13/11/2020
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Joël s’était redressé pour mieux boire son eau, sa femme l’avait déjà déshabillé et lui caressait les cuisses en lui chuchotant des mots doux des mots qu’il aimait entendre... et le téléphone s’était encore remis à sonner ; Joël avait déposé le verre d’eau et s’était levé pour prendre son téléphone qui sonnait dans l’armoire ; Prisca faisait tout , elle essayait de lui en empêcher mais le combat était de taille spirituellement . Joël ne pouvait pas comprendre qu’il s’agissait là des forces contre force ; esprits contre esprit ... alors malgré le degré d’excitation qu’avait Joël ; il avait eu le courage de décrocher le téléphone avec son engin(sexe) bien tendu près pour une partie de karaté ...
- Allô ! allô ! ouiii qui êtes-vous ? quoi ? sérieux ????? OUI OUI OUI donnez-moi l’adresse ; donnez-moi l’adresse j’arrive tout de suite... merci mon Dieu mes enfants sont retrouvés... merci oooh ... ma Diana papa arrive ...
- Mais bébé tu cours comme ça pour aller où ? ça ne peut pas attendre tout à l’heure à l’aube ? as-tu vu l’heure avec l’insécurité qu’il y a dehors ? et ton eau tu ne la bois plus?
Prisca était toujours derrière lui avec son verre d’eau en insistant pour que Joël en boive ne fus qu’une gorgée ; ce qui avait intrigué Joël ...
- Mais qu’est ce qui ne va pas avec toi Prisca... c’est quoi cette insistance ? on m’appelle pour le dossier de mes enfants qui sont retrouvés et je sais même pas dans quel était ils sont et toi tu es derrière moi avec un verre d’eau comme si j’en étais sous cure ? dois-je obligatoirement prendre de l’eau à une heure pareille de la nuit? que quoi j’ai soif ? ou que j’ai mangé la chair humaine? c’est quoi cette coutume ? le pardon tu l’as obtenu que veux-tu encore ?
- Non non chéri, ce que... selon la coutume tu dois boire pour...
- Je ne bois pas ... alors meurt !!!! c’est forcé ? la coutume quoi !!! de toutes les façons tu ne m’as rien fait de grave à ce que je sache... on s’est disputé et c’est passé, moi j’ai déjà oublié... tu devras en faire autant !! il n’y a rien de plus important que mes enfants en ce moment... rien rien et rien !! alors laisse-moi avec ton histoire d’eau et la coutume...
Joël avait vite enfilé un jeans et un T-shirt , babouches aux pieds et il sortait de la maison avec précipitation ; Prisca le suivait avec son sacré verre d’eau et finalement Joël l’avait arraché de ses mains et l’avait balancé au mur et étais sorti en courant ce qui avait mis Prisca en colère...
- Je savais que tu ne m’aimais pas... je le savais ! mais tu vas me trouver ici, j’ai laissé les Belges et les français en Europe là-bas pour venir vivre l’enfer avec toi, un homme noir comme le goudron comme ça ; on va voir dans cette maison ; je vous attends ici... tufi na yo stiups!!
« Je vais faire quoi maintenant ? si ces enfants reviennent ici ça sera le retour à la case de départ avec cette sorcière de Diana ; mais comment je vais faire ? il fallait seulement qu’ils soient retrouvés au moment où moi je devais faire mes chose ? je suis sure que c’est encore cette sorcière, je les attends ici » »
Pendant qu’elle murmurait et projetait faire le mal aux enfants, la même silhouette était encore apparue cette fois-là, dans la cour car Prisca suivait son mari en parlant...elle voyait que c’était clairement Bibiche qui tenait un placenta à la main, elle ne parlait pas mais fixait Prisca des yeux en le pointant du doigt comme pour l’avertir ...
Prisca en voyant ça avait couru dans la chambre de son fils Eliot et avait glissé sous sa couverture... heureusement pour elle ; celui-ci dormait profondément. Elle avait pris son téléphone pour informer sa Mayimuna... celle-ci semblait très calme.et ne lui avait répondu que par :
- Prisca ta situation est délicate mais rien n’est impossible à SUPA, je vois tout et je sais ce qu’on va faire... reste calme... et lorsque les enfants seront là, fais semblant de bien les accueillir...(le conseil de Mayimuna)
- Ok Mayi je vais essayer...
Joël avec la force de l’angoisse, de la joie et de la peur en même temps avait couru jusqu’à l’adresse indiquée, et commençait à frapper en criant « « Dianaaaa... Chriiiis... Ruuuuth » » Orvel ne pouvait pas dormir car il savait que Joël était en route et était allé ouvrir... Diana avait arrêté de pleurer et commençait à crier de son côté...
- Papaaaa ! papaaa ! papaaa !
- J’ai entendu la voix de ma fille où est-elle ?(disait Joël qui n’avait même plus une seconde à perdre)
- Calmez-vous Monsieur, vos enfants se portent bien ; il est certain que Diana a écouté votre voix ; la petite mystérieuse... attendez-moi ici je vais les chercher...( avait dit Orvel en allant directement les chercher)
Quelques secondes après Orvel était sorti avec les trois... seule Diana avait l’air très heureuse de savoir que son papa était là, les deux autres n’avaient même pas envie de retourner à la maison
- Enfin vous voilà ! depuis tout ce temps vous n’étiez pas si loin que ça ? dire que je vous ai cherché comme un fou ? On va renter à la maison maintenant d’accord ? allez prendre vos sacs, vous savez que je n’ai pas fermé l’œil depuis ? mais qu’est-ce qui vous a pris de fuguer ? vous voulez me rendre fou ? votre grand-mère arrive dans une semaine svp, je veux qu’elle trouve la bonne humeur dans notre maison je vous en supplie ; elle ne pouvait pas être là pour au deuil mais elle viendra vous rendre visite... et une fois à la maison je veux que tout se passe bien avec votre maman...
Il parlait seul ; personne ne lui répondait, Diana l’avait juste serré très fort et tenait à ce qu’ils rentrent à la maison; Chris et sa sœur Ruth ne voulaient pas ; il fallait qu’Orvel se retire pendant un petit moment avec Ruth pour la convaincre en lui remettant son numéro de téléphone. Orvel debout était sans mot mais avait compris qu’il y avait vraiment des problèmes plus sérieux que ce que Ruth lui aurait raconté... et au bout de quelques minutes, avant de quitter , Joël s’était entretenu quelques minutes avec Orvel question de le remercier en lui promettant le remboursement toutes les dépenses faites durant le séjour de ses enfants chez lui... ils avaient pris la route pour la maison.
Prisca était au salon entrain de les attendre ; elle devait jouer le jeu pour gagner la confiance de son mari, il lui fallait une stratégie pour arriver à le convaincre ; arrivés à la maison, ils étaient accueillis par Prisca qui les attendait...
- Mon Dieu merci vous êtes là... vous allez bien ? cette maison était morte sans vous ; weee vous nous avez fait très peur ... Ruth mais pourquoi ? pourquoi as-tu entrainé ces enfants dans ton aventure ? mais qu’est-ce qui vous a pris ?vous avez faim ? Diana viens dans mes bras ma chérie...
- Ne me touche pas !! serpent... (avait carrément dit la petite)
- Joel... Joel... Joel... huuuuum huuuum huuum ( Prisca confuse et énervée elle était partie)
Chris et sa sœur Ruth étaient partis se coucher... mais comme Diana ne voulait pas lâcher son père alors, celui-ci était resté avec elle sur le canapé jusqu’au matin. Et ce qui était sûr ce que Diana avait encore déclaré la guerre)
Chris ne supportait pas leur marâtre il savait qu’elle faisait des attouchements à sa sœur Ruth, seulement il ne savait pas comment aborder le sujet.
6heures du matin ;
Joël s’était apprêté pour le travail, mais avant, il avait fait un tour dans la chambre de ses enfants et leur avait fait des câlins pendant qu’ils dormaient.
- Bonjour papa... tu t’en vas déjà ? (Ruth qui était déjà debout)
- Ruth déjà debout ? je pense que vous avez besoin d’un bon sommeil ; j’ai déjà dit à votre maman de vous laisser dormir aujourd’hui ; à mon retour on ira faire un tour dans les boutiques et manger des glaces ; d’accord ?
- Ok papa mais il faut aussi qu’on parle...
- Ok ma cherie...
En sortant, il avait envoyé un message à Belinda la voisine pour lui dire de veiller sur ses enfants : il lui faisait tout simplement confiance ;
Comme tous les matins, Prisca l’avait accompagné prendre son taxi et lui avait laissé un bon ba**er chaud sur sa bouche (toutes les femmes qui vendaient dehors savaient que c’était un parfait couple, comme dit-on, si tu ne n’habites pas une maison, tu ne sauras jamais où ça suinte)
Prisca était revenue réveiller Ruth discrètement ; celle-ci avait sursauté de son lit en sentant des mains sur elle ;
- Eeeeh vient... Suis-moi dans la chambre (avait dit Prisca)
- Non maman pas aujourd'hui... papa t’a dit de nous laisser dormir, je ne viens pas...
Alors Prisca contrariée, s’était mise en colère... elle avait attrapé les jambes malades de Diana qui dormait, l’avait trainé jusqu’au salon,et l’avait jeté violement sur le canapé et commençait à la chicoter ; Ruth et Chris la suivaient et cherchaient à arracher Diana des ses mains ...
- comme ça je suis serpent einh ? tu disais tout à l'heure ? imbécile ; handicapée ; je vais t’apprendre la politesse moi tu vas voir... vous allez très vite retourner dans la rue.
- noooooooon mamaaaaaan arreeeete !!! papaaaaa... mamiiiii ; (Diana qui pleurait)
Trop c’était trop... Chris était venu et avait poussé Prisca de toutes ses forces ; celle-ci avait perdu l’équilibre et avait titubé alors Chris en avait profité et lui avait arraché la chicotte qu’elle avait dans ses mains et l’avait aussi chicoté plusieurs fois avec la même chicotte, Ruth aussi pour la première fois avait pris courage en voyant son frère agir, avait sautée sur leur maman et avait commencé à la mordre de partout... et pendant ce temps Diana tremblait de douleur et pleurait sur le canapé sans rien voir ; Eliot était sorti et était resté ébouriffé devant le spectacle, Ruth et Chris s’étaient arrêté lorsque Belinda était entré, et Prisca s’était enfin levé... Belinda en entrant était directement allé prendre la petite Diana qui tremblait de douleur en pleurant pour l’amener dans la chambre et comme elle connaissait déjà ses médicaments, elle lui avait directement donné des anti-inflammatoires pour calmer sa douleur...elle avait des douleur parce que déjà naturellement elle avait des os fragiles qui au moindre contact avec le froid, pouvait la faire pleurer toute la journée, d’où, nuit et jour, elle avait des jambes couvertes et ne portait que des vêtements qui couvraient tout son corps ; mais ce matin-là, elle avait vécu l’académie militaire avec Prisca.
- heeehaaa donc vous avez osé ? la rue vous a aidé à multiplier votre sorcellerie ? je vais vous gérer ce matin...
- je te permets tout mais je ne permettrai plus jamais que tu touches à ma petite sœur jamais, tu peux me tuer si tu veux mais tu ne toucheras plus jamais à ma sœur ... (Ruth pour la première fois avec des larmes aux yeux)
- c’est à moi que ... Ruth c’est à moi que... (Prisca qui n’en revenait pas)
- oui c’est à toi !!! tu n’étais pas obligée de jeter ta colère sur notre petite sœur ; en plus elle est malade... tu as vu dans quel état elle est maintenant ? tu ne vas plus jamais nous maltraiter et encore moins Diana... (Chris aussi mais en pleurant)
Prisca était restée quelques minutes dans sa chambre entrain de parler, insulter, et dire tout qu’elle voulait tellement qu’elle était en colère... et on la voyait ensuite sortir de la chambre pour partir car une jeep l’attendait dehors...
C’est juste quand elle était partie que la vie avait pu prendre un sens, Diana s’était calmé un peu et les enfants avaient remarqué la présence Belinda
- bonjour tata Belinda, tu es si matinale...attends que je prépare le petit déjeuné (disait Ruth comme si tout allait bien)
- Petit déjeuné ? non merci ma petite ; ce que je dois aller travailler, nos patrons avec nos petits salaire là ; on fait attention ; normalement c’est mon jour de congé mais mon patron m’a appelé ce matin alors je dois y aller... mais c’était quoi ça ? haha haha que quoi ; la rébellion ?
- Tata nous sommes désolé mais c’était plus fort que nous... (disait Ruth en s’appuyant sur leur bibliothèque,) ce qui est sûr ce qu’à son retour ça sera notre calvaire (elle souriait)...
- On s’en fou... nous aussi on va l’attendre( avait répliqué Chris en souriant aussi)
- Tu vas tout me raconter à mon retour d’accord ? dès que je reviens je t’appelle tu dois tout me dire...( Belinda qui voulait faire un peu de Kongosa)
- Ce que tata... je n’ai plus de téléphone...
- Et ton papa en dit quoi ? tu es déjà une grande fille il y a des petites choses que tu ne devrais pas manquer surtout que tu restes à la maison avec tes cadets... ah j’oubliais... j’avais dit à votre papa de vous trouver une école ; je vais me renseigner et on verra. A ce soir...
- Ruth ... vous avez tabassé maman ? eh ! quand elle va revenir alors ? (Eliot n'avait que ses grands yeux)
- On ne l’a pas tabassé Eliot ; on a juste défendu Diana c’est tout...(avait dit chris)
- C’est bieeeeeen fait pour elle , elle m’a tapé très fort eeeeeiiiinnnn eeeeeeiiiin c’est bien fait pour elle, et si elle me tape encore ; vous aussi vous allez la taper encore einh... Eeeeeeiiiinnn eeeeeeiiiinnn (Diana qui parlait en pleurant en même temps)
« hahaha hahaha » « hahaha hahaha » « hahaha ahaha » « hahaha hahah » « toi aussi arrete avec le serpent alors nooon haha hhaha » « Ruth laisse là, elle dit ce qu’elle voit onong hahaha haha »
En écoutant Diana, tout le monde s’était mis à rire Eliot, Christ ; Ruth et même Belinda...
Belinda était partie à son travail ensuite et les enfants n’arrêtait pas de rire en parlant de la scène... ensuite ils avaient pris leur petit déjeuné calmement
Prisca était sortie en colère et était partie au club ; les trois femmes avaient une grande réunion dans la chambre de Mayimuna... tout se basait sur Joël et Diana..
- Alors Prisca... tu es incapable de faire boire une seule goute de potion à ton mari ? quand est-ce que tu vas commencer travail au marché ? ton espace est déjà payé juste à coté de la table de Mayimuna ; alors qu’est-ce que tu attends pour commencer ? (disait Mamuna pendant la réunion)
- Ah ! quoi dire ? surtout avec les évènements récents...mon mari ne me rend pas service...
- C’est toi qui reste encore clouer là-bas... la vie est ailleurs Prisca ; tu peux te libérer... enfin ! si tu veux... et tu ne m’as toujours rien dit pour ta fille Ruth einh ? je la veux ici ; je veux la recevoir dans mon bureau (là c’était Muna)
Prisca n’avait même pas encore répondu que Mayimuna avait déjà pris la parole...
- Prisca ... tu sais qu’il n’y a que toi qui nous ret**de encore ? SUPA commence déjà à se plaindre tu devais déjà commencer avec nous au marché, je pense qu’il te visitera aujourd’hui , il doit prendre possession de ta maison...
- ça tombe bien car depuis je meurs d’envie de le rencontrer et mon argent ?(disait Prisca sans imaginer le pire)
- Ton argent est là ; et personne n’y touche, d’ailleurs j’avais oublié de te dire que ta marchandise était arrivée depuis deux jours (disait Mayimina )
- Ma marchandise ? (Prisca très surprise)
- Oui oui ta marchandise... n’est-ce pas tu voulais te lancer dans le commerce de l’or ?
- Oui Mayi mais ... je ne pensais pas que ma marchandise allait facilement...
- Donc tu ne me crois pas ? attends...
Mayimuna avait pris une valisette quelque part dans sa chambre et l’avait ouvert ; le contenu avait seulement failli arrêter le cœur de Prisca...
- Mayiiiiiiiii !!!!!!(prisca était debout)
- Quand je te dis que SUPA t’adore là tu penses que quoi ? donc la b***e est dans ton camp... et je peux t’aider (disait mayi)
- Mayi ces bijoux sont à moi ? et m’aider comment ?
- Oui c’est à toi mais en échange avec ton mari... on peut commencer par lui prendre son travail et le reste viendra sur un plateau... s’il perd son travail, il perdra l’équilibre, il deviendra dépendent et c’est là que tout commence...il faut que tu arrives à le contrôler il faut que qu’il soit sous tes pieds que tu l’écrases...
- Mayi ; je ne veux pas tuer mon mari oooh je ne veux pas devenir v***e
- Quand tu toucheras des vrais billets on verra si tu parleras encore de la même manière..(disait mayi).
- Ce soir déjà on lui tendra un piège brigetta est forte pour ça ; ton mari ne résistera même pas à sa beauté... viens approche... regarde bien ce qui va se passer après tu pourras rentrer chez toi mais sache que cette nuit tu auras de la visite surtout ne crie pas ; ça sera à ton avantage. Je te préviens que ton mari ne rentrera pas à la maison cette nuit, il sera sous l’emprise de Brigetta (mayimuna qui était sure de sa servante)
Mayimuna avait juste envoyé un message à sa servante Brigetta et comme c’était son travail, elle savait déjà quoi faire. Mayi avait insisté à ce que Joël n’échappe pas à ses cuisses ; il fallait que le piège marche...
Elles étaient toutes là devant un grand écran on dirait presque dans une salle de cinéma entrain de regarder ce qui se passait avec Joël après son travail...
Joël avait fini son travail et t**dait un peu à sortir car il devait attendre son boss pour un dernier rapport et c’était aussi le jour où on devait lui remettre les clés de sa voiture, il ne l’avait pas dit à sa femme parce qu’il voulait lui faire une surprise...
Le chantier était presque vide car tout le monde était parti seules quelques têtes qui devaient travailler la nuit; Joël avait pris les clés de la voiture, était sorti pour aller au parking la récupérer... l’entreprise de Joël avait deux entrées ; des bureaux et du parking ; Joël devait sortir pour aller pour aller au parking,en sortant, il était tombé sur une jeune femme tres tres belle je dis bien très très belle et habillée décemment comme une bonne fille, une fille respectueuse, une fille qui craint Dieu, si on connaissait vraiment le physique des anges, on aurait dit que s’en était un... rien de sexy ; rien de provocatrice ni de séductrice mais il suffisait juste de poser les yeux sur elle pour être séduit,
- Bonsoir Monsieur ; vous êtes un ange descendu du ciel pour moi ; c’est Dieu qui vous envoie (avait poliment dit la jeune femme en voyant Joël ; tenant une crique à la main avec un air désespéré et presqu’en larme ...
- Bonsoir Madame ? Mademoiselle ?...un souci ? vous m’avez l’air troublé... (Joël qui savait aussi s’y prendre coté politesse avec les femmes)
- c’est mademoiselle svp... Oui oui, j’ai un gros souci même ... le moteur s’est arrêté brusquement, j’étais en route pour l’église, je suis protocole à l’église et je ne sais quoi faire, c’est moi qui m’occupe du pasteur...j’ai même les clés des toilettes de l’église ; enfin j’ai beaucoup de responsabilités ; je suis aussi chargée de la logistique de l’église mais là, je suis désespérée eeeeh Dieu ! aidez-moi mon frère et Dieu vous bénira... j’ai aussi les clés du magasin de l’église où se trouve la provision de l’église weee (quelques gouttes de larmes de crocodile se traçaient déjà sur ses joues... )
Que pensez-vous de la réaction des enfants vis-à-vis de leur maman ? Avaient-ils raison de faire ça
suivre...
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Alors Max de partages et on avance.
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Le téléphone de Prisca sonnait mais elle ne pouvait pas décrocher ;SUPA le serpent rampait , avançait vers sa tête ; Muna et Mamuna avaient allumé leurs bougies et c’était mises à genoux à côté du lit, SUPA continuait d’avancer sortant sa langue bifide pour capter l’odeur et la chaleur étrangères qui étaient dans la pièce, Prisca voyait tout ça mais ne pouvait crier ; elle était juste terrifiée alors vraiment terrifiée.
Mayimuna avait alors lâché Prisca pour caresser Monsieur SUPA, Prisca était bloquée ; glacée, yeux et bouche grandement ouverts laissant couler des larmes de la terreur, elle tremblait de tout son corps jusqu’à se pi**er et c***r dessus et même ces règles menstruelles était sorties à cause de la terreur et l’émotion ; qu’elle avait en ce moment; elle était immobile ;
et pendant que Mayimuna caressait le serpent les deux autres femmes l’adorait en disant SUPAA SUPAA SUPAA ; après un bon moment de caresse, Mayimuna avait quitté le lit et s’était mise à danser en le contournant ; elle dansait en faisant des mouvements des serpents comme si elle n’avait pas d’os elle était trop flexible exactement comme un serpent faisant aussi sortir sa langue ; ses yeux brillaient ; Prisca était tellement terrifiée .
Pendant que Mayimuna dansait ; le sexe de Monsieur SUPA le serpent grossissait; et plus Mayimuna dansait, plus ça prenait du volume et la longueur ; alors le serpent avait commencé à s’agiter très très fort, Muna et Mamuna avaient compris qu’il était prêt pour passer à l’acte alors les deux femmes avaient déposé leurs bougies pour attraper Prisca et laisser SUPA faire ses préliminaires ; il avait d’abord commencé par lécher toutes la partie intimes de Prisca jusqu’à enfoncer sa langue dans son a**s afin d’enlever toutes les impuretés et la rendre propre et aussi bien la mouiller; et juste après, SUPA avait enroulé Prisca et lui avait enfoncé son gros engin , il avait pénétré Prisca en s’agitant car il était très excité , celle-ci n’avait pas supporté et s’était évanouie.
Les deux femmes avaient enfin lâché Prisca à la merci de SUPA ;
Et pendant que SUPA le serpent faisait son ébat sexuel avec Prisca, Mayimuna était obligée de danser car, l’excitation, la satisfaction du serpent et le montant d’argent qu’il devait vomir en dépendaient; alors le serpent continuait à s’agiter suivant la danse de Mayimuna et vomissait de l’argent ; il était resté coller à Prisca pendant cinq bonnes heures.
Au bout de cinq heures, le serpent s’était retiré très satisfait car le lit était plein d’argent ; il avait quitté le lit et avant de rentrer dans son enclos les trois femmes devaient lui faire une dernière adoration alors ; elles s’étaient alors alignées ; une derrière Mayimuna et l’autre devant toutes les trois complètement nues ; elles s’étaient collées comme pour ne former qu’un seul corps et avec leurs langues, elles se léchaient en se caressant les sexes jusqu’à la jouissance ; enfin SUPA pouvait rentrer dans son enclos.
Muna et Mamuna avaient quitté la pièce après avoir bien nettoyer et passer Prisca ; Mayimuna quant à elle, était restée attendre que Prisca revienne à elle...
Elle s’était rhabillée, et s’était installée devant son poste téléviseur comment si de rien n’était ...
-------Pendant ce temps à la maison...----------
Joël de retour à la maison n’avait pas trouvé sa femme et était très inquiet surtout que le téléphone de sa femme sonnait sans réponse ; lui-même de son côté avait cherché ses enfants en vain ; il avait quand même laissé les avis de recherches partout.
Ces collègues de travail étaient enfin arrivée et avaient remarqué l’absence de Prisca sa femme et les autres enfants, sans poser des questions ils s’étaient installés.
Joël s’était débrouillé avec l’aide de Belinda pour la réception ; Belinda était leur jolie voisine de 25ans qui venait souvent passer du temps chez eux depuis qu’ils avaient aménagé car Diana l’aimait beaucoup, ça lui arrivait parfois de l’appeler maman en blaguant.
Quelques heures après, Ces collègues de service étaient partis, et Belinda après avoir tout rangé dans la maison devait aussi partir car, Joël n’arrivait pas vraiment à parler longtemps avec elle sa femme Prisca le lui interdisait, alors elle était partie et Joël était resté seul avec Eliot ; il n’était pas tranquille ; 20heure et sa femme n’était toujours pas de retour ; a qui demander ? Sa femme ne connaissait personne dans cette ville...
- Eliot dit moi tu étais là quand ta mère sortait ?
- Non papa...
- Non comment parce que tu étais où ?
- Papa elle ne m’avait rien dit einh... peut-être qu’elle était partie à la recherche de Ruth aussi nooon ?
- C’est ton coté mouton qui est activé là ! ta mère ; aller à la recherche de Ruth ? tu as perdu la tête ? mon Dieu que dois-je faire ?
Il avait encore rappelé le numéro de Prisca toujours rien ; il ne pouvait plus dormir ; la pluie menaçait, ses enfants avaient disparu sa femme ne décrochait pas le téléphone, il ne savait même pas quoi faire; tout ce qui lui restait à faire c’était de prier.
Pendant ce temps ... Orvel le garçon de la mini alimentation avait vu l’annonce et avait bien reconnu ces deux enfants et leur grande sœur et de son coté, il s’était mis à leur recherche en mobilisant les petits voyous du quartier de patrouiller les marchés, stations d’essence et écoles ; comme les enfants n’avaient pas encore repris les cours à cause du corona virus ; la probabilité était de 70 % qu’ils se cachent dans l’une des écoles publiques du coin et ils avaient tapé juste ! Ruth et ses petits se cachaient bien dans l’une des écoles.
Le groupe des petits qui les avaient retrouvés avaient couru donner la bonne nouvelle à Orvel...
- « Grand tu es forrrt on a détecté la cible » « grand il faut bien la Nyasss avant de la laisser partir comme ça, ça va lui apprendre à ne plus fuguer » « mais grand la go là est tshaaaaaa ne la laisse pas avant de gouter à ces ballons là c’est du neuf grand, du jamais touché il y a encore l’emballage de l’usine » « vieux père on dit que la récompense là c’est combien même ? » «cette fille à son age elle a déjà deux gosses weeee le sexe est sucré jusqu’àaaaaa » « grand libère nous on go oooh »
- Wo wow wow doucement... vous aurez droit à un pot de yaourt chacun demain matin... (leur avait dit Orvel)
- « Yaourt que quoi ? nous somme des fils à papa ? le yaourt c’est pour eux là-bas nous c’est la poudre et la feuille vieux tu sais non ? » » « grand libere nous et on quitte sur ça y a quoi dans demain là? » »
- Ok vous ne rendez jamais service gratuitement ? prenez et disparaissez. (Orvel leur avait donné quelques billets et était allé lui-même chercher les fugitifs ; une fois arrivé, Ruth était méfiante au début bien qu’elle ne se sentait pas en sécurité à cet endroit; Orvel avait tellement insisté en lui étalant le danger qu’elle courait en restant là-bas alors elle avait bien accepté de partir avec lui... et une fois chez lui...
- Alors mon petit, tu es en colère ? (Orvel s’adressait à chris)
- ...
- Non il est juste fatigué ( Ruth qui s’était contenté de répondre à sa place )
- Ok... alors je suis Orvel, je t’avais déjà dit d’ailleurs ... et toi ?
- Moi c’est Ruth, lui c’est chrismanu mon petit frère mais tu peux l’appeler Chris et elle s’est Diana...
En citant le nom de Diana, celle-ci avait directement dit
- Ruth j’ai faim... et pourquoi on n’est pas avec papa ? pourquoi on n’est pas à la maison ?
- Arrête ma chérie, tu viens à peine de manger ton croissant... et stp Diana pas de question !!
- Quoi ? les croissants que tu avais achetés le matin ? (s’était exclamé Orvel)
- Ben je viens de lui donner ma part tout à l’heure...(avait répondu Ruth)
Orvel était écœuré d’entendre tout ça et comme il était un vrai cordon bleu, il était allé directement se mettre au travail et quelques minutes après ils étaient servis. Orvel ne posait encore aucune question les concernant pour ne pas les frustrer ; mais il savait qu’ils avaient des sérieux problèmes car Ruth ne cessait de s’essuyer des larmes en cachette...
- Bon je vous laisse vous régaler pendant que je vous prépare un endroit où dormir cette nuit et on verra quoi faire demain... mais toi chris tu es un garçon tu pourras dormir avec moi... je ne suis pas seul ici, j’ai deux amis qui dorment avec moi , ils seront là d’un moment à l’autre mais ne vous inquiétez pas ils sont là juste pour quelques jours ; ils sont entrain de chercher une maison...
- Ruth je vais dormir avec toi... (avait dit chris sèchement)
- Dormir avec ta sœur ? impossible ; tu es déjà un grand garçon nooon.( Orvel qui était étonné)
- Non ce que... il dort toujours avec moi... nous partageons la même chambre... et n’insiste pas stp, il n’acceptera jamais de dormir avec un inconnu ( disait Ruth en tenant la main de son frère)
- Ok oooh... alors vous pourrez partager le matelas ensemble... ah... j’oubliais... j’ai mis deux sceaux d’eau et du savon dans la do**he au cas où... je pense que vous en avez besoin...
- Merci beaucoup ovaire caresse...
- C’est Orvel caniçaresse Ruth ... Orvel Caniçaresse... pas ovaire caresse weeee je vous laisse on pourra mieux parler demain ...
- D’accord Orvel... et vraiment merci encore... tu pourras encore me prêter ton téléphone demain stp...
- ok ... j’ai des commandes pour demain ; alors je vais un peu mettre ma main à la pâte...
Quelques minutes plus t**d il leur avait présenté un petit coin où dormir et Il était reparti ... un bon bain était nécessaire pour eux tous et finalement Diana s’était endormi, mais Chris n’y arrivait pas...
- chris stp et ne fais pas cette tête, tu sais bien que nous n’avons vraiment pas le choix, Diana a parlé d’un serpent et Marlène est morte imagines la suite ! je veux qu’on laisse passer quelques jours avant de regagner la maison...
- mais comment est-elle morte Ruth ? qu’est-ce qu’on va devenir ? ( chris était en larme)
---------Au même moment au club, Prisca venait de se réveiller---------
- Ma tête ... ma tête... mais où suis-je ? et qu’est-ce que je fais ici ? quelle heure est-il ? mais ... ( Prisca qui venait à peine d’ouvrir les yeux)
- Ma cheriiiie c’était quoi cette scène ? tu m’as fait peur... est-ce que ça va ? tu te sens mieux ? ( Mayimuna qui orientait l’affaire autrement)
- Mayimuna... il s’est passé quoi ? et pourquoi je me sens comme ça ? j’ai mal au sexe haï... où est mon téléphone ? je dois rentrer chez moi... les collègues de mon mari doivent venir à la maison cet après-midi... je ne devais pas être ici Mayi mon mari va seulement me tuer ma tête, ma tête ...
- Reeeeeste calme... tu as eu un malaise et tu as commencé à délirer en disant des choses incohérentes et quelques minutes après tu as fait une crise... voila pourquoi on t’a laissé dormir... je pense que c’est à cause de ta petite Marlène...
- Et quelle heure est-il ?(en voulant se lever)
- Déjà 20h 17min...
- Ma ma ma ma weeeeeee je suis finie ! 20h ? tu es sérieuse là ? Joël va me tuer ; Mayi haï j’ai mal au sexe... je n’arrive pas à me lever ; j’ai très mal...
- On va te déposer ?
- Me quoi ? où même ? mon mari ne vous aime pas il m’a interdit avec vous et tu veux aller me déposer pour carrément calciner mon mariage ou bien ? « qu’est-ce qui m’arrive ? »
- Toi aussi... à ton âge ? tu peux juste dire que tu étais partie chercher les enfants car tu avais peur qu’on te tienne responsable de leur disparition non ? tu étais perdue ...
- Laisse seulement Mayi stp ; Tu penses que Joël est bête ? Tu penses vraiment qu’il va gober tout ça? tu sais comment sont les maris pauvres ? Ceux qui ne prennent pas bien soin de leurs femmes ? et bien ils sont trèeeees vigilants ? Joël sent l’odeur du mensonge avec son nez... où sont mes chaussures weeeeeh
- Regarde sous le lit... Tu parles trop de ton mai einh Prisca... hum ! je suis directement curieuse... ça c’est une affaire à suivre...
Malgré qu’elle était encore un peu faible ; elle s’était forcé ; elle n’avait aucun souvenir de ce qui lui était arrivé car ces femmes l’avaient bien travaillé après... mais elle sentait juste son c***o gigoter dans son slip en lui faisant des papouilles comme si il y avait quelque chose dedans...
- Mayi je dois partir, je me sens pas bien...
- Ok je t’attendrai ici dans une semaine après ton deuil; nous devons parler affaire... j’aime surtout quand tu parles de ton mari ; alors tu m’en diras plus...
Regarde le gros sac qui est juste devant toi et prends le montent que tu voudras ; même tout le sac si tu veux ; je n’en ai pas trop besoin je préfère donner à ceux qui en manquent comme toi par exemple...
Prisca avait ouvert le sac et avait même failli faire une crise ; les billets d’argent qu’elle venait de voir !
- Mayi... c’est des vrais billets ça ? il ne faut pas qu’on m’accuse d’arnaqueuse ooooh... qu’ai-je fait pour mériter ça ?
- Tu as fait beaucoup si tu savais... Haha haha ;prends ce que tu veux même tout si tu veux ; tu as marqué Monsieur SUPA notre bailleur de fond et il est capable de tout pour toi...
- Bailleur de fond ? où m’a- t-il vu ? c’est une femme aussi ?
- Il t’avait vu c’est tout et c’est le seul homme de notre club... l’heure passe tu sais ? tu dois partir...(avait dit Mayi en esquivant la question)
- Ah d’accord j’aimerai bien le rencontrer ... einh !!!je ne peux pas prendre autant d’argent Mayi, je le mettrai où moi ? et je dirai quoi à mon mari... weeeeee Mayi l’argent oooh ; je n’en ai jamais vu autant...
- Alors ça restera ici en sécurité et tu le prendras quand tu voudras... on y va maintenant j’ai rendez-vous avec d’autres femmes tout à l’heure SUPA doit les rencontrer...
- Ok Mayi...
« « si seulement je vivais seul ? si seulement Joël n’était dans ma vie ; je prendrai directement tout l’argent qui est dans ce sac sans crainte ; foutu mariage ; il fallait que tu m’empoisonne la vie stiups » »
- T’inquiète pas... ca arrivera ; c’est juste une question de temps Prisca...(avait dit Mayimuna )
- Quoi ça.
- J’ai écouté ton cœur c’est tout... alors il faut y aller maintenant
Mayimuna avait écouté ce qu’avait dit Prisca dans son cœur et l’avait même répondu mais Prisca restait naïve.
Avant de quitter la chambre, Elle avait pris quelques billets et avait fermé le sac pour revenir prendre après, mais son cœur y était resté.
Après un gros bisou sur la joue de Mayimuna ; Brigetta l’avait conduit jusqu’à cinq minutes de marche de chez elle et l’avait déposé. Elle marchait normalement et arrivée devant le portail ; elle avait enlevé ses chaussures et avait commencé à pleurer en criant jusqu’à attirer la curiosité des voisins...
- « weeee des problèmes oooh... je vais dire quoi à leur grand-mère eeeh... j’espère qu’ils sont revenus oooh... mes jambe ooooh j’ai marché jusqu’àaaaaa ... eeeh Dieu ! J’espère qu’ils sont là oooh... Ruth oooooh ; Chris oooooh... ma pauvre petite Diana oooh , venez je vais vous prendre dans mes bras eeeeh »
Joël l’avait entendu et était sorti de la maison avec son fils...
- Mamaaaan tu viens d’où ? tu les as retrouvés ? ( lui avait demandé Eliot quand même soulagé de voir sa maman)
- Mais Prisca !!!! (Joël était sans mot ébouriffé devant le spectacle)
- Chéri laisse pardon oooh... Joël j’ai le cœur brisé oooh Weee je ne supporterai plus la disparition d’un autre enfant oooh ... c’est quoi cette malédiction ... je vais dire quoi à Anaïs oooh ...tout retombe sur moi... toujours sur moi weee, j’ai marché Juqu’àaaaaaaaaa me perdre ces enfant sont où oooh ...
Elle s’était jeté à terre et s’enroulait tout en protégeant son sac à main car il y avait de l’argent ; Joël ne savait quoi penser en ce moment, était-elle sincère ? d’où sortait-elle ? ? Eliot pleurait ; et certains voisins aux cœurs doux étaient déjà sortis pour consoler Prisca et d’autres pour faire leur kongosa ;
- « calmez-vous madame nous savons à quel point ça fait mal mais on va les retrouver Dieu est de ton coté et il a entendu tes pleurs » « qui est encore mort ici ? madame qui est mort » « « apparemment ces autres enfants sont morts aussi weee c’est quoi ça ? » « on a dit que son mari la maltraite il a des fétiches weee pauvre femme » « vous savez quoi ? son mari l’a amené ici et lui a demandé le divorce à cause des femmes » » « « vous aussi les femmes vous aimez trop mimba, son mari est fatigué » »
Quelques mamans l’avaient amené dans le salon et lui avaient prodigué des conseils de fortification pour la consoler et étaient parties... Joël bête devant la scène s’était réfugié dans la chambre, Prisca était restée au salon et avait pris son téléphone pour envoyer un message à Mayimuna pour dire...
- Mayi ooooh Ça a marché... Joël était devant un vrai film d’action hahaha... qui est bête ?
Elle s’était jeté sur son canapé, et continuait à chater avec sa Mayimuna jusqu’à s’endormir.
Une fois les yeux fermés, elle voyait un groooos serpent enter dans la maison... et se dirigeait vers elle en sortant sa langue ; et pendant que le serpent avançait, un moment elle voyait le visage de sa fille Marlène qui pleurait ; elle avait sursauté du canapé, et était tombée à terre et sous le canapé, la où elle avait caché son sac à main qui contenait l’argent, elle voyait la tête de sa fille Marlène sortir du même sac avec les même vêtements qu’elle portait à l’hôpital mais enroulée par un serpent et lui disait en pleurant...
« « mamaaaaan mamaaan viens me chercher, mamaan j’ai mal au cou... maman il fait noir ici , mamaaaan j’ai peur viens rester avec moi maman maman... (en tendant sa main) » »
Ce n’était pas un rêve ; c’était bien réel ; elle voyait bien Marlène mais seulement elle était enroulée par le serpent... alors Prisca avait poussé un cri...
- Joeeeeeeeeeellll... Marlèèèèène Joeeeel Marlèèèèène !!!
Elle s'était rapidement levé pour fuir dans la chambre mais en se retournant...
- Toooiiiiiii????? mais... mais tu es ... Tu es .... Mais.... Mais tu...
'est-ce Prisca a vu en se retournant ?
Son sac contenait une partie d’argent qu’elle avait pris chez Mayimuna mais pourquoi voyait-elle le visage de sa fille enroulé par le serpent ? Serait-elle encore vivante?
Après cette vision Prisca va-t-elle se souvenir de ce qui venait de se passer chez Mayimuna ?
suivre
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