Faso-Infos

Faso-Infos Média, informations, communication.

*(19 mars 2024) à Ouahigouya. Contre -discours de dénonciation du pouvoir IB sur les lieux du sacrifice des chameaux 🐪 d...
20/03/2024

*(19 mars 2024) à Ouahigouya. Contre -discours de dénonciation du pouvoir IB sur les lieux du sacrifice des chameaux 🐪 du marabout. « Dites à IB que nous sommes mécontents nous avons quitté nos terres pour être ici à ouahigouya dans la misère; nous souffrons nos mamans souffrent nous voulons retourner dans nos villages pour cultiver et vivre dignement …».*

Gouvernance du MPSR 2 : ce populisme qui nous mène droit au murQuand le populisme de mauvais alois, la propagande à outr...
11/03/2024

Gouvernance du MPSR 2 : ce populisme qui nous mène droit au mur

Quand le populisme de mauvais alois, la propagande à outrance et le mensonge d'Etat sont érigés en mode de gestion d'un pays, cela signifie que ce pays est au bord du gouffre ou du précipice, c'est selon...
Après l'annonce tonitruante de l'installation d'une centrale nucléaire au Burkina, il y a plusieurs mois de cela, c'est le silence radio. Point de centrale à l'horizon. Pas de projet, pas de mode de financement, pas de bailleur, les caisses de l'Etat étant désespérément vides.
On quitte dans ça pour parler de cacao. Selon IB, le Burkina sera le premier producteur de cacao dans 3 ans. Vraiment, si le ridicule pouvait tuer. Après la mise en pied du cacaoier, il faut au moins 6 ans pour la première récolte dans les conditions normales de pression et de température. Conditions loin d'être réunies au Burkina.
Six ans, c'est le nombre d'années médian qu'il faut pour espérer récolter des fèves qui sont susceptibles d'être exportés, conformément aux standards internationaux.
A peine a-t-on retrouvé nos esprits que le Président IB nous parle de la fabrication de voitures électriques. Rien que ça !
De deux choses l'une. Soit IB n'est pas à la hauteur de la fonction présidentielle, soit ses conseillers et autres collaborateurs sont vraiment des incompétents notoires.
C'est sans doute pour cela que le Président Sankara disait et à juste titre qu'un militaire sans formation politique est un criminel en puissance.
En effet, il ne croyait pas si bien dire. Car, les options et choix hasardeux opérés par un président peuvent conduire un pays à la dérive...
Pour réaliser des projets, même utopiques, il faut au moins avoir la maîtrise de la situation sécuritaire. Ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui. Dans un tel contexte, quel investisseur sérieux va s'engager sur un projet d'envergure dans un pays en proie à une insécurité chronique?
Fait notable, la communication de IB et des membres du gouvernement n'est plus axée sur les questions sécuritaires, qui pourtant, devrait être la priorité absolue.
Comme dit la maxime populaire, tout beau menteur vit au dépend du peuple qui l'écoute et surtout qui accorde encore du crédit à ses gérémiades juvéniles..."

Aboubakar Ouattara

11/03/2024

1.).Hier des hommes armés ont ouvert à DORI, le feu sur 1 véhicule mini bus avec des passagers, au niveau de l'ancien poste de péage sur axe DORI OUAGA . Bilan provisoire: le chauffeur est touché au cou par des munitions.

2.).Les investigations sont toujours en cours pour connaître les raisons qui ont poussé le chef VDP à abattre son grand frère avant de se donné également la mort ce jour dans le village de POUNKOUYAN situé à environs 10 km de PÔ. (région centre Sud).

Insécurité au Burkina Faso : la situation va de mal en p*s...Le Burkina Faso est le pays le plus touché par le terrorism...
07/03/2024

Insécurité au Burkina Faso : la situation va de mal en p*s...

Le Burkina Faso est le pays le plus touché par le terrorisme en 2023. Rassurez-vous, cette sentence ne vient pas de moi, mais du Global Terrorisme Index, une organisation spécialisée dans le monitoring des actes terroristes à travers le monde. Cette triste distinction revenait jusque-là à l'Afghanistan que nous venons de doubler, après neuf (09) ans d'insécurité.
L'étude précise que les décès dus au terrorisme ont augmenté successivement chaque année depuis 2014. Fait notable, durant cette année-là, aucun décès n'avait été enregistré sous le magistère du Président Compaoré. La référence en termes de gouvernance au Burkina, aujourd'hui et certainement encore pour de nombreuses années.
Le rapport stipule que nous sommes passés de 1135 décès en 2022 à 1907 en 2023, soit une augmentation de 68 pour cent, malgré une baisse de près de 16 pour cent du nombre d'attaques l'année dernière...
Cela dénote de l'incapacité des capitaines au pouvoir, de sortir le pays de l'impasse dans laquelle il se trouve aujourd’hui...
Après la phase de la conquête du pouvoir sur du faux et du mensonge, les tenants du MPSR 2 ont fait l'option du tout militaire pour vaincre le terrorisme, et le choix de la révolution pour diriger le pays au plan politique. Toutefois, une fois installés, et face aux dures réalités inhérentes à la gestion du pouvoir, IB et ses camarades ont jeté leur dévolu sur le populisme, la propagande à outrance, avec la RTB en vedette.
Pour faire taire les voix discordantes, les enlèvements, les arrestations arbitraires qu'on pensait être reléguées aux calendes grecques, ont été remis au goût du jour. Les hommes politiques, les acteurs de la société civile et les activistes les plus critiques, sont expédiés manu militari au front, dans le but de les humilier et de les contraindre au silence...
Vous l'aurez compris, le Burkina d'aujourd'hui est aux antipodes des standards démocratique. Le Faso est aujourd'hui une prison à ciel ouvert, où vit un peuple désemparé, pressurisé par les taxes et autres impôts, qui ploie sous le coût sans cesse élevé de la vie chère.
En somme, le Burkina
d'aujourd'hui est un goulag. Peut-être que le rapprochement avec la Russie est un signe que nous n'avons pas su interpréter à temps...
Que Dieu sauve le Burkina..
Aboubakar Ouattara

04/03/2024

I1. Une importante base terroriste est entrain d'être installer à Doumbala dans la Kossi ( Région Boucle du Mouhoun). Avant-hier, toute la journée des groupes armés ont pris la direction de Doumbala, sur des motos,d'autres dans des tricycles et même des charettes.
2).Attaque ce jour par des hommes armés dans le village de WIBORIA situé environs 9km de falagountou ( Région Sahel). Bilan provisoire: 1 personne tuée et 1 blessé.

3.).Ce jour des hommes armés ont érigés des points de contrôle d'identité sur l'axe Nouna Dédougou.Ils disent être à la recherche des ressortissants de Nouna,Djibasso et Bomborokuy. ( Boucle du MOUHOUN)

4.).Des hommes armés ont créés une base dans les périmètres des villages de Massala, Dankuy,et Kérébé et un une autre base dans zone de Douroula, précisément dans la forêt de SA et SOUMA ( Région Boucle du MOUHOUN.Leurs intentions: Attaquer la position des FDS et VDP de la zone.

Assassinats de masse dans les régions du Nord et de l'Est : une preuve de l'échec du MPSR 2Depuis quelques jours, des no...
04/03/2024

Assassinats de masse dans les régions du Nord et de l'Est : une preuve de l'échec du MPSR 2

Depuis quelques jours, des nombreuses images et vidéos insoutenables sur des massacres de masse font le tour des réseaux sociaux. Ces vidéos sont accompagnées de témoignages glaçants de rescapés ou de ressortissants des localités ciblées en langues nationales et ou en français.
A ce stade, difficile de dire avec certitude quels sont les responsables de ces exactions. Toutefois, tous les témoins sont d'accord pour dire qu'il s'agit d'hommes en tenues militaires de l'armée burkinabè.
La gravité des faits relatés et la concordance des témoignages, notamment pour les exécutions sommaires commises dans le commune de Thiou dans le Yatenga a amené le procureur du tribunal de grande instance de Ouahigouya, à publier un communiqué à travers lequel il ordonne l'ouverture d'une enquête et lance un appel à témoignage. Des sources dignes de foi parlent de plus de 170 personnes sans defense massacrés dans la commune de Thiou, dans la région du Nord. Sans compter les blessés et les dégâts matériels.
Dans la région de l'Est, des tueries de masse auraient été perpétrées dans les villages de Soalmou et Bidgou, dans la commune de Gayeri. Le mode opératoire des bourreaux est le même que celui de Thiou dans le Nord. Là aussi, ce sont des hommes en tenues militaires qui semblent être les auteurs de cette barbarie innommable. Selon une source locale, il y a moins d'une semaine, les soldats des BIR avaient été déployés dans la zone de Gayeri pour des opérations de sécurisation. Coïncidence troublante tout de même. D'autant plus qu'au final, en lieu et place d'une sécurisation de la province, la population a été victime d'un crime de masse odieux, au regard des images insoutenables et véritablement choquantes qui circulent sur la toile...
Ce n'est malheureusement pas la première fois qu'une partie de nos FDS sont mises en cause et suspectées d'être à l'origine d'assassinats de masse contre des Burkinabè. Comment peut-on expliquer cette situation, plus de 15 mois après l'arrivée de IB et compagnie au pouvoir ?
N'est-ce pas la preuve patente de l'échec de la stratégie de IB?
N'est-il pas temps pour les capitaines de se rendre à l'évidence qu'ils ont échoué ?
Faut-il s'entêter à persévérer dans une stratégie qui va définitivement faire sombrer notre pays ?
A ce stade critique de la vie de notre pays, il faut être humble et avoir le courage de reconnaître qu'on s'est trompé et créer les conditions pour redéfinir ensemble une nouvelle stratégie de manière consensuelle...
L'époque des zorros et autres héros solitaires est révolue...
Comme dit l'adage, il n'y a pas de charge trop lourde pour celui qui sait partager les tâches.

Aboubakar Ouattara

Lutte contre le terrorisme au Burkina : le MPSR 2 impuissant ?Il y a des signes qui ne trompent pas. Après avoir bouclé ...
02/03/2024

Lutte contre le terrorisme au Burkina : le MPSR 2 impuissant ?

Il y a des signes qui ne trompent pas. Après avoir bouclé bon an mal an, la première année à la tête du Burkina Faso, en septembre 2023, les signes de l'échec du MPSR 2 étaient déjà perceptibles.
En effet, en dépit des efforts déployés pour acquérir du matériel militaire, le recrutement de nombreux FDS et VDP, la réorganisation de l'architecture de notre armée, le renouvellement de la chaîne de commandement, force est de constater que les attaques se poursuivent, de plus belle. Et ce, dans toutes les régions crisogènes du pays. Preuve une fois de plus que le volontarisme et le tout militaire ne peuvent en aucun cas venir à bout du mal sécuritaire qui ronge notre pays depuis 8 ans maintenant.
Le week-end des 24 et 25 février 2024 restera à jamais gravé dans la mémoire collective des Burkinabè. Les communes de Seytenga, Kongoussi, Kalambaogo, Natiaboani, Essakane, Tankoualou, ont été la cible d'attaques complexes et coordonnées ayant occasionné la mort de plus de 200 personnes, dont des militaires, des VDP et des civils.
Le paradoxe, c'est que ces attaques ont lieu quelques semaines après l'annonce de IB qui instruisait au commandement, d'enclencher la phase de développement de la guerre.
Après cette annonce présidentielle, les propagandistes n'ont pas hésité à dire que les terroristes étaient sur le reculoir. Qu'ils ont été exterminés par les frappes chirurgicales des drones. Pour preuve, la ténébreuse, ou du moins la RTB, la chaîne à l'anus des grands mensonges, les abreuve chaque soir des reportages de Taonsa qui montrent les drones entrain de frapper efficacement les terroristes...
Alors, comment se fait-il qu'après les innombrables frappes chirurgicales des drones, les innombrables BIR, l'armada de matériel militaire acheté, on puisse encore assister dans le Burkina Faso des capitaines, à des attaques aussi meurtrières dans nos rangs.
A l'évidence, il faut accepter et admettre que quelque chose ne va pas...
C'est à partir de cette prise de conscience que les bonnes questions pourraient être posées. Après quoi, il faudra un diagnostic lucide, et en tirer toutes les conséquences, sans complaisance aucune.
L'entourage de IB doit avoir le courage de lui dire la vérité. Les options et certains choix stratégiques opérés sont inopérants sur la durée et à l'épreuve du terrain. Il faut l'accepter et l'admettre et arrêter de jouer à l'autruche. Et pour cause, il s'agit de l'avenir de tout un peuple, tout un pays. Il faut arrêter l'hémorragie pendant qu'il est temps et revenir à la raison.
A partir des événements des 24 et 25 février dernier, on peut considérer que le compte à rebours s'est véritablement enclenché. Le temps joue clairement contre le régime des capitaines. A eux d'en être conscients et de sauver ce qui peut l'être encore...

Irène Traoré

26/02/2024

a.).Arrivée ce jour d'un nombre important d'hommes armés dans la province du Yagha (région du Sahel). 1 groupe est resté vers sebba et l'autre en direction de Sampelga. Intention: attaquer les positions des FDS et VDP de la zone.

b.).Arrivée ce jour d'un nombre important d'hommes armés dans la zone de Tafgo ( région du Centre-Nord). Intention ignorée.

c.).Présence actuellement de 2 groupes d'hommes armés dans la zone de Seytenga ( Région Sahel),le 1er est à 5km au sud et le 2e à 3km à l'Est de Seytenga. Probable attaque dans la zone.

25/02/2024

Suite à l'attaque par des hommes armés ce jour dans une église à Essakane village,le bilan provisoire est de: 15 personnes fidèles en prières tuées,dont 12 sur place et 3 décédés par suite de blessures au CSPS.

20/02/2024

.Ce soir des individus armés ont abattu 4 personnes ( 3 éleveurs et 1 commerçant) entre seytenga et Banguedaga Gourmatché ( Région Sahel),puis emporté du bétail et prendre la direction de la frontière du Niger

13/02/2024

Attaque hier par des hommes armés dans le village de Yaongo dans le Namentenga ( région Centre-Nord). Bilan provisoire: 4 personnes tuées, dont 1 VDP. 2. Presence depuis un certain temps des hommes armés dans la province de la Komandjari ( région de l'Est ). Intentions: Attaquer la position des FDS et VDP de la zone de Foutouri. 3. Mouvement des hommes armés à Baliata sur l'axe Dori-Gorom, puis sur l'axe Gorgadji et Yakouta tous sur des motos. Leurs cibles: position des FDS et VDP de Gorgadji, Yakouta, et Alkoma (région Sahel).

12/02/2024

Ce jour 11/02/2024 , aux environs de 09 H, le convoi en provenance de DORI- KAYA sur la RN03.Quatre mines explosées sur trois véhicules. Bilan provisoire : t
12 personnes tuées et 01 blessé tous des civils. Une autre mine tuant un militaire ( le démineur) vraiment un chemin périlleux toujours dans la forêt de GORBALÉ.

08/02/2024

Suite à l'attaque par des hommes armés hier du village de KOMADOUGOU situé entre FADA et TANDJARI sur route FADA -YAMBA ( Région EST) ,le bilan provisoire est de: plusieurs domiciles et des boutiques du marché incendié. La population est entrain de rejoindre FADA actuellement.

05/02/2024
05/02/2024
31/01/2024

| Des mercenaires -Syriens
🟥 Après le Burkina Faso🇧🇫, le Niger🇳🇪 serait la prochaine destination prisée par les mercenaires chiites syriens aux côtés de leurs homologues russes de Wagner pour lutter contre les groupes armés terroristes au Sahel, rapporté par la chaîne d'information Saoudienne "AL-HADATH", qui évoque une 1ère vague.
Chaque mercenaire coûtera 1.500 $/mois, avec une indemnisation de 35.000 $ en cas de blessure et une pension de 60.000 $ pour sa famille en cas de décès. Ces tarifs sont les prix d'achat par Wagner, on ignore donc combien ils seront revendus au Niger et au Burkina Faso.
Au total, ils seront 3.500 mercenaires de Wagner pour les 2 pays dont les 300 sous-traitants mercenaires chiites de Syrie.
Ces derniers auraient été déjà déployés au Sahel via Ouagadougou/Burkina, selon toujours l'information de la chaîne saoudienne "Al-Hadath", qui circule sur les réseaux sociaux locaux.

28/01/2024

KARMA COMME KAM !
HERVE KAM DANS LES SERRES DU MPSR 2.

Le renversement de la démocratie par l'insurrection populaire ne cesse d'imposer ses effets maléfiques sur le Burkina. Les valeurs de tolérance et de solidarité qui constituaient le socle culturel de.notre pays, ont été déchiquetées par les contre-valeurs que sont la méchanceté, la haine et le divisionnisme.
Au cœur du leadership de cette transformation négative du Faso, Hervé Kam, ses amis du Balai antidémocratie et consorts, en propriétaires auto-designés du titre Foncier Burkina, se sont minutieusement engagés dans la destruction du vivre-ensemble.
Pensant que le futur est un linéaire prolongement du passé, Maître Kam est rattrapé par les caprices de l'histoire.
Les clairons de ses secouristes agitateurs du chiffon blanc du Droit, ne sont-ils pas informés du décès et des funérailles passés de ce précieux support de la liberté ?
En conduisant notre pays dans l'ensauvagement, ils pensaient pouvoir se réserver un abri de liberté dans la fournaise de l'ANTI-DROIT qui a fait du coup d'Etat l'enfant chéri du conseil constitutionnel.
Conseil à Maître Kam : buvez le calice haineux jusqu'à la lie.

Anatole Tiendrebeogo dit Anat.

15/01/2024
12/01/2024

Soutiens de la transition
Désolation dans les rangs à Bobo
Plus rien ne va entre les soutiens du régime à Bobo.
Tous les jeunes de bonne foi qui croyaient en une révolution authentique ont jeté l’éponge devant le mensonge, la corruption et la perfidie des leaders d’associations et des dirigeants.
Les vielles pratiques politiciennes toujours dénoncées par le peuple continuent et se révèlent pires que sous les politiciens professionnels.
Ceux qui dirigent le pays ne sont ni intègres ni même des gens sérieux. Ce sont de petits jouisseurs et des prédateurs cachés derrières des slogans révolutionnaires. Leurs soutiens ne sont pas meilleurs.
Tous les leaders d’associations qui les soutiennent le font non par conviction mais pour l’argent.
A Bobo, tous ont détourné l’argent destiné aux activités pour payer des voitures ou se marier à une ou plusieurs femmes.
Derrière leurs barbes « amazoniennes » se cachent du haram à la taille du Kilimandjaro.
Sur les images Ismael Antonio Konkolé est leader du mouvement Burkina Nouveau Benkadi. Il est l’ami personnel du petit frère de Ib, Kassoum Traoré. Il a « maga tapé »des millions de l’Association pour se payer une Toyota Yaris et se « taper une kogno musso koura ».
Depuis, il n’y a aucun ben(entente) dans Benkadi. Il est menacé de destitution avec sa longue barbe entretenue par du haram.
Adama William Traoré, un autre leader de la coalition Yèrèma Honrya a fui avec 25.000. 000 donnés par Ib. Il se la coule douce au Ghana actuellement où vit sa mère. Il ne parle plus de vendre des noix de cajou encore.
Sayouba Belem, un ancien commerçant en faillite a trouvé un nouveau souffle dans le wayiyaisme. Chassé de la Coalition Yèrèma Honrya avec le Président et d’autres membres pour détournements, il s’est rapproché de Sinon, un autre truand. Il est aujourd’hui un grand escroc qui vit de trafic d’influence.
Emmanuel Dah et Al- Hassane Konaté sont deux autres proches de Kassoum Traoré. Deux grands truands qui ont détourné tout l’argent destiné à leur association.
Aujourd’hui, les jeunes sont découragés à Bobo
Personne ne veut entendre parler de transition.
Au contraire, ils souhaitent même la fin de cette transition dirigée par des corrompus et soutenus par des voleurs.
Dieu préserve le Burkina.

L'ancien premier ministre brise la glace de manière républicaine !Oui, il fallait pourtant s'y attendre, surtout de la p...
06/01/2024

L'ancien premier ministre brise la glace de manière républicaine !

Oui, il fallait pourtant s'y attendre, surtout de la part d'un homme qui a présidé au destin d'un peuple à travers la fonction ô combien exaltante mais pénible de chef de gouvernement. Son excellence Monsieur Albert ouédraogo, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a profité de la nouvelle année qui vagissait pour lancer un appel au pouvoir en place afin que celui-ci renoue le dialogue avec l'ensemble des forces représentatives de ce pays. En outre, il a également fait des suggestions à l'endroit du pouvoir en direction des opérateurs économiques dont la finalité est de parvenir à un climat apaisé, propitiatoire à la reprise des activités économiques génératrices de plus values pour notre pays. A-t-il commis un crime de lése majesté en opérant cette sortie ? La question mérite d'être posée car dans ce pays qui, apparemment n'appartient pas à tous les burkinabè, il semblerait que pour dire bonjour il faut obtenir une autorisation préalable ! D'ailleurs il ne serait pas étonnant de lire des réactions controversées par rapport à cette sortie, tant le Burkina nouveau fait abstraction des anciens visages que certains tiennent en profonde aversion. Pour un citoyen de sa trempe, garder le mutisme, c'est trahir son statut d'intellectuel ayant occupé une fonction prestigieuse de rang huppé ! C'est mettre sous le boisseau l'expertise d'économiste bon teint qu'on lui reconnait et enfin, c'est le citoyen burkinabè qui s'exprime conformément aux prérogatives constitutionnelles ! Il faut donc saluer ce comportement qui n'a égratigné personne saufs les férus de pouvoir absolu, sourds aux critiques et aux suggestions citoyennes. Il faudrait franchement que le pouvoir en place accepte de profiter des apports bénévoles d'autres milieux qui pourraient contribuer à lui faciliter la tâche car diriger un pays n'est pas exercer une sinécure ! Il faut se désillusionner hic et nunc et faire fi des orages de soutiens aveugles qui ne comprennent rien en matière de gestion du pouvoir. Le pouvoir en place serait bien inspiré de se mettre dans la tête qu'il est là comme une contingence passagère et à ce titre serait comptable des actes bons ou mauvais tôt ou t**d ! Empêcher des burkinabè de s'exprimer dans ce siècle, c'est vraiment mal interpréter l'histoire des peuples et des évolutions. Il faut alors rendre hommage à son Excellence Monsieur le premier ministre Albert ouédraogo pour sa disponibilité à contribuer aux équilibres politico- économiques de son pays. En général, sous nos tropiques, lorsqu'un ancien dignitaire s'exprime, le pouvoir en place ou ses relais s'empresse de tronquer sa pensée et d'y voir des manœuvres souterraines de déstabilisation ! C'est malheureux en Afrique qu'il en soit ainsi malgré nos gesticulations et nos hargnes vis à vis des blancs que nous vouons aux gémonies. Observons nous d'abord dans la glace. Bref, félicitations à l'ancien premier ministre Albert Ouédraogo pour cette sortie !

Bernard Tiga Sawadogo

29/12/2023

Lutte contre le terrorisme au Burkina Faso : IB a atteint ses limites objectives

Il faut se le dire tout net, cette fin d'année est tout sauf un long fleuve tranquille pour les capitaines au pouvoir dans notre pays.
Jamais, notre pays n'a été autant endeuillé en l'espace de 3 mois, du fait des attaques terroristes. D'aucuns parlent de plus de 300 morts dans ce court laps de temps. Après le double carnage de Djibo, il y a eu les attaques de Sollé et Boungou dont l'une d'elle, celle de Boungou en l'occurrence, a emporté un capitaine. Le commandant du 12e BIR, Dramane Konaté. On estime les pertes suite à cette attaque, à une soixantaine de FDS et VDP. Cette hécatombe a suscité l'émoi et le courroux de leurs frères d'armes. A juste titre, car ils estiment que leurs camarades ont été simplement envoyés à l'abattoir. Plus d'une année après l'avènement du MPSR 2, c'est clairement inacceptable. Cela aurait mérité à minima la démission du ministre de la défense, celle du Premier ministre, voire la démission du Président lui-même. Car, c'est la preuve patente de l'échec de sa stratégie sur toute la ligne. En rappel, Damiba a démissionné avec honneur et dignité suite à une attaque ayant occasionné 27 victimes.
Toujours est-il que la grogne au sein de la troupe est si grande que le dernier Conseil des ministres a été reporté sine die.
Dans le foulée de ce report, on a assisté au spectacle pittoresque et pitoyable que nous livrent les soutiens du régime sur les réseaux sociaux, à travers des appels à soutenir et à défendre la transition.
Honnêtement, la population est vraiment lasse de cette instabilité chronique dans la gestion du pays. Comment réussir quand le Président est l'objet de coup d'Etat chaque mois et parfois, plusieurs fois dans le même mois? C'est véritablement intenable. Il faut y mettre un terme, d'une manière ou d'une autre. Car, la première condition pour vaincre le terrorisme, c'est l'union sacrée autour des autorités. Toutefois, cette union sacrée ne saurait être atteinte dans la division, la haine, l'apologie d'une vision sectaire...
IB a atteint ses limites objectives. Il est grand temps qu'il tire les enseignements et qu'il prenne la courageuse décision, soit de réunir les Burkinabè, soit de rendre le tablier. Ce sera la meilleure décision pour lui et ses proches...

ABOUBAKAR OUATTARA

Exécutions sommaires de populations civiles au Burkina : le gouvernement doit changer de fusil d'épaule, pendant qu'il e...
19/12/2023

Exécutions sommaires de populations civiles au Burkina : le gouvernement doit changer de fusil d'épaule, pendant qu'il est encore temps

Le porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, fraîchement bombardé ministre d'Etat, s'est fendu d'un communiqué officiel ce lundi 18 décembre 2023, en réaction à la polémique et à la consternation de l'opinion, suite à la diffusion de vidéos, d'images et d'écrits sur les exactions atroces sur des civils, attribuées aux FDS et aux VDP...
Certainement dans l'optique de démontrer qu'il mérite d'être promu au rang de ministre d'Etat, Jean Emmanuel Ouédraogo a tenu à réagir face à l'ignominie des actes posés dans les environs de la ville de Djibo. Le porte-parole du gouvernement affirme que les images et vidéos seraient le fruit d'un montage, dans le but de ternir l'image de nos FDS et des VDP.
Sauf que dans la même déclaration, il affirme que les exactions ont été commises par les terroristes contre les populations civiles, en vue de faire porter la responsabilité des crimes odieux aux forces de défense burkinabè. On note clairement une contradiction flagrante entre les deux thèses avancées par le ministre Ouédraogo. En effet, on ne saurait parler de montage pour ce qui est des images, et dire ensuite qu'il s'agit d'exactions commises par les terroristes. Il y a une incohérence patente.
Par ailleurs, en plus des vidéos qui ressemblent à tout sauf des montages, de nombreux témoignages, écrits, audios de proches des familles des victimes et surtout de survivants du massacre, viennent battre en brèche la théorie, ou la pilule du montage, que le gouvernement veut faire avaler à l'opinion.
Les communicateurs du gouvernement devraient savoir qu'avec les technologies de l'information, il est relativement facile de démontrer qu'une vidéo ou une image est un fake. Ce fut d'ailleurs le cas pour certains montages grossiers de la RTB, dont les fins limiers n'ont pas eu à démontrer les failles. Il s'agit bien entendu de certaines opérations aériennes menées par des drones contre les terroristes...
Or, dans le cas présent, au regard de la quantité des images, du caractère récent des vidéos et des témoignages qui corroborent les faits, il est difficile de remettre en cause la véracité du massacre...
Rien, absolument rien, ne peut justifier l'exécution sommaire et collective de femmes, de vieillards et surtout d'enfants innocents. Les images sont véritablement insoutenables. Ça donne froid dans le dos. On ne peut en aucun cas accepter que cela se passe au Burkina Faso, le pays des hommes intègres. Jadis un havre de paix. Un pays où il faisait bon vivre et dont la destination était très prisée...
Si la reconquête de l'intégrité du territoire national passe par de telles pratiques, il y a lieu de se poser des questions ? Car si ce type de pratique est attribuée à tord ou à raison à nos vaillants FDS et VDP, il y a de fortes chances que cela contribue à agrandir le fossé entre les populations et les forces patriotiques...
Par conséquent, il faut rectifier le tir et changer de fusil d'épaule pendant qu'il est encore temps. Car, comme le dit l'adage populaire, il n'est jamais trop t**d pour bien faire...

Irène Traoré.
Une mère de famille soucieuse du respect des droits des femmes et des enfants, y compris en temps de guerre.

Insécurité au Burkina Faso : ces exactions inhumaines qui inquiètent. Le week-end des 16 et 17 décembre 2023 a été marqu...
18/12/2023

Insécurité au Burkina Faso : ces exactions inhumaines qui inquiètent.

Le week-end des 16 et 17 décembre 2023 a été marqué par une série d'attaques terroristes dans de nombreuses localités du Burkina Faso.
Ces attaques de moindre envergure viennent après l'attaque meurtrière qui a endeuillée la ville de Djibo, il y a quelques semaines de cela...
Des escarmouches ont été signalées dans l'Ouest, la Boucle du Mouhoun, le Nord, le Centre Nord et l'Est notamment. Elles ont occasionné moins de victimes que l'attaque de Djibo, ce qui explique en partie le fait qu'elles passent inaperçues. Il faut ajouter à cela l'omerta qui est imposé aux médias par le régime des capitaines.
Le paradoxe est qu'il y a peu, le Premier ministre et son gouvernement ont porté à la connaissance du peuple, l'arrivée de matériel de dernière génération qui mettait désormais notre pays à l'abri des attaques des terroristes. Cette assertion du Premier ministre était basée sur la certitude selon laquelle les nouvelles acquisitions de l'armée étaient à même de nous permettre d'avoir un contrôle et une surveillance de notre territoire, 24h/24.
Selon toute vraisemblance, et au regard des réalités sur le terrain, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Soit le gouvernement nous ment, soit les terroristes sont plus rusés que nous. Sinon, comment expliquer la recrudescence des attaques ces dernières semaines, malgré le matériel dont nous disposons actuellement ?
C'est certainement face à la frustration engendrée par les attaques terroristes que certaines exactions sont dénoncées ces derniers temps. En effet, de nombreux témoignages font état d'exécutions sommaires commises par des hommes en tenues militaires. Les images et vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux sont insoutenables. Vieux, jeunes, femmes, sont froidement exécutés, parfois d'une b***e dans le dos ou dans la tête. Le plus choquant, ce sont les images de deux bébés au dos de leurs mères, froidement exécutées. C'est vraiment triste et inhumain. D'aucuns pointent un doigt accusateur sur certains FDS qui seraient à l'origine de ces exécutions sommaires qui ressemblent à des expéditions punitives et ce, en violation du droit de la guerre. Car, il est vrai que même la guerre est régie par des lois. Le gouvernement doit travailler à mettre la lumière sur ces accusations qui ne font que ternir son image. Or, ce genre de pratiques finit toujours par rattraper les auteurs. Tôt ou t**d...

Aboubakar Ouattara

Address


Telephone

+22679943379

Website

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Faso-Infos posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Shortcuts

  • Address
  • Telephone
  • Alerts
  • Claim ownership or report listing
  • Want your business to be the top-listed Media Company?

Share