Radio Immaculée Conception - RIC

Radio Immaculée Conception - RIC Radio Immaculée Conception (RIC) est la radio catholique du Bénin.

Elle est gérée par la congrégation religieuse des Frères Franciscains de l’Immaculée, qui l’animent et la conduisent 24/24 heures avec l’aide de quelques volontaires.

17/04/2024

17 AVRIL .CHAPELET & BÉNÉDICTION EUCHARISTIQUE. 3 ÈME SEMAINE DE PÂQUES. ANNÉE B.

Relire ce texte me remplit de vie : « Le Seigneur ton Dieu est au milieu de toi, héros sauveur ! Il exultera pour toi de...
17/04/2024

Relire ce texte me remplit de vie : « Le Seigneur ton Dieu est au milieu de toi, héros sauveur ! Il exultera pour toi de joie, il tressaillera dans son amour ; il dansera pour toi avec des cris de joie » (3, 17).

C’est la joie qui se vit dans les petites choses de l’existence quotidienne, comme réponse à l’invitation affectueuse de Dieu notre Père : « Mon fils, dans la mesure où tu le peux, traite-toi bien [...] Ne te prive pas du bonheur d’un jour » (Si 14, 11.14). Que de tendresse paternelle s’entrevoit derrière ces paroles !

Mercredi 17 avril Évangile de Jésus Christ selon saint JeanEn ce temps-là,Jésus disait aux foules :« Moi, je suis le pai...
16/04/2024

Mercredi 17 avril

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :
« Moi, je suis le pain de la vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ;
celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
Mais je vous l’ai déjà dit :
vous avez vu, et pourtant vous ne croyez pas.
Tous ceux que me donne le Père
viendront jusqu’à moi ;
et celui qui vient à moi,
je ne vais pas le jeter dehors.
Car je suis descendu du ciel
pour faire non pas ma volonté,
mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.
Or, telle est la volonté de Celui qui m’a envoyé :
que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés,
mais que je les ressuscite au dernier jour.
Telle est la volonté de mon Père :
que celui qui voit le Fils et croit en lui
ait la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour. »

– Acclamons la Parole de Dieu.

Commentaire

Saint Ignace suggère, avant de prendre une décision importante, de s’imaginer sous le regard de Dieu à la fin des temps. Cet appel à comparaître, qui ne peut être reporté, est le point d’arrivée de chacun, de chacun de nous. Alors, tout choix de vie, abordé dans cette perspective, se trouve bien orienté, car plus proche de la résurrection qui est le sens et le but de la vie. De même que le point de départ se calcule à partir de l’objectif, de même que la semence se décide en fonction de la récolte, la vie se détermine convenablement en fonction de sa fin, de son but. Saint Ignace écrit : « Je considérerai avec attention quelles seront mes pensées au jour du jugement ; je me demanderai comment je voudrais avoir délibéré dans l’élection actuelle; et la règle que je voudrais alors avoir suivie est celle que je suivrai à cette heure » (Exercices spirituels, n. 187). Cela peut être un exercice utile pour voir la réalité avec les yeux du Seigneur et pas seulement avec les nôtres ; pour avoir un regard projeté vers l’avenir, vers la résurrection, et pas seulement sur l’aujourd’hui qui passe ; pour accomplir des choix qui ont saveur d’éternité, le goût de l’amour.

Est-ce que je sors de moi-même pour aller chaque jour vers le Seigneur ? Ai-je des sentiments et des gestes de pitié pour les plus nécessiteux ? Est-ce que je prends des décisions importantes sous le regard de Dieu ? Laissons-nous provoquer par une au moins de ces trois stimulations. Nous serons plus en accord avec le désir de Jésus dans l’Evangile de ce jour : ne rien perdre de ce que le Père lui a donné (cf. Jn 6, 39). Parmi les nombreuses voix du monde qui font perdre le sens de l’existence, accordons-nous sur la volonté de Jésus, ressuscité et vivant : nous ferons, de l’aujourd’hui que nous vivons, une aube de résurrection. ( , Messe à l'intention des cardinaux et évêques décédés au cours de l'année, 4 novembre 2019)

16/04/2024

16 AVRIL .CHAPELET & BÉNÉDICTION EUCHARISTIQUE. 3 ÈME SEMAINE DE PÂQUES. ANNÉE B.

15/04/2024

MESSAGE DU SAINT-PÈRE POUR LA PREMIÈRE JOURNÉE MONDIALE DES ENFANTS

Lire ici:https://www.vatican.va/content/francesco/fr/messages/bambini/documents/20240302_messaggio-bambini.pdf

  Mardi 16 avril Évangile de Jésus Christ selon saint JeanEn ce temps-là,la foule dit à Jésus :« Quel signe vas-tu accom...
15/04/2024



Mardi 16 avril

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
la foule dit à Jésus :
« Quel signe vas-tu accomplir
pour que nous puissions le voir, et te croire ?
Quelle œuvre vas-tu faire ?
Au désert, nos pères ont mangé la manne ;
comme dit l’Écriture :
Il leur a donné à manger le pain venu du ciel. »
Jésus leur répondit :
« Amen, amen, je vous le dis :
ce n’est pas Moïse
qui vous a donné le pain venu du ciel ;
c’est mon Père
qui vous donne le vrai pain venu du ciel.
Car le pain de Dieu,
c’est celui qui descend du ciel
et qui donne la vie au monde. »
Ils lui dirent alors :
« Seigneur, donne-nous toujours de ce pain-là. »
Jésus leur répondit :
« Moi, je suis le pain de la vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ;
celui qui croit en moi n’aura jamais soif. »

– Acclamons la Parole de Dieu.

Commentaire

Jésus n’élimine pas la préoccupation et la recherche de la nourriture quotidienne, non, il n’élimine pas la préoccupation de tout ce qui peut rendre la vie meilleure. Mais Jésus nous rappelle que la vraie signification de notre existence terrestre se trouve à la fin, dans l’éternité, elle réside dans la rencontre avec Lui, qui est don et donateur, et il nous rappelle aussi que l’histoire humaine avec ses souffrances et ses joies doit être vue dans un horizon d’éternité, c’est-à-dire dans cet horizon de la rencontre définitive avec Lui.
Et cette rencontre illumine tous les jours de notre vie. Si nous pensons à cette rencontre, à ce grand don, les petits dons de la vie, les souffrances aussi, les préoccupations seront illuminées par l’espérance de cette rencontre. «Je suis le pain de vie. Qui vient à moi n'aura jamais faim; qui croit en moi n'aura jamais soif» (v. 35). Et c’est la référence à l’Eucharistie, le don le plus grand qui rassasie l’âme et le corps.
Rencontrer et accueillir en nous Jésus, «pain de vie», donne une signification et une espérance au chemin souvent tortueux de la vie. Mais ce «pain de vie» nous est donné avec un devoir, à savoir que nous puissions à notre tour rassasier la faim spirituelle et matérielle de nos frères, en annonçant l’Evangile partout. Avec le témoignage de notre comportement fraternel et solidaire envers notre prochain, nous rendons présent le Christ et son amour parmi les hommes.
( , Angélus, 2 août 2015)

15/04/2024

15 AVRIL .CHAPELET & BÉNÉDICTION EUCHARISTIQUE . 3 ÈME SEMAINE DE PÂQUES. ANNÉE B

 Lors de la prière mariale du   ce dimanche 14 avril, le Pape François a rappelé la célébration de la première Journée m...
15/04/2024



Lors de la prière mariale du ce dimanche 14 avril, le Pape François a rappelé la célébration de la première Journée mondiale des enfants qui se tiendra les 25 et 26 mai a Rome.

«Je vous invite à accompagner avec vos prière cet évènement – la Journée Mondiale des Enfants – et je remercie tout ceux qui la prépare. Et à vous, garçons et files, je dis: je vous attends! Vous tous! Nous avons besoin de vôtre amour et vôtre désir d’un monde meilleur, d’un monde en paix. Prions, frères et sœurs, pour les enfants qui souffrent des guerres – ils sont nombreux ! – en Ukraine, en Palestine, en Israël, dans d’autres parties du monde, au Myanmar. Prions pour eux et pour la paix».

«Je suis heureux d'annoncer que les 25 et 26 mai nous célébrerons la première Journée mondiale de l'enfance», avait-il annoncer 8 décembre dernier en la solennité de l’Immaculée Conception.

De fait, la décision en ce sens a été prise à la suite de la journée du 6 novembre 2023, lorsque le Pape avait rencontré 8 000 enfants dans la salle Paul VI au Vatican, afin de régulariser que la rencontre du Pape avec les enfants.

Les 25 et 26 mai se tiendra donc à Rome la première édition de la Journée mondiale des enfants instituée par le Pape François. Dans le message adressé aux petits, en date du 02 mars 2024, le Saint-Père les invitent: «à être don de Dieu les uns pour les autres, à prier avec foi et sans cesse Dieu le Père avec les parole du Nôtre Père.

Pour le moment, les plus de 57 000 enfants qui ont confirmé leur présence sont originaires de soixante pays, a souligné Stella Cervogni, responsable des relations extérieures des JME. Parmi ces pays figurent l'Afghanistan, la République démocratique du Congo, l'Éthiopie, l'Érythrée et la Syrie.

Cette première édition à laquelle s'annonce déjà milliers de participant qui proviendront de tous les horizons a pour thème: «Voici que je fais toutes choses nouvelles» (Ap 21, 5). Puis il conclut en ces termes: «Chers amis, Dieu, qui nous aime depuis toujours (cf. Jr 1, 5), a pour nous le regard du papa le plus aimant et de la maman la plus tendre. Il ne nous oublie jamais (cf. Is 49,15) et nous accompagne chaque jour et nous renouvelle par son Esprit».

Enfin écrit-il:

Avec la Très Sainte Vierge Marie et saint Joseph, prions avec ces mots:
Viens, Esprit Saint,
montre-nous ta beauté
reflétée dans les visages
des enfants de la terre.
Viens Jésus,
qui fais toutes choses nouvelles,
qui es le chemin qui nous conduit au Père,
viens et reste avec nous.
Amen.

de Fr Maximilien KIKI - Rome

15/04/2024

15 AVRIL .SAINTE MESSE. 3 ÈME SEMAINE DE PÂQUES. ANNÉE B

  Lund' 15 avril Évangile de Jésus Christ selon saint Jean(Jn 6, 22-29)Jésus avait rassasié cinq mille hommes,et ses dis...
15/04/2024



Lund' 15 avril

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
(Jn 6, 22-29)

Jésus avait rassasié cinq mille hommes,
et ses disciples l’avaient vu marcher sur la mer.
Le lendemain, la foule restée sur l’autre rive
se rendit compte qu’il n’y avait eu là qu’une seule barque,
et que Jésus n’y était pas monté avec ses disciples,
qui étaient partis sans lui.
Cependant, d’autres barques, venant de Tibériade,
étaient arrivées près de l’endroit où l’on avait mangé le pain
après que le Seigneur eut rendu grâce.
Quand la foule vit que Jésus n’était pas là,
ni ses disciples,
les gens montèrent dans les barques
et se dirigèrent vers Capharnaüm
à la recherche de Jésus.
L’ayant trouvé sur l’autre rive, ils lui dirent :
« Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? »
Jésus leur répondit :
« Amen, amen, je vous le dis :
vous me cherchez,
non parce que vous avez vu des signes,
mais parce que vous avez mangé de ces pains
et que vous avez été rassasiés.
Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd,
mais pour la nourriture qui demeure
jusque dans la vie éternelle,
celle que vous donnera le Fils de l’homme,
lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. »
Ils lui dirent alors :
« Que devons-nous faire
pour travailler aux œuvres de Dieu ? »
Jésus leur répondit :
« L’œuvre de Dieu,
c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. »

Commentaire

Il s'agit là d'un cas où Jésus corrige l'attitude des personnes, de la foule, car à mi-chemin elle s'était un peu éloignée du premier moment, de la première consolation spirituelle et elle avait pris un chemin qui n'était pas le bon, un chemin plus mondain qu'évangélique.

Cela nous fait penser que très souvent, dans la vie, nous commençons un chemin à la suite de Jésus, derrière Jésus, avec les valeurs de l'Evangile, et à mi-chemin nous avons une autre idée, nous voyons un signal et nous nous éloignons et nous conformons à une chose plus temporelle, plus matérielle, plus mondaine – cela est possible – et nous perdons la mémoire de ce premier enthousiasme que nous avons eu quand nous entendions Jésus parler. Le Seigneur nous fait toujours revenir à la première rencontre, au premier moment où Il nous a regardés, nous a parlés et a fait naître en nous l'envie de le suivre.

C'est une grâce à demander au Seigneur, car dans la vie nous aurons toujours la tentation de nous éloigner parce que nous voyons autre chose: "Mais cela irait bien, mais cette idée est bonne...". Nous nous éloignons. La grâce de toujours revenir au premier appel, au premier moment: ne pas oublier, ne pas oublier mon histoire, quand Jésus m'a regardé avec amour et m'a dit: "Voilà ta route"; quand Jésus, au moyen de tant de personnes, m'a fait comprendre quelle était la route de l'Evangile et pas d'autres routes un peu mondaines, avec d'autres valeurs. Revenir à la première rencontre. ( , 27 avril 2020)

  Ce 14 avril, 3ème Dimanche de Pâques le   a réciter depuis la fenêtre du Palais Apostolique au Vatican, la prière mari...
14/04/2024



Ce 14 avril, 3ème Dimanche de Pâques le a réciter depuis la fenêtre du Palais Apostolique au Vatican, la prière mariale du avec les quinze mille (environ) fidèles et pèlerins qui étaient présent sur l'esplanade de place Saint-Pierre.

Les paroles du Saint-Père:

Chers frères et sœurs, bonjour, bon dimanche !

Aujourd'hui, l'Évangile nous ramène à Pâques. Les apôtres sont réunis au cénacle, lorsque les deux disciples reviennent d'Emmaüs et racontent leur rencontre avec Jésus. Et au milieu de la joie de leur expérience, le Ressuscité apparaît à toute la communauté. Jésus est arrivé au moment où ils partageaient l'histoire de sa rencontre avec Lui. Ceci me fait penser qu'il est beau de partager, qu'il est important de partager la foi. Ce récit nous fait penser combien il est important de partager la foi en Jésus Ressuscité.

Aujourd'hui nous sommes bombardé de mille messages. Beaucoup sont superficielles et inutiles, d’autres révèlent une curiosité indiscrète ou, pire encore, naissent de ragots et de malice. C’est une nouvelle qui ne sert à rien, en fait ça fait mal. Mais il y en a qui sont aussi beau, positif et constructif, et tous nous savons combien ça fait du bien entendre de belles choses et on se sent mieux quand cela arrive. Et c’est aussi agréable de partager les réalités qui, pour le meilleur ou pour le pire, ont marqué nos vies, afin d’aider les autres.

Pourtant, il y a une chose dont nous avons souvent du mal à parler. On a du mal à parler de quoi ? De la plus belle chose que nous ayons à raconter : notre rencontre avec Jésus. Chacun de nous a rencontré le Seigneur et il nous est difficile d'en parler. Chacun de nous pourrait en dire beaucoup : voir comment le Seigneur nous a touchés et partager cela, non pas en enseignant aux autres, mais en partageant les moments uniques où nous avons perçu le Seigneur vivant, proche, qui a allumé la joie dans nos cœurs ou séchées des larmes, qui transmettait confiance et consolation, force et enthousiasme, ou pardon, tendresse. Nous devons partager et transmettre ces rencontres que chacun de nous a faites avec Jésus. Il est important de le faire en famille, dans la communauté, entre amis. Tout comme il est bon de parler des bonnes inspirations qui nous ont guidés dans la vie, des bonnes pensées et des bons sentiments qui nous aident tant à avancer, aussi des efforts et des fatigues que nous déployons pour comprendre et progresser dans la vie de foi, peut-être même de se repentir et de revenir sur nos pas. Si nous faisons cela, Jésus, tout comme ce qui est arrivé aux disciples d'Emmaüs le soir de Pâques, nous surprendra et rendra nos rencontres et nos environnements encore plus beaux.

Essayons donc de nous souvenir, maintenant, d'un moment fort de notre vie, d'une rencontre décisive avec Jésus : tout le monde l'a fait, chacun de nous a eu la rencontre avec le Seigneur. Faisons un peu de silence et réfléchissons : ...quand ai-je trouvé le Seigneur ? Quand le Seigneur s’est-il approché de moi ? ...Réfléchissons en silence. Et ai-je partagé cette rencontre avec le Seigneur pour rendre gloire au Seigneur lui-même ? Et aussi, ai-je écouté les autres lorsqu’ils me parlent de cette rencontre avec Jésus ?

Que Notre-Dame nous aide à partager la foi pour faire de nos communautés toujours plus des lieux de rencontre avec le Seigneur.

Après ces paroles introductives, le Pape François recite la Regina Caeli et bénit les fidèles.

Il a par la suite manifesté sa désolation au regard du conflit israëlo-palestinien et invité les uns et les autres a prié sans cesse pour la paix.

“ Personne ne doit menacer l’existence des autres. Au lieu de cela, que toutes les nations défendent la paix et aident les Israéliens et les Palestiniens à vivre comme deux États, côte à côte, en toute sécurité...Quelle souffrance ! Prions pour la paix. Assez de guerre, assez d’attentats, assez de violence ! Oui au dialogue et oui à la paix ! " a t-il enfin exorter.

14/04/2024

14 AVRIL . 3 ÈME DIMANCHE DE PÂQUES. ANNÉE B

" J’invite chaque chrétien, en quelque lieu et situation où il se trouve, à renouveler aujourd’hui même sa rencontre per...
14/04/2024

" J’invite chaque chrétien, en quelque lieu et situation où il se trouve, à renouveler aujourd’hui même sa rencontre personnelle avec Jésus Christ ou, au moins, à prendre la décision de se laisser rencontrer par lui, de le chercher chaque jour sans cesse. Il n’y a pas de motif pour lequel quelqu’un puisse penser que cette invitation n’est pas pour lui, parce que « personne n’est exclus de la joie que nous apporte le Seigneur ». Celui qui risque, le Seigneur ne le déçoit pas, et quand quelqu’un fait un petit pas vers Jésus, il découvre que celui-ci attendait déjà sa venue à bras ouverts.

C’est le moment pour dire à Jésus Christ : « Seigneur, je me suis laissé tromper, de mille manières j’ai fui ton amour, cependant je suis ici une fois encore pour renouveler mon alliance avec toi. J’ai besoin de toi. Rachète-moi de nouveau Seigneur, accepte-moi encore une fois entre tes bras rédempteurs ». Cela nous fait tant de bien de revenir à lui quand nous nous sommes perdus ! J’insiste encore une fois : Dieu ne se fatigue jamais de pardonner, c’est nous qui nous fatiguons de demander sa miséricorde. Celui qui nous a invités à pardonner « soixante-dix fois sept fois » (Mt 18, 22) nous donne l’exemple : il pardonne soixante-dix fois sept fois. Il revient nous charger sur ses épaules une fois après l’autre.

Personne ne pourra nous enlever la dignité que nous confère cet amour infini et inébranlable. Il nous permet de relever la tête et de recommencer, avec une tendresse qui ne nous déçoit jamais et qui peut toujours nous rendre la joie. Ne fuyons pas la résurrection de Jésus, ne nous donnons jamais pour vaincus, advienne que pourra. Rien ne peut davantage que sa vie qui nous pousse en avant ! "

13/04/2024

12 AVRIL 2024.SAINTE MESSE. 2ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

Jésus vous connaît et vous aime. Si nous demeurons en Lui, nous n’avons pas à craindre, car pour nous aussi toute croix ...
13/04/2024

Jésus vous connaît et vous aime. Si nous demeurons en Lui, nous n’avons pas à craindre, car pour nous aussi toute croix se transformera en résurrection, toute tristesse en espérance, toute lamentation en danse.

12/04/2024

12 AVRIL 2024.CHAPELET & ADORATION. 2ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

12/04/2024

12 AVRIL 2024. SAINTE MESSE. 2ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

11/04/2024

11 AVRIL 2024. CHAPELET& ADORATION. 2ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

11/04/2024

10 AVRIL 2024. SAINTE MESSE. 2ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

10/04/2024

10 AVRIL 2024. CHAPELET & ADORATION.2 ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

10/04/2024
  Ce mercredi 10 avril, le   a tenu sa catéchèse hebdomadaire au fidèles, pèlerins et pèlerine convenu place Saint–Pierr...
10/04/2024



Ce mercredi 10 avril, le a tenu sa catéchèse hebdomadaire au fidèles, pèlerins et pèlerine convenu place Saint–Pierre pour l'audience générale.

Le Saint-Père s'est attarder en ce jour sur la vertu de la "force de l'âme", soulignant qu'elle "est bien celle qui, dans les difficultés, nous assure la fermeté et la constance dans la recherche du bien. Elle nous aide à résister aux tentations et à surmonter les obstacles, la peur, les persécutions. Elle nous permet également d’éduquer nos passions et se présente ainsi comme la plus combattive des vertus. Elle nous donne non seulement de lutter et de vaincre les ennemis intérieurs qui nous paralysent – les peurs, les angoisses et les fautes – mais aussi de lutter contre les ennemis du dehors que sont les épreuves de la vie et les persécutions de toute sorte. Elle permet encore de réagir avec vigueur au mal dans le monde, à la manière des prophètes qui dérangent et des saints qui édifient."

Il a par la suite saluer ses hôtes e les a invité a s'entraîner à la vertu de force pour combattre leurs peurs et trouver le courage de manifester leur foi avec enthousiasme.

"Que Dieu vous bénisse tous !" a t-il prononcer pour finir.

10/04/2024

10 AVRIL 2024. SAINTE MESSE .2 ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

09/04/2024

09 AVRIL 2024.CHAPELET & ADORATION- 2 ÈME SEMAINE DU TEMPS PASCAL. ANNÉE B

Les médias et le numérique aux service de la “solidarité et à l’engagement sérieux pour une vie plus digne pour tous”...
09/04/2024

Les médias et le numérique aux service de la “solidarité et à l’engagement sérieux pour une vie plus digne pour tous”.

Le caractère innallienabble de la dignité de tout être humain a caractérisé depuis l’avvenement du Concile Vatican II, l’enseignement magisteriel et doctrinal de l’Eglise. De saint Paul VI à François, passant par saint Jean-Paul II et Benoit XVI, plusieurs et riches sont les réflexions qui ont portées spécifiquement sur la question de la dignité humaine. Réflexions déclinées sous divers angles, mais qui au même moment s’alignent l’une après l’autre dans une parfaite continuité avec les indications conciliaires en matière.

En effet, le Concile Vatican II parle de “ l’éminente dignité de la personne humaine, supérieure à toutes choses et dont les droits et les devoirs sont universels et inviolables “ (Gaudium et spes, 1965, n.26). De même l’incipit de la déclaration conciliaire “Dignitatis humanae” (1965, n.1) affirme que: “ la dignité de la personne humaine est l’objet d’une conscience toujours plus vive ; toujours plus nombreux sont ceux qui revendiquent pour l’homme la possibilité d’agir en vertu de ses propres options et en toute libre responsabilité ; non pas sous la pression d’une contrainte, mais guidé par la conscience de son devoir “.

Ainsi, le magistère ecclésial a muri dans le temps “le sens de cette dignité, ainsi que les exigences et les implications qui y sont liées” (Dignitas infinita, 16), aboutissant à la toute dernière (selon l’ordre chronologique) déclaration sur la dignité humaine: “Dignitas infinita” (Dignité infinie), publié par le Dicastère pour la Dottrine de la Foi, 8 avril.

Tout en affermant les fondements bibliques et christologiques de l’inaliénabilité de la dignité humaine, “Dignitas infinita” dénonce quelques unes des actuelles “violations graves de la dignité humaine”, à savoir le drame de la pauvreté, la guerre, le travail des migrants, la traite des personnes, les abus sexuels, les violences contre les femmes, l’avortement, la gestation pour autrui, l'euthanasie et le su***de assisté, la mise au rebut des personnes handicapées, la théorie du genre, le changement de sexe et enfin la violence numérique.

Le progrès technologique et numérique, lit-on, “ bien qu'il offre de nombreuses possibilités de promouvoir la dignité humaine, tend de plus en plus à créer un monde dans lequel se développent l'exploitation, l'exclusion et la violence, qui peuvent aller jusqu'à porter atteinte à la dignité de la personne humaine. Il suffit de penser à la facilité avec laquelle, par ces moyens, on peut mettre en danger la bonne réputation de quelqu'un par des fausses nouvelles et des calomnies ” (v.61).

C’est pourquoi, “ il est important de souligner que la dignité n'est pas accordée à la personne par d'autres êtres humains, sur la base de certains dons et qualités, de sorte qu'elle pourrait éventuellement être retirée. Si la dignité était accordée à la personne par d'autres êtres humains, elle le serait de manière conditionnelle et aliénable […] la dignité est intrinsèque à la personne, elle n'est pas conférée a posteriori, elle est antérieure à toute reconnaissance et ne peut être perdue.

Par conséquent, tous les êtres humains possèdent la même dignité intrinsèque, qu'ils soient ou non capables de l'exprimer de manière adequate” (v.15).

De plus, “ le monde numérique est aussi un espace de solitude, de manipulation, d’exploitation et de violence, jusqu’au cas extrême du dark web… De telles tendances représentent une face sombre du progrès numérique” (v.61).

Et pour finir l’appel que l’Eglise lance au numérique, est celle d’être réellement “community”, c’est-à-dire réseaux de communication sociale et humaine, “ la technologie doit servir la dignité humaine et non lui nuire et si elle doit promouvoir la paix plutôt que la violence, la communauté humaine doit être proactive en abordant ces tendances dans le respect de la dignité humaine et en promouvant le bien “ (v. 62).

09/04/2024



Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
Jésus disait à Nicodème :
« Il vous faut naître d’en haut.
Le vent souffle où il veut :
tu entends sa voix,
mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va.
Il en est ainsi
pour qui est né du souffle de l’Esprit. »
Nicodème reprit :
« Comment cela peut-il se faire ? »
Jésus lui répondit :
« Tu es un maître qui enseigne Israël
et tu ne connais pas ces choses-là ?
Amen, amen, je te le dis :
nous parlons de ce que nous savons,
nous témoignons de ce que nous avons vu,
et vous ne recevez pas notre témoignage.
Si vous ne croyez pas
lorsque je vous parle des choses de la terre,
comment croirez-vous
quand je vous parlerai des choses du ciel ?
Car nul n’est monté au ciel
sinon celui qui est descendu du ciel,
le Fils de l’homme.
De même que le serpent de bronze
fut élevé par Moïse dans le désert,
ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé,
afin qu’en lui tout homme qui croit
ait la vie éternelle. »

– Acclamons la Parole de Dieu.

Commentaire

« Naître d'en-haut » (Jn 3, 7), c'est naître avec la force de l'Esprit Saint. Nous ne pouvons pas prendre l'Esprit Saint pour nous; nous pouvons seulement le laisser nous transformer. Et notre docilité ouvre la porte à l'Esprit Saint: c'est Lui qui opère le changement, la transformation, cette renaissance d'en-haut. C'est la promesse de Jésus d'envoyer l'Esprit Saint (cf. Ac 1, 8). L'Esprit Saint est capable de faire des merveilles, des choses que nous ne pouvons même pas imaginer.

Un exemple est cette première communauté chrétienne, ce dont on nous parle ici n'est pas imaginaire: c'est un modèle auquel on peut arriver quand on est docile, qu'on laisse entrer l'Esprit Saint et qu'il nous transforme. Une communauté – disons-le ainsi – «idéale». Il est vrai qu'immédiatement après des problèmes commenceront, mais le Seigneur nous fait voir jusqu'où nous pourrions arriver si nous sommes ouverts à l'Esprit Saint, si nous sommes dociles. Dans cette communauté règne l'harmonie (cf. Ac 4, 32-37). L'Esprit Saint est le maître de l'harmonie, il est capable de la faire et ici il l'a faite. Il doit la faire dans notre cœur, il doit changer tant de choses en nous, mais il doit faire l'harmonie: car Il est lui-même l'harmonie. Egalement l'harmonie entre le Père et le Fils: c'est l'amour d'harmonie. Et Lui, avec l'harmonie, crée des choses telles que cette communauté si harmonieuse. Mais ensuite, l'histoire nous dit – ce même livre des Actes des apôtres – qu'il y a eu tant de problèmes dans la communauté. Il s'agit d'un modèle: le Seigneur a permis ce modèle d'une communauté presque «céleste», pour nous faire voir où nous devrions arriver.

Mais ensuite les divisions commencent au sein de la communauté. L’apôtre Jacques, dans le deuxième chapitre de sa Lettre, dit: « Que votre foi soit exempte de favoritismes personnels » (cf. Jc 2, 1): car il y en avait! « Ne faites pas de discriminations »: les apôtres doivent sortir pour admonester. Et Paul, dans la première Lettre aux Corinthiens, dans le chapitre 11, se plaint: « J'ai entendu qu'il y a des divisions parmi vous » (cf. 1 Co 11, 18): les divisions internes commencent dans les communautés. On doit arriver à cet « idéal », mais ce n'est pas facile: il y a tant de choses qui divisent une communauté, que ce soit une communauté chrétienne paroissiale, diocésaine, ou presbytérale, de religieux ou de religieuses… tant de choses sont susceptibles de diviser une communauté.

En considérant quelles sont les choses qui ont divisé les premières communautés chrétiennes, j'en trouve trois: tout d'abord, l'argent. Quand l'apôtre Jacques dit cela, qu'il ne faut pas avoir de favoritismes personnels, il donne un exemple : « Si dans votre église, dans votre assemblée entre quelqu'un avec un anneau d'or, immédiatement vous vous en occupez, et vous laissez le pauvre de côté » (cf. Jc 2, 2). L'argent. Paul lui-même le dit: « Les riches apportent à manger et mangent, les pauvres restent debout » (cf. 1 Co 11, 20-22), on les laisse là, comme pour leur dire: «Arrange-toi comme tu peux». L'argent divise, l’amour de l'argent divise la communauté, divise l'Eglise.

Bien souvent, dans l'Eglise, là où il y a des déviations doctrinales – pas toujours, mais bien souvent – on trouve l'argent derrière: l'argent du pouvoir, que ce soit le pouvoir politique, ou l'argent comptant, mais c'est de l'argent. L'argent divise la communauté. C'est pourquoi la pauvreté est la mère de la communauté, la pauvreté est le mur qui sauvegarde la communauté. L'argent divise, l'intérêt personnel. Même dans les familles: combien de familles ce sont divisées à cause d'un héritage? Combien de familles? Et elles ne se parlent plus… Combien de familles… Un héritage… Il divise: l'argent divise.

Une autre chose qui divise une communauté est la vanité, cette envie de se sentir meilleur que les autres. « Je te remercie, Seigneur, parce que je ne suis pas comme les autres » (cf. Lc 18, 11), dit la prière du pharisien. La vanité, sentir que je suis… Et aussi la vanité en me faisant voir, la vanité dans les habitudes: combien de fois – pas toujours, mais combien de fois – la célébration d'un sacrement devient-elle un exemple de vanité, celui qui a les plus beaux vêtements, celui qui fait cela et l'autre… La vanité… pour la fête la plus somptueuse… Là aussi on trouve la vanité. Et la vanité divise. Car la vanité te conduit à faire le paon et là où il y a un paon, il y a la division, toujours.

Une troisième chose qui divise la communauté sont les bavardages: ce n'est pas la première fois que je le dis, mais c'est la réalité. C'est la réalité. Cette chose que le diable met en nous, comme un besoin de médire des autres. « Comme cette personne est bonne… » – « Oui, oui, mais cependant… »: Immédiatement le « mais »: c'est une pierre pour disqualifier l'autre et je dis immédiatement quelque chose que j'ai entendu, pour abaisser ainsi un peu l'autre.

Mais l'Esprit vient toujours avec sa force pour nous sauver de cette mondanité de l'argent, de la vanité et des bavardages, pare que l'Esprit n'est pas le monde : il est contre le monde. Il est capable de faire ces miracles, ces grandes choses.

Demandons au Seigneur cette docilité à l'Esprit, pour qu'Il nous transforme et qu'Il transforme nos communautés, nos communautés paroissiales, diocésaines, religieuses: qu'Il les transforme, pour aller toujours de l'avant dans l'harmonie que Jésus désire pour la communauté chrétienne. ( 21/04/2020)

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