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25/10/2023

A l’approche du meeting du groupement syndical du Burkina Faso, la tension monte de part et d’autre. La peur a changé de camp dans un pays terrorisé où des FDS et VDP tombent presque chaque jour. Les soutiens populaires notamment les jeunes désœuvrés,...

25/10/2023

Ainsi en a décidé le Conseil des ministres de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) lors de sa 53e session tenue à Niamey (Niger) les 21 et 22 décembre 2022. Publiée au journal officiel de l’organisation, cette nouvelle...

25/10/2023

Burkina Faso: la CGT-B maintient son meeting du 31 octobre malgré les menaces de mort contre ses membres Après l’annonce de leur meeting la semaine dernière qui a suscité des débats au sein de l’opinion publique, plusieurs syndicats des travailleurs dont...

21/12/2022

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 21 décembre 2022, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 15 H 20 mn, sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président de la Transition, Président du Conseil des ministres....

11/12/2022

Depuis les premières heures des actes terroristes sur le territoire burkinabè, le constat est clair que l’économie nationale prend un coup dur. Ces derniers mois la situation de nos opérateurs économiques, est très critiques. Entre rupture de contrats...

11/12/2022

Le Burkina Faso est un pays du Sahel à faible revenu et aux ressources naturelles limitées. Son économie repose sur l’agriculture, même si les exportations aurifères progressent. Plus de 40 % de sa population vit en dessous du seuil de pauvreté. Le rapport...

Safiatou Lopez Fafie Zongo, figure de la révolution burkinabée, brutalement arrêtée à OuagadougouLe domicile de la milit...
01/09/2018

Safiatou Lopez Fafie Zongo, figure de la révolution burkinabée, brutalement arrêtée à Ouagadougou

Le domicile de la militante a été pris d’assaut par les forces de sécurité, sans aucune justification selon ses défenseurs.
Les autorités ont voulu montrer leurs forces. Safiatou Lopez, militante des droits humains au Burkina Faso et figure de la révolution de 2014, a été arrêtée à son domicile de Ouagadougou, mercredi 29 août, après le déploiement, sous les yeux de riverains, d’un important dispositif de l’unité spéciale d’intervention de la gendarmerie.
Des pick-up et des motos de la section chargée de la lutte anti-terroriste ont encerclé la villa de la présidente de l’Association pour la promotion de la démocratie et la participation citoyenne (APDC), dans le quartier huppé de Ouaga 2000. Pendant qu’un drone survolait la maison, des militaires, gilet pare-balles sur le dos, arme à la main, ont établi un périmètre de sécurité, selon les images de caméras de surveillance, que Le Monde Afrique a pu visionner.
L’assaut a été donné à 21 h 30. « On a entendu des bruits assourdissants, le grand portail métallique de la cour a été défoncé », rapportent des témoins. « Vu tout le dispositif militaire déployé, c’est comme s’ils étaient venus arrêter une terroriste. Ils sont entrés par la force, ils sont même passés par la fenêtre, sans autorisation, alors que Safiatou était chez elle avec ses enfants », témoigne Abraham Badolo, le président de l’Alliance pour la défense de la patrie (ADP, une organisation de la société civile), présent au moment de l’interpellation.
« J’ai échangé avec le militaire chargé des opérations, il m’a dit qu’il ne savait pas lui-même ce qu’on reprochait à Mme Lopez. Il s’agit purement et simplement d’une séquestration », dénonce son avocat, Silvère Kiemtarboum, qui n’a pas eu accès au domicile de sa cliente. Le soir même, Safiatou Lopez était conduite au camp de gendarmerie de Paspanga, dans le centre de la capitale burkinabée.
Carton rouge
Au Burkina, Safiatou Lopez Zongo est connue pour avoir participé aux différentes manifestations de 2014 ayant entraîné la chute de l’ancien président Blaise Compaoré, puis contre le coup d’Etat manqué de septembre 2015. En mai, la femme d’affaires et militante de 42 ans, proche de Roch Marc Christian Kaboré jusqu’à son élection à la présidence du pays en 2015, avait brandi un carton rouge symbolique lors d’une manifestation. « S’il y avait un carton plus grave que le rouge je l’aurais donné, parce que le pouvoir a échoué sur toute la ligne. Le peuple burkinabé est bâillonné », fustigeait-elle.
Dans la société civile, l’annonce de son arrestation est un choc. Les messages de soutien se multiplient sur les réseaux sociaux. « Il y a des violations de la procédure judiciaire dans cette affaire. Aucune notification n’a été faite à Safiatou Lopez des charges qui sont portées contre elle et qui justifient sa détention en garde à vue. Nous dénonçons également la forme de l’arrestation, qui a été pour le moins musclée », déclare Siaka Coulibaly, porte-parole du collectif Dignité et Liberté pour Safiatou Lopez, créé jeudi pour exiger sa libération.
« Il est clair que c’est une action politique contre notre camarade, déplore Abraham Badolo. C’est sa personne même qui est visée, parce qu’elle critique la gestion du régime. On veut l’intimider car elle sait certaines choses. Ils sont en train de chercher les moyens pour la faire taire définitivement. »
« Aucun mandat d’arrêt »
Le chef de l’opposition, Zéphirin Diabré, qui s’est également rendu sur les lieux au moment de l’interpellation, s’inquiète : « Cette manière d’agir qui consiste à arrêter les leaders d’opinion sur la base de suspicions met clairement en danger nos libertés fondamentales. Si nos autorités peuvent faire encercler les domiciles et enlever des citoyens acteurs du débat démocratique sous quelque prétexte que ce soit, alors nous ne sommes plus dans un Etat de droit. L’arrestation de Safiatou Lopez s’inscrit dans une liste de détentions arbitraires, au même titre que celles de Pascal Zaïda [accusé de manifestation illégale, le militant a finalement été relaxé en 2017] et Naïm Touré. »
Naïm Touré a été condamné à deux mois de prison ferme, le 27 juin, pour un post virulent publié sur Facebook et critiquant le pouvoir. « Je suis choqué par tout l’arsenal qui a été déployé, dit-il, tout juste sorti de prison. Les moyens utilisés pour mettre aux arrêts les opposants sont inexplicables, les motifs invoqués ne tiennent pas. Aujourd’hui, on place les opposants au même niveau que les terroristes. »
Des perquisitions se poursuivaient, vendredi, au domicile de Safiatou Lopez. « Le major qui dirige les opérations m’a confirmé qu’il agissait sans aucun mandat d’arrêt. Les ordres viennent du procureur du Faso au tribunal de Ouagadougou », précise Me Kiemtarboum. Dans un communiqué, le parquet a annoncé vendredi avoir procédé à l’arrestation de Mme Lopez sur la base « d’éléments qui faisaient état de son implication possible dans une tentative de faire évader des détenus de la Maison d’arrêt et de correction des armées. Son interpellation […] a été faite dans le strict respect de ses droits et des règles »

Ceci est une lettre ouverte de l’  adressée au Président de l’Assemblée nationale.Excellence monsieur le Président de l’...
01/09/2018

Ceci est une lettre ouverte de l’ adressée au Président de l’Assemblée nationale.
Excellence monsieur le Président de l’Assemblée Nationale,

L’Unité d’Action Syndicale (UAS) vient par la présente vous interpeller à propos du projet de loi portant autorisation de ratification de la convention de concession révisée (CCR) pour l’exploitation des transferts ferroviaires entre le Burkina Faso et la république de Côte-d’Ivoire et la société internationale de transport africain par rail (SITARAIL), filiale du Groupe Bolloré.

Excellence monsieur le Président de l’Assemblée Nationale,

L’exposé des motifs de ce projet de loi indique en son point II – CONTENU DE LA CCR- que « la CCR marque une rupture profonde avec la convention de concession du 12 décembre 1994, en passant du modèle d’affermage à celui d’une véritable concession intégrale de type ROT (Réhabilite, Operate and transfer : réhabiliter, exploiter et transférer)…. »

Au sous point II.2- durée de la concession, on note que : «la durée de la concession est de 30 ans à compter de la date d’entrée en vigueur….. » !

Au sous point II.4- Dispositions financières et tarifaires, on note au 2ème § que : « Par ailleurs, SITARAIL doit apurer le passif cumulé de la concession initiale qui comprend le service de la dette du Programme d’Investissement d’Urgence 1996-2001, les arriérés du droit d’usage au 31/12/2006 ainsi que les prélèvements effectués par l’AFD sur les comptes séquestres des sociétés de patrimoines en paiement des échéances non honorées par SITARAIL. »

Par ailleurs, il est prévu que :

Les dettes de SITARAIL envers les Etats (5 753 596 597 FCFA pour le Burkina Faso) seront remboursées sur un échéancier de 15 ans avec un différé de 5 ans ;
Les dettes des Sociétés de Patrimoine (1 072 152 656 FCFA pour la société de gestion du patrimoine Ferroviaire du Burkina) seront apurées selon un échéancier de 5 ans à compter de la date d’entrée en vigueur de la CCR.
Enfin, nous notons que selon cette convention, SITARAIL s’est aussi portée acquéreur du matériel roulant ferroviaire des deux sociétés patrimoniales à un prix forfaitaire de 10 millions d’euros, soit 6 559 570 000 FCFA , payable sur un échéancier de 15 ans comportant un différé de 5 ans … »

Excellence Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale,

Le contenu de ce projet de convention, notamment les dispositions ci-dessus évoquées, nous scandalisent et nous révoltent. En effet :

Les chemins de fer de l’ex-régie Abidjan-Niger sont un symbole du sang et de la sueur de nos ancêtres, soumis alors aux travaux forcés par le colonisateur. On comprend difficilement que les Etats ivoirien et burkinabè choisissent de les privatiser et de les confier à un repreneur qui cristallise les scandales d’exploitation néocoloniale en Afrique (Cf. scandales autour des concessions de l’exploitation des ports de Lomé et de Conakry, ainsi que des chemins de fer du Cameroun) ;
Les chemins de fer constituent une infrastructure stratégique pour un pays enclavé comme le nôtre. En tant que telle, ils devraient faire l’objet d’une attention particulière qui requiert une forte implication de l’Etat ;
La révision de la concession est envisagée sans réaliser au préalable un bilan de l’exécution de la concession passée depuis vingt-cinq ans. Du reste, les dettes évoquées dans le projet indiquent clairement que le concessionnaire a été défaillant dans l’exécution du contrat. Sans compter que depuis sa privatisation, le repreneur n’a rien réalisé dans le sens du développement de l’infrastructure et améliorer le transport des biens et des personnes entre les deux pays. Au contraire, le transport ferroviaire s’est dégradé avec notamment la fermeture de nombreuses gares, toute chose qui a porté un coup dur à l’économie des localités que traversait le rail. A ce propos, il convient de rappeler que la réouverture des gares a été soumise au gouvernement comme préoccupation par l’UAS dans son cahier de doléances de 2015. Et le communiqué final issu de la rencontre Gouvernement/Syndicats de 2016 mentionne que « concernant la réouverture des gares ferroviaires, le Gouvernement s’engage à rouvrir les gares ferroviaires et à harmoniser le statut des travailleurs, conformément aux conclusions du Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) 2016 »;
Selon nos informations, le projet d’extension est envisagé avec l’écartement métrique qui oblige nos Etats à faire des commandes de machines au prix fort car ne correspondant pas aux standards présents sur les marchés ;
Bien que SITARAIL ait accumulé des dettes vis-à-vis des deux Etats, la convention envisage de lui accorder des différés aussi bien pour le règlement de ces dettes que pour l’acquisition du matériel roulant ferroviaire des deux sociétés patrimoniales ;
Au niveau du volet gestion des ressources humaines, tantôt SITARAIL met en avant l’ancien accord quand cela l’arrange tantôt elle met son véto quand les travailleurs s’y réfèrent pour leurs droits, en prétendant que cet accord est caduque. Il faut noter qu’elle-même (STARAIL) n’a pas adopté comme le préconise la convention de concession une convention d’entreprise dont la négociation devait associer les travailleurs à travers leurs syndicats ;
Au plan social, la privatisation de la gestion du rail a eu pour conséquence la fermeture de nombreuses gares avec un impact négatif important sur le tissu économique et social des zones d’influence desdites gares ; de la même façon, le trafic voyageurs a été sérieusement réduit;
Le projet prévoit que cette fois ci, le patrimoine soit vendu à SITARAIL à un prix dérisoire et à crédit. Cela signifie que le groupe Bolloré propriétaire, après avoir acquis le patrimoine pourra le transférer ailleurs si cela est plus rentable pour lui.
Excellence Monsieur le Président de l’Assemblée nationale,

Le projet de loi portant ratification de la convention de concession révisée, est présenté comme une formalité à exécuter par l’Assemblée Nationale. En effet, les deux Etats ont, à l’occasion du TAC 2016, déjà signé un accord avec le groupe Bolloré pour la réhabilitation du chemin de fer Abidjan­Ouagadougou-Kaya pour un montant d’environ deux cent soixante-deux milliards (262 000 000 000) de F CFA avec une première phase d’environ quatre-vingt-cinq milliards (85 000 000 000) de F CFA qui doit être exécutée sur une durée de quatre (04) ans. De plus, la partie ivoirienne a déjà, par ordonnance, marqué son accord pour la ratification de la convention.

Nous interpellons l’Assemblée Nationale afin qu’elle ne ratifie pas la convention de concession telle que rédigée. Autrement, elle se ferait complice du bradage d’un patrimoine aussi important que les chemins de fer. Nous estimons que la gestion des chemins de fer doit être repensée en vue d’en faire un instrument de développement du pays et de sauvegarder les intérêts du peuple burkinabé.

Veuillez recevoir, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale, l’expression de notre considération distinguée.

Ouagadougou, le 17 août 2018

Le secrétaire Général

http://infodufaso.over-blog.com/2018/01/exclusivite-mosse-abdoulaye-epingle-sensibilisant-pour-la-violence-conersation-a...
11/01/2018

http://infodufaso.over-blog.com/2018/01/exclusivite-mosse-abdoulaye-epingle-sensibilisant-pour-la-violence-conersation-avec-ses-activistes.html
EXCLUSIVITE MOSSE ABDOULAYE EPINGLE SENSIBILISANT POUR LA VIOLENCE : CONERSATION AVEC SES ACTIVISTES
Dans sa préparation pour des attaques violentes contre la porte parole de l'organisation de la société civile Boribanah, le député MPP, chargé des mouvements de la société civile de son parti a été épinglé dans sa manipulation lors d'une conversation avec des activistes (captures en dessous)

Lu pour vous : parlonsdufaso.over-blog.comVIOLENCES ET DESTRUCTION DE BIENS : ABDOULAYE MOSSE LE CHEF D’ŒUVRE AU MPP ? D...
11/01/2018

Lu pour vous : parlonsdufaso.over-blog.com
VIOLENCES ET DESTRUCTION DE BIENS : ABDOULAYE MOSSE LE CHEF D’ŒUVRE AU MPP ?
DES LEADERS POLITIQUES POLITIQUES, D’ORGANISATION DE LA SOCIETE CIVILE, SYNDICAUX VISES PAR UNE PURGE PLANIFIE PAR LE PARTI AU POUVOIR. LES VISAGES DES MAITRES D’ŒUVRES DÉVOILÉS.
, ex mobilisateur de jeunes au CDP, aujourd’hui Député MPP et responsable des organisations de la société civile dans le bureau politique du parti au pouvoir, s’avère être l’un des partisans de la violence dans l’asphère politique burkinabé.

A travers des conversations avec certains de ses exécutants, Abdoulaye Mosse intoxique et manipule la pauvre jeunesse sous sa coupe à commettre des crimes crapuleux contre ceux qu’ils considèrent comme des ennemis. Entre autres méthodes ; la diffamation, la calomnie, la destruction de biens publics et privés, les agressions physiques et le mysticisme.

Selon certaines sources proches de lui, nous confie que Mosse Abdoulaye entretient une équipe constituer de dizaines de militaires radiés et qu’il compte l’utilisé pour des actes d’intimidations et d’agression physique. Ces œuvres sont connus de tous ses mentors. Sa dernière trouvaille serait de neutraliser avant 2019 tous les activistes et leaders de la société civile qui s’opposent au régime actuel. Les quelques images de ses conversations ici présentes en sont les preuves.
Abdoulaye Mossé semble avoir pris goût de la violence depuis les évènements de 2014. Il a été le chef d’œuvre des incendies des domiciles des partisans fidèles du Président Blaise Compaoré selon ses camarades. Connaissant bien les personnes ciblées pour avoir travaillé durant de longues années avec eux dans le bureau politique du CDP (ex parti au pouvoir), il s’était chargé de dresser la liste des domiciles, puis d’organiser une tournée à la veille des incendies avec ses éléments pour des visites inopinées chez plusieurs députés CDP. Certains comme Eddie Komboïgo, Benjamine Doamba, Assami Kouanda peuvent en témoigner. D’ailleurs des plaintes ont été déposées par les victimes mais jusqu’à ce jour aucune enquête n’a été ouverte malgré la supposée indépendance de la justice burkinabé.
Des preuves palpables et des enregistrements audios de certaines réunions avant les faits existent et mis à notre disposition. Ces preuves ont d’ailleurs été confirmés par le témoignage de l’actuel Président de l’Assemblée nationale Alassane Bala Sakandé en ces termes « l’insurrection des 30 et 31 a été pensée et conduite par les forces politiques et patriotiques du Burkina Faso dont le MPP a été le moteur. La décision de lancer l’insurrection a été prise à notre Bureau politique national du 25 octobre 2014 au CENASA. A César ce qui est à César »

Tout comme leur ancien mentor, feu Salif Diallo, toutes les cellules d’activistes du MPP sont mis en branle pour neutraliser quelque soit les moyens, les ex dirigeants de la transition et des leaders de mouvements de jeunes dont particulièrement Safiatou Lopez Zongo qui n’hésite pas à émettre ses vives critiques à l’égard du pouvoir Kaboré.

Des leaders de partis politiques sont aussi visés, dont Léonce Koné, François Compaoré, Zéphirin Diabré et bien d’autres. Les leaders syndicaux sont aussi visés par la purge qui s’organise par le parti au pouvoir avant 2020. Le mot d’ailleurs a été d’ailleurs lancé dont « le deuxième mandat à tous les coups ».

La Rédaction

  RENIE SON PASSE ET INTERDIT LES MANIFESTATIONS DE RUE(http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/11/roch-marc-kabore-reni...
27/11/2017

RENIE SON PASSE ET INTERDIT LES MANIFESTATIONS DE RUE
(http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/11/roch-marc-kabore-renie-son-passe-et-interdit-les-manifestations-de-rue.html)

Ancien dignitaire du régime de Blaise Compaoré, le chef de l’Etat burkinabé Roch Marc Christian Kaboré fuit son passé de peur de perdre son pouvoir acquis par la rue, il interdit les manifestations de Rue. Une question s’impose : « Si avait fait pareil, Roch Marc Christian Kaboré ne serait-il pas en prison pour avoir été dans la rue avec ses militants en octobre 2014 qui a vu la destruction d’édifices publiques et privés ? »

Après plus de 26 ans de règne au sommet de l’Etat, Roch Marc Christian Kaboré a réussi avec d’autres barrons du pouvoir de l’ère Compaoré à berner l’opposition politique dirigée par et l’ensemble du peuple dès le 18 janvier 2014 pour récupérer sa lutte contre la mal gouvernance et l’impunité dont-ils sont les auteurs.
En démissionnant de l’ex parti au pouvoir en 2014, leur seul objectif était d’échapper à la colère du peuple dans la rue. Une colère dont Roch Kaboré lui-même en est la principale cause. En déclarant le 06 février 2010 que « l’article 37 de la constitution burkinabé qui limite les mandats présidentiels est anti démocratique » source : (http://lefaso.net/spip.php?article35274). Il a mis ainsi le feu à la paille pourtant le Président Blaise Compaoré ne s’était pas encore prononcé sur la question.
Dirigeant du CDP parti au pouvoir, Roch Marc Christian Kaboré et ses camarades aujourd’hui barrons du MPP ont attisés le feu avec des propos arrogants et provocateurs à l’endroit de la société civile et des partis de l’opposition qui ont finis par ouvrir les hostilités à travers de multiples manifestations de rue jusqu’en 2014.
Aujourd’hui, l’objectif d’échapper à la justice et à la colère du peuple étant atteint, le Président Roch Marc Kaboré renie son passé sans honte et accuse ses anciens camarades restés au CDP et fidèles au Président Compaoré d’être les seuls responsables des crimes économiques et de sang. Parfois détendu dans ses déclarations diffamatoires, il accuse l’ex Président Compaoré d’être de connivence avec les terroristes pour déstabiliser le pays, ce qui a valu un démenti instantané du Président Compaoré dans un communiqué depuis Abidjan.
Arrivé au pouvoir par la rue Roch Kaboré n’est pas serein et craint de perdre son pouvoir par la rue. Ainsi donc il refuse toute autorisation de manifestation aux acteurs de la société civile qui ne lui sont pas favorable. Le leader du Cadre d’Expression Démocratique ( ) en paie les frais avec une condamnation de 6 mois de prison avec sursis avec ses camarades pour avoir réclamer par toutes les voies légales l’obtention une autorisation pour tenir une activité à Ouagadougou.
Telle est le vrai visage de la démocratie tant chanté par les tenants du pouvoir actuel.

CEDRIC Rayimwende K.D pour Parlons Du Faso

06/11/2017

THIERY HOT, LE CAMEROUNAIS QUI SAIT TOUT DES SECRETS DE L’ETAT BURKINABE GRACE A SON AMI
source: http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/11/thiery-hot-le-camerounais-qui-sait-tout-des-secrets-de-l-etat-burkinabe-grace-a-son-ami.html

Ami personnel et conseiller spécial du président Roch Kabore, Thiérry Hot est perçu comme le vice-président selon le témoignage d’un proche de Roch Marc Kabore. Pour lui, le journaliste Camerounais sait tout et vois tout dans la gestion du pouvoir de Roch Kaboré. Il serait même le grand décideur des programmes de certaines missions à l’extérieur du président Kaboré.

Toujours présent dans les déplacements à l’international du chef de l’Etat Burkinabé, il profite renforcer ses contacts d’affaires, mais par contre absent quand il s’agit d’un déplacement à l’intérieur du Burkina Faso.
L’ombre de Thierry Hot plane dans tout le palais de Kossyam partout où Roch Kaboré foule le pied. Il effectue des missions prestigieuses à l’extérieur au nom du Président de la république auprès de d’autres chefs d’Etats comme le cas au Cameroun son pays d’origine. Une démarche qui n’est pas appréciée par la diplomatie puisqu’elle viole certains règlements à la matière ou le Chef de la diplomatie burkinabé dont le ministre des affaires étrangères a la charge.

La question que tous se posent, est-il acceptable qu’un non-national puisse être plongé dans tous les affaires d’Etat d’une nation ?

Seul l’avenir nous dira l’étendue des risques graves auquel le président Roch Marc Christian Kaboré expose le pays des hommes intègres dans cette cacophonie irresponsable et non patriotique !

En attendant ce rat de palais présidentiel semble avoir trouvé un point de refuge dont il en tire profit sans mesure (Frais de missions faramineux, salaire colossale, prise en charge complète, tous aux frais du contribuable burkinabé qui périt dans la misère)

Julius BECO

LES DIPLOMATES S’INQUIETENT DE LA GESTION DU POUVOIR DE ROCH KABORE source: http://cedeaozone.over-blog.com/2017/11/les-...
06/11/2017

LES DIPLOMATES S’INQUIETENT DE LA GESTION DU POUVOIR DE ROCH KABORE
source: http://cedeaozone.over-blog.com/2017/11/les-diplomates-s-inquietent-de-la-gestion-du-pouvoir-de-roch-kabore.html

Parti sur de fortes promesses de bonne gouvernance et plus de démocratie, la désillusion est effective à deux ans de gestion du pouvoir d’Etat par le Président Roch Marc Christian Kabore.
Avec un programme politique qui a donné plus d’espoir au Burkinabé, le régime Kaboré a très vite montré son incapacité à mieux gérer le Burkina Faso que le régime précédent de Blaise Compaoré. L’insécurité grandissante, le taux de chômage qui s’enflamme à 6,6% indice de 2016, l’économie en perte de vitesse, la gabegie, les privations de liberté d’expression (emprisonnement de Pascal Zaïda leader d’OSC), le non-respect des droits de l’homme, le non-respect des décisions judiciaires nationales et internationales, les bavures du numéro 2 du pouvoir (détention d’arme de guerre par Simon Compaoré), les nominations de copinages aux postes stratégiques de la République (cas de Saran Sérémé Séré la présidente d’un parti politique au poste de Médiateur) sont entre autres des griefs qui sont préjudiciables au régime lui-même. Cela justifie la réticence de certaines puissances étrangères à accompagner le pouvoir de Kaboré
La communauté internationale suit de près la situation au pays des hommes intègres avec beaucoup d’incertitude sur le mandat de Roch Kabore. A entendre certains chefs des représentations diplomatiques, le Burkina Faso connaît un recul en matière de bonne gouvernance et en pratiques démocratique.
Entouré de certains de ses amis dont la plupart n’a aucune force diplomatique, le chef de l’Etat burkinabé multiplie les déplacements à l’extérieur sans pouvoir apporter le moindre plus à son pays. Selon un diplomate, Roch Kaboré n’est pas vu d’un bon œil par les dirigeants des pays qu’il visite sur recommandation de ses copains (Thiery Hot, Alpha Barry, Shérif Sy,…) qui l’entourent et qui jouissent pleinement de ces multiples voyages pour agrandir leur cercle d’affaires.

Rodrigue Z.T

INCONSTITUTIONNALITÉ DE   :   VIOLE LA CONSTITUTION A NOUVEAU ET FAIT PLACE A UN PRÉCÉDENT JUDICIAIRE QUI LES RATTRAPERA...
06/11/2017

INCONSTITUTIONNALITÉ DE : VIOLE LA CONSTITUTION A NOUVEAU ET FAIT PLACE A UN PRÉCÉDENT JUDICIAIRE QUI LES RATTRAPERAIT
Source: (http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/11/l-inconstitutionnalite-de-cherif-sy-roch-viole-la-constitution-a-nouveau-et-fait-place-a-un-precedent-judiciaire-qui-les-rattraperai)

Nommé par décret présidentiel le 09 mars 2017 en conseil des ministres, à la grande surprise des burkinabé et des constitutionnalistes, Chérif Moumina Sy est depuis lors Haut Représentant du Chef de l’Etat Roch Marc Christian Kabore.

Qu’est-ce qu’un Haut Représentant du Chef de l’Etat ?

Une pure gabegie que la constitution burkinabé en vigueur ne saurait répondre ni même les textes de fonctionnement quasi inexistants du palais de Kossyam sous Roch Kabore.

Cela s’apparente à une anarchie, où le chef de l’Etat s’arrose tous les droits de créer des postes pour récompenser ses amis sans rendre compte au conseil constitutionnel qui reste silencieux et complice de cette forfaiture dans une démocratie normale.

Ce qui donne raison à ceux qui qualifie l’insurrection de 2014 comme une farce des ex barrons du pouvoir Compaoré pour lui arracher le pouvoir d’Etat vu qu’ils avaient été écartés pour leur mauvaises gestions des affaires d’Etat. Le temps semble donner raison à l’ex Chef d’Etat burkinabé.

Shérif Sy qui a été un acteur clé de la loi d’exclusion massive des candidats à la présidentielle de novembre 2015 semble avoir récolté le fruit de sa compromission pour la passation du pouvoir d’Etat à l’actuel régime. En violation du droit international et national, certains acteurs de la transition et du régime actuel encourent d’énormes poursuites judiciaires dans l’avenir. Comme on le constate souvent, après le pouvoir en Afrique, place est faite aux problèmes judiciaires.

Le Burkina Faso sous l’ère Michel Kafando à Roch Marc Kaboré s’illustre comme un Etat qui méprise entièrement les traités internationaux dont il est signataire. Le refus d’appliquer la décision judiciaire de la cours de la CEDEAO en 2015 entache aujourd’hui la crédibilité du régime actuel sur le plan national.

Antoine B.

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11/10/2017

En le Discours du Président face aux OSC avant sa prise de fonction !
C'était face aux en décembre 2015 pour dire merci de lui avoir donné le pouvoir avant de les trahir quelques mois plutard !
A Télécharger et à écouter intégralement !

LA   C’EST DONC EUX ET NON BLAISE COMPAORE ! Un diplomate s’indigneSource: http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/10/la...
04/10/2017

LA C’EST DONC EUX ET NON BLAISE COMPAORE ! Un diplomate s’indigne
Source: http://parlonsdufaso.over-blog.com/2017/10/la-dictature-c-est-donc-eux-et-non-blaise-compaore-un-diplomate-s-indigne.html

En plus de battre tous les records de longévité à la tête de l’Etat Burkinabé, et compagnie s’illustrent en véritable acteurs de la dictature décrié par lui-même dans ses discours digne de scénario de cinéma.
Le risque d’implosion est palpable, car un peuple opprimé finit toujours par se révolter. Au vu de la manipulation des organisations de la société civile (OSC) par le pouvoir en place risque de détériorer la situation politique du pays. Musellement de la société civile, interdiction de manifestation pour les OSC non contrôlées par le régime Kaboré, intimidation et menaces de mort, voilà quelques points forts de la face cachée du pouvoir de Roch Marc KABORE actuel Président du .
Contrairement à ces multiples discours prêchant le supposé retour de la démocratie au pays des hommes intègres, le régime s’illustre dans la démagogie, l’injustice, la privation des libertés d’expression sous les yeux des organisations des droits de l’homme.

Dernier acte révoltant, pendant que le pouvoir finance et autorise d’autres acteurs de la société civile à organiser des manifestations publiques et il retire le même droit à d’autres acteurs de tenir toute manifestation sur le territoire Burkinabé. L'annulation de l’autorisation de manifestation du de et le refus d’accorder une autorisation aux ressortissants de tenir leur manifestation pacifique sont des actes condamnables et anti-démocratiques.
On se rend finalement compte que l’ex Président Blaise Compaoré n’était pas le problème mais plutôt ses lieutenants dont Roch Marc Christian Kaboré, feu Salif Diallo et Simon Compaoré. On se rappelle bien que c’est sous le mandat de maire que le même Simon Compaoré avait instauré la zone rouge au cœur de Ouagadougou pour interdire toute manifestation.

Où va le Burkina Faso ?

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