bon cheminement a vous.

— Léa : Merci, je vais retourner chez moi.

Sans plus t**der, la grande sœur l'accompagna juste au portail puis elle se sépara.
Les deux se disent les mots d'aux-révoir mais la grande sœur n'oublie pas de taquiner Léa en ces thèmes : je n'oublierai pas de salué aussi ton mignon garçon de ta part au cas où ils appelleraient...

Pour éviter de continuer le débat, et aussi pour calmer son soif de voir Serge, Léa ne répondit plus . Mais cela ne l'empêcha pas de réfléchir sur comment joindre son âme sœur..........

Chers lecteurs, ainsi prend fin cette superbe épisode et de votre côté n'oubliez pas de songer aux comportements de la dada de Serge alors que nous nous continuons de tenir notre belle plume pour votre sourire au lèvres.
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..........À suivre........

03/07/2020

.......HISTOIRE D'AMOUR.....

Titre : ...... "" UNE RUPTURE INOUBLIABLE "" ......

Auteur : Sèmako Benjamin KPOVIESSI (KBS ) ""BEN-JONSON ""

.........ÉPISODE 3 ..........

Après ce temps de silence, Serge reprit la parole :

- Serge : Léa, sais tu que j'ai un peu peur de te parler ce soir ??

- Léa : Il n'y a pas de raison que tu ais peur. Alors parle je t'écoute.

-Serge : Vraiment, je ne sais par où commencer justement. Mais toi d'abord, je tiens à te remercier pour la chance que tu viens de m'accorder ce soir Léa...

-Léa : Chance ! Que dirais-je donc ??

-Serge : Léa , au fait si je me suis retrouver avec sourire au lèvre aujourd'hui avec toi , c'est d'abord une œuvre de Dieu, et je tiens à le remercier également.

-Léa : Oui oui !
Et bien, je m'excuse aussi pour ma réaction et mon comportement l'autre fois quand tu m'avais interpellé à l'école .
Vraiment je suis désolée pour tout, c'est pas mon gens......

- Serge : Et bien, c'est moi qui plutôt va te remercier une fois encore .
À présent, tu me permet de te dit que je......... , je .......... , je ............

- Léa : Mais s'il te plait, termine vite ta phrase sinon, tu vois qu'il fait t**d déjà....

- Serge : Vraiment, je veux juste dire "" je t'aime Léa ""

- Léa : Hummm !
Et c'est juste cela tu réfléchis encore pour dire ?? Vraiment garçon !!

- Serge : Au fait je ne réfléchissai pas mais plutôt je pèse juste le mois de ce que mot que je voulais sortir de ma bouche...

- Léa : Ok je vois
Mais peux-tu m'expliquer justement ce que tu voudrais de moi ??

- Serge : De façon claire Léa, je veux ton amour....

- Léa : Mais je ne suis qu'une petite fille et je ne suis qu'en classe de cinquième ( 5eme ) , et déjà tu me détourne avec votre histoire ou sujet dit d'amour.

- Serge : Léa , je te promet que je ne suis pas là pour te détourner .

- Léa : D'ailleurs, sache qu'avant même que je suis venu dans cet établissement, j'ai déjà un garçon, un copin dans mon ancienne école où j'ai quitté pour ici.

- Serge : Léa, s'il te plait, l'affection que j'ai pour toi est très époustouflante de sorte que sans toi la vie me semble plus solitaire. Léa ,je veux juste vivre ton amour, notre amour.....

- Léa : Vraiment Serge arrête !!

- Serge : laisse moi te dire que tu n'est pas la seule fille de l'établissement et pourtant j'ai porté mon choix sur toi ....

- Léa : Et puis tu voudrais que je fasse quoi maintenant ?? Que je me lance aussi vite dans une relation avec toi ??? Oooooohhh mon Dieu , la vie......

- Serge : Justement Léa, , et écoute d'ailleurs cet adage qui dit

11/05/2020

.DESTINS CROISÉS................. . . . ÉPISODE 05 . . . .
Auteur: Jean DJOGBENOU . . .

Désormais, Jean et Jeanne sont dans la même classe et ils se voyaient tous les jours. Ils étaient devenus de vrais amis. En effet, chaque fois en allant à la maison, Jeanne déposait Jean devant sa maison avant de continuer sa route. Leur amitié était devenue plus sérieuse à la fin des 1er devoir du 1er semestre. Après ces devoirs, Jean avait bien travaillé car toutes ses notes étaient supérieures à 15. Jeanne de son côté, avait eu la moyenne dans deux matières, ce qui signifie qu'elle n'avait pas travaillé. Un jour après les cours, avant qu'ils ne se mettent en chemin de la maison, Jeanne dit à Jean qu'elle souhaiterait lui parler . - JEANNE: Jean s'il te plait, je voudrais te parler. . - JEAN: Vas y Jeanne, j'espère qu'il n'y a rien de grave. . - JEANNE: Si je te dis qu'il n'y a rien de grave, alors j'ai menti. . - JEAN: AH BON! Alors dis moi, qu'est ce qu'il y a Jeanne? . - JEANNE: D'accord, tu sais, nous sommes devenu des amis par l'oeuvre de Dieu. D'abord Si nous regardons comment nous nous sommes rencontrés pour la première fois, on aurait tout comprendre et en suite nous nous sommes retrouvés dans la même classe. Tout ceci était des hasard selon toi ou bien? . - JEAN: Tu n'as pas menti, pour moi c'est du hasard. . -JEANNE: Non faut pas dit ça, c'est maintenant que j'ai compris que ce n'est pas un hasard si nous sommes des amis. . - JEAN: Et qu'est ce qui te fait dire ça? . - JEANNE: Très belle question. Tu as vu ce qui s'est passé pour le premier devoir dans toutes les matière? Toi tu as très bien travaillé. Tes notes sont toutes supérieure à 15 et si ça va rester comme ça pour le 2èm devoir, le premier de la classe sera sans nul doute toi. Pendant ce temps, moi je suis nulle, j'ai la moyenne dans 2 matières seulement. Et le pire est que j'ai eu 4/20 en MATH et 5/20 en SVT, or je suis en train de faire la série D..........

A suivre........

10/05/2020

DESTINS CROISÉS................. . . . ÉPISODE 03 . . .
AUTEUR: Jean DJOGBENOU . . .

Après avoir exercé son boulot de ZEM, le père de Jean revint à la maison le soir. . - JEAN: Bonne arrivée papa . - PAPA JEAN: Merci Jean, tu es là? . - JEAN: Oui papa . - PAPA JEAN: Et comment as- tu passé ton 1er jour de la rentrée? . - JEAN: Pas mal. Seulement que je me suis perdu . - PAPA JEAN: Et pourtant je t'avais posé la question aujourd'hui de savoir si tu pouvais revenir seul et tu m'avais répondu oui. La ville n'est pas un village inh. Tu as eu la chance de trouver une très bonne personne qui t'as aidée. Il faut remercier Dieu, car ces gens de personnes sont rares à trouver. D'ailleurs comment tu as pu demander à la personne de t'aider? Parce que je sais très bien que tu ne connais personnes et personne ne te connait dans cette ville. Alors dis moi, qui t'as aidé? . - JEAN: C'est juste une amie . - PAPA JEAN: Une quoi? Une amie? Toi ne me fais pas rire inh. Tu es arrivé ici hier nuit, tu a été dans ton nouvel établissement ce matin, un collège dans lequel tu ne connais personne et tu viens me dire que tu as déjà une amie? Hey, tu me prends pour qui? Quelqu'un à qui tu peux mentir facilement comme ça? Non je ne crois pas. . - JEAN: Papa, je ne suis pas en train de vous mentir. Moi même je ne sais même pas comment c'est arrivé. Croyez moi, je vous dis la pure vérité. . - PAPA JEAN: Elle est dans la même classe que toi? . - JEAN: Je ne suis pas sûr inh papa. Je ne l'ai même pas vue au collège ? . -PAPA JEAN: Et comment vous vous êtes rencontrés? . - JEAN: Au moment où, je revenais à la maison, sa moto avait eu une petite panne de bougie et je l'avais aidée. C'est de là, qu'elle me disait qu'elle est aussi élève dans mon établissement. . - PAPA JEAN: Donc c'est comme ça vous vous êtes connus et elle t'a aidée. Elle mérite d'être remerciée. Je crois que j'ai encore son numéro dans mon journal d'appel. Quel est son nom? . - JEAN: Elle s'appelle Jeanne. . - PAPA JEAN: AH BON?

09/05/2020

DESTINS CROISÉS.................. . . ................... ÉPISODE 02 . . . Auteur: Jean DJOGBENOU . . .JEANNE: OK, je vois. Et quel est ton nom? . - JEAN: Mon nom? Et pour quelle raison tu veux savoir mon nom. . - JEANNE: Tu ne peux pas m'aider comme cela et je vais te laisser partir sans connaître au moins ton nom. . - JEAN: Bon comme tu insistes, je vais te le dire. On m'appelle Jean . - JEANNE: (surprise) Jean!!!!!!!!!!!!!!! . - JEAN: C'est quoi? Pourquoi mon prénom te surprend? . - JEANNE: Ça me surprend tout simplement parce que moi, on m'appelle Jeanne . - JEAN: AH quelle coïncidence! Jean aide Jeanne, ça c'est très bien ça. . - JEANNE: Oui, c'est l'oeuvre de Dieu. Bon je vais partir, parce maman m'attend à la maison, je vais quelque part avec elle. . - JEAN: D'accord, aurevoir alors. . - JEANNE: Non, comment aurevoir, tu vas dans le même sens que moi non? . -JEAN: Je crois inh, je n'arrive plus à identifier là où j'ai quitté ce matin là. Mais je suis sûr que ça reste un peu. . - JEANNE: OK, alors il faut monter pour que je puisse te déposer. . - JEAN: Me déposé? Non te gène pas pour moi. Ça ne reste qu'une petite distance à faire. Aussi, ta maman t'attend à la maison, donc ne perd pas de temps à cause de moi. . - JEANNE: S'il te plaît, permet moi juste de te déposer dans ta zone, tu mérites plus que ça. Laisse l'affaire de ma maman et monte. . - JEAN: Bon comme tu le voudras. . . Sur ces mots, Jean m***a sur la moto de Jeanne qui à son tour la démarra sans trop t**der. Après avoir parcourus 4 à 5 km de distance, Jean n'arrivait toujours pas à identifier là où son père avait loué. Arrivé à un niveau donné, Jeanne se gara. . - JEANNE: Dis moi, ton père ne t'a pas dit le nom du quartier? . - JEAN: Non, c'est hier nuit que je suis arrivé. . -JEANNE: D'accord, je sais ce qu'on va faire. Ton père a un téléphone portable non? . - JEAN: Oui il a un téléphone. . - JEANNE: ok, tu connais son num en tête non? . - JEAN: Ça c'est la première des choses ça non. Et que penses tu faire avec le num de mon père. . - JEANNE: Je vais l'appeler pour qu'il puisse me dire le nom du quartier dans lequel il habite. . -JEAN: D'accord, c'est une bonne idée, mais tu veux l'appeler avec quoi? . - JEANNE: Avec mon téléphone portable. . - JEAN: Toi tu as déjà un téléphone portable? . - JEANNE: Jean s'il te plaît, ne fait pas rire inh, avoir le téléphone portable est- il compliqué? Laisse tomber tes questions et donne moi le num de ton père. . - JEAN: OK, ça y est, faut prendre. . . C'est en ce moment que Jeanne constata qu'elle avait oublié son téléphone à la maison. . - JEANNE: excuse moi, il semble que j'ai laissé mon portable à la maison. Alors tu me donnes dix minutes, je vais rapidement à la maison chercher ça. Ne bouge pas d'ici, je reviens. . - JEAN: Écoute, ta maman t'attend à la maison non? Et c'est parce que vous avez un programme qu'elle t'attend, je ne veux pas que tu fasses attendre ta maman à cause de moi, je vais me débrouiller. . - JEANNE: Tu viens d'arriver ici et tu ne connais nul part, donc pas question que je te laisse seule ici. Attend moi, je reviens tout de suite. . . Jeanne n'avait même pas laissé le temps à Jean de dire un mot avant de démarrer sa moto. Jean était totalement surpris par ce que Jeanne était en train de faire. Quelques minutes plus t**d, Jeanne revint avec son portable. . - JEANNE: Je croyais que tu allais partir. . - JEAN: Comme tu m'avais dite que tu revenais, je n'avais pas le choix. . - JEANNE: Tu as intérêt. . - JEAN: Et qu'est ce que tu as dit à ta maman avant de revenir. . - JEANNE: Je t'ai déjà dire que ma maman n'est pas compliquée. Alors laisse cette affaire là et donne moi le numéro de ton père. . . Sans commentaires, Jean lui donna le num de son père. Et Jeanne appela le père de Jean qui lui a indiqué la zone dans laquelle il habite. Juste après l'appel, Jeanne s'adressa à Jean. . - JEANNE: S'il te plaît, monte, je connais déjà là où tu habites. Arrivés dan la zone, tu peux reconnaître votre maison non? . - JEAN: Oui, au moins ça. . . Sur ce, elle démarra sa moto, Jean m***a et quelques minutes après, ils arrivèrent dans le quartier où Jean avait quitté. Sans trop t**der, il jeta un coup d'oeil et retrouva là où il avait quitté le matin. . - JEAN: Je l'ai déjà retrouvé, merci pour ton aide, que Dieu te bénisse. . - JEANNE: Amen, mais ne me remercie pas, j'ai juste fait ce qu'il fallait faire. Maintenant je peux partir non. . - JEAN: Oui, et encore une fois merci. Bye... . - JEANNE: OK, Bye..., je suis un peu pressée, j'avais dit à maman de m'accorder 5 minutes. On se reverra. . . Sur ces mots, ils se séparèrent . . . . . . . ( À SUIVRE)

09/05/2020

DESTINS CROISÉS.................. . . ........ÉPISODE 01........... . . .

Demain c'est lundi le jour de la rentrée. Le dimanche avant ce lundi, Jeanne alla chez le couturier prendre son Kaki. Lorsqu'elle prit son kaki, elle fit un escale au lavage pour mettre au propre sa moto. En effet, le jour qu'elle avait eu son BEPC, son père lui avait offert une moto neuve comme il lui avait promis. Et comme c'est le dernier jour avant la rentrée et que sa moto était un peu sale, elle l'avait amenée au lavage pour qu'on puisse la mettre au propre. Et le soir, elle rangea ses affaires dans son nouveau sac avant de dormir. . . Jean de son côté aussi devrait se prépare pour la rentrée. Pour cela, il se rendit chez Paulin, l'un de ses grands frère de quartier qui venait d'avoir son BAC et qui lui avait promis de lui remettre les kaki qu'il avait utilisé au 2nd cycle. Arrivé là-bas, Paulin lui remit trois kaki: ce qu'il avait utilisé en 2nde, 1ère et Tle. Jean ne devrait pas trop se soucier pour ces tenus kaki car Paulin avait à peu près la même corpulence et la même taille que lui. De retour de chez Paulin, Jean rangea ses affaires ( ses cahiers, ses habits, etc...) dans un sac appelé "DANGOTE". D'autres vont poser la question de savoir pourquoi il rangeait ses habits dans le sac. Le collège dans lequel Jean avait obtenu son BEPC n'avait pas de 2nd cycle. Donc pour pouvoir continuer ses études, il devrait se rendre en ville pour trouver un collège dans lequel il pourra faire le 2nd cycle. Normalement, son père allait en ville pour son travail de ZEM tous les lundi pour revenir dans les week-end. Or Jean devrait partir en ville le dimanche soir, donc à cause de lui, son père était obligé de partir le dimanche soir avec lui car il devrait vivre avec son père là-bas. En effet, son père avait loué une chambre à coucher construite en bois là où il restait s'il allait en ville. Comme convenu, Jean et son père étaient arrivés en ville le dimanche soir. . . Le lundi matin, c'était le jour de la rentrée. Jean se leva et prit rapidement une do**he. Après avoir pris sa do**he, il porta son kaki et prit son ancien sac au dos dans lequel se trouvèrent ses cahiers. Sans trop t**der, son père et lui se rendirent à l'établissement qui était environ à 6km d'eux. Arrivés là-bas, son père lui fit l'inscription en 2nde D3. Après l'inscription, Jean dit à son père de partir qu'il pouvait seul revenir à la maison. . Jeanne de son côté aussi s'était rendue au même établissement. Et comme c'était le premier jour de la rentrée, et en tant qu'ancienne élève du collège, elle n'était pas en kaki. Elle avait porté une robe qui dépassait légèrement son genou. Elle était venue avec sa moto. Après avoir passé quelques heures avec ses camarades, elle décida de rentrer à la maison. Pendant ce moment, Jean était déjà en chemin en train de marcher pour la maison aussi. Jeanne en voulant partir à la maison avait pris le chemin sur lequel marchait Jean. À peine elle le dépassa lorsque le moteur de sa moto s'arêta. Elle le redemarra à plusieurs reprises mais en vain. Jean qui marchait tout en suivant toute la scène, avait compris que la moto de Jeanne avait le problème de bougie. Et comme il était quelqu'un qui aime aider toutes personnes en difficultés à qui il pouvait donné un coup de main, il s'approcha alors de Jeanne. . - JEAN: Bonjour demoiselle . - JEANNE: Oui bonjour. . -JEAN: Ta moto a quel problème? . -JEANNE: Je ne sais pas ce qu'elle a inh. J'ai déjà vérifié le carburant et j'ai vu qu'il y a de carburant dedans. Donc je ne sais pas exactement ce qu'elle a. . -JEAN: OK. Est ce que tu as de la clé bougie dans ta moto. . - JEANNE: Oui, ça doit être dedans car depuis qu'on m'a acheté cette moto, ça n'a jamais eu une panne de bougie, donc je n'ai jamais fait sortir le sac à clés. . - JEAN: D'accord, mais est ce que je peux avoir cette clé? . - JEANNE: Pas de problème. . . Sur ces mots, elle ouvrit la selle de sa moto, prit le sac à clés et le remit à Jean en disant. . -JEANNE: Mais tu es un élève. Qu'est ce que tu connais par rapport à une moto? Tu n'es pas un mécanicien. . - JEAN: Oui je suis élève et ce n'est pas parce que je suis en kaki que je ne connais dans un autre domaine. Attend moi quelques minutes pour que je puisse te le prouver. . -JEANNE: D'accord, mais tu vas salir ton kaki inh. . - JEAN: Ne t'inquiète pas pour mon kaki, je sais comment gérer ça . . Sur ce, il prit la clé bougie pour devisser la bougie et après l'avoir grattée, il la vissa. Après cela il démarra la moto un seul coup et ça a marché. Surprise par ce qui vient de se passer, Jeanne s'exclama. . - JEANNE: Tu as réussi à la démarrer ? Dis moi, tu as été une fois apprenti mécanicien? . - JEAN: On n'a pas besoin d'apprenti mécanicien avant d'agir par rapport ces gens de panne. . -JEANNE. D'accord et sincèrement merci à toi. Si tu n'étais pas arrivé, cela allait être très pénible pour moi, car il n'y a aucun mécanicien dans cette zone et il va falloir que je la traîne.

À suivre...