05/08/2024
🔔 𝐕𝐈𝐒𝐈𝐓𝐄 𝐓𝐇𝐄𝐌𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐃𝐔 𝐏𝐀𝐑𝐂 𝐃𝐄𝐒 𝐓𝐄𝐂𝐇𝐍𝐎𝐋𝐎𝐆𝐈𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐃'𝐈𝐍𝐍𝐎𝐕𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐔 𝐂𝐍𝐒-𝐌𝐀𝐈̈𝐒 𝐀 𝐍𝐈𝐀𝐎𝐔𝐋𝐈 : 𝐃𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐟𝐚𝐯𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞́𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬
Dans la belle matinée du vendredi 26 juillet 2024, l’Association des journalistes et communicants du secteur agricole (𝑮𝒍𝒆́ 𝑿𝒐̂) a fait une immersion au sein du 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗔𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗦𝘂𝗱 de l’INRAB à Niaouli pour une visite thématique du parc des technologies et d’innovations.
En effet, avec le 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗢𝘂𝗲𝘀𝘁 𝗲𝘁 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲-𝗔𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗗𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗔𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲, l’INRAB a reçu des financements du programme 𝗧𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗔𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗔𝗰𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝘀𝗶𝗹𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗦𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗼𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗙𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝘂𝗲𝘀𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 (TARSPro), également du 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝗥𝗲́𝘀𝗶𝗹𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗦𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲 𝗔𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝘂𝗲𝘀𝘁 𝗲𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 (PRSA-FSRP) et aussi du 𝗣𝗼̂𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗼𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗥𝗲𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗩𝘂𝗹𝗴𝗮𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 (iREACH), qui ont permis d’installer un parc de technologie. « 𝘊’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘦𝘴𝘱𝘢𝘤𝘦 𝘰𝘶̀ 𝘭’𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘭𝘰𝘨𝘦𝘳 𝘱𝘭𝘶𝘴𝘪𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘧𝘰𝘪𝘴. 𝘋𝘦𝘴 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦𝘴 𝘷𝘦́𝘨𝘦́𝘵𝘢𝘭𝘦𝘴, 𝘢𝘯𝘪𝘮𝘢𝘭𝘦𝘴, 𝘩𝘢𝘭𝘪𝘦𝘶𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘱𝘰𝘴𝘵-𝘳𝘦́𝘤𝘰𝘭𝘵𝘦𝘴 » a fait savoir Dr. Alice Kouboura Djinadou, point focal du projet TARSPro-Bénin.
A la vingtaine de journalistes, les technologies développées grâce à la recherche dans plusieurs filières notamment, le maïs, le riz, le soja, le manioc, aquaculture etc, ont été exposées. « 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑖𝑑𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑟𝑒́𝑔𝑙𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 𝑚𝑎𝑗𝑒𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑒. 𝐿𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒, 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐̧𝑎 𝑛’𝑎𝑡𝑡𝑒𝑖𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒́𝑛𝑒́𝑓𝑖𝑐𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑢𝑥. 𝐼𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑐𝑐𝑒̀𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑙𝑎 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑞𝑢’𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑙’𝑖𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 » a laissé entendre Dr. Alice Kouboura Djinadou, point focal du projet TARSPro-Bénin.
Ainsi, dans l’intention d’atteindre les acteurs du monde agricole notamment les producteurs et transformateurs, cette approche impliquant les professionnels des médias agricoles a été instaurée. Dans le rang des journalistes agricoles de l’association Gléxo, à l’image de leur président, cette approche est bien réfléchie. « 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑜𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙’𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 » espère André Tokpon, président de l’Association Glé Xo. Il ajouter ensuite que « 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑡𝑟𝑒̀𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑠, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑎 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑢𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑙𝑒𝑠, 𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑑’𝑖𝑛𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑚𝑒𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑢 𝐵𝑒́𝑛𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝐴𝑓𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 ».
En matière de recherche agricole et de développement de technologies, le Bénin se positionne très bien. Le dynamisme des chercheurs permet aujourd’hui d’observer et de toucher du doigt plusieurs innovations qui sont profitable aux producteurs. Oud Sakek Moussibaou, technicien du parc a souligné que « 𝑐𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ 𝑎𝑢 𝑛𝑖𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑎𝑙𝑜𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑓𝑖𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑟𝑛𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑑𝑜𝑝𝑡𝑒𝑟 ».
En production végétale, 04 spéculations ont été promues dans le Parc dont le maïs. Des variétés de maïs améliorés à cycle court au regard des effets potentiels des changements climatiques ont été mise en place. Au niveau du manioc, 04 variétés ont été valorisées sur le Parc. « 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑦 𝑎𝑣𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑖𝑙, 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑠𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑝𝑢𝑟𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑑𝑒𝑚𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑙𝑎𝑑𝑖𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠. 𝐶𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑛𝑒𝑢𝑣𝑒𝑠. 𝐼𝑙 𝑦 𝑎 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑣𝑎𝑟𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑏𝑒̂𝑡𝑎-𝑐𝑎𝑟𝑜𝑡𝑒̀𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑜𝑐𝑠 𝑎̀ 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑟𝑠 𝑗𝑎𝑢𝑛𝑒𝑠 » apprend le technicien du parc.
Dans ce même parc, on y trouve le soja. A ce niveau, la densité des semis reste le point important à considérer par le producteur pour s’assurer d’un bon rendement. A en croire Oud Sakek Moussibaou, le soja a été installé avec de l’inoculum, vu la rareté récente de l’engrais, des recherches ont été menées pour l’inoculum soja. La particularité de ce soja est qu’à maturité les gousses ne s’éclatent pas, c’est donc dire que le producteur ne perd pas les graines. 04 variétés de riz ont également été installées. Deux variétés de plateau et deux variétés de bas-fond.
« 𝐸𝑛 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑝𝑙𝑎𝑡𝑒𝑎𝑢, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑎𝑢𝑥 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑠𝑒́𝑐ℎ𝑒𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑟𝑖𝑧 𝑂𝑟𝑦𝑙𝑢𝑥 𝑞𝑢𝑖 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑟𝑖𝑧 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑠-𝑓𝑜𝑛𝑑 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑟𝑜𝑚𝑎𝑡𝑖𝑠𝑒́ ». D’autres innovations dans la filière aquacole et dans la transformation ont également été exposées.
Reste-il désormais à créer un cadre courant d’échange entre producteurs et acteurs de la recherche pour mieux valoriser les résultats sur le terrain.
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