Faso Agriculture

Faso Agriculture Contribuer à la transformation structurelle de l'agriculture pour un Burkina Faso prospère!

𝑪𝑩𝑭 : 𝒖𝒏𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒃𝒐𝒐𝒔𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒇𝒊𝒍𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒂𝒈𝒓𝒐𝒑𝒂𝒔𝒕𝒐𝒓𝒂𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒉𝒂𝒍𝒊𝒆𝒖𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔Le Conseil des Ministres de ce 09 ...
09/01/2025

𝑪𝑩𝑭 : 𝒖𝒏𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒃𝒐𝒐𝒔𝒕𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒇𝒊𝒍𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒂𝒈𝒓𝒐𝒑𝒂𝒔𝒕𝒐𝒓𝒂𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒉𝒂𝒍𝒊𝒆𝒖𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔

Le Conseil des Ministres de ce 09 janvier 2025 a décidé de la création du Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutique ( CBF), un établissement public de l’Etat à caractère économique. Cela, pour pallier l’insuffisance de structuration des filières agropastorales et halieutiques ainsi que le manque d’organisation de ses acteurs. Le CBF remplace le Conseil burkinabè de l’anacarde (CBA) avec pour missions de coordonner et de soutenir les actions de développement durable des filières agropastorales et halieutiques au Burkina Faso.
Selon le Conseil des Ministres , le CBF permettra de favoriser un environnement propice au développement durable des filières agropastorales et halieutiques en répondant aux attentes des acteurs tout en stimulant la croissance économique du pays.

𝐀𝐦𝐞́𝐧𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐡𝐲𝐝𝐫𝐨-𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐍𝐁𝐀𝐇 𝐨𝐫𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬...
08/01/2025

𝐀𝐦𝐞́𝐧𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐡𝐲𝐝𝐫𝐨-𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 : 𝐥𝐞 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐍𝐁𝐀𝐇 𝐨𝐫𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐮 𝐛𝐚𝐫𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐋𝐞̀𝐛𝐝𝐚 𝐚𝐮 𝐟𝐫𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐜𝐭𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬

Le Directeur général de l’Office national des barrages et des aménagements hydro-agricoles (ONBAH), le Commandant Yaya TRAORE, a effectué, ce jeudi 2 janvier 2025, une sortie de suivi-contrôle des travaux de construction du barrage de Lèbda, dans la région du Centre-Nord.
Cette mission de suivi du Commandant Yaya TRAORE visait à évaluer l’état d’exécution des travaux de sécurisation du barrage de Lèbda, une localité située à une quinzaine de kilomètres au Sud-Est de Kaya. Après avoir constaté le niveau d’exécution des travaux et relevé le non-respect des cahiers de charge, le Commandant TRAORÉ a donné des instructions fermes à l’entreprise engagée pour la reprise totale et rapide des travaux. Il a également ordonné au bureau d’études la reprise des études faisabilité.
Pour le Directeur général de l’ONBAH, « 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒏’𝒂 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒏𝒐𝒓𝒎𝒆𝒔. 𝑳𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙 𝒐𝒏𝒕 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒃𝒂̂𝒄𝒍𝒆́𝒔. 𝑳𝒂 𝒅𝒊𝒈𝒖𝒆 𝒂 𝒄𝒆́𝒅𝒆́ 𝒅𝒆̀𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒊𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒊𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒊𝒙 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝒂𝒑𝒓𝒆̀𝒔 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙. 𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒖𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒖𝒏𝒆 𝒓𝒆𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒕𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒆́𝒕𝒖𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙, 𝒆𝒕 𝒄𝒆, 𝒂𝒖 𝒇𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒈𝒂𝒈𝒆́𝒆𝒔. 𝑰𝒍 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒃𝒊𝒍𝒊𝒔𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒓𝒆𝒔𝒔𝒐𝒖𝒓𝒄𝒆𝒔 𝒔𝒖𝒑𝒑𝒍𝒆́𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒎𝒆𝒔𝒖𝒓𝒆 𝒐𝒖̀ 𝒍𝒂 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍’𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒂 𝒅’𝒐𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆́𝒋𝒂̀ 𝒆́𝒕𝒆́ 𝒇𝒊𝒏𝒂𝒏𝒄𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍’𝑬́𝒕𝒂𝒕. 𝑰𝒍 𝒓𝒆𝒗𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒆 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒂𝒖𝒙 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒂𝒄𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒂𝒖𝒙 𝒂̀ 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒇𝒓𝒂𝒊𝒔 ».
À l’entendre, les dossiers d’exécution et les rapports d’études doivent être transmis à l’ONBAH au plus t**d le 15 février 2025 et les travaux doivent prendre fin avant la prochaine saison des pluies. « 𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒃𝒂𝒓𝒓𝒂𝒈𝒆 𝒇𝒐𝒓𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒙𝒑𝒍𝒐𝒊𝒕𝒆́ 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒑𝒖𝒍𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔. 𝑰𝒍 𝒏’𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒑𝒂𝒔 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒒𝒖’𝒊𝒍 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏 𝒕𝒆𝒍 𝒆́𝒕𝒂𝒕 𝒂̀ 𝒄𝒂𝒖𝒔𝒆 𝒅’𝒖𝒏 𝒎𝒂𝒏𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒔𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒙 », a-t-il conclu.
Situé dans la région du Centre-Nord, le barrage de Lèbda a une capacité d’environ 2,2 millions m³.
𝗗𝗖𝗥𝗣/𝗠𝗔𝗥𝗔𝗛

31/12/2024
𝑳𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́ 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒈𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊̂𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒇𝒐𝒓𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒇𝒐𝒏𝒅𝒆𝒔. 𝑬𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒅𝒐𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒕𝒆𝒄𝒉𝒏𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖...
27/12/2024

𝑳𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́ 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒊𝒂𝒍 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒈𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒏𝒂𝒊̂𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒇𝒐𝒓𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒇𝒐𝒏𝒅𝒆𝒔. 𝑬𝒏𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒅𝒐𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒕𝒆𝒄𝒉𝒏𝒐𝒍𝒐𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝒆́𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒓𝒆́𝒈𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒇𝒍𝒖𝒄𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒍’𝒐𝒇𝒇𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒎𝒂𝒏𝒅𝒆, 𝒍’𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒗𝒓𝒂 𝒔’𝒂𝒅𝒂𝒑𝒕𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒈𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒊𝒎𝒑𝒐𝒓𝒕𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒓𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒓𝒆𝒎𝒐𝒅𝒆𝒍𝒆𝒓 𝒔𝒆𝒔 𝒇𝒐𝒏𝒅𝒂𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒖𝒙 𝒅’𝒊𝒄𝒊 2040.

Le marché mondial des engrais, évalué à 145 milliards de dollars en 2023, est sur le point de connaître des transformations profondes.

𝐃𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥𝐞 : 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐮𝐧 𝐥𝐞𝐢𝐭𝐦𝐨𝐭𝐢𝐯 𝐝𝐮 𝐏𝐌, 𝐑𝐢𝐦𝐭𝐚𝐥𝐛...
27/12/2024

𝐃𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥𝐞 : 𝐚𝐬𝐬𝐮𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐮𝐧 𝐥𝐞𝐢𝐭𝐦𝐨𝐭𝐢𝐯 𝐝𝐮 𝐏𝐌, 𝐑𝐢𝐦𝐭𝐚𝐥𝐛𝐚 𝐉𝐞𝐚𝐧 𝐄𝐦𝐦𝐚𝐧𝐮𝐞𝐥 𝐎𝐔𝐄𝐃𝐑𝐀𝐎𝐆𝐎

𝐿𝑒 𝑃𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒, 𝑅𝑖𝑚𝑡𝑎𝑙𝑏𝑎 𝐽𝑒𝑎𝑛 𝐸𝑚𝑚𝑎𝑛𝑢𝑒𝑙 𝑂𝑈𝐸𝐷𝑅𝐴𝑂𝐺𝑂, 𝑎 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒́ 𝑠𝑎 𝐷𝑒́𝑐𝑙𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑃𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐺𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒, 𝑐𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒𝑑𝑖 27 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 2024.

A l’entendre, assurer la souveraineté alimentaire des populations est l’une des priorités de son mandat. Et pour ce faire, il travaillera à réduire, dans les brefs délais, la dépendance du pays vis-à-vis du reste du monde en matière d’alimentation. « 𝑉𝑎𝑖𝑛𝑐𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑚 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑐𝑟𝑒𝑢𝑥, 𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑’𝑎𝑢𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑛𝑜𝑠 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐿𝑎 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙’𝑒́𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑟𝑒𝑞𝑢𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑑𝑢 𝐺𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑟𝑢𝑠 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑡𝑡𝑒́𝑛𝑢𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑠𝑒́𝑐𝑢𝑟𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐼𝑙𝑠 𝑟𝑒𝑞𝑢𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑓𝑟𝑎𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑑𝑒́𝑞𝑢𝑎𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑡𝑖𝑒𝑛 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 »», a dit le Premier ministre. Et pour ce faire, son Gouvernement veillera particulièrement à la consolidation des acquis de l’Offensive agropastorale et halieutique qui a déjà permis de faire un taux d’accroissement de 18% de la production agricole entre 2023 et 2024 ; ce , dans l’optique de maintenir les efforts pour la couverture totale des besoins alimentaires des populations. Le Premier ministre mettra également l’accent sur les chantiers des aménagements hydro-agricoles, de la mécanisation agricole, de l’accès aux intrants et au crédit ainsi que de la valorisation de nos productions agropastorales, halieutiques et fauniques. Pour soutenir ces ambitions, il travaillera au renforcement des capacités de l’Office National des Barrages et des Aménagements Hydro-agricoles (ONBAH); au renforcement des capacités de la Société d’Exploitation des Phosphates du Burkina Faso (SEPB) et de la Société Burkinabè des Intrants et Matériels Agropastoraux(SOBIMAP) pour répondre à l’engagement du Chef de l’Etat de mettre sur le marché au moins 500 000 tonnes d’engrais minéraux et organiques par an . la production des intrants zootechniques, vétérinaires et halieutiques se verra renforcée et la couverture sanitaire des ressources animales et halieutiques améliorée.
En outre, la mise en valeur et la sécurisation des zones pastorales va être renforcée de même que les efforts de mobilisation des eaux de surface et des eaux souterraines à travers la construction de nouveaux barrages et la réhabilitation de barrages dégradés ainsi que la réalisation des forages à gros débit pour l’irrigation .
Aussi, l’initiative de la reprise des unités de production d’aliments bétails (FASO GUULGO) et de valorisation des produits laitiers (FASO KOSAM), contribuera à booster le secteur de l’élevage et ses produits dérivés.

Chambres d'agriculture : les assemblées consulaires dissoutes Le Conseil des Ministres en sa séance de ce jeudi 26 décem...
26/12/2024

Chambres d'agriculture : les assemblées consulaires dissoutes

Le Conseil des Ministres en sa séance de ce jeudi 26 décembre 2024 a adopté un décret portant dissolution des Assemblées consulaires des chambres d’agriculture.

Le chef du département chargé de l’Agriculture, le Commandant Ismaël SOMBIÉ a indiqué que l’objectif de ce décret est de régler des dysfonctionnements observés dans la gestion du monde agricole à la base, notamment la non-tenue d’élections pour le renouvellement des Assemblées consulaires. Désormais, a-t-il précisé, les chambres régionales d’agriculture seront sous la tutelle des directions régionales de l’agriculture, et la Chambre nationale d’Agriculture sous la tutelle de la direction générale en charge du monde rural.

Selon le ministre SOMBIÉ, la dissolution des organes consulaires des chambres d’agriculture ne met pas fin à l’existence des chambres d’agriculture « parce qu’il y a l’organe administratif qui est notamment dirigé par les secrétaires généraux qui vont continuer d’exercer sous la tutelle du ministère en charge de l’agriculture ». Il a rassuré que les représentations continueront de valoir auprès des organes centraux de l’État et que leur voix continuera d’être portée.
Une réforme sera engagée pour donner un format et une configuration organisationnelle adaptée à la vision du Chef de l’Etat en ce qui concerne le secteur rural, a ajouté le Commandant SOMBIÉ.

𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐮𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐭 𝐒𝐚𝐡𝐞𝐥 :  𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟑𝟒 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐢𝐧𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝐷𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓 𝑟𝑒́...
26/12/2024

𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐮𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐭 𝐒𝐚𝐡𝐞𝐥 : 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟑𝟒 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐢𝐧𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞

𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝐷𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑃𝑟𝑒́𝑣𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝐺𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝐶𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝐴𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝐴𝑓𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑂𝑢𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑡 𝑎𝑢 𝑆𝑎ℎ𝑒𝑙, 𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑎𝑚𝑖𝑛𝑒́ 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑎𝑔𝑟𝑜𝑝𝑎𝑠𝑡𝑜𝑟𝑎𝑙𝑒 2024/2025 𝑒𝑡 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑢𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑜𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑠𝑖𝑡𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑛𝑢𝑡𝑟𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑙𝑒𝑠 13 𝑒𝑡 14 𝑑𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒 2024. 𝐴𝑢 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑎𝑢𝑥, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑚𝑚𝑎𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠 :

La campagne agropastorale 2024/2025 a connu un déroulement caractérisé par la pluviométrie à tendance excédentaire dans les pays Sahéliens et normale à déficitaire dans les pays du Golfe de Guinée. Toutefois, la campagne a été également marquée par de longues pauses pluviométriques dans les pays du Golfe de Guinée, le Nord du Sénégal et l’extrême Sud-ouest de la Mauritanie. La reprise et l’intensification des pluies à partir des mois de juillet, a permis une évolution des cycles des cultures dans des conditions hydriques satisfaisantes.
La situation hydrologique 2024-2025 a été marquée par des écoulements supérieurs à la normale hydrologique 1991-2020. Il a été observé des cas de dépassement des côtes d’alerte rouge dans le haut et le moyen bassin du Niger, le bassin du Sénégal, la Komadougou-Yobé et le haut bassin du Chari. Les pluies diluviennes ont également occasionné des graves inondations au Mali, au Niger, au Nigéria, au Sénégal, au Tchad, etc. Les inondations ont affecté plus de 5 millions de personnes avec plus d’un millier de décès et engendré d’énormes pertes économiques (destruction des cultures, des animaux et des infrastructures socioéconomiques).
La situation phytosanitaire a été marquée par des infestations de ravageurs multiples sur les cultures vivrières. Les infestations dues à la chenille légionnaire d’automne ont eu une incidence faible à modérée sur la culture du maïs notamment au Bénin, au Burkina Faso, au Mali, au Nigéria, en Sierra Léone et au Tchad. Il a été observé des attaques d’insectes floricoles, de chenilles mineuses (sur le mil) et défoliatrices (sur le niébé et l’arachide), de sautereaux et d’oiseaux granivores sur les céréales dans plusieurs pays. Une recrudescence de certaines maladies fongiques et bactériennes sur les cultures vivrières et de rente dans plusieurs pays a été observée.
La situation pastorale dans la bande du Sahel se caractérise par une disponibilité satisfaisante de fourrage et d‘eau pour l‘abreuvement du bétail. L‘état d’embonpoint du bétail est globalement satisfaisant. Les mouvements et les concentrations des animaux sont normaux. La situation zoo sanitaire reste globalement stable, quelques foyers de maladies signalés au Niger et au Sénégal ont été maitrisés par les services vétérinaires. Les conditions d’insécurité et les mesures restrictives de la transhumance frontalières appliquées dans certains pays réduisent considérablement la mobilité des transhumants
Les productions céréalières attendues de la campagne 2024/2025 sont estimées à 78,9 millions de tonnes, en hausse de 2% par rapport à la campagne précédente et en hausse de 5 % comparativement à la moyenne des cinq dernières années. Il faut signaler que des baisses sont attendues au Sénégal et au Togo. Les productions de racines et tubercules sont estimées à 275 millions de tonnes, soit une hausse de 5% comparée à la campagne précédente et de 11% par rapport à la moyenne quinquennale. Les cultures de rente pourraient enregistrer des productions en hausse comparée à l’année passée et à la moyenne des cinq dernières années, sauf pour le niébé, le voandzou, le coton et la noix de cajou qui seraient en baisse par rapport à l’année dernière. Le bilan céréalier prévisionnel de la région accuse un déficit brut de 11,5 millions de tonnes. Ce déficit est composé du riz (8,7 millions de tonnes) et du blé (9 millions de tonnes), mais il pourrait être largement comblé par les importations estimées à environ 19 millions de tonnes. En effet, un excédent net d’environ 7 millions de tonnes se dégage après la prise en compte des intentions d’importation des pays.
La situation alimentaire et nutritionnelle demeure préoccupante. Les résultats des analyses de vulnérabilité menées dans les pays avec l’outil Cadre Harmonisé, révèlent que 34,7 millions de personnes (dont 25 millions au Nigéria y compris 516 000 déplacés internes) sont en insécurité alimentaire de la phase 3 à 5, durant la période d’octobre à décembre 2024, dans la région Sahel et Afrique de l’Ouest avec plus de 1,3 millions en phase 4 en urgence alimentaire. L’insécurité alimentaire pourrait atteindre plus de 47,1 millions (dont 33,2 millions au Nigeria) de personnes durant la soudure (juin - août 2025), si des mesures appropriées ne sont pas prises par les Etats et leurs partenaires. A cela, il faut ajouter près de 600 000 personnes déplacées au Tchad. La situation nutritionnelle est marquée par des prévalences très élevées de malnutrition aiguë dans plusieurs pays, en particulier dans le Nord-Ouest et le Nord-Est du Nigéria, les régions du Nord-Est du Mali, le Niger et la bande sahélienne du Tchad. L’accès au régime alimentaire adéquat reste un défi majeur, car un enfant sur cinq n’y parvient pas, ce qui explique les mauvaises conditions de nutrition.
La mise en œuvre des réponses en faveur des populations vulnérables à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle identifiées en 2024, a connu une évolution timide. En effet, Les pays et leurs partenaires ont mobilisé environ 112 milliards en appui aux personnes en insécurité alimentaire et nutritionnelle dans neuf pays du Sahel et de l’Afrique de l’ouest. Cela représente 48% des prévisions.

A l’endroit des Etats , les membres du comité ont recommandé de mobiliser les ressources financières pour la mise en œuvre des plans nationaux de réponse intégrant les besoins pastoraux ; de renforcer la veille sur la menace du Criquet pèlerin dans les Pays de la ligne de front ; de renforcer la prévention et la lutte contre les feux de brousse pour protéger le disponible fourrager sur les pâturages naturels ; de lever les restrictions commerciales transfrontalières sur la libre circulation des productions agricoles dans la région.

Source : AGRHYMET

𝙑𝙖𝙘𝙘𝙞𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙞𝙚𝙨 𝙖𝙣𝙞𝙢𝙖𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙞𝙤𝙧𝙞𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨 : 𝙡𝙖 𝙘𝙖𝙢𝙥𝙖𝙜𝙣𝙚 𝙥𝙧𝙤𝙧𝙤𝙜𝙚́𝙚 𝙖𝙪 15 𝙛𝙚́𝙫𝙧𝙞𝙚𝙧 2025
25/12/2024

𝙑𝙖𝙘𝙘𝙞𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙞𝙚𝙨 𝙖𝙣𝙞𝙢𝙖𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙞𝙤𝙧𝙞𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨 : 𝙡𝙖 𝙘𝙖𝙢𝙥𝙖𝙜𝙣𝙚 𝙥𝙧𝙤𝙧𝙤𝙜𝙚́𝙚 𝙖𝙪 15 𝙛𝙚́𝙫𝙧𝙞𝙚𝙧 2025

𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 : 𝐥𝐞 𝐂𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐞 𝐥’𝐄́𝐭𝐚𝐭 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩 𝐝’𝐚𝐧𝐚𝐧𝐚𝐬(Ouagadougou, 23 décembre 2024). Le Président du Faso, C...
24/12/2024

𝐎𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 : 𝐥𝐞 𝐂𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐞 𝐥’𝐄́𝐭𝐚𝐭 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩 𝐝’𝐚𝐧𝐚𝐧𝐚𝐬

(Ouagadougou, 23 décembre 2024). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORE a visité, ce lundi matin, un champ d’ananas en expérimentation au Camp Naba-Koom 2. Cette initiative voulue par le commandement du Camp s’inscrit dans le cadre de l’Offensive agropastorale et halieutique lancée par le Chef de l’État.

En visitant ce champ d’ananas de 60 000 pieds aménagé sur un terrain d’un hectare, le Président du Faso n’a pas caché sa joie de voir que l’armée joue sa pleine participation dans le développement du Burkina Faso. « L’armée ce n’est pas uniquement les armes. Elle doit participer au développement de notre pays. Nous sommes en train d’apprendre beaucoup de choses aux militaires », a affirmé le Chef de l’État au cours de la visite.

Selon le Commandant de la Garde républicaine, le Chef de bataillon Souleymane ZANGO, le personnel qui exploite le site a suivi une formation avec une ferme de la place. Les premières récoltes sont attendues pour novembre 2025, selon le Chef de bataillon ZANGO.

En perspective, un espace de 8 hectares a été aménagé au Camp Naba-Koom 2 pour expérimenter le café, le cacao, l’avocat et la cola, a affirmé le Commandant de la Garde républicaine.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

18/12/2024

L'exportation du niébé et des céréales demeurent suspendues sur l'étendue du territoire !

09/12/2024

09/12/2024

𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐭 𝐡𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 : 𝐮𝐧𝐞 𝐛𝐨𝐮𝐫𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐨𝐮𝐜𝐡𝐞́𝐬

La Chambre régionale d’agriculture des Hauts-Bassins ( ) et la Direction générale de la promotion de l’économie rurale ( ) organise une Bourse inter-régionale des produits agro-pastoraux et halieutiques, les 12 et 13 décembre 2024 au sein de l’Ecole nationale des enseignants du primaire ( ) de Bobo-Dioulasso.

Campagne agricole 2024-2025 : plus de 6 millions de tonnes de céréales produites(Ouagadougou, 5 décembre 2024). Le Prési...
05/12/2024

Campagne agricole 2024-2025 : plus de 6 millions de tonnes de céréales produites

(Ouagadougou, 5 décembre 2024). Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé, ce jeudi, l’hebdomadaire Conseil des ministres.

Au titre du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le Conseil a adopté trois rapports. Les deux premiers rapports sont relatifs aux décrets portant statut particulier de la société d'Etat dénommée « Faso Guulgo », et la société « Faso Kosam », toutes deux créées le 20 novembre dernier.

Le troisième rapport concerne les résultats provisoires de la campagne agricole humide 2024-2025. La campagne présente un résultat excédentaire et comparativement à la dernière campagne, l’on note un accroissement de près de 900 000 tonnes de céréales.

Selon le ministre chargé de l’Agriculture, le Commandant Ismaël SOMBIE, au cours de la présente campagne agricole humide, la production est évaluée à environ 6 077 000 tonnes de céréales contre 5 147 000 tonnes de céréales produites pendant la campagne 2023. « Cela est véritablement important et représente un accroissement de près de 18,07 % par rapport à la campagne antérieure et de 21,4 % par rapport à la moyenne des campagnes des cinq dernières années », a-t-il noté.

Pour garantir une meilleure accessibilité à l'ensemble des consommateurs, le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques a indiqué que des mesures sont prises par le gouvernement pour interdire l’exportation des céréales d’une part, et d’autre part, pour renforcer les capacités de la SONAGESS ainsi que le contrôle des prix.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

𝘾𝙊𝙈𝙈𝙐𝙉𝙄𝙌𝙐𝙀 𝘿𝙀 𝙋𝙍𝙀𝙎𝙎𝙀𝐅𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐝𝐞́𝐟𝐢 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐥𝐢𝐭𝐬 : 𝐥𝐞 𝐒𝐚𝐡𝐞𝐥 𝐞𝐭 𝐥’𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐮𝐞𝐬𝐭 𝐬’𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐞́𝐥𝐞́...
23/11/2024

𝘾𝙊𝙈𝙈𝙐𝙉𝙄𝙌𝙐𝙀 𝘿𝙀 𝙋𝙍𝙀𝙎𝙎𝙀

𝐅𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐝𝐞́𝐟𝐢 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐥𝐢𝐭𝐬 : 𝐥𝐞 𝐒𝐚𝐡𝐞𝐥 𝐞𝐭 𝐥’𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐮𝐞𝐬𝐭 𝐬’𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐞́𝐥𝐞́𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐞́𝐥𝐞𝐯𝐚𝐠𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐮𝐱

Nouakchott, 8 novembre 2024 –
Au troisième jour du Forum de haut niveau sur le pastoralisme au Sahel et en Afrique de l’ouest (‘Nouakchott+10’), les participants –décideurs politiques, représentants des organisations pastorales et agro-pastorales, membres du secteur privé, organisations régionales et de la société civile, venant du Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Tchad, et Togo— ont lancé un appel pour un engagement ambitieux à construire la paix et le développement des territoires ruraux, pastoraux et agro-pastoraux au Sahel et en Afrique de l’ouest. Collectivement, ils ont exprimé la nécessité de valoriser les différents systèmes d’élevage et de renforcer la complémentarité entre l’agriculture et l’élevage qui constituent ensemble le socle le plus solide pour le développement inclusif et durable des économies nationales et de l’économie régionale.
Ce Forum intervient dix ans après la première Déclaration de Nouakchott de 2013, qui appelait à sécuriser les modes d’existence et les moyens de production des populations pastorales et d’accroître le produit brut des activités d’élevage, en vue d’augmenter significativement les revenus des pasteurs.
« En ne comptabilisant que les projets régionaux coordonnés par notre institution, plus d’un milliard de dollars ont été investis, entre 2013 et 2024, dans les infrastructures, l’amélioration de la santé animale et l’accès aux services, grâce au soutien technique et financier du Groupe de la Banque mondiale et d’autres partenaires », a déclaré Dr Abdoulaye Mohamadou, Secrétaire Exécutif du Comité permanent Inter-Etat de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS).
Les participants ont dressé un bilan globalement positif des progrès réalisés. Au cours des dix dernières années, plus de 13 millions d’hectares d’espaces pastoraux ont été placés sous gestion durable, 559 points d’eau supplémentaires ont été réalisés, et près de 4 200 km de couloirs de transhumance balisés et sécurisés. En matière de santé animale, plus de 600 millions d’animaux ont été vaccinés, 137 vétérinaires ont été formés, et 415 parcs de vaccination supplémentaires ont été construits. Les infrastructures marchandes ont été renforcées avec la construction de 362 marchés à bétail supplémentaires, et des actions ont été menées pour l’inclusion économique et sociale de près de 56 000 personnes, dont plus de 86% de femmes, qui ont pu renforcer et diversifier leurs activités économiques.
Cependant, des défis persistants, liés notamment au changement climatique, à l’insécurité et à la pression foncière, continuent de menacer la viabilité de ces systèmes de production, soulignant la nécessité d’une action collective renforcée et à l’échelle, notamment afin de faciliter la mobilité.
Le Forum Nouakchott+10 marque une étape décisive pour l'avenir de millions de personnes qui dépendent directement du secteur vital du pastoralisme et de l’agropastoralisme. Face aux enjeux, les participants ont convenu de sécuriser les terres agro-pastorales, d’améliorer la gouvernance foncière, et de développer des chaînes de valeur durables pour renforcer la résilience des systèmes pastoraux et agro-pastoraux. Ils ont aussi convenu de promouvoir des synergies entre agriculture et élevage, de renforcer l’inclusion l’insertion des jeunes et des femmes dans les activités pastorales et agricoles, et de valoriser les systèmes d’information régionaux pour mieux informer les prises de décision politique. Ils ont appelé à intégrer les besoins des pays côtiers et de certains pays de l’Afrique centrale dans les efforts de développement, en s'appuyant sur la complémentarité entre les systèmes d'élevage sédentaires et mobiles pour une gestion pacifique des territoires.
Les participants au Forum de Nouakchott+10 demandent au Président en Exercice du CILSS de porter cette Déclaration auprès de ses pairs.
« Pour la Mauritanie, pays agro-pastoral par excellence, l’action africaine commune, à tous les niveaux, est un objectif stratégique prioritaire. La nouvelle Déclaration de Nouakchott matérialisera et renforcera la solidarité régionale en faveur du pastoralisme et du développement socio-économique intégré » a dit Moctar Al Housseynou LAM, Ministre Secrétaire Général du Gouvernement de la République Islamique de Mauritanie.
Les représentants des pays se sont engagés à apporter le soutien politique requis, tout en mobilisant des ressources financières et humaines conséquentes, tant internes qu’externes, pour permettre la mise en œuvre de leur engament. En outre, ils ont affirmé leur détermination à mobiliser des investisseurs privés pour encourager le développement des chaînes de valeur animales, notamment dans les segments de l’approvisionnement en aliments pour le bétail, ainsi que dans la production de viande et la collecte et transformation du lait local. Ils ont demandé au Président en exercice du CILSS de porter la nouvelle Déclaration auprès de ses pairs de la sous-région.
Les partenaires présents ont exprimé leur soutien aux conclusions du Forum, et se sont engagés à poursuivre leur accompagnement technique et financier pour leur mise en œuvre.
« Notre mission collective est de valoriser le rôle stratégique des territoires sahéliens dans l’économie régionale, et de promouvoir l’élevage mobile non seulement pour le lait, la viande et autres produits, mais aussi pour les services qu’il rend à l’ensemble de la société sahélienne et ouest africaine, notamment vis-à-vis du changement climatique », a insisté Chakib Jenane, Directeur du développement durable pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre à la Banque mondiale. Il conclut sur l’importance d’accorder une place importante au pastoralisme dans les politiques continentales : « Nouakchott+10 doit adresser des messages forts à la Commission de l’Union Africaine, afin de renforcer la place du pastoralisme dans les politiques régionales et d’apporter un appui significatif à nos communautés pastorales ».

Contacts :
• Au CILSS : Roger Sankara, [email protected]
• Au Ministère de l’élevage, République Islamique de Mauritanie : Mme Mariem MOUD, [email protected]
• A la Banque mondiale à Nouakchott : Loana Billeux, +222 43 72 43 52, [email protected]

𝐏𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞𝐬 : 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬’𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥 𝐝’𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐮𝐥𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚...
23/11/2024

𝐏𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞𝐬 : 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬’𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥 𝐝’𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐮𝐥𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐚𝐬𝐭𝐨𝐫𝐚𝐥𝐞

Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel-Phase 2 (PRAPS-2) et le Réseau Billital Maroobé (RBM), en collaboration avec l’ONG Save The Children, organisent un atelier d’échanges, de partage d’expériences et de renforcement des capacités des services nationaux d’alerte précoce sur l’utilisation de l’outil d’analyse économique des ménages individuels (individual houselhod economy analysis), adapté au pastoralisme (IHEA - pastoralisme), du 19 au 23 novembre 2024 à Lomé au Togo.
Pendant cinq jours, les représentants du RBM, du CILSS, des acteurs des services nationaux d’alerte précoce du Burkina, du Mali, du Niger et du Sénégal, les experts en gestion des crises pastorales du PRAPS 2, sous l’encadrement technique des formateurs de Save The Children, amélioreront leur maîtrise de l’outil I HEA-pastoralisme, en vue de mener efficacement des analyses sur la vulnérabilité pastorale dans les différents pays. Un accent particulier sera mis sur les concepts de base et le cadre analytique de la vulnérabilité pastorale, les spécificités de l’I HEA par rapport à d’autres outils, la délimitation des zones de moyens d’existence, la conduite des entrevues, la saisie des données, l’analyse des résultats.
Les participants bénéficieront d’un partage d’expériences sur la mise en œuvre de l’approche de collecte et d’analyse des données d’enquêtes IHEA récemment réalisées au Burkina, au Mali, au Niger et au Sénégal. Puis, ils définiront une feuille de route sur les prochaines étapes de la collaboration avec le RBM et le PRAPS pour l’analyse de la vulnérabilité pastorale dans l’ensemble des pays du PRAPS 2.
A l’ouverture des travaux, Dr Issa GARBA, Chef du Département Gestion des Ressources Naturelles au Centre Régional AGRYMET, a, au nom du Secrétaire Exécutif du CILSS, souhaité la bienvenue aux participants et exhorté à l’assiduité pour tirer le meilleur parti de ce cadre d’échanges et d’apprentissage sur la prévention et la gestion des crises pastorales.
Pour la prévention et la gestion des crises pastorales, le PRAPS-2 s’investit dans le renforcement des capacités des services d’alerte précoce et le soutien à la collecte de données harmonisées sur les indicateurs liés au pastoralisme, et leur intégration dans les bulletins d’informations et dans le "Cadre Harmonisé (CH)" utilisé comme référence pour la prévention des crises dans la région du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.

𝐀𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐤𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ : 𝐥'𝐞𝐱𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐮𝐬𝐩𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐥𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥
19/09/2024

𝐀𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐤𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ : 𝐥'𝐞𝐱𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐮𝐬𝐩𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐥𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥

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