14/01/2024
La poursuit , un des fervents défenseurs de la transition pour diffamation.
Selon les sources du :
La défense d' sera assurée par un collectif d'avocats de l'AES : Burkina Faso 🇧🇫, Niger 🇳🇪 Mali 🇲🇱 (cabinet Me KONARE) et Niger (cabinet Me TIJE).
Mais il faut noter que ce sont les preuves qui sauveront le professeur, écrivain .
Également Devant le juge ce n'est pas le nombre d'avocats ou la provenance des avocats qui comptent , mais ce sont les preuves pour étayer les propos qui comptent , la force des arguments.
La force des arguments et les preuves contribuera à déterminer l'intime conviction du juge.
est un Burkinabè , patriote qui soutient les points de vue du président donc L’ .
L’ sont tous derrière .
Si n’a pas les preuves il sera puni par la loi pour diffamation car la diffamation est puni par la loi .
« On dit qu’il a fait de la diffamation», dit-il avant de préciser que : «Si vous voulez les éléments de diffamation, on est obligé de rentrer dans le dossier judiciaire alors que cela n’a pas encore commencé».
La poursuit suite à une publication qu’il a faite en octobre 2023 sur sa page facebook.
écrivait en substance, «hier soir, un travailleur de la fonction publique, membre de la m’assurait que des leaders de la étaient en contact avec des impérialistes, et surtout avec des Burkinabè résidant à l’extérieur pour déstabiliser le pouvoir de la Transition».
Ce vendredi 12 janvier 2024, il a affirmé à Libreinfo.net que la plainte de la contre sa personne porte des faits «d’injures et diffamation».
«J’ai accueilli cela sans grande surprise parce que j’avais déjà toutes les informations. On est venu me remettre la plainte et on attend le procès (…) je trouve que c’est une démarche légale mais pas légitime.
Nous sommes dans une nation régie par des lois. Si la estime qu’elle est diffamée, elle peut saisir des tribunaux », dit-il.
Sur la question de savoir comment il compte s’y prendre, répond : «Je compte me défendre. L’accusation de diffamation n’est pas vraie. Ce sera arguments contre arguments. J’attends sereinement le procès ».
Par ailleurs, l’écrivain professionnel estime qu’il s’agit d’un procès politique. «Ici ce n’est pas un procès contre Adama Siguiré, c’est un procès politique. Ce n’est pas ma personne qui est visée. Je ne suis pas aussi populaire pour que la mobilise un armada d’avocats contre ma personne » , explique-t-il.