Burkina 226

Burkina 226 Diffusions et investigations des informations du Burkina et environnants

Elections au Burkina : « nous les suspendons jusqu’à ce que nous soyons prêts », premier ministre Apollinaire KyélemLe P...
08/03/2024

Elections au Burkina : « nous les suspendons jusqu’à ce que nous soyons prêts », premier ministre Apollinaire Kyélem

Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, a présidé ce jeudi 07 mars 2024 la première rencontre entre le Gouvernement et les Partenaires Techniques Financiers (PTF). Au cours de cette rencontre, le chef du gouvernement a été on ne peut plus claire avec les PTF sur la question des élections au Burkina Faso. Il n’y aura pas d’élections tant que les objectifs de la transition ne soient atteints. C’est pourquoi, les partenaires internationaux doivent s’adapter à la situation du pays et ne pas s’ingérer dans les affaires intérieures du Burkina.

« Vous connaissez déjà nos priorités. C’est la sécurité, la refondation de l’Etat et le développement.

Maintenant, si les élections peuvent nous aider à avoir la sécurité, nous allons les organiser le plus tôt possible.

Si les élections peuvent nous aider à refonder notre Etat, nous le feront le plus tôt possible.

Si les élections peuvent amener le développement, nous le feront aussi tôt que possible.

Mais nous ne feront plus d’élections pour faire des élections. Il faut qu’il y ait un objectif parce que nous sommes fatigués de tourner en rond.

Il faut que nous sortions notre pays de cette endurance de pauvreté dans lequel nous sommes depuis longtemps. Et il faut être claire.

Si les élections étaient un moyen de développement, nous serions déjà développés. Donc la question doit être posée ! On n’organise pas des élections pour organiser des élections ! On organise des élections pour atteindre un objectif. Et c’est quand on est un politicien sans objectif qu’on organise des élections pour des élections.

Nous, nous ne sommes pas des politiciens. Nous sommes des hommes de missions. Nous sommes venus pour une mission : sécuriser notre territoire, refonder l’Etat, développer notre pays.

Si les élections peuvent aider à atteindre ces objectifs, nous allons le faire. Mais si elles ne peuvent pas aider à les atteindre, nous les suspendons jusqu’à ce que nous soyons prêts.

Le Burkina Faso ne s’est jamais ingéré dans les affaires d’un pays. Nous n’avons jamais dit aux Américains, aux Français, quand est-ce qu’ils doivent organiser leurs élections. Donc ce n’est pas à eux de venir nous dire quand est-ce qu’on doit organiser nos élections !

Nous pensons que les partenaires internationaux devraient s’adapter à notre situation et en tenir compte dans leurs relations avec nous.

Notre chef d’Etat a toujours dit que nous menons une politique de souveraineté et c’est dans ce cadre que nous devons nous tracer une route de notre propre émancipation. Ce n’est pas en imitant les autres.

Ce n’est pas parce qu’on fait ça chez X que nous devons aussi le faire même si ça ne nous convient pas, non !

La politique du mimétisme, nous voulons nous en départir et chercher un chemin qui va nous conduire vers notre émancipation. »

A déclaré le premier ministre Apollinaire Kyélem de Tambèla face aux partenaires techniques et financiers (PTF), selon une vidéo diffusée par la primature du Faso

Radarsburkina.net

07/03/2024

Burkina Faso

Le Chef de l’Etat rend visite aux femmes de la brigade verte

Diapaga/Crash : Les deux rescapés témoignent Diapaga, 7 mars 2024(AIB)- Nicolas Thiombiano et sa nièce Essita Yonli sont...
07/03/2024

Diapaga/Crash : Les deux rescapés témoignent

Diapaga, 7 mars 2024(AIB)- Nicolas Thiombiano et sa nièce Essita Yonli sont les miraculeux rescapés du crash d’aéronef qui a couté la vie hier mercredi à cinq personnes à Diapaga (Est). Ce jeudi devant la délégation gouvernementale venue les réconforter, ils sont revenus sur le drame.

« J’étais au milieu d’un collègue et d’une dame qui partait à l’enterrement de son mari aujourd’hui (jeudi). Nous étions derrière le pilote. Le feu est venu du côté pilote..
Agence d'information du Burkina
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Reconquête du territoire : les autorités administratives de la région du Centre-Est réaffirment leur engagement à souten...
07/03/2024

Reconquête du territoire : les autorités administratives de la région du Centre-Est réaffirment leur engagement à soutenir les actions de la Transition

(Tenkodogo, 7 mars 2024). En séjour dans la région du Centre- Est, le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a accordé une audience, ce jeudi, aux autorités administratives de ladite région.

L'intégralité sur ce lien :
https://www.presidencedufaso.bf/reconquete-du-territoire-les-autorites-administratives-de-la-region-du-centre-est-reaffirment-leur-engagement-a-soutenir-les-actions-de-la-transition/

🛑Burkina : L’ex-président Isaac Zida pleure son pèreOuagadougou, 07 mars 2024Selon l'Agence d'Information du Burkina (AI...
07/03/2024

🛑Burkina : L’ex-président Isaac Zida pleure son père

Ouagadougou, 07 mars 2024

Selon l'Agence d'Information du Burkina (AIB) qui donne l'information sur sa page Facebook, « l'ex-Président et Premier ministre Burkinabè, Yacouba Isaac Zida a perdu hier mercredi son père, El Hadj Nongma Salam Zida »

« Repose-toi en paix cher papa. Tu nous as donné des valeurs et montré la voix. Nous te sommes éternellement reconnaissants ! », a écrit Yacouba Isaac Zida, ce jeudi matin sur sa page Facebook.

Mercredi, M. Zida avait changé la photo de couverture de sa page Facebook par une page noire, symbole de deuil.

Selon le site d’information actualite.bf, El Hadj Nongma Salam Zida décédé le 6 mars à Ouagadougou, sera inhumé ce jeudi à Gomponsom dans la province du Passoré (Nord).

En rappel, le général Yacouba Isaac Zida, alors lieutenant-colonel, avait pris le pouvoir en novembre 2014, après l’insurrection populaire qui a mis fin au 27 ans de gestion du président Blaise Compaoré.

Il a cédé le pouvoir quelques semaines plus t**d au président désigné Michel Kafando qui l’a aussitôt nommé Premier ministre de la Transition.

Après l’élection du président Roch Marc Christian Kaboré en novembre 2015, Yacouba Issac Zida s’est exilé au Canada pour cause d’ennuis judiciaires, entre autres.

Source : Agence d’Information du Burkina

Burkina Faso, suspension de la gratuité des soins dans les formations sanitaires non conventionnelles offrant la gratuit...
07/03/2024

Burkina Faso, suspension de la gratuité des soins dans les formations sanitaires non conventionnelles offrant la gratuité des soins.

06/03/2024

Macky Sall fini par sortir par la petite porte en voulant coûte que coûte rester au pouvoir jusqu'en 2025.

Le Conseil Constitutionnel convoque les élections présidentielles du Sénégal pour le 24 Mars 2024 et decide de ce fait que le mandat de Macky Sall prend fin le 2 Avril donc dans 26 jours.

Il fêtera la Ramadan en tant qu'ancien Président.
On termine toujours par un déshonneur quand on ne prend jamais leçon du passé des autres présidents africains qui ont mal fini en voulant jouer à ce jeu de tripatouillage.

06/03/2024

Que pensez vous des juges du Conseil Constitutionnel du Sénégal après avoir tenu tête au Président Macky Sall ?

Sénégal : L'élection Présidentielle aura lieu le 24 Mars 2024, logiquement le 02 Avril prochain ce sera la fin du mandat...
06/03/2024

Sénégal : L'élection Présidentielle aura lieu le 24 Mars 2024, logiquement le 02 Avril prochain ce sera la fin du mandat du Président Macky Sall...

La date est enfin connue. Après la décision du Conseil constitutionnel demandant la tenue de la présidentielle avant la fin du mandat de Macky Sall le 2 avril, le premier tour aura lieu le 24 mars, a annoncé le porte-parole de la présidence sénégalaise.

"Le président de la République a informé le Conseil des ministres de la fixation de la date de l'élection présidentielle au dimanche 24 mars 2024", dit un communiqué transmis par un porte-parole de la présidence.

La liste des candidats pas révisée
Cette annonce fait suite à la publication d'une décision du Conseil constitutionnel qui a jugé que la présidentielle devait avoir lieu avant le 2 avril, rejetant la date proposée du 2 juin.

Vivement le meilleur pour le peuple Sénégalais.

Ensemble nous pouvons faire bouger les lignes.

Ismaël OUEDRAOGO Officiel.

🛑Nouveau foyer de grippe aviaire apparu le 1er mars 2024 à Ouagadougou (Communiqué)Le ministre de l'Agriculture, des res...
06/03/2024

🛑Nouveau foyer de grippe aviaire apparu le 1er mars 2024 à Ouagadougou (Communiqué)

Le ministre de l'Agriculture, des ressources animales et halieutiques invite les acteurs de la filière avicole et l'ensemble de la population à signaler tout cas de mortalité massive d'oiseaux domestiques et sauvages aux services compétents.

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Lire l'intégralité du communiqué👇👇👇

Une réflexion du Pr Augustin Loada depuis 1999.«Pour asseoir sa domination politique, le régime Compaoré s’est attelé à ...
06/03/2024

Une réflexion du Pr Augustin Loada depuis 1999.

«Pour asseoir sa domination politique, le régime Compaoré s’est attelé à démanteler l’opposition partisane et à neutraliser la société civile. Mais cette stratégie s’est heurtée à la résistance d’un certain nombre d’organisations et de leaders de la société civile, qui tiennent à affirmer leur indépendance vis-à-vis du pouvoir.

Ainsi, le MBDHP, la CGT-B, L’Indépendant, l’ANEB, notamment, sont demeurés des espaces autonomes dans un environnement associatif corrodé par la logique clientéliste du pouvoir. (...)

Certes, la société civile en tant que contre-pouvoir ne doit pas nécessairement « être contre » le pouvoir, mais ce distinguo est difficile à maintenir lorsqu’elle agit dans un environnement structurellement autoritaire. (...)

« Nous sommes un syndicat révolutionnaire de lutte de classes. Cela veut dire que nous inscrivons notre lutte dans le cadre général de l’avènement d’une révolution au Burkina-Faso. C’est la solution pour nous, pour libérer ce pays et l’engager sur la voie du progrès social véritable. » (...)

Le noyau dirigeant de la société civile burkinabè est cimenté par une même vision du monde, qui sous-tend son action et dont les principes généraux et les valeurs mêlent de façon contradictoire visions libérale et révolutionnaire, voire marxiste.

Sur le plan des valeurs libérales, le MBDHP, la CGTB, L’Indépendant et leurs alliés, en tant que contre-pouvoirs, ont puissamment contribué à arracher des « acquis démocratiques » et à promouvoir les droits de l’homme au Burkina-Faso. De ce point de vue, leur engagement en faveur de la démocratie libérale ne peut être mis en doute.

Mais, de là à penser qu’ils peuvent constituer un quelconque soutien aux réformes libérales mises en œuvre par le gouvernement sous l’égide des institutions de Bretton-Woods, il y a un pas qui ne saurait être franchi au regard de l’étatisme qui imprègne également les référentiels de la société civile. En effet, le Collectif considère les Programmes d’ajustement structurel (PAS) comme la principale source des « crimes économiques » qui se sont produits au Burkina, et comme un « fléau destructeur».

Une telle vision constitue un paradoxe, dans la mesure où le concept de société civile est lui aussi sous-tendu par une vision néolibérale. Comme le note Lawson, les éléments les plus dynamiques de la société civile considèrent que l’État est au centre de conflits d’intérêts économiques.

Au Burkina aussi, leurs prises de position s’élèvent contre le désengagement de l’État qui repose sur une vision libérale d’un État minimum préconisé par la Banque mondiale. La suppression des PAS et de la réforme de l’administration publique figure de façon récurrente dans le cahier de revendications de la CGTB. Lorsque l’on sait que cette centrale syndicale prône un syndicalisme révolutionnaire, anti-impérialiste et anticapitaliste, on n’est guère surpris par ses prises de position antilibérale. Il en va de même de l’ANEB, qui considère les PAS comme une source de chômage et de misère, dans la mesure où ils ont entraîné un contingentement drastique des recrutements dans la fonction publique et des allocations.

Extrait d'une réflexion de LOADA Augustin, Réflexions sur la société civile en Afrique : Le Burkina de l'après-Zongo., in Politique africaine, 1999/4 N° 76, PP136-151

Collectif Syndical CGT-B

Retour de l’AES à la CEDEAO ? : « On ne peut pas se passer de la CEDEAO, tôt ou t**d on reviendra », Mélégué TRAOREDans ...
06/03/2024

Retour de l’AES à la CEDEAO ? : « On ne peut pas se passer de la CEDEAO, tôt ou t**d on reviendra », Mélégué TRAORE

Dans une interview accordée à Radars Info Burkina, le diplomate, Docteur en sciences politiques, ancien président de l’Assemblée Nationale du Burkina, donne son avis sur certaines décisions du sommet extraordinaire des chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Radars Info Burkina : La CEDEAO veut échanger avec l'Union africaine, l'UEMOA, l'ONU et d'autres organisations Internationales ainsi qu'avec les partenaires bilatéraux sur le retrait du Burkina, du Mali et du Niger en vue de convaincre ces trois États à rester dans la Communauté. Ces trois pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel vont-ils accepter de revenir sur leur décision comme le souhaite la CEDEAO ?

Mélégué TRAORE : Les décisions de cette nature, ne sont pas prises une fois pour toutes. On ne peut pas se passer de la CEDEAO. À mon avis tôt ou t**d, on reviendra à la CEDEAO.
Je vois mal comment nous qui sommes au cœur de l'Afrique de l'ouest, pouvons être coupés du reste de la sous-région, sans compter que la CEDEAO a été créée en grande partie pour aider les pays sahéliens.

Les pays côtiers ont beaucoup de possibilités, avec des ports, des richesses, ils n'ont pas de problème de pluviométrie. La ville d'Abuja est plus riche que tout le Burkina et même toute l’AES.

Les sahéliens ont beaucoup lutté pour la création de la CEDEAO. Tout le monde s'organise par région et c'est nous seuls qui allons-nous fractionner, ça sert à quoi ?

Sans la CEDEAO, personne ne nous écoute à l'ONU. Lorsque nous avons un problème au niveau des Nations Unies, c'est par la CEDEAO qu'on passe pour se faire entendre.

En Afrique de l'ouest l'ONU n'écoute que le Ghana, le Nigéria, le Sénégal et la Côte d'Ivoire.

L'institution a été un grand progrès dans le processus de l'intégration de l'Afrique et de l’unité africaine. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut tout accepter. En relation internationale, il faut toujours jouer intelligemment et habilement.
C’est dans ces conditions que je dis qu’on pourrait très bien revenir dans la CEDEAO.

D’ailleurs, ce qui fait qu’un gouvernement peut décider de quitter la CEDEAO tout à fait souverainement, un autre gouvernement qui veut, peut décider tout aussi souverainement de retourner à la CEDEAO. (…)

Quant à ceux qui disent que ce retrait est définitif, c'est une décision de non-retour, quelqu'un qui dit ça n'a jamais touché aux affaires, il ne sait même pas comment le gouvernement fonctionne.

Il n'y a pas de non-retour pour un État, surtout en diplomatie, en politique étrangère, tout est toujours possible. La décision qu'on prend aujourd'hui, demain on peut très bien revenir là-dessus et trouver les arguments pour expliquer.

Ce qu’il faut trouver actuellement avec la CEDEAO, ce sont des mécanismes de coopération parce qu’on aurait pu très bien créer l’AES, la faire vivre de façon dynamique sans avoir besoin de quitter la CEDEAO. (...)

L’intégralité de l’interview est à lire sur Radarsburkina.net

Flora SANOU

Radarsburkina.net

Bobo-Dioulasso : Saisie de pagnes frauduleux du 8-mars 2024 et de boissons frelatéesLa coordination nationale de lutte c...
06/03/2024

Bobo-Dioulasso : Saisie de pagnes frauduleux du 8-mars 2024 et de boissons frelatées

La coordination nationale de lutte contre la fraude était face à la presse ce mercredi 6 mars 2024 à Bobo-Dioulasso. Cette rencontre avec les professionnels de médias a permis à la coordination de présenter le fruit de ses opérations sur le terrain. Il s’agit de la saisie de 6456 pièces de pagnes du 8-mars 2024 importées frauduleusement ainsi que de la découverte d’une unité clandestine de fabrication de boissons frelatées.

La valeur des 6 456 pièces de pagnes du 8-mars 2024 est estimée à plus de 48 millions de FCFA. Pour ce qui concerne les 500 bouteilles de liqueurs frelatées saisies au sein de l’unité clandestine, elle est estimée à un peu plus d’un million de FCFA. Selon le coordonnateur national de la lutte contre la fraude, Dr Yves Kafando, ces deux cas de fraudes sont des pratiques qui tendent à saper les efforts consentis au quotidien par les Burkinabè et les autorités pour le développement du pays.

Cette conférence de presse se tient moins d’un mois après celle tenue le 15 février dernier sur les pratiques frauduleuses sur le riz produit localement. Elle a permis à la coordination de faire le point de ses opérations menées sur le terrain ces derniers jours. Des opérations qui ont été rendues possibles grâce à la collaboration des populations.

Lefaso.net

PREMIÈRE LEGION DE GENDARMERIE : les acteurs de la chaine de commandement renforcent leurs capacitésDans le cadre de ses...
06/03/2024

PREMIÈRE LEGION DE GENDARMERIE : les acteurs de la chaine de commandement renforcent leurs capacités

Dans le cadre de ses activités, la première légion de Gendarmerie a organisé du 21 au 23 février 2024 à Kaya, un séminaire au profit des Chefs de Corps, commandants d'unités et sous unités de ladite légion.
Durant trois (03) jours, ces acteurs ont bénéficié de plusieurs communications sur des thématiques variées : la conduite des enquêtes en lien avec le terrorisme, les droits humains et la lutte contre le terrorisme, le concept des VDP et sa mise en œuvre sur le terrain, la communication en temps de crise, le leadership et le développement personnel, etc. Les communications ont en outre porté sur une meilleure connaissance de la politique de sécurité nationale, la stratégie de lutte contre le terrorisme, etc.

Présidé par le Lieutenant-colonel TAGO K.F. Théophile, commandant de la Première Légion de Gendarmerie, ce séminaire a permis aux participants d'être au même niveau d'information pour une meilleure exécution des directives du commandement. Toute chose qu'ils ont apprécié favorablement et souhaité que cette initiative soit pérenne.

Gendarmerie Nationale du Burkina

Nouveau Peage à la sortie Est de Ouagadougou : L'ouvrage devrait être operationnel dans 2 mois ....Le nouveau péage mode...
06/03/2024

Nouveau Peage à la sortie Est de Ouagadougou : L'ouvrage devrait être operationnel dans 2 mois ....

Le nouveau péage moderne va « permettre d’améliorer les recettes, de faciliter le passage des véhicules et également aride dans la surveillance (du territoire) », a indiqué Adama Luc Sorgho, Ministre des Infrastructures du Burkina (AIB).

Selon M. Sorgho, le péage moderne est équipé de caméras qui permettent de scanner les immatriculations des véhicules et aussi l’identité des usagers.

Selon le ministre, il était prévu que le péage soit réceptionné au mois de décembre dernier. Mais, il y a eu des problèmes techniques notamment au niveau de l’automatisation.

Il fondé l’espoir que d’ici à deux mois, tous les travaux soient terminés et l’ouvrage mis en service pour le grand bonheur des usagers.

Vivement le retour de la paix et de la stabilité au Burkina Faso.

Ensemble nous pouvons faire bouger les lignes.

Ismaël OUEDRAOGO Officiel.

« Les richesses et les ressources naturelles appartiennent au peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses co...
06/03/2024

« Les richesses et les ressources naturelles appartiennent au peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie ». Article 14 de la Constitution du 2 juin 1991 du
Burkina Faso

C'est pourquoi dans sa plateforme revendicative du 1er mai 2023 et transmise au PM Appolinaire KYELEM de Tambèla, l'UAS demande au point 53, le " Relèvement de la participation de l'Etat dans le capital des sociétés minières à 51% " au lieu des maigres 10% qu'il perçoit actuellement.

Collectif Syndical CGT-B

Le Président de la Transition, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE préside, ce mercredi 6 mars 2024, l'hebdomada...
06/03/2024

Le Président de la Transition, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE préside, ce mercredi 6 mars 2024, l'hebdomadaire Conseil des ministres.

Des dossiers inscrits à son ordre du jour seront examinés et des décisions importantes prises pour la bonne marche de la Transition.

Présidence du Faso

🔴 Capitaine Ibrahim Traoré : « Nous attendons cette force en attente » de la CEDEAO « Nous étions surpris de voir la CED...
18/02/2024

🔴 Capitaine Ibrahim Traoré : « Nous attendons cette force en attente » de la CEDEAO

« Nous étions surpris de voir la CEDEAO apparaître, je ne sais d’où avec une force en attente. Où était cette force lorsque les milliers et de milliers de Nigériens étaient tués par des terroristes ? Où était cette force, lorsque les milliers de Burkinabè et de Maliens mourraient sous les balles des terroristes (…) ?

L’armée nigérienne est guerrière et combat depuis des années. Ce n’est pas une armée de défilé ou une armée de maintien de paix. Et les armées de l’AES ont décidé de s’unir. Nous attendons cette force en attente »
Source: Burkina 24

Le gouvernement burkinabè a émis un communiqué officiel ce lundi 18 décembre 2023, appelant la population à ne pas prête...
18/12/2023

Le gouvernement burkinabè a émis un communiqué officiel ce lundi 18 décembre 2023, appelant la population à ne pas prêter foi aux vidéos circulant sur les réseaux sociaux prétendant montrer des massacres perpétrés par les forces burkinabè à Djibo. Ces images, qualifiées de montages perfides, visent à discréditer les Forces de défense et de sécurité (FDS) ainsi que les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP).

Selon le gouvernement, ces allégations font partie d’une campagne de communication orchestrée par des groupes terroristes pour ternir la réputation des FDS et des VDP. Les opérations militaires à Djibo, loin des accusations, auraient abouti à la libération de populations opprimées sous le joug des terroristes.

Le communiqué souligne le professionnalisme des forces burkinabè, affirmant qu’elles agissent dans le respect des droits de l’homme, en particulier le droit à la vie. Il qualifie la tentative de discrédit des forces burkinabè de « chant du cygne » des groupes terroristes, traqués depuis huit ans pour leurs massacres indiscriminés contre des civils.

La déclaration rappelle que la guerre menée est également une lutte pour la souveraineté du peuple burkinabè. Face aux échecs sur le terrain militaire, les terroristes intensifieraient la guerre de communication pour déformer la réalité et dépeindre négativement les combattants burkinabè.

Le gouvernement exhorte la population à rester vigilante et à renforcer le lien armée-nation pour garantir la victoire dans cette guerre pour l’indépendance totale et la souveraineté. Malgré les manœuvres désespérées de l’ennemi, le gouvernement reste confiant dans le triomphe ultime du peuple burkinabè.

15/12/2023

🔴 Les Forces combattantes récupérent toutes les localités au Nord de

Grâce à l'opération "Tchefari-Lii", trois bataillons d’intervention rapide, les unités Guépard et phantom, et un commando des Forces spéciales de l’armée de terre, avec l'appui des vecteurs aériens, ont conquis après d'âpres combats, Baraboulé et toutes les autres localités au Nord de Djibo jusqu'à la frontière malienne.

Plusieurs centaines de terroristes ont été neutralisés, des véhicules dérobés à l’armée et des citernes de carburant dérobées aux civils ont été saisis par les BIR et d’autres détruits dans les combats. Les Forces combattantes ont récupéré une quantité importante de matériel de guerre et du bétail.

👉🏿 https://burkina24.com/2023/12/14/burkina-faso-les-forces-combattantes-recuperent-plusieurs-localites-au-nord-de-djibo/.

👉🏿L’édition spéciale de la RTB : https://fb.watch/oXbs9uYIRa/.

DÉMISSION DU MPPLe paysage politique burkinabè est encore secoué ce vendredi 8 décembre 2023, par la démission retentiss...
08/12/2023

DÉMISSION DU MPP

Le paysage politique burkinabè est encore secoué ce vendredi 8 décembre 2023, par la démission retentissante du camarade Stanislas Ouaro.

Cette décision, rendue publique dans une lettre adressée au parti, expose un parcours politique marqué par des hauts et des bas, mais également par des épisodes de manipulations, de mensonges, de calomnies, de trahison, et d’abandon.

Dans sa lettre de démission, Stanislas Ouaro évoque son expérience au sein du MPP, soulignant qu’il a beaucoup appris et grandi en politique. Cependant, il déplore avoir été victime de manœuvres sournoises, en particulier avant et après le coup d’État du 24 janvier 2022. Il affirme avoir résisté à ces pressions, convaincu de son engagement et de la promotion des valeurs du parti.

La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, selon l’ancien Premier Vice-Président, est son interpellation le lundi 04 décembre 2023 alors qu’il assurait la permanence au siège national du parti. Il soupçonne des « mains invisibles » au sein du MPP, ajoutant ainsi une couche de mystère à sa décision de quitter le parti et toutes ses instances.

Stanislas OUARO tient à exprimer sa gratitude envers le Président Roch Marc Christian KABORE et le Président d’honneur du MPP, Monsieur Simon COMPAORE, pour leur soutien constant, leur accompagnement, et leur considération tout au long de son parcours politique. Il remercie également chaleureusement tous ceux avec qui il a eu une bonne collaboration et des relations d’amitié sincères au sein du MPP.

La démission de Stanislas OUARO laisse planer des questions sur les enjeux internes au MPP et les éventuels remaniements qui pourraient en découler. La réaction du parti, notamment du Premier Vice-Président intérimaire, reste attendue dans les prochains jours.

La politique burkinabè, déjà soumise à des tensions, s’apprête à vivre une nouvelle séquence avec le départ d’une figure significative du MPP.
https://www.echomagazinebf.com/burkina-politque-stanislas-ouaro-annonce-sa-demission-du-mpp-citant-manipulations-et-trahisons/

Patronat burkinabè : le Chef de l’Etat invite la nouvelle équipe à une synergie d’actions avec le gouvernement pour une ...
07/12/2023

Patronat burkinabè : le Chef de l’Etat invite la nouvelle équipe à une synergie d’actions avec le gouvernement pour une économie prospère

(Ouagadougou, 7 décembre 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a présidé ce jeudi matin, la cérémonie officielle d’installation du Président du Conseil national du patronat burkinabè et des instances dirigeantes de la structure. Une occasion pour le Chef de l’Etat d’inviter la nouvelle équipe à une étroite collaboration avec le gouvernement pour plus d’opportunités de création d’emplois et de richesses.

« Nous souhaitons qu’il y ait des propositions allant dans le sens d’un accompagnement du secteur des finances pour la création de nouvelles entreprises en vue de renforcer notre économie », a déclaré le Président de la Transition à l’entame de son propos. Tout en remerciant le secteur privé burkinabè pour sa résilience face à la situation sécuritaire peu favorable aux affaires, le Capitaine Ibrahim TRAORE a partagé sa vision pour une économie forte et durable, qui passe nécessairement par des investissements au niveau national.

« J’invite le patronat à inscrire dans son plan stratégique notre vision de développement endogène basée sur l’intensification de la production. Nous souhaitons qu’à partir de janvier, nous trouvions les stratégies nécessaires pour réduire le volume des importations. Nous souhaitons que les importateurs soient désormais des producteurs et qu’ils puissent contribuer à la production et à la transformation sur place. C’est dans ce sens qu’on pourra aussi créer beaucoup d'emplois et de richesses », a-t-il expliqué.
Le président du Patronat Idrissa NASSA a lui, rassuré le Chef de l’Etat du soutien et de l’engagement, du patronat burkinabè en particulier et de la communauté des affaires en général, dans le combat pour la reconquête intégrale de notre territoire national. « Nous partageons votre vision que le Burkina Faso soit un pays de paix et un eldorado économique », a ajouté Idrissa NASSA.

Il a également pris l’engagement de façonner avec tous les membres un nouveau visage du patronat burkinabè dont la vision est la défense des intérêts matériels, moraux et professionnels des leurs. Le nouveau bureau entend contribuer, sous le leadership des autorités nationales et régionales et en étroite collaboration avec les organisations patronales sœurs, à l’approfondissement de l’intégration sous-régionale pour une meilleure consolidation des performances économiques des pays de la sous-région.

Séance tenante, le patronat a remis un chèque de 100 millions de francs CFA pour les veuves et les orphelins des forces combattantes tombées sur le champ de la bataille et un autre chèque du même montant pour le fonds de soutien patriotique.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Les nouvelles des réquisitionnés fuyardsAux dernières nouvelles, certains réquisitionnés ont été retrouvés et seront con...
01/12/2023

Les nouvelles des réquisitionnés fuyards

Aux dernières nouvelles, certains réquisitionnés ont été retrouvés et seront conduits au front.

Ces réquisitionnés fuyards qui, malgré la décision de justice, refusent d'aller au front ont commencé à être retrouvés. Personne ne va mourir pour vous afin que vous puissiez j***r d'un droit à tout faire, même à démobiliser ceux qui sont sur les fronts.

Le journaliste aux critiques faciles, Issaka Lingani, et le droit de l'hommiste Diallo ont tous été retrouvés.

L'étape suivante serait de les envoyer ipso facto pour qu'ils expérimentent leur savoir faire pour le retour de la paix au Burkina Faso.

Fasotimes.net

Bataille de Djibo : Voici comment les Forces combattantes ont anéanti la horde de terroristesOuagadougou, 27 nov. 2023 (...
27/11/2023

Bataille de Djibo : Voici comment les Forces combattantes ont anéanti la horde de terroristes

Ouagadougou, 27 nov. 2023 (AIB) - Drogués à mort, une horde de terroristes sur des centaines de motos et de pickups s'est donnée pour mission de semer la mort et la désolation à Djibo dimanche, avant de prendre le contrôle de la ville. Cependant, le patriotisme, le courage et l'esprit de sacrifice des Forces combattantes ont permis de les écraser jusque dans leurs derniers retranchements. Voici le récit des événements contés à l'AIB par des sources sécuritaires.

Ce dimanche 26 novembre 2023, aux environs de 13h, les vecteurs aériens ont détecté dans la zone du Centre-nord deux importants groupes terroristes roulant en sens inverse à toute allure et sans s'arrêter. Puis subitement, le groupe le plus important, fort de 300 motos et de plusieurs pickups, s'est rué sur Djibo à son entrée Nord.

Vers 14h, le 14e Régiment Interarmes a détecté près de 800 terroristes à vive allure sur Djibo en provenance de Nassoumbou. Les unités du RIA ont utilisé l'artillerie pour les arrêter. Drogués à mort, les criminels ont bravé les roquettes et ont atteint le quartier périphérique de Djibo, appelé Djao-Djao.

Ils ont été rejoints à l'entrée de la ville par un autre groupe d'environ 500 combattants venus de Tongomael. Armés de pickups, de motos et d'autres à pied, ils ont foncé vers leur objectif. Puis soudain, les Forces combattantes ont vu surgir du Sud de Djibo un autre groupe venu de Pobe Mengao, fort d'environ un millier d'hommes avec plusieurs pickups et un véhicule blindé.

Pendant que tous ces criminels avançaient comme un seul homme sur le camp militaire, un autre groupe s'est dirigé vers Baraboulé et s'est joint au combat. Sans t**der, les vecteurs aériens ont engagé le combat.

Pendant que les vaillantes Forces combattantes maintenaient en respect un contingent de terroristes avec des tirs nourris, l'ennemi a utilisé un véhicule blindé pour ouvrir une brèche à travers la clôture du camp. Pendant plus de deux heures, les combats se sont intensifiés et sont devenus violents, mais les hommes ont tenu bon.

Ne pouvant pas pénétrer à travers la brèche, les malfaiteurs ont opté pour s'attaquer à un autre poste de combat des Forces combattantes pour pénétrer dans le camp. Là, ils ont échoué encore. Vers 15h, une autre colonne de plusieurs centaines de motos est venue en renfort et a tenté de s'engouffrer à travers les deux brèches ouvertes par le blindé. Mission impossible, les hommes les ont repoussés héroïquement.

Puis, les Forces combattantes ont changé de manœuvre, les guetteurs du 14e RIA ont abandonné leurs positions et se sont joints à la bataille. Les vecteurs aériens se sont concertés rapidement avec les troupes au sol. Successivement, les deux groupes terroristes au niveau des brèches ont été décimés par des missiles dans un bruit de tonnerre.

Les criminels se sont retirés mais sont revenus très vite à la charge, revigorés par l'arrivée d'un autre groupe venu en renfort. Voici leurs complices en train de se consumer, ils ont évité la clôture. Mais ils ont fait le tour du camp, tirant sur la base avec toutes leurs mitrailleuses.

Face à la résistance de l'ennemi, plusieurs avions de combat et des hélicoptères d'attaque ont pris rapidement le chemin de Djibo. Malgré les tentatives de l'ennemi d'abattre les appareils, les missiles ont plu sur eux. Cette fois-ci, les criminels ont compris le message. Ils ont pris la fuite dans plusieurs directions. Une colonne a été neutralisée vers Nassoumbou, à quelques kilomètres de la base, grâce aux avions de chasse.

À 18h, les vecteurs aériens ont fait plusieurs fois le tour de la base militaire. Elle est intacte. Les braves combattants sont en mouvement à l'intérieur et se reconstituent après le combat. Leurs sacrifices et leur détermination ont été récompensés : Djibo reste debout et sous contrôle.

Les combats ont cessé, mais la traque ne fait que commencer. Au niveau de Baraboulé, des rescapés ont été frappés, leur pickup monté d'une mitrailleuse en premier. Les criminels se cachent dans les maisonnettes. Ils seront pulvérisés dans deux maisonnettes.

Les terroristes qui ont pris la direction de Pensa vont subir le même sort. Ils sont foudroyés sous le grand arbre qui leur servait de cachette. Dans la matinée du lundi 27 novembre 2023, les unités terrestres vont se charger d'autres rescapés au niveau de Taffogo dans la zone de Tougouri. Les ratissages se poursuivent.

Outre la grande victoire de Djibo, les Forces combattantes ont enregistré dans la semaine plusieurs succès sur de nombreux fronts. Les plus importants sont dans la Boucle du Mouhoun avec plusieurs terroristes neutralisés et du matériel récupéré. Au Centre-Nord, un assaut a permis de neutraliser un groupe terroriste et de récupérer du matériel lourd, dont un mortier et des obus.

Des embuscades tendues dans les régions de Bogande ont mis en déroute plusieurs groupes terroristes. Des informations font également état d'une attaque d'envergure sur une cible importante dans les jours à venir par les terroristes défaits au Mali, venant en renfort aux groupes agissant au Burkina.

À titre d'exemple, le 26 novembre 2023, aux environs de 11h, les vecteurs aériens ont vu l'arrivée d'un groupe de malfaiteurs à Yaktibo dans le Centre-Est. Un premier groupe a été violemment frappé par une bombe venue du ciel, pendant que les autres prenaient la fuite.

Les Forces combattantes comptent maintenir la pression sur tous les fronts pour obliger l'ennemi à abdiquer.
Agence d'Information du Burkina (AIB)

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